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pma - Page 4

  • La France, championne de la culture de mort !

    Gay Pride, PMA, euthanasie de masse :

    Le vice et la mort à tous les étages de la République !

    LA CULTURE DE MORT ne connaît jamais aucune trêve, aucun répit, aucune pause.

    Alors que la cour d’appel de Paris avait ordonné le 20 mai la reprise de l’alimentation et de l’hydratation de Vincent Lambert, la cour de cassation, toutes affaires cessantes, a cassé sans renvoi l’arrêt de la cour le 28 juin. Cette célérité de la plus haute juridiction dans l’ordre judiciaire en France est sans précédent d’autant que les dix-neuf hauts magistrats, pour donner plus de force et de solennité à leur décision, se sont réunis en séance plénière. En moyenne la cour de cassation met un an environ, parfois plus, pour examiner un dossier et rendre sa sentence. De plus elle est censée ne se prononcer qu’en droit et non sur le fond mais l’on sait bien que tout cela est purement théorique et que les motivations et pressions politiques et idéologiques jouent un rôle prépondérant, surtout dans toutes les affaires dites sensibles. Chaque fois qu’il a fallu défendre le droit à la vie, la morale traditionnelle, chaque fois également qu’il s’est agi de résister à la police de la pensée (incitation à la haine raciale, contestation de crimes contre l’humanité), les juges de casse ont toujours été dans le sens du vent et des puissants du moment. 

    La Fontaine l’avait déjà édicté en son temps : « Selon que vous serez puissant ou misérable, les jugements de Cour vous rendront blanc ou noir ». Cette maxime n’a jamais été si vraie aujourd’hui. Il ne faut pas compter sur l’héroïsme, la force de conviction et de caractère des juges en général, et des juges de casse en particulier, pour résister aux puissances de ténèbres. Au contraire. Les plus hautes juridictions françaises (Conseil d’Etat, Cour de cassation) et européennes (Cour européenne des droits de l’homme) ont toutes donné le permis de tuer Vincent Lambert, et à travers lui, et après lui, tous les handicapés, accidentés, les personnes faibles ou que la vie a éprouvées. Ce n’est pas étonnant : ces mêmes juridictions n’ont jamais rien trouvé à redire à l’avortement de masse, non plus qu’à toutes les revendications du lobby LGBT. La justice en Occident est objectivement au service de coteries qui organisent la submersion et la subversion de notre pays, de notre continent, de notre civilisation, leur invasion de l’extérieur et leur dissolution à l’intérieur.

     

    QUELQUES HEURES seulement après cet arrêt de la cour de cassation qui ouvre la voie à l’euthanasie de masse (mieux vaut ne pas perdre, même provisoirement, l’usage de la parole, si l’on ne veut pas être liquidé par des médecins qui foulent au pied le serment d’Hippocrate), Sodome et Gomorrhe défilaient dans les rues de Paris. Le 29 juin, jour de la Saint Pierre et Saint Paul, la faune homosexualiste défilait dans Paris, en réclamant toujours plus de droits, toujours plus de faveurs.

    En vingt ans, le lobby LGBT a tout obtenu : le détestable Pacs en 1999 qui a ouvert la boîte de Pandore, la loi créant un délit d’homophobie en 2004 permettant de museler et de condamner tous ceux s’opposant aux folies du lobby LGBT, le “mariage” et l’adoption pour les invertis. Mais cela ne suffit pas à cette coterie : elle veut l’ouverture de la procréation médicalement assistée (PMA) aux lesbiennes et la gestation pour autrui (GPA) pour les pédérastes. Elle veut tout et agit au moyen de la menace et de l’intimidation, à l’instar d’un autre lobby puissant et nocif : « Sortez nos sexes de vos états-civils », « Nos enfants (sic !) vont bien », « Filiation, PMA : marre des lois a minima » indiquaient des écriteaux brandis par les manifestants. 

    La communauté arc-en-ciel n’a rien à craindre : le gouvernement obtempérera à ses exigences, comme il se plie docilement aux diktats du CRIF. Le projet de loi bioéthique, qui doit être adopté en juillet par le Conseil des ministres, sera examiné par les députés fin septembre, afin qu’il soit voté et qu’il entre en vigueur avant la fin de l’année. Il faut aller vite pour démanteler le peu qui reste encore de morale et de bon sens dans ce pays.

