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  • Éducation. Les franc-maçonnes Najat Vallaud-Belkacem et Laurence rossignol veulent arracher les enfants aux familles avant 3 ans !

     

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     Najat Vallaud-Belkacem et Laurence Rossignol ont annoncé lundi 4 avril 2016 une campagne d’information destinée aux familles, afin d’augmenter la scolarisation des enfants de moins de 3 ans. « Ces scolarisations progressent moins vite que prévue dans les zones en difficulté » a déclaré Mme Belkacem, ministre de l’Éducation nationale. « Toutes les études nous démontrent à quel point la scolarisation précoce est gage à la fois d’une meilleure acquisition du langage, d’une meilleure sociabilité pour les enfants, d’un meilleur développement psychomoteur, notamment » lorsqu’ils « viennent de milieux sociaux défavorisés« , a-t-elle souligné.  Najat Belkacem peste car la scolarisation des enfants de moins de trois ans a été divisée par trois sous la mandature de Nicolas Sarkozy (11% en 2012), tandis que le gouvernement de François Hollande veut atteindre 30% en éducation prioritaire et 50% en REP+.

    « C’est une hérésie » nous confie un pédiatre. « Les enfants ont besoin de dormir, d’avoir un rythme paisible, et cela, seule une éducation à la maison dans les premières années de vie peut l’offrir . Les générations crèche, générations école à 3 ans, sont des générations fatiguées dans des années de construction fondamentales ».

     « Jusqu’à 3-4 et même 5 ans, les enfants sont faits pour être aux côtés de leurs parents, à la maison. Mais encore faudrait il que ce gouvernement comme les autres qui lui ont succédés fassent quelque chose pour aider les familles, et pour revaloriser le rôle de mère ou de père en foyer. » nous confie Stéphanie, qui élève 4 enfants « qui vont à l’école à partir de la Grande section ou du CP ». « Ils veulent tuer la famille, arracher les enfants dès le plus jeune âge aux familles pour pouvoir les contrôler dès le début. C’est honteux.». Et qu’on ne lui parle pas des difficultés financières : « j’ai élevé mes 4 enfants, mon mari travaillait. Ca n’était pas facile tous les jours, on se serrait la ceinture, mais nous y arrivons (NDLR : le dernier a 3 ans). Un salaire parental pour inciter l’un des deux parents à rester à la maison, voilà qui relancerait la natalité, et qui permettrait d’apporter un début d’éducation sereine à ses enfants. Ils n’appartiennent pas à la République ! ». 

    Stéphanie fait partie de ces millions de Français qui n’ont pas envie de scolariser tôt leurs enfants. « Beaucoup de familles rechignent à envoyer leurs enfants si tôt à l’école » déclare Mme Belkacem , qui jusqu’en 2011 faisait partie du «Conseil de la communauté marocaine de l’étranger» (CCME) et qui a aujourd’hui entre les mains la scolarisation des petits Français.

    Une campagne d’information sera déclinée en plusieurs langues (?) pour convaincre les familles. Il est vrai que dans les familles immigrées, traditionnelles, les enfants quittent assez tard le cocon familial pour l’école. « Ils doivent d’abord apprendre à la maison, puis savoir bien se comporter, avant d’aller à l’école » nous dit Djamila, de Nantes , qui porte en horreur la ministre de l’Éducation nationale : « elle est dangereuse. Elle veut couper tous les liens avec les familles, tous les liens naturels de l’homme et de la femme, elle veut tout casser. Je ne suis pas d’accord », explique-t-elle, en rappelant également que la ministre avait pris position pour la théorie du Gender ou pour le mariage et l’adoption par les homosexuels. « Je ne veux pas que mes enfants apprennent cela. Ca n’est pas bien ! ».

    Pour développer la préscolarisation, le ministère a créé 1.100 postes de professeurs des écoles ! ... La scolarisation des enfants de deux ans suppose aussi des investissements de la part des mairies pour accueillir ces très jeunes enfants dans des locaux adaptés, par exemple à la sieste, ainsi que l’embauche d’Atsem, des agents territoriaux qui aident les instits dans les classes.

    Écoeurés par la politique gouvernementale en matière d’Éducation nationale, navrés par le naufrage scolaire de générations sacrifiées sur l’autel de l’idéologie, nombreux sont les parents d’élèves qui misent désormais tout sur les écoles indépendantes hors contrat, ou qui enlèvent tout simplement leurs enfants du système scolaire de la République.

    L’offensive menée par Najat-Vallaud Belkacem ne risque pas de freiner ce mouvement de défi. D’autant que sur un autre sujet, les récentes consignes données au rectorat sur la formation des Professeurs et Directeurs au soutien à l’immigration dans les écoles  avec le soutien des USA laissent clairement entrevoir une manipulation idéologique et politique des enfants, au sein même du système censé leur apporter les savoirs fondamentaux.

