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g7

  • La Femen profanatrice antichrétienne Inna Shevchenko participait officiellement au G7 et était à la même table que Macron ! ...

     

    L’information est passée quasiment inaperçue, simplement soulignée par un tweet enthousiaste de l’ineffable Marlène Schiappa et quelques articles de la mouvance “féministe” : la Femen Inna Shevchenko participait de façon officielle au G7 de Biarritz, désignée par la Macronie pour siéger au Conseil consultatif pour l’égalité femmes-hommes du G7 et se retrouver à la même table que le président de la république ! ...

    Certes, il fallait un œil très attentif pour la reconnaître. Pour l’occasion, elle avait adopté un look très embourgeoisé, loin de l’image d’hystérique dépoitraillée enchaînant les provocations antichrétiennes, les blasphèmes, les profanations et les séances d’exhibitionnisme sous l’objectif des photographes de presse et des caméras de télévision.

     

     

    Dès leur arrivée en France, l’ukrainienne Inna Shevchenko et son mouvement Femen avaient bénéficié d’évidentes collusions avec différents cercles du Pouvoir. Mais Inna Shevchenko apparaît désormais de plus en plus officiellement comme une interlocutrice appréciée lors des rendez-vous du Nouvel Ordre Mondial.

     

    Récompensée comme il se doit par la franc-maçonnerie, puis invitée par Jacques Attali au Global Positive Forum, la voilà à un sommet du G7!

     

     

    Pour ceux qui n' ont pas encore compris, voilà les racaillent qui dirigent la France.

     

     

     

  • Fake news de Macron à propos des feux en Amazonie .

    Selon, Emmanuel Macron, Jair Bolsonaro, président du Brésil, nous "enfumerait" ...

     

    75 000 départs de feu dans la forêt amazonienne ... une hausse de 84% depuis l’année dernière... la faute au méchant Jair Bolsonaro qui incite à la déforestation...

     

    C’est ce que nous servent les médias ad nauseam avec l’aide appuyée du fumeux Macron.

     

    Tout ceci est une bonne grosse fake news de la pire espèce : le détournement d’un problème réel à des fins de propagande.

     

    Il s’agit tout d’abord de noter que chaque année, l’Amazonie brûle à cette période. La grande forêt boréale canadienne brûle, les forêts méditerranéennes brûlent, les africaines également et c’est comme cela tout autour du monde. Sans doute brulaient-elles déjà avant que nous apparaissions à la surface de la terre.

     

    Le feu est la méthode naturelle de régénération des grandes forêts et fait partie intégrante du cycle naturel de ces écosystèmes complexes et bien plus vieux que l’humanité : ils étaient-là avant nous et le seront après nous.

     

    La question devient tout d’un coup plus complexe : les feux en Amazonie que nous semblons découvrir subitement font-ils partie intégrante du processus de régénération ou bien ont-ils dégénéré à cause des déboisements humains ?

     

    Pourquoi les 70 000 départs de 2016 n’ont-ils excité l’attention de personne ?

     

    Depuis 20 ans que l’INPE compte le nombre de départs de feu au Brésil, la corrélation entre la déforestation et les feux est très faible. Elle est de l’ordre de 13,5%. Dans cette configuration statistique il faudrait au moins 40% pour espérer esquisser une relation de cause à effet. Et sachant que corrélation n’est pas cause, l'histoire est belle et plausible mais FAUSSE :  il est impossible de mettre les incendies actuels sur le dos de la déforestation et encore moins sur ceux du président Bolsonaro.

     

      Correlation feux et deforestation Amazonie

     

     

    Aussi, lorsqu’Emmanuel Macron trouve que le Brésil devrait se trouver un président à la hauteur, c’est n’importe quoi, il est impossible de lier les feux à l’action de Bolsonaro : c’est une fausse nouvelle, scientifiquement démontrée, par votre serviteur et ses bons restes en analyse statistique.

     

    Et lorsqu’Emmanuel Macron veut reboiser les zones brulées d’Amazonie, c’est encore du grand n’importe quoi : non seulement, le remède serait pire que le mal, mais surtout, replanter une forêt primaire c’est stupide. Le principe d’une forêt primaire est justement que nous n’y touchons pas.

     

    Il y a donc de la grosse récupération pour parler d’un problème réel : la déforestation.

     

    Depuis les années 1970, la forêt amazonienne a perdu 20% de sa surface.