    Hollande avait été mis en place pour mener à bien le “mariage” inverti, ce qu’il fit un an à peine après son accession à l’Elysée, et pour mettre en œuvre un délit d’entrave numérique à l’IVG, qui lui, pour le coup, avorta si nous osons dire, Macron est là pour poursuivre, amplifier et conduire à son terme le démantèlement du droit de la famille et de la défense de la vie en ouvrant la PMA aux lesbiennes et en légalisant l’euthanasie — tant voulue depuis quarante ans par son mentor Jacques Attali — à la suite de la jurisprudence Vincent Lambert. C’est pourquoi le procureur général près la Cour de cassation, le fade et catastrophique François Molins, a, sur ordre du gouvernement, tout fait pour que l’on puisse au plus vite casser l’arrêt de la cour d’appel qui avait ordonné la reprise de l’alimentation et de l’hydratation après que fut visionnée une vidéo où l’on pouvait voir que Vincent n’était nullement le légume que l’on prétendait qu’il fût. 

     

    IL Y a une grande cohérence dans l’attitude des pouvoirs publics depuis des décennies : de même qu’ils favorisent par tous les moyens l’invasion de notre pays et participent activement au Grand Remplacement par des populations venues d’ailleurs et que rien ne rattache à notre pays et à notre civilisation, ils œuvrent chaque jour à l’avilissement, à l’abêtissement et à l’anéantissement de notre peuple.

    Par la contraception, l’avortement et la pornographie de masse. Par la propagande droit de l’hommiste, holocaustique et homosexualiste qui démantèle nos défenses immunitaires, fait perdre le sens commun et pousse à des pulsions suicidaires, à une haine de soi, de son passé, de ses racines, de l’être historique de la France, de l’Europe et de l’Occident. Jamais sans doute nous n’avons dû faire face dans notre histoire à un ennemi aussi retors, aussi puissant, aussi vil, aux méthodes et à l’état d’esprit aussi contre-nature. 

    Ce sont en effet les propres dirigeants de notre pays dont la mission est en principe de protéger, de sauvegarder notre peuple, de veiller à son intégrité physique et morale, de répondre à ses préoccupations et de l’aider à s’accomplir qui l’assassinent chaque jour un peu plus, creusent sa tombe, clouent son cercueil sans même lui offrir fleurs et couronnes.

    C’est une mort muette, silencieuse, sans bruit. Il y a plusieurs moyens de tuer un peuple : on peut le faire directement, mais aussi de manière plus insidieuse, plus pernicieuse. Un génocide peut se réaliser par persuasion, par suggestion mentale, par abâtardissement des intelligences et des cerveaux, par abaissement des volontés et des caractères, par anesthésie des cœurs et des âmes, par bouleversement des mœurs et des mentalités, par intrusion dans les consciences, par altération du bon sens. Et dans ce domaine l’école et les grands médias jouent un rôle essentiel, mortifère. C’est à chacun d’entre nous qu’il appartient chaque jour, patiemment, fermement, d’opérer notre délivrance et d’édifier des résistances. Mentales, intellectuelles, spirituelles. En nous et autour de nous. Pour tenir debout jusqu’au bout dans les ruines et les ténèbres qui nous entourent.

  • La PMA au parlement avant l’été .

     

    On sait Marlène Schiappa, la secrétaire d’État à l’Égalité femmes-hommes du gouvernement Macron, acquise à la déstructuration des générations futures sous la pression du lobby Lgbt.

    Dans un entretien au Parisien, elle a confirmé que la PMA, la procréation médicalement assistée pour toutes les femmes, c’est-à-dire tout spécialement pour les duos de lesbiennes infertiles à cause de leurs mœurs contre-nature, “sera mise à l’agenda avant cet été”

    “La parole qui compte est celle du président de l’Assemblée nationale, Richard Ferrand. C’est lui qui a la main sur le calendrier parlementaire  (…)  Il tiendra cet engagement du président de la République” a-t-elle affirmé en soulignant ainsi qu’il n’y aura pas de report des débats.

    La Gaystapo est En Marche

    Francesca de Villasmundo

     

  • Le pouvoir macroniste LGBT est en guerre contre les familles !

