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djihadistes

  • Des Maghrébins sur le toit d’une église albigeoise… en toute impunité !

     

    Dimanche 9 février, à Albi, un groupe de Maghrébins est monté sur le toit de l’église Saint-Jean-Baptiste (quartier de Rayssac) et y a suspendu des drapeaux algériens, marocains et tunisiens !

    Appelée par un témoin de la scène, la police locale a fini par intervenir; des policiers et des gendarmes d'ailleurs de plus en plus infiltrés par les musulmans voire des djihadistes …

    Cette démarche témoigne d’une volonté conquérante et antichrétienne inacceptable et pourtant tolérée par le pouvoir.

     

    En comparaison, on se souviendra que lorsque des militants identitaires ont occupé le toit d’une mosquée en construction, y déployant une banderole, l’affaire s’est conclue par leur arrestation et leur condamnation !

     

     

     

     

     

     

    La République, maçonnique on le sait et antichrétienne, préfère des immigrés musulmans conquérants, s’emparant du toit d’une église, à des Français patriotes refusant l’islamisation de leur pays!

     

  • Lampedusa, tête de pont des djihadistes en Europe .

     

    Lampedusa : petite île entre la Sicile et la Libye, destination particulièrement prisée par les migrants, encore plus prisée depuis que le pape François y a posé les pieds, ce fut sa première sortie après son élection, tout un symbole, pour y sommer l’Europe d’accueillir toute la misère du monde ! 

    La folie migratoire qui submerge l’Europe commence à donner des sueurs froides à nos politiciens de tout bord. Le ministre français de la défense, Jean-Yves Le Drian, défini comme « sérieux » le risque que des combattants de Daesh s’infiltrent parmi les soi-disant réfugiés qui de la Libye rejoignent l’Italie. Ce « sérieux » est risible quand on sait que depuis des mois et des mois, nombreux sont les nationalistes et patriotes de tous les pays européens à avertir, malgré les insultes et les moqueries, leurs concitoyens sur cette menace réelle.

    Mais tout à leur humanitarisme mortifère, nos politiciens bien-pensants européens, ne cessent de radoter comme une lamentation qu’il ne faut pas faire d’amalgame, « qu’aucun pays démocratique ne peut faire de confusion entre les phénomènes migratoires et les terroristes. » selon le mot du ministre des Affaires Étrangères italien, Paolo Gentiloni, jumeau sur le sujet de son homologue français, le catastrophique et calamiteux Fabius.

    Tellement absorbés dans leurs incantations, qu’entre temps, Lampedusa est devenue, dans les faits, une île de l’État islamique, tête de pont pour infiltrer de nombreux djihadistes sur le vieux continent à l’agonie. Parce que de l’autre côté de la méditerranée, les fous d’Allah prospèrent et ne font pas, eux, dans la dentelle sentimalo-gaucho-droit-de l’hommiste-altruiste etc. Ils veulent, et ils y mettent les moyens,  exporter et imposer l’islam et la charia son corollaire, à nos peuples en déshérence culturelle, religieuse, civilisationnelle.

    Aujourd’hui la triste réalité est là et s’impose à nos tartuffes de la politique: les djihadistes de Daesh posent leur pied en Europe, à Lampedusa, avec l’aide et le soutien de nos gouvernements, et ensuite se fondent dans le paysage : 10 000 migrants mineurs, selon les chiffres officiels ont disparus après leur arrivée. Le conseiller du gouvernement Libyen l’avoue également : « la police européenne ne sait pas qui appartient à Daesh et qui est vraiment réfugié. » Comme ça nous sommes avertis !

    Aussi, après avoir semé chaos et confusion, mort et terreur en Libye, la France, à travers son ministre Le Drian, peut bien fait la dure mais c’est trop tard : « c’est une urgente nécessité » de trouver une solution à la crise en Libye pour s’opposer à l’expansion de l’État islamique. C’était avant, avant de déstabiliser cette région si proche des côtes italiennes, qu’il fallait réfléchir et tenir une attitude ferme contre la folie guerrière de Bernard-Henri Levy, d’aussi triste réputation diplomatique que son coreligionnaire Laurent Fabius.

    Les effets de manches, les grandes déclarations, les beaux discours, ne seront d’aucune utilité si une politique énergique imposant la fermeture des frontières européennes, de contrôle de la méditerranée et de renvoi systématique des clandestins n’est pas appliquée.

    Pour Lampedusa, les temps sont comptés avant qu’elle ne tombe définitivement dans l’escarcelle de Daesh !

     

     

    europol

    Nous le savions déjà, les médias libres de ré-information, sur Internet, tirent la sonnette d’alarme depuis longtemps et crient dans le désert de l’optimisme ambiant qui a prévalu pendant des décennies.

    Mais la réalité finit toujours par s’imposer aux rêves.

