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  • Vers une légalisation prochaine de la PMA selon des critères Lgbt ?

     

    Avec Emmanuel Macron à la tête de la République française, le lobby Lgbt a de beaux jours devant lui pour faire avancer ses revendications. Des gages de soumission lui sont donnés à tout va.

    Premier tempo : samedi dernier, l’actuel hôte de l’Élysée a adressé un message de soutien à la communauté LGBT qui « marchait » lors de la GayPride parisienne pour revendiquer l’ouverture de la procréation médicalement assistée (PMA) « pour toutes, sans condition ni restriction »  ; deux de ses tout nouveau ministres Mounir Mahjoubi (Numérique) et Marlène Schiappa (Egalité femmes-hommes) marchaient dans ce cortège qui alternait entre mauvais goût et exhibitionnisme nauséabond ; un collectif représentant le parti du président actuel REM «En Marche – LGBT» était également de la partie fine.

    Deuxième tempo : hier mardi 27 juin, le Comité consultatif national d’éthique (CCNE) a donné le coup d’envoi pour légaliser la PMA (procréation médicalement assistée ) en se disant favorable pour les couples de femmes et les femmes célibataires en France. Cette pratique est aujourd’hui réservée en France aux seuls couples hétérosexuels dont l’infertilité est médicalement constatée.

    Pour asseoir son avis, le CCNE estime que, bien qu’il puisse y avoir des « conséquences pour l’enfant », un « risque de marchandisation accrue et des conditions de faisabilité« , « l’ouverture de la PMA à des personnes sans stérilité pathologique peut se concevoir pour pallier une souffrance induite par une infécondité résultant d’orientations personnelles ».

    Pendant la campagne présidentielle, Emmanuel Macron avait indiqué qu’il était favorable à l’ouverture de la PMA à toutes les femmes, comme le revendique la communauté arc-en-ciel, mais avait déclaré qu’il attendrait l’avis du Comité consultatif national d’éthique (CCNE).

    Le feu vert pour rouvrir le débat vient de lui être offert par un Comité d’éthique, créé par feu François Mitterrand, et idéologiquement formaté à gauche. C’est en effet le Président de la République qui nomme le président du CCNE pour une période de deux ans renouvelables. Les autres membres sont nommés pour 4 ans (renouvelable une fois) et renouvelés par moitié tous les deux ans : 5 personnalités appartenant aux « principales familles philosophiques et spirituelles » sont désignées par le Président de la République, 19 personnalités sont choisies pour « leur compétence et leur intérêt pour les problèmes éthiques » par les différents ministres en place, les 15 dernières personnalités appartiennent au « secteur de la recherche ».

    Marine Le Pen, la présidente du FN, s’est dite « opposée » à l’ouverture de la procréation médicalement assistée (PMA) à toutes les femmes, car « fabriquer des enfants sans père » est « éminemment négatif pour l’enfant en question » a-t-elle déclaré. Les débats à l’Assemblée Nationale sur cette question controversée éminemment anthropologique, qui ne peut se lire que dans la perspective transhumaniste des apprentis-sorciers d’un monde nouveau, vont être certainement houleux !

    Après la loi Taubira de dénaturation du mariage votée sous l’ère Hollande, l’ouverture de la PMA pour les couples de femmes, autre exigence individualiste des Lgbt, pourrait bien être légalisée sous l’ère Macron. D’ailleurs l’inter-Lgbt « se félicite » de l’avis du CCNE. La gauche sera toujours de tous les progrès anti-civilisationnels.

    La pression arc-en-ciel sur la société française se fait toujours plus pesante. Et l’avènement d’une «fabrication d’enfants» sans père toujours plus actuel.

    Francesca de Villasmundo

  • François de Rugy, nouveau président de l’Assemblée nationale, favorable à la légalisation du cannabis, de l’euthanasie, de la GPA,…

     

    L’aristocrate rouge François Goullet de Rugy est le nouveau président de l’Assemblée nationale.

