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eveline dheliat

  • GIEC et affidés du réchauffement climatique .

     

    DANS le cadre de la conférence sur le Réchauffement Climatique qui s'est tenue à Lima au Pérou - Lima Cop20/CMP 1 0 -, préparant au grand raoût qui fera en décembre 2015 de François Hollande Ie Monsieur Loyal de I 'Empire mondial, toute la machination mondialiste qui s'agglutine depuis des années derrière la mystification du Réchauffement Clima­tique, s'est subitement découverte. Jetant le voile. Et se présentant à tous pour ce qu'elle est: une opération d'envergure planétaire concoctée dans l'immeuble de verre des Nations Unies et qui a pour unique fonction d'accélérer le mouvement vers une unifica­tion globale sous la houlette d'un système totalitaire déjà bien avancé dans ses struc­tures politiques, idéologiques, adrninis­tratives, militaires, policières, judiciaires, culturelles, alimentaires et, pourrait-on dire même, éducatives, sportives et religieuses.

    Au signal de l'Organisation Météorolo­gique Mondiale, qui est un appendice onu­sien, dans des dizaines de pays les présen­tateurs de la météo les plus populaires des principales chaînes, ceux qui ont été dressés par les Services de Météorologie nationale, ont reçu instruction de présenter un bulle­tin prévision, en tout point identique à ce qu'ils font chaque jour, mais daté de 2050. Bien entendu décrivant une situation alar­mante, voire même terrifiante, la superche­rie n'étant éventée qu'à la fin: il s'agit bien d'un bulletin virtuel fabriqué à partir des analyses et des projections du GIECC dont il a été démontré à de nombreuses reprises qu'elles étaient soit fantaisistes, soit mani­pulées, soit falsifiées selon des modèles in­formatiques et mathématiques très éloignés de la réalité. Le seul fait de recourir à un artifice aussi grossièrement forgé laissant à penser que ledit GIECC serait à court d'ar­guments.

    « Madame, Monsieur, bonsoir ... », com­mence Evelyne Dhéliat. A côté d'elle la carte habituelle. A ceci près qu'elle est, la Bretagne mise à part, uniformément d'un rouge foncé. Toutes les températures égalent ou dépassent le 40. « Encore de fortes chaleurs, poursuit-elle, en ce 17 août 2050 avec un soleil de plomb à peine voilé. La presque bonne nouvelle est que cette ca­nicule touche à sa fin ... ».

    Mme Dhéliat, - qui n'a toujours pas pris une ride en dépit de ses ... 100 ans - pré­cise que ces températures, s'échelonnant de 43° à Nîmes à 38° à Lille, atteindront au cours de la nuit 26° à Paris ou Nice et entre 23 et 25° ailleurs.

    Elle met brusquement fin au canular : « Alors, me direz-vous, tout ceci n 'est que fiction pour 2050. Eh bien ne croyez pas que ce soit sorti de mon imagination . Cela  été formulé avec beaucoup de sérieux par Météo-France. Daillleurs, souvenez-vous, ces empératures, c 'est du déjà vu. La cani­cule de 2003 que nous avons eue en France. Voici quelques relevés à I 'époque ... ». Ap­paraît une nouvelle carte portant: Dinard et Reims, 39°, Le Mans et Macon, 40°, Gour­don et Carpentras 42°. Et pour enfoncer son clou elle ajoutera : « et même 44° dans le Gard et ça c 'était un record absolu ».

    Arrêtons-nous un instant sur cet autre bo­bard. Le véritable record absolu en France revient à Sartène, en Corse, le 23 juillet 2009 avec 43,4°. Sur le continent il aurait été battu à Chusclan aux confins du Vau­cluse et du Gard avec 43,1 0. En réalité des températures supérieures ont été relevées : un 44° à Toulouse le 8 août 1923 et un 44,1° à St-Christol-les-Alès et Conqueyrac le 12 août 2003. Or ces températures ne fi­gurent pas comme records. Pourquoi? Ne serait-ce pas parce que reconnaître que l'été 1923 puisse figurer parm i les plus torrides ne correspond pas à l'évangile du GIECC. Autant supprimer le 44° de Toulouse et tant qu'à faire les records de St-Christol et de Conqueyrac. Il reste suffisamment de tem­pératures élevées en 2003 pour conforter la théorie du réchauffement climatique. Certes, à ceci près que si le 4 août 2003, on relève 43,9° à St-Géry, dans le Lot, il en alla de même vingt ans plus tôt à Entrecasteaux, dans le Var. Si le 4 août 2003 on observe 43,7° à St-Andiol dans les Bouches-du Rhône, c'est ce qui est atteint en 1947 au Blanc, dans l'Indre. Si le 4 août 2003 Ca­zals dans le Lot enregistre 43°, c'est éga­lement ce qui est observé le 30 juin 1968 à Léon dans les Landes. Il suffira d'oublier l'été 1947 avec son 40,4° dans la région pa­risienne, son 40° à Lyon et plus encore dans le sud. Ou encore la canicule de 1911 qui atteignit des températures moindres mais fut caractérisée par une sécheresse exception­nelle et plus de deux mois sans discontinuer de températures supérieures à 35°. Et qui fit, estime-t-on, 40 000 morts.