    Europol vient de le confirmer lors d’une conférence de presse donnée au cours de la réunion des ministres de l’Intérieur de l’Union Européenne de lundi dernier : « Outre les camps d’entraînement en Syrie il existe aussi des bases d’entraînement plus petites dans les pays de l’union Européenne et des Balkans. L’entraînement aux techniques de survie permet de tester la forme physique et la détermination des membres qui aspirent à entrer dans l’armée de l’État islamique. Les activités sportives ont été utilisées pour la formation au combat et pour résister aux interrogatoires. » En somme une vraie formation militaire pour troupes d’élites ennemies, dans nos murs !

    Le directeur d’Europol, le britannique Rob Wainwright, souligne également que beaucoup de ces combattants de l’EI entraînés en Europe sont des foreign fighters, c’est-à-dire, des combattants européens. « Une large proportion des personnes recrutées, les estimations parlent de 80%, ont des précédents pénaux. » est-il d’ailleurs précisé. Il omet cependant de signaler l’origine ethnique de ces volontaires aux antécédents criminels ! Mais n’a-t-on pas osé, dans les instances officielles et médiatiques, parler de Belges pour les terroristes du Bataclan, qui de Belge n’avait que la nationalité!

    « Daesh est en train de programmer des attaques de grande ampleur en Europe » continue le directeur d’Europol. Que les pouvoirs européens, par ce langage alarmiste récurrent, soient en train de préparer les esprits à une future guerre voulue par des instances apatrides mondiales semeuses, de par le monde, du chaos révolutionnaire facilitant l’instauration d’une gouvernance mondiale ne fait aucun doute. Que Daesh, ce monstre né de l’alliance infernale entre les services secrets américains et les services secrets israéliens pour déstabiliser le proche et le moyen-Orient et par ricochet le vieux continent, prépare de son côté des attaques, ne fait aucun doute non plus.

    Mais que Daesh prépare ses attentats à partir du sol européen, voilà où se situe le plus grand des scandales à mettre au discrédit des politiciens qui nous gouvernent si mal.

     

     

  • Valls et Hollande se "mettent en quatre" pour nos djihadistes ...

    « Réinsertion au cas par cas », « suivi individualisé »… Remis mercredi au Premier ministre par son auteur, le rapport sur la « déradicalisation » rédigé par le député socialiste des Hauts-de-Seine Sébastien Pietrasanta est l’exemple type d’une réponse totalement utopique et particulièrement coûteuse au « djihadisme français ».
     
     Des «nounous » pour les égorgeurs !
     
    Commandé par Valls au lendemain des attentats de janvier, ce rapport de 90 pages intitulé La déradicalisation, outil de lutte contre le terrorisme était censé apporter une réponse percutante au problème des djihadistes français. Mais, comme l’on pouvait s’y attendre, la trentaine de propositions formulées par Pietrasanta montrent que le gouvernement socialiste n’a pas pleinement réalisé que notre pays était en guerre.
     
    L’idée même d’une possible réinsertion de ces individus fanatisés au point d’avoir perdu toute notion de la valeur de la vie humaine, ayant pratiqué la décapitation à tours de bras et prêts à se faire exploser à la première occasion, montre à quel point nos élus sont à côté de la plaque. Mais avec Pietrasanta, l’affaire tourne à la farce !...
     
    Partant en effet du principe que les djihadistes français présentent des profils divers et que « la question religieuse est en réalité peu présente dans la radicalisation », le député socialiste préconise alors des réponses « au cas par cas » et un « suivi individualisé » des personnes concernées.
    Concrètement, Pietrasanta propose de « mettre en place un système de mentor à la danoise pour l’accompagnement des radicalisés ». Certains étant traités en milieu ouvert par des équipes de psys, éducateurs et autres assistantes sociales. D’autres dans un centre de déradicalisation tourné vers la réinsertion, avec une réponse pluridisciplinaire pour répondre à des parcours de vie où les individus sont « en rupture avec leur famille, la société, et (…) en quête de reconnaissance ». Les plus dangereux, enfin, allant en prison, dans de nouveaux quartiers dédiés où serait proposé « un programme de déradicalisation spécifique pour chaque détenu », supposant une meilleure formation du personnel pénitentiaire et des aumôniers musulmans sic.
     
     Il faut surtout empêcher leur retour
     
    Enfin, le rapporteur de la loi antiterroriste précise qu’« un contre-discours (…) doit être porté par des associations ou des acteurs publics reconnus et sur lesquels la jeunesse peut  s’identifier ». Un « contre-discours » totalement improbable dans un pays qui se refuse obstinément à désigner l’ennemi et ne cesse de crier à l’amalgame, Hollande en tête…
     
    Bref, des propositions qui, non contentes d’être totalement irréalistes, seraient aussi, si elles étaient mises en œuvre, très coûteuses pour les Français qui ne souhaitent pas voir revenir chez eux des gens qui n’ont rien à y faire.
     
    Lutter contre ces ennemis de notre pays, c’est en effet d’abord les déchoir de la nationalité française ( qu 'ils n' auraient jamais dû avoir ...) , leur interdire de poser le pied sur le sol national, et par conséquent rétablir nos frontières et la peine de mort.