     

  • Avec Belkacem, l' Education Nationale continue encore plus à déstructurer les esprits .

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    Il aura fallu vingt morts pour exhumer un peu de bon sens d’un fatras idéologique imbécile. Enfin, plutôt pour annoncer que désormais, c’est promis, finies les bêtises, terminées les absurdités, on restaure l’autorité à l’école, nom d’un chien ! Papa ne porte plus de robe, Fifille ne joue plus avec des chars d’assaut ou des haltères de musculation et Fiston, juché sur des talons hauts, arrête de se gribouiller de mascara.
     
    Comment une classe politique entière, Belkacem et Rossignol en tête, a-t-elle pu vouloir imposer leurs inepties, que seule une caste « hors sol » peut défendre. Qu’elles aillent dans les campagnes, dans la France profonde, celle dont le sang des aïeux abreuve les sillons de l’Histoire. Qu’elles aillent demander en Vendée, dans le Massif Central, chez les Savoyards des Glières ou d’ailleurs, dans les villages du Chemin des Dames, enfin partout où est la vraie France, si le souci du temps présent consiste à demander à des petites filles, à qui l’on n’enseigne ni à parler, ni à lire ni à compter, si elles ne préfèreraient pas, après tout être des garçons ! Ou à convaincre des petits garçons que l’utilisation de leur zizi prime sur les apprentissages élémentaires.
     
    Ah ! Les garnements ne veulent pas chanter la Marseillaise ! Mais, c’est pas bien du tout, ça ! C’est pas « citoyen » ! Oh, les pauvres choux ! Jusqu’à présent, on s’est interdit de les réprimander ! Vous pensez, une punition ! Pas bien du tout ! Pas compatible avec les valeurs de la République !
     
    Et il a fallu un double attentat islamiste pour prendre un tout petit peu conscience de l’absurdité de la direction prise par l’école, alors qu’un nombre croissant de gens sensés tirent le signal d’alarme depuis des années.
    Et la mini-ministre de constater : « La question de l’autorité à l’école se pose. ».
    Quelle candeur ! A-t-elle trouvé cela tout seule ou le lui a-t-on soufflé ?
    Elle découvre l’eau tiède, le fil à couper le beurre.
     
    On a tout fait pour ne rien enseigner aux enfants et on est tout choqué de voir que l’on a réussi, que nos élèves, ou du moins certains d’entre eux, se foutent complètement du prof, de l’école, du contenu, de ce qu’il faut savoir pour être un adulte responsable. Qu’ils n’ont pas la plus petite notion de politesse élémentaire – se lever lorsque le prof entre en classe, vous n’y pensez pas ! c’est traumatisant –, qu’ils n’imaginent même pas qu’ils aient à apprendre le B. A. BA de la vie en commun. Alors on fait mine de s’effaroucher : « Y’a plus d’autorité » ! Oh ! le désastre ! Et le coup des gommettes de couleur pour remplacer les notes, cela ne remonte quand même pas à Mathusalem : elle est mouillée jusqu’au coup dans cette imposture, notre brillante et émérite ministre. Au passage, jamais une fonction n’a mieux porté son nom : ministre… même racine que minus !
    Alors on va corriger le tir : des cours de morale, des cours d’histoire des religions, des cours de laïcité, des cours de ceci…, des cours de cela… Et on croit que cela va changer les choses !
     
    Une suggestion : si l’on en revenait aux bonne vieilles bases : parler (avec plus de quatre cent mots), écrire (en évitant cinq fautes d’orthographe ou de syntaxe par ligne), apprendre par cœur (les fables de La Fontaine, par exemple) et compter (sans calculette). La refondation de l’école n’est pas une révolution des méthodes ; elle ne devrait pas non plus consister à tirer à vue sur des enfants que les parents peuvent aider – les fameux enfants « favorisés » ! – en déployant tout l’énergie nécessaire pour que tout le monde se retrouve au sous-sol de la connaissance élémentaire, sinon, « y’ a pas d’égalité ! ». La vraie refondation, celle qui est inéluctable, consiste à jeter au feu toutes les idioties qui ont gâché des générations d’élèves, qui ont fait plonger la France au plus bas de tous les classements internationaux, qui montrent, aujourd’hui, à la grande surprise des responsables du dossier, leur échec patent. Dans cette grande lessive, on pourrait également demander des comptes à tous ces fonctionnaires, hauts ou moins hauts, qui, sans l’ombre d’une esquisse de légitimité, ont influencé, dirigé, et finalement imposé cette désastreuse politique menée à marche forcée depuis des décennies par des cohortes de ministres impuissants à faire valoir le plus élémentaire bon sens.
     
    Aujourd’hui, la seule entreprise française qui résiste à la crise, c’est « la Fabrique du crétin », chère à F. Brighelli.