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Pour une France forte et Catholique - Page 3

  • L’ensauvagement de la France avec la complicité des juges et des politiques .

     

    L'ensauvagement de la France, par Georges Fenech, éditions du Rocher

    Georges Fenech vient de publier aux éditions du Rocher un nouveau livre intitulé L’ensauvagement de la France et sous-titré La responsabilité des juges et des politiques. Georges Fenech est bien placé pour évoquer cette responsabilité puisqu’il est ancien juge d’instruction et député honoraire. Il fait d’ailleurs en préambule son autocritique, estimant n’avoir pas réussi à réveiller les torpeurs, ni suffisamment dénoncé les utopies des militants de l’abolition de la prison et des frontières, et n’avoir pas débusqué les beaux esprits toujours prêts à excuser l’inexcusable. Il constate l’échec de l’intégration et les dégâts que crée la repentance coloniale. Il dénonce aussi les “juges révolutionnaires” qui ont délibérément décidé d’avoir un préjugé favorable “pour le voleur contre la police”. Le Syndicat de la Magistrature est particulièrement visé.

    1.500 cités de non-droit et le laxisme des juges rouges

    Ce livre dresse un état des lieux catastrophique, soulignant l’explosion de la criminalité violente et fournissant des données chiffrées : quelque 1.500 cités de non-droit en France, dans lesquelles les caïds de la drogue font régner leurs lois, une délinquance juvénile aujourd’hui imputable en grande part aux mineurs non accompagnés, d’origine étrangère, qui remplissent jusqu’à 50 % certaines prisons pour mineurs. Ils étaient 2.500 en 2005 et déjà 30.000 en 2019. Selon le procureur de Paris, Rémi Heitz : “Une minorité de MNA commet des délits, principalement des vols et des cambriolages, à une fréquence très élevée et pose de très sérieux problèmes d’ordre public dans les quartiers où ils s’installent, car ces mineurs sont fréquemment armés et polytoxicomanes”.

    George Fenech rappelle une évidence : juges et politiques, si préoccupés par le sort des clandestins et délinquants, ne se posent jamais de questions sur leur propre responsabilité dans le sort tragique de Lola, Samuel Paty et tant d’autres victimes de la barbarie en provenance d’autres rives. Combien de morts auraient pu être évitées par une politique migratoire maîtrisée et une justice répressive réarmée ?

    L’ensauvagement de la France, Georges Fenech, éditions du Rocher, 216 pages, 17,90 euros

    A commander en ligne sur le site de l’éditeur

  • Inde : barbarie antichrétienne (viols, meurtres, profanations) à Manipur .

     

    Inde, violences et barbarie antichrétiennes à Manipur

    La barbarie qui frappe les chrétiens dans l’État de Manipur, dans le nord-est de l’Inde, a atteint son paroxysme après que plusieurs femmes chrétiennes ont été exhibées dénudées puis violées par des foules hindoues.

    Ces faits ne semblent pas intéresser les médias occidentaux ! La cruauté des événements des derniers jours devrait pourtant susciter l’émoi partout dans le monde.

    Des images vidéo horribles de deux femmes chrétiennes, âgées de 20 et 24 ans, les vêtements arrachés, exhibées nues, molestées et ensuite violées collectivement par des hindous radicaux armés de couteaux et de bâtons sont devenues virales la semaine dernière sur les réseaux sociaux. Les faits datent en fait du 4 mai dernier et ne sont qu’un épisode ignoble parmi d’autres de l’incroyable violence qui frappe régulièrement les populations chrétiennes du Manipur.

    Des témoignages d’un pasteur de la région font état d’au moins six attaques au cours desquelles des femmes chrétiennes ont été martyrisées par des foules hindoues venues les “punir en les déshabillant, en les faisant défiler nues puis en les violant”.

    Les femmes violées appartiennent à la communauté Kuki, composée de plus de 20 sous-tribus et majoritairement chrétienne (les unes protestantes, les autres catholiques).

    Les agresseurs sont de l’ethnie Meitei et pratiquent l’hindouisme Vaishnavite.

    Dossier sur les femmes chrétiennes violées

    Un dossier obtenu par Church Militant contient les dossiers de 22 femmes victimes de viol, de torture, d’agression, d’incendie criminel et de meurtre.