    Météo-France et Mme Dhéliat n'en sont pas à ça près.

    LA BANQUISE ARCTIQUE À TOUTES LES SAUCES

    Celle-ci en 2007 publia un ouvrage, C'est bon pour la planète, dans lequel elle se faisait propagandiste du Réchauffement Climatique au nom de I' Adème (Agence de I' Environnement et de la Maîtrise de l'Energie). Bien rodée à cette dialectique, elle va donc débiter sans respirer sa leçon de climatologie apprise par cœur. En 2050 la terre connaîtra une canicule type 2003 tous les quatre ans, de plus grande inten­sité encore. On voudrait lui rappeler que depuis 2003 l'Europe a subi à la suite onze étés dits "pourris" par les vacanciers. En 2014 « les mois d'avril, mai, juin, août et septembre, poursuit-elle, ont été les plus chauds jamais enregistrés sur la planète ». Pure affabulation. D'autant qu'elle précise bien que cette chaleur s'est étendue éga­Iement aux mers. « Souvenez-vous, fin septembre la température de la Méditerra­née était de 24°, 2 degrés au-dessus des normales de saison ». Ceci aurait entraîné des remontées d'air chaud en provenance d' Afrique avec « formation d'orages ex­trêmement violents,.. notamment sur le Languedoc ». Rien d'extraordinaire en cela. De tout temps Ie sud de I 'Europe a périodiquement subi les effets du sirocco. Et il n'y a aucune raison d'en imputer la cause au Réchauffement Climatique. Fin juillet d'ailleurs - le 27/07/14 - un bul­letin Previmer signalait que la Méditerra­née était « plus fraîche que la normale ». Au demeurant la température estivale de cette mer fermée varie de 21 à 30° selon les années (Wikipedia), de 25 à 28° se­lon l'encyclopédie Imago Mundi. Quelle que soit la source, toutes s'accordent à dire que les importantes températures qu' elle connaît en été sont la cause d'une forte évaporation, génératrice de violents orages, notamment sur les Cévennes, le Gard et le Var. Maints auteurs de I' Anti­quité l'avaient déjà noté.

    Si on prend les températures moyennes du Nord Ouest de la Méditerranée aux 15 juillet, 15 août, 15 septembre, de 2006 à 2014, on observe peu de variations et elles oscillent entre 22 et 25°. A partir du 15 août elles commencent à chuter. Sauf en 2014 où en effet elles se maintiennent entre 22° et 26°. Au 1er juillet elles étaient de 2° à 3° inférieures à celles des huit an­nées précédentes. Redevenues au 1 er dé­cembre 2014 sensiblement identiques à celles du 1 er décembre 2006. Quant à l' At­lantique on n' observe aucune variation entre 2006 et 2014.

    Afin de donner plus de force à sa dé­monstration Mme Dhéliat montre une vidéo spectaculaire des environs de Montpellier inondés qu'elle impute au réchauffement climatique. Soulignant que le GIECC pré­voit l'intensification de ces phénomènes ces prochaines années. Dans la réalité les principales causes en sont le déferlement de populations sur les bordures côtières, la bétonisation à outrance des zones urbaines et péri-urbaines, le calibrage des rivières et fleuves, la dégradation des régions si­tuées en amont de ces immenses étendues construites. Le tassement des terres agri­coles. On occulte la quasi-conurbanisation qui s'étend de San Remo à Toulouse avec remontée par la vallée du Rhône vers Lyon, le Dauphiné et les Savoies.

    Puis elle ressort la vieille scie « de la fonte progressive de la banquise de mer de l'Arc­tique et du Groenland ». Avec graphique censé montrer I' écart entre 1996 et 2014, alors que depuis trois ans cette glace de mer n'a cessé de se reconstituer et n'est pas loin d'avoir totalement comblé son déficit. Elle ne nous épargne pas les courbes parallèles entre « le changement climatique et I 'acti­vité humaine» responsables du CO anthro­pique et de la hausse de la tempéraiure glo­bale. Bien entendu elle y voit, de conserve avec le Giecc, une concordance parfaite, se gardant bien de rapporter que le grand débat entre climato-sceptiques et chauffagistes se situe justement sur ce point. Les premiers contestant vigoureusement qu'il y ait eu de­puis 18 ans le moindre réchauffement signi­ficatif, le GIECC lui-même ayant d'ailleurs dû concéder que l'on se trouvait sur un pa­lier alors que l'on n'a jamais émis autant de gaz à effet de serre.

    La conclusion s'impose: « Et devant ces faits, les membres du Giecc rappellent I 'ur­gence de parvenir à un accord sur le climat...