     

    Heureusement, le rythme effrayant de la déforestation s’est effondré depuis 2004 et ces dernières années, ce ne sont plus « que » 0,2% de la forêt qui sont défrichés chaque année.

     

    Cela reste une mort à petit feu.

     

    Ces terres prises sur la forêt servent un objectif unique : faire du Brésil le 1er grenier du monde.

     

    En l’espace de 20 ans, le Brésil est devenu le 1er exportateur mondial de bœuf, de volaille, de soja... Tout cela s’est fait sur le dos de la forêt amazonienne et quel que soit le parti au pouvoir.

     

    Aussi, plutôt que de faire de l’ingérence au Brésil, nous ferions mieux d’ arrêter d’importer des produits Brésiliens liés à la déforestation et mieux soutenir nos producteurs en proie à une concurrnence voulue par l' Europe!

     

    Par exemple les 60% des importations de soja en France qui viennent du Brésil.

     

    Nous pourrions opérer une montée en gamme comme l’élevage japonais de haute qualité mais il faudrait pour cela que Bruxelles nous laisse développer la filière plutôt que de l’ouvrir aux 4 vents de manière stupide (il n’y a pas d’autre mot)...  en signant des traités de libre-échange avec l’Amérique du Sud par exemple, avec le Canada etc ...

     

    Nous ferions mieux de mettre notre veto au traité de libre-échange avec le Mercosur que Monsieur Macron avait abandonné jusqu’à la semaine dernière... Mais pour combien te temps encore tant il est impuissant à Bruxelles et face à Trump!

     

    Nous ferions mieux de nous occuper de nos arbres à nous, de nos forêts méditerranéennes que nous avons détraquées, replanter le million d’hectares de forêts disparues ces 15 dernières années en France.

     

    Tout cela demanderait du courage, de la sueur et des sacrifices.

     

    Il est tellement plus simple d’organiser un G7, de s’indigner, d’écrire des tweets ravageurs et des discours incompréhensibles.

     

    Vraiment, nous n’avons aucune leçon à donner au Brésil ! ...

     

  • L' Europe complétement désarmée face au protectionnisme de Trump et l' inanité des sommets du G7 ! ...

     

    Dans l'un de ses tweets percutants dont il est coutumier, le président américain a fait sombrer le dernier G7 qui venait de s’achever au Québec. Tweetant depuis Air Force One qui l’emmenait vers Singapour avant de rencontrer le 12 juin le président de la Corée du Nord, Donald Trump a écrit : « En raison des fausses déclarations de Justin (Trudeau, Premier ministre canadien) à sa conférence de presse, et du fait que le Canada impose des taxes massives à nos agriculteurs, travailleurs et entreprises américains, j’ai demandé à nos représentants américains de retirer le soutien au communiqué, tandis que nous envisageons des tarifs sur les automobiles qui inondent le marché américain ! ». La colère du volcanique président américain s’explique par les déclarations du Premier ministre canadien qui avait jugé “insultantes” les taxes tout juste imposées par les Etats-Unis sur l’acier et l’aluminium importés, lors de sa conférence de presse finale. Et il avait promis d’y répliquer « sans sourciller ». Le tweet de Donald Trump fait en tout cas voler en éclats la tentative du groupe des sept (Etats-Unis, Canada, Italie, Royaume-Uni, France, Allemagne, Japon) de sauver la face en publiant une déclaration commune sur le commerce. Ce texte pourfendait le “protectionnisme” et s’engageait à “moderniser” l’Organisation mondiale du commerce. Dans une scène surréaliste, les équipes du G7 avaient commencé à la distribuer au centre de presse installé à Québec alors même que la signature américaine était d’ores et déjà devenue caduque.

    Il était de toute façon absurde de faire signer à Trump un communiqué condamnant par principe et en soi le protectionnisme alors que, pendant toute sa campagne présidentielle, ainsi que dans les premières mesures économiques qu’il a prises depuis qu’il est à la Maison-Blanche, le vibrionnant septuagénaire s’est toujours fait fort de protéger le marché américain contre les importations et donc de mettre en œuvre et de réhabiliter le protectionnisme. Que pesaient quelques lignes d’un communiqué difficilement négociées face à un Donald Trump prêt à toutes les confrontations pour réduire le déficit des échanges américains ? Quitte à déclencher une guerre commerciale ouverte, comme le montre sa menace réitérée de taxer les importations de voiture. « Nous sommes la tirelire que le monde entier pille. Cela va cesser », avait déjà tempêté le président américain avant de quitter un sommet où il est de toute façon passé en coup de vent. 