    Parmi les victimes figurent Olivia Lhingneithem Chongloi, 23 ans, et Florence Nengpichong Hangshing, 25 ans, toutes deux employées dans un lave-auto, qui ont été violées par une foule Meitei après avoir été identifiées comme chrétiennes Kuki.

    Hekim et Helam Chongloi, deux sœurs célibataires dans la cinquantaine, ont elles été abattues dans leur jardin après que des hindous radicaux aient étranglé à mort leur mère aveugle et alitée.

    Une foule Meitei a battu à mort Thiandam Vaiphei, 45 ans, puis a brûlé son corps. Tongsing Hangsing (7 ans), Meena Hangsing (45 ans) et Lydia Lourembam (37 ans) ont été brûlées vives dans une ambulance par une foule de 2 000 personnes.

    « Les crimes odieux commis contre la communauté Kuki [chrétienne], le ciblage des femmes Kuki, l’utilisation du viol comme arme par les foules Meitei [hindoues] – tous perpétrés en toute impunité par ces groupes – ont été gardés silencieux et dissimulés par l’État », a déclaré le politologue Dr Kham Khan Suan Hausing au Guardian, un journal britannique de gauche.

    Même les nourrissons sont pris pour cible de la haine antichrétienne

    “Ce n’est que lorsque cette vidéo est devenue virale que cette tentative trop zélée de l’État pour contrôler le récit a finalement été révélée”, a déploré Hausing, professeur de sciences politiques à l’université d’Hyderabad.

    En termes de cruauté, même les nourrissons, les enfants, les personnes âgées et les infirmes n’ont pas été épargnés. Les images des attaques anti-chrétiennes sont ignobles. La barbarie est sans limite. Des agresseurs hindous se font filmer en train d’uriner sur les cadavres de leurs victimes. D’autres sont photographiés se promenant joyeusement avec une tête décapitée de chrétien. Des chrétiens ont été brûlés vivants. D’autres ont été étouffés dans des sacs de jute. L’imagination sadique est sans limite.

    Depuis que la violence anti-chrétienne a éclaté en mai, plus de 130 personnes ont été tuées et 400 blessées. Plus de 60 000 personnes ont été forcées de quitter leur domicile alors que l’armée, les forces paramilitaires et la police luttent pour réprimer la violence.

    Au moins 300 églises ont été incendiées et démolies par des gangs hindous Meitei, ce qui a conduit les évêques catholiques et d’autres dirigeants de l’Église à conclure que la violence est principalement religieuse et non ethnique, comme le prétendent les médias laïques.

    L’évêque met en garde contre la persécution à l’échelle nationale

    L’archevêque d’Imphal, Dominic Lumon, a noté que “les attaques à motivation religieuse sont un fait indéniable” puisque “chacun des plus de 200 villages Kuki a vu une ou plusieurs églises attaquées”.

    “La crise à laquelle sont confrontés le peuple et l’église de Manipur n’est pas un incident isolé”, mais doit être considérée dans une perspective plus large de “préoccupation pour les minorités en Inde”, a ajouté Mgr Lumon, faisant référence à la persécution généralisée des chrétiens sous le gouvernement hindou radical dirigé par le Premier ministre Narendra Modi.

    Des églises catholiques incendiées à Manipur

    Selon la Commission des évêques catholiques du Kerala, qui a mené une enquête sur les émeutes du Manipur, la violence sectaire avait été “bien orchestrée” et “ciblait la tribu Kuki”, dont 90% sont chrétiens.

    “Aujourd’hui, il n’y a presque plus d’église qui soit encore debout dans la vallée d’Imphal, à l’exception de quelques-unes de celles où les tribus non-Zomi-Kuki vont pour le culte. C’est certainement la première fois dans l’histoire de l’Inde que tant de lieux de culte ont été vandalisés, incendiés ou démolis”, a déclaré le Samast Christi Samaj dans un communiqué de presse.

    Pierre-Alain Depauw

     

  • Macron, l' homme de tous les désordres .

     

    C’est depuis la Nouvelle-Calédonie qu’Emmanuel Macron, au cours de son voyage en Océanie, a accordé une interview, le lundi 24 juillet, au journal de 13 heures de TF1 et de France 2 quelques jours après le remaniement de son gouvernement. Un exercice habituel d’autosatisfaction, de désinformation et de manipulation dans lequel le chef de l’Etat excelle.

