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grèce

  • La Grèce a une dette envers la france et les pays qui ont fait de vraies réformes !

    Le comportement des décideurs politiques et d’une partie des Grecs est inexcusable par rapport aux autres pays européens qui ont fait des efforts drastiques pour respecter les consignes de Bruxelles. Il s’agit surtout de l’Espagne, du Portugal et de l’Irlande.

    Ce dernier pays a fait d’énormes réductions de ses dépenses publiques jusqu’à 10 Mds d’euros (6 % du PIB) et a même réussi à rembourser les 70 Mds d’euros de prêts contractés en 2010, soit 120 % de ses recettes publiques. Pour y parvenir, l’Irlande a sabré dans les services publics, et réduit de 20 % les traitements de ses fonctionnaires, ainsi que les pensions de retraites. De plus, l’Irlande a décidé de ne pas céder au chantage de l’Union européenne et de garder son taux d’IS (Impôt sur les sociétés) à 12.5 %. Aujourd’hui, le taux de chômage est à 9.7 % en Irlande contre 25.6 % en Grèce et 10.5 % en France.

    Taux de chômage (Eurostat, avril 2015)
    - Irlande 9.7 %
    - Portugal 13 %
    - Grèce 25.6 %

    En Espagne, on a fait des coupes massives dans les dépenses publiques (de 47 % du PIB en 2010 à 44 % en 2013), et il a été décidé une baisse de l’impôt sur les sociétés, qui passera de 30 % à 25 % d’ici 2016. De même, l’impôt sur le revenu pour les contribuables les plus riches passe de 52 % à 45 %. Au Portugal, suite à des réformes importantes : baisse de 27% du traitement des fonctionnaires, non-remplacement d’un départ à la retraite sur deux, gel du salaire des fonctionnaires sur 4 ans, baisse de salaires d’une moyenne de 5 % des 500 000 fonctionnaires percevant un salaire supérieur à 1 550 euros par mois, le taux de chômage est tombé à 13 % (il était à 20 % en 2013).

    En Grèce, on n’a même pas mis en place le cadastre qui était l’une des demandes de Bruxelles. Le populisme de Tsipras s’est accompagné d’un mépris total pour les réformes économiques avec les résultats que l’on constate aujourd’hui. Si le pays est à condamner ce n’est pas seulement parce qu’il a dilapidé 229 Milliards d’euros d’aides européennes  mais surtout pour son mépris total à l’égard des pays (et des peuples) qui ont mis en place de vraies réformes afin de rester européens.

     

    Chez nous, Hollande ferait bien de faire un référendum, au moins pour demander aux français s' ils sont d' accord pour que la France prête encore aux grecs et de s'inspirer de ce qu'ont fait l'Irlande, l' Espagne et le Portugal car notre situation ressemble de plus en plus à celle de la Grèce ! ...

     

    La gabegie des grecs

     

     

    Les Grecs sont responsables de leur malheur !

     

    Les experts mandatés par l'Union Européenne pour étudier les causes qui ont conduit la Grèce à la situation économique actuelle rapportent les faits suivants :
     
    La Grèce a falsifié ses comptes pour entrer dans l'euro, puis a déformé la réalité, jusqu'à ce que celle-ci explose.
     
    Il y a eu des départs massifs en retraite à 50 ans.

     
    Il y avait jusqu’à 50 chauffeurs par voiture officielle, en moyenne.
     
    Il y avait 45 jardiniers pour une petite pelouse avec 4 buissons à l'hôpital Evangelismos.
     
    La Grèce a la plus forte population fictive au monde de personnes déclarant un âge de 110 ans.
     
    Les décès ne sont souvent pas enregistrés et les pensions continuent à être perçues.

    L'Union Européenne a détecté qu'il y a des familles qui perçoivent 4 à 5 pensions qui ne leur sont pas destinées.
     
    Il y a encore des pensions payées à des personnes mortes en 1953, il y a 60 ans.
     
    40 000 jeunes filles reçoivent mensuellement une rente viagère de 1.000 euros pour le simple fait qu’elles sont filles célibataires de fonctionnaires décédés et il en coûte aux caisses de l' Etat € 550 millions d’euros par année. Maintenant elles la percevront seulement jusqu'à 18 ans.
     
    Des stimulateurs cardiaques dans les hôpitaux grecs ont été acquis à un prix 400 fois supérieur à celui des hôpitaux britanniques.
     
    En Grèce, de nombreux travailleurs ont bénéficié de la retraite anticipée, fixée à 50 ans pour les femmes et 55 ans pour les hommes qui appartiennent à l'une des 600 catégories d'emploi reconnus comme particulièrement pénibles, et parmi lesquelles sont inclus les coiffeurs (à cause des colorants pouvant être considérés comme nocifs), les musiciens d'instruments à vent (souffler dans une flûte est épuisant) ou les présentateurs de télévision (les microphones étant censés causer des dommages à la santé).

    (Cette loi a été adoptée par le gouvernement socialiste de 1978)
     
    Il ya des milliers de bonnes « combines », de ministères et instituts inutiles, desquels vivent beaucoup de Grecs. A titre d'exemple l'Institut pour la protection du Kopais Lake, un lac asséché depuis 1930. (1763 Grecs sont employés pour sa protection)
     
    Dans la dernière décennie, il s’est créé plus de 300 nouvelles entreprises publiques.
     
    La fraude fiscale est massive, plus de 25% des Grecs ne paient pas un sou sur le revenu des particuliers.
     
    En outre, le poids du secteur public dans l'économie est écrasant. Il y a environ un million de   fonctionnaires pour 4.000.000 de personnes actives.
     
    Le salaire moyen des employés des chemins de fer publics grecs dépasse € 66.000.- par an. Et cela inclut les nettoyeurs ainsi que les travailleurs peu qualifiés. Le (presque gratuit) métro d’Athènes délivre pour environ 90 millions d’euros de billets par année, alors que le coût total de cette société publique dépasse 500 millions.
     
    Les Français reçoivent en moyenne à titre de retraite 51% du dernier salaire, les Allemands 40%, les Nord-Américains 41% et les Japonais 34%. Pendant ce temps, les retraités grecs reçoivent 96% de leur salaire antérieur.
     
    La Grèce a quatre fois plus d'enseignants que la Finlande, le pays le mieux situé dans le dernier rapport PISA, alors que cette surpopulation d’enseignants n'a servi qu'à être parmi les pays européens disposant du plus bas niveau dans presque tous les tests éducatifs alors que leurs enseignants ainsi que ceux de l'Espagne et du Portugal (dont les résultats obtenus sont aussi mauvais, même après le Luxembourg) sont les mieux payés au monde, ont le plus d’abstention et le moins d’élèves etc ...