    Donald Trump a au moins un mérite : montrer l’inanité de ces sommets du G7 — et non plus du G8, la Russie poutinienne ayant été scandaleusement exclue en 2014 à cause de son annexion de la Crimée ! — et faire voler en éclat les consensus mous et les sourires de façade.  Après tout, quoi de plus normal de la part d’un chef d’Etat que de vouloir défendre en priorité les travailleurs, les produits et les marchandises de son pays ? On ne reprochera donc pas à Trump de vouloir défendre l’Amérique d’abord, on regrettera en revanche que la France et l’Europe, elles, ne se protègent pas, ne se défendent pas. Certes le Canada et l’Union européenne, contraints et forcés et à contre-cœur, ont promis la mise en place de tarifs douaniers de représailles, dès le mois de juillet, et le pauvre Emmanuel Macron a confirmé, quant à lui, qu’il n’y avait « pas de changement » en ce qui concerne les contre-mesures européennes annoncées sur le bourbon ou les motos américaines. Mais ces modestes représailles sont-elles vraiment suffisantes ? D’autant que si Donald Trump confirme sa volonté de taxer les importations de voitures, ce serait un désastre pour l’industrie automobile française et européenne, déjà fortement pénalisée par la crise avec l’Iran. 

     

    Le dogme du libre-échange absolu défendu depuis l’origine par la Communauté économique européenne, devenue l’Union européenne, s’est révélé être un désastre pour les pays du Vieux Continent, entraînant un chômage de masse, de multiples fermetures d’usines, une désindustrialisation considérable et des délocalisations de plus en plus fréquentes.

    Tout ce dont s’est occupée l’Union européenne ces dernières décennies a tourné au désastre : que l’on songe à la politique agricole commune qui a conduit à la disparition de millions d’agriculteurs, au suicide de milliers de paysans, à la fermeture quotidienne de moult fermes et exploitations agricoles, à la destruction du tissu rural ! Il serait temps de remettre radicalement en question des politiques qui conduisent, non pas à une Europe puissance, mais à l’affaiblissement, à la dilution et à la destruction des nations qui la composent. 

    D’autant que l’Union européenne a participé activement à l’ablation des frontières, physiques et morales, des nations européennes, de ce que l’on appelle ses Etats membres.

    La suppression des frontières intérieures pour les hommes, les capitaux et les marchandises, voulue par l’Acte unique et parachevée par Schengen, a considérablement aggravé le phénomène de l’immigration de peuplement dans nos pays et accéléré le processus de Grand Remplacement.

    Quant aux institutions européennes, de la Cour européenne des droits de l’homme à la Cour de justice de l’Union européenne, elles n’ont eu de cesse de défendre toutes les mesures de dissolution interne et d’invasion externe : par l’affirmation de droits quasiment sans limites aux “migrants”, par l’octroi de “droits” toujours plus exorbitants aux minorités ethniques et sexuelles, par la reconnaissance juridique des folies les plus effrayantes, de la transsexualité à l’adoption pour les paires homosexuelles. La destruction de la famille et de la nation étant deux constantes de l’Union européenne et de ses institutions, de ses commissaires et de ses juges. 

     

    Donald Trump, en réhabilitant au moins en partie le fait national, même si l’on ne peut approuver bien des aspects de sa politique étrangère, que ce soit à l’égard de l’Iran ou de la Palestine, où il fait siennes des positions sionistes inacceptables et belliqueuses, montre à quel point ces sommets mondialistes comme le G7 ne défendent en rien les intérêts des peuples et des nations. Il s’agit seulement de multiplier les conformismes, les banalités, de faire siennes toutes les bien-pensances, de dénoncer là le protectionnisme, ici le nationalisme, là le réchauffement climatique. On ne peut là encore qu’approuver l’attitude du président américain qui refuse de valider le dogme du réchauffisme et de participer à cette imposture mondiale qui prend des proportions de plus en plus délirantes d’année en année.

    Rappelons d’ailleurs que l’homme clé de l’accord de Paris sur le climat a été le juif Laurent Fabius, aujourd’hui président du Conseil constitutionnel, qui a encore récemment durci le Dogme de la Shoah et étendu le champ de pénalisation de sa contestation ou de sa minoration. Deux Dogmes certainement très fructueux, fort rentables pour un certain nombre de coteries, de groupes et de personnalités mais très coûteux et très nocifs pour la France et pour l’Europe!