    Ce qui est le plus frappant peut-être dans son intervention télévisuelle, c’est sa volonté de se grimer en garant de l’ordre ! ...

    Interrogé sur les émeutes qui ont mis le pays à feu et à sang plusieurs nuits durant après la mort d’un jeune délinquant maghrébin, Macron a martelé : « La leçon que j’en tire, c’est l’ordre, l’ordre, l’ordre ». A notre connaissance, c’est la première fois qu’un président de la République répète à trois reprises dans une même phrase le mot “ordre”. Le pire, c’est que cette façon de se déguiser en homme d’autorité, inflexible voire implacable, peut lui valoir un grand nombre de soutiens auprès d’électeurs naïfs et facilement manipulables. Dès qu’un homme public prétend représenter le parti de l’ordre, il bénéficie automatiquement de la sympathie voire de la confiance de millions de gens. Il y a une clientèle pour cela, des électeurs captifs. Le drame de la démocratie moderne, c’est qu’elle repose quasi exclusivement sur le magistère de la parole. Le verbe tient lieu d’action et les promesses valent réalisations.


     Macron se veut le garant de l’ordre alors qu’il est en réalité et par excellence l’homme de tous les désordres.

    Il a laissé toute une faune détruire, dévaster, incendier des quartiers entiers, du mobilier urbain, des commerces, des bâtiments publics, des voitures, des tramways, des autobus et il ose se dire attaché à l’ordre.

    Il prend le parti du délinquant contre le policier (sauf, précisons-le, quand il s’agit de gilets jaunes ou de Français défilant contre le “mariage” homosexuel), il promeut toutes les législations visant à la destruction de la société, de la famille traditionnelle, de la morale naturelle, veut constitutionnaliser « le droit à l’avortement » après avoir, l’année dernière, étendu de 12 à 14 semaines de grossesse le délai légal pour éliminer le fruit de ses entrailles, s’apprête à dépénaliser l’euthanasie active et le suicide assisté, a ouvert la procréation médicalement assistée aux lesbiennes et fait reconnaître les GPA (gestations pour autrui) réalisées à l’étranger, promeut par tous les moyens toutes les folies du lobby LGBTQI+, notamment la transsexualité, y compris et d’abord dans les écoles, afin d’avilir et d’affaiblir nos jeunes têtes blondes et crépues ..., il a transformé lors d’une fête de la musique l’Elysée en lupanar pédérastique, il a enlacé aux Antilles, de manière plus qu’équivoque, un prisonnier de couleur au torse nu, et il ose se prétendre le garant de l’ordre. Non, ce monde n’est pas le nôtre. Cet ordre n’est pas le nôtre. Il est celui du diable. Il est le désordre organisé, l’inversion institutionnalisée. Et ce dans tous les domaines.

    Les français n’ont vraiment rien à attendre de bon de Macron et de ses sbires. Le pire est probablement à venir. Et nul doute que le contribuable, taillable et corvéable à merci, va être mis à rude épreuve. Il lui faudra payer les milliards d’euros que va coûter la reconstruction de tous les biens et équipements détruits par les jeunes allogènes, ces fameuses « chances pour la France ». Il lui faudra en outre payer très cher l’électricité, nécessaire à tous les ménages. Le chef de l’Etat a en effet confirmé, lors de cet entretien télévisé, la fin progressive du bouclier tarifaire sur l’électricité qui se traduira, dès début août, par une hausse de 10 % de la facture d’électricité. Macron a déclaré cyniquement : « l’augmentation des prix de l’énergie, c’est une taxe de l’extérieur. Nous l’avons absorbé à hauteur de 40 milliards d’euros. C’est le contribuable qui finira par payer in fine »...


    Des articles récents dans la presse ont également indiqué que les pouvoirs publics entendaient réformer les droits de succession en aggravant fortement l’imposition, déjà très lourde, des héritages, officiellement dans une logique égalitaire. La vérité, c’est qu’il s’agit d’appauvrir et de déposséder les Français. On leur prend leur pays et logiquement on finit aussi par leur retirer leurs biens, le fruit de leur travail et des efforts de leurs devanciers. Ainsi la dépossession est totale. La guerre russo-ukrainienne a bon dos. Tout est fait pour nous détruire, nous paupériser, nous déposséder. Il faut être aveugle pour ne pas le voir !!