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  • La France prise en otage par les marxistes-léninistes ne réagit plus !

     
    Lénino-stalinien comme à la CGT ou Lénino-trotskiste comme à la CGT-FO ou S.U.D., une grande partie des syndicats demeure archaïquement en France manipulée par les apparatchiks révolutionnaires.
     
    Le parti communiste n’est plus le moteur principal des manœuvres subversives, plutôt à la traine derrière la CGT où se trouve désormais le noyau dirigeant du communisme français.
     
    Ce qui est nouveau aujourd’hui, c’est la quasi-totale absence de réaction de l’ensemble des composantes du corps politique et social français devant les procédés de chantage, de prise en otage du peuple et de terrorisation mis en œuvre par le camarade Philippe Martinez et ses sbires et leurs concurrents des autres nomenklaturas politico-syndicales marxistes-léninistes.
     
    Cela s’explique pour trois raisons :
    • La première c’est que, si haïssable que soient les preneurs d’otage pseudo syndicalistes, beaucoup craindraient, en s’opposant à eux, de défendre un gouvernement abject sous tant de rapports.
    • La deuxième, c’est que si Pierre Gattaz traite la CGT de terroriste, ce qu’elle est, lui-même représente un patronat matérialiste profondément indifférent ou hostile aux valeurs qui seules assurent la cohésion de la société et de la patrie.
    • La troisième, c’est que la droite est profondément décomposée aussi, incapable de susciter un sursaut.
     
    De même, au Front National ne veut-on surtout pas prendre une position sur la ligne « Non à Hollande, non à Martinez » ! Le dirigisme jacobin de sa direction impose de ne pas risquer de froisser les troupes des vieux fossiles Martinez et Mailly, et même de ne pas beaucoup parler du bilan d’un siècle de communisme, des cent millions de mort massacrés sous les dictatures totalitaires par les faucilles et les marteaux des exterminations.
    Cela n’est pas dans la stratégie des dirigeants ni même peut-être dans leur culture...