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  • La Femen profanatrice antichrétienne Inna Shevchenko participait officiellement au G7 et était à la même table que Macron ! ...

     

    L’information est passée quasiment inaperçue, simplement soulignée par un tweet enthousiaste de l’ineffable Marlène Schiappa et quelques articles de la mouvance “féministe” : la Femen Inna Shevchenko participait de façon officielle au G7 de Biarritz, désignée par la Macronie pour siéger au Conseil consultatif pour l’égalité femmes-hommes du G7 et se retrouver à la même table que le président de la république ! ...

    Certes, il fallait un œil très attentif pour la reconnaître. Pour l’occasion, elle avait adopté un look très embourgeoisé, loin de l’image d’hystérique dépoitraillée enchaînant les provocations antichrétiennes, les blasphèmes, les profanations et les séances d’exhibitionnisme sous l’objectif des photographes de presse et des caméras de télévision.

     

     

    Dès leur arrivée en France, l’ukrainienne Inna Shevchenko et son mouvement Femen avaient bénéficié d’évidentes collusions avec différents cercles du Pouvoir. Mais Inna Shevchenko apparaît désormais de plus en plus officiellement comme une interlocutrice appréciée lors des rendez-vous du Nouvel Ordre Mondial.

     

    Récompensée comme il se doit par la franc-maçonnerie, puis invitée par Jacques Attali au Global Positive Forum, la voilà à un sommet du G7!

     

     

    Pour ceux qui n' ont pas encore compris, voilà les racaillent qui dirigent la France.

     

     

     

  • Selon la justice française (maçonnique), il est permis d’attaquer une manifestation officielle mais interdit de riposter ! ...

     

    http://media.medias-presse.info/wp-content/uploads/2014/09/femen-tribunaux-mpi.jpg

    Ah, la fameuse justice républicaine !

    Clémente avec les antifas d’extrême gauche. Impitoyable à l’encontre des défenseurs de la famille.

    Débonnaire avec les Femen. Injuste et répressive à l’encontre des défenseurs de la Famille.

    Durant trois jours s’est tenu le procès de huit hommes accusés d’avoir agressé les Femen et la militante intégriste laïco-lesbienne Caroline Fourest. Les faits remontent à la manifestation de CIVITAS le 18 novembre 2012. Les Femen attaquent l’arrière du défilé de Civitas contre le projet de loi Taubira dénaturant le mariage. Les Femen, travesties en religieuses, cornettes sur la tête, se dépoitraillent et brandissent des gazeuses dont elles vident le contenu sur les manifestants venus en famille. Un nuage blanchâtre envahit l’endroit. Des vieillards, des femmes, des enfants, des petits en poussettes, sont la cible des gazeuses des hystériques militantes Femen.

    http://media.medias-presse.info/wp-content/uploads/2014/01/Femen-agression_poussette-MPI.jpg

    Quel homme normalement constitué n’aurait pas cherché à intervenir pour protéger les familles agressées et repousser ces Femen ?

    Mais dans un monde où tout est inversé, ce sont les Femen, sorte de milice antichrétienne et blasphématrice, et leur complice Caroline Fourest qui les accompagnait, qui se présentent comme des victimes.

    Et ce sont les défenseurs de la famille qui sont accusés d’être des

    bourreaux ! ...

    Et tant pis si des reportages en faveur des Femen les ont montré s’entraîner pour cette attaque durant plusieurs jours, le visage rempli de haine anticatholique, sous le regard approbateur de Caroline Fourest.

    Et tant pis si des certificats médicaux ont été produits pour démontrer la toxicité du contenu des gazeuses utilisées par les Femen contre des familles venues paisiblement marcher en faveur de la conservation du mariage comme l’union d’un homme et d’une femme.

    Et tant pis si la plainte de Civitas contre les Femen, déposée au même moment, croupit toujours au fond d’un placard.

    La Cour a condamné sept des huit hommes poursuivis par ce qui ressort de la "justice française".

    F-X G. a été condamné à un an de prison avec sursis et 800 euros d’amende.

    R. L. a été condamné à six mois avec sursis.

    Tous deux sont également condamnés à verser à Caroline Fourest 2.000 euros de préjudice moral et chacun 500 euros de frais de défense.

    L. D. a été condamné à deux mois avec sursis. Tout comme un Colonel à la retraite.

    Deux autres jeunes hommes ont été condamnés à six mois avec sursis. L’un des prévenus, dont le parquet avait requis la relaxe au bénéfice du doute, a été condamné à un mois avec sursis.

    Au total, sept hommes ont été condamnés pour avoir riposté à une attaque menée par des Femen entraînées qui bénéficient toujours, elles, d’une totale impunité. Comme fut aussi le cas dans le procès qui opposait les Femen au service d’ordre de la Cathédrale Notre-Dame de Paris.

    Quoi d’étonnant quand on se souvient qu’il y a peu, la Mairie de Paris a été mise à disposition pour que la franc-maçonnerie accorde un prix à la dirigeante des Femen, devant des invités parmi lesquels plusieurs figures politiques telles que Manuel Valls, Jean-Pierre Chevènement, ou Anne Hidalgo.

    http://media.medias-presse.info/wp-content/uploads/2017/11/femen-prix-fm.jpg

     

    Pauvre république !

     

     

     

  • Antichristianisme des Femen : les condamnés sont les gardiens de la cathédrale Notre-Dame de Paris !

     

    La cour d’appel de Paris a confirmé ce jeudi la relaxe de huit militantes du groupuscule antichrétien Femen.  Ces professionnelles de la profanation étaient jugées pour avoir dégradé une cloche lors d’une attaque qu’elles ont menée à Notre-Dame de Paris le 12 février 2013 en vociférant divers blasphèmes.

    En République maçonnique, ce sont les agresseurs qui bénéficient de l’impunité. Et ce sont les agressés qui sont punis s’ils ont le tort de ne pas se laisser faire. Deux gardiens de la cathédrale ont eux été condamnés à des amendes avec sursis, et un troisième relaxé, pour avoir tenté de chasser les Femen de Notre-Dame de Paris.

    Inna Shevchenko, la dirigeante du mouvement Femen, a réagi par un tweet provocateur : «Notre-Dame : les filles ont gagné contre les dieux».

    «Franchement, je suis soulagée, j’avais peur que la cour d’appel soit plus sévère mais c’est logique que l’on soit relaxé, il n’y avait rien dans le dossier.», a déclaré sans complexe Eloïse Bouton au très complaisant journal Le Parisien.