    Président du parti écologiste, candidat à la primaire de la gauche pour la présidentielle de 2017, très éphémère soutien de Benoît Hamon avant de rapidement passer dans le camp d’Emmanuel Macron, François de Rugy est favorable à de nombreux projets mortifères.

    Le "noble rouge", ennemi des familles

    Défenseur du « mariage » homosexuel et de l’adoption d’enfants par des homosexuels. Par ailleurs, François Goullet de Rugy considère que l’avortement et la procréation médicalement assistée sont des « étapes dans l’émancipation des individus » !

    Il est partisan de la légalisation du cannabis, de l’euthanasie, du suicide assisté, de la procréation médicalement assistée et de la gestation pour autrui.

     

  • L’assemblée de Strasbourg est un des principaux foyers de subversion des mœurs et de la loi naturelle dans l’espace européen.

    Le 8 juin, le Parlement européen a voté par 321 voix pour et 281 contre, une résolution qui entre autres, vise à « encourager les états membres à promouvoir la PMA » (procréation médicalement assistée) en l’étendant à tous, dont les homosexuelles ! L’assemblée de Strasbourg apparaît une nouvelle fois comme le principal foyer de subversion des mœurs et de la loi naturelle dans l’espace européen.

    La résolution Noichl, du nom de l’élue sociale-démocrate qui l’a déposée, viole également le principe de subsidiarité qui, officiellement du moins, est celui de l’Union européenne. La famille, l’éducation, la santé, restent de la compétence des Etats, la PMA ne devrait donc pas être traitée par l’Europe mais celle-là le fait quand même grâce au cheval de Troie de l’égalité entre les sexes et au nom de la lutte contre les discriminations. Le rapport s’intitule : « la stratégie de l’Union européenne pour l’égalité entre les femmes et les hommes pour 2015-2020. »

    En réalité, ce que l’on veut imposer, c’est l’égalité de genres. Le mot « genre » revient 83 fois dans la résolution qui exhorte les Etats à développer « une stratégie anti-discrimination plus vaste et à établir une feuille de route distincte pour les personnes LGBTI », c’est-à-dire homosexuelles et transsexuelles. En conséquence, elle incite « à promouvoir la procréation médicalement assistée et à mettre un terme à la discrimination dans l’accès au traitement favorisant la fertilité et à l’aide à la procréation » .

    Certes, une résolution parlementaire n’est pas contraignante juridiquement mais elle est fortement incitative, elle indique aux Etats ce qu’ils devraient faire, sous peine de déroger à l’égalité et à se rendre coupables de « discrimination » : c’est le chantage au politiquement correct. C’est aussi un appui pour fonder les réclamations éventuelles de particuliers devant la Cour européenne des droits de l’homme.

    Le gouvernement français, lui, est acquis ! Il soutient à Strasbourg ce qu’officiellement il refuse à Paris ! En effet, Manuel Valls, par l’intermédiaire du Secrétariat général du gouvernement, a demandé, dans un courriel du 30 mars, aux députés européens français de voter en faveur de la résolution de Maria Noichl, alors que François Hollande a annoncé qu’il attendait, pour se prononcer sur la PMA pour les célibataires, l’avis du Comité consultatif national d’éthique !

    La résolution demande également de « remettre en question les stéréotypes et les structures, ainsi qu’à partager les exemples de bonnes pratiques visant à vérifier si le matériel pédagogique utilisé jusqu’à présent représente les rôles des femmes et des hommes de manière stéréotypée ». Les bonnes pratiques ayant remplacé les bonnes mœurs, il s’agit sans doute de censurer, d’expurger, d’interdire les livres scolaires qui ne seraient pas conformes à l’idéologie du genre. L’ Eglise catholique ayant renoncé à l’index, les élus européens vont-ils en restaurer un autre qui condamnera les instruments pédagogiques jugés sexistes ? Là-dessus, Marie Noichl peut compter sur la perverse marocaine Najat Vallaud-Belkacem qui est déjà à l’ouvrage...