    Si l'on avait annoncé à des générations de Poilus que les députés français voteraient officiellement en 2019 la suppression du père et de la mère des formulaires administratifs des écoles, soit ils auraient cru à une plaisanterie de mauvais goût, soit ils seraient devenus fous. C’est pourtant bien ce que la représentation nationale a acté : les père et mère disparaissent au profit de parent 1 et de parent 2 !

    C’est là une nouvelle étape, et elle est décisive, dans la mise en œuvre méthodique et systématique d’une tyrannie LGBT.

    Il n’est en effet pas excessif d’affirmer que l’Etat macronien est un pouvoir ouvertement pédérastique et contre-nature.

    A peine élu, Emmanuel Macron rédigeait un communiqué officiel de la présidence de la République pour approuver et encourager la Gay Pride...

    Déjà soutenue par la mairie de Paris et le conseil régional d’Ile-de-France, cette manifestation des fiertés homosexuelles est officiellement parrainée par l’Elysée depuis 2017. Et l’année dernière, au moment de la Gay Pride 2018, les murs de l’Assemblée nationale ont été recouverts par de larges banderoles arc-en-ciel de la communauté LGBT. Le symbole était fort : cela signifiait que la République faisait corps avec la communauté homosexuelle et ses revendications les plus maximalistes, que la représentation nationale tout entière, loin de défendre la famille traditionnelle et de promouvoir la natalité française, glorifiait les inversions et se reconnaissait en elles. D’ailleurs, au même moment, Macron transformait l’Elysée en lupanar pédérastique en accueillant, lors de la fête de la musique, des danseurs noirs LGBT clamant sur leurs maillots : « Fils d’immigré, noir et pédé ». Trois mois plus tard, comme pour se faire bien comprendre, Macron enlaçait des délinquants de couleur, torses nus, aux Antilles, et se faisait photographier avec eux, les prisonniers faisant ostensiblement un doigt d’honneur !

     

    On aurait cependant tort de croire que Macron est à l’origine de ce renversement. Voilà vingt ans au moins que les pouvoirs publics, de “droite” comme de gauche, cèdent aux revendications du lobby LGBT, lui-même appuyé par les cénacles mondialistes (ONU, Conseil de l’Europe, Parlement européen, Cour européenne des droits de l’homme…) qui veulent ainsi détruire ce qui reste de société et de morale traditionnelle et bâtir un monde fondé sur le nomadisme, le sans-frontiérisme, l’absence de toute racine et de toute identité ethnique, sexuelle et religieuse. 

    A l’instar du lobby immigré et du lobby juif, le lobby LGBT a procédé, pour avancer, selon la technique du voleur chinois qui consiste à déplacer de manière presque imperceptible un objet jusqu’à ce qu’il disparaisse.

    Tout a vraiment commencé avec le PACS, le Pacte civil de solidarité en 1999. Accorder des droits sur le plan fiscal, successoral et patrimonial à des paires homosexuelles choquait alors à juste titre une large partie de l’opinion. Traditionnellement l’Etat accordait un certain nombre de droits et de facilités aux familles parce que le mariage assurait le renouvellement des générations et donc la préservation, la continuation voire le développement de la société. Il n’en va pas de même pour des invertis dont l’activité ne débouche pas sur de nouvelles naissances. Ce qui en sort n’ira jamais en maternelle ! 

    C’était donc une folie, en plus d’être une profonde immoralité, de légiférer en faveur de ces marginaux. Mais pour rassurer les récalcitrants, on prit soin de mentir en affirmant que jamais le PACS ne déboucherait sur le “mariage” homosexuel car le mariage, répétait-on, c’est l’union d’un homme et d’une femme.

    C’est alors ce que clamait à l’Assemblée nationale le ministre de la Justice de l’époque, la socialiste Elisabeth Guigou. On sait ce qu’il est advenu de ces belles déclarations.

    En 2013 le “mariage” inverti fut voté, promulgué et appliqué dans les 36 000 mairies de France et l’on s’apprête à autoriser, cet été, la procréation médicalement assistée (PMA) pour les lesbiennes, le comité national d’éthique (interdit de rire !) ayant donné son feu vert, avant d’autoriser officiellement la gestation pour autrui, la GPA, comme nous y invitent fortement le présentateur gay Marc-Olivier Fogiel qui a même écrit un livre particulièrement glauque sur la question et l’humoriste ratée et invertie Muriel Robin qui a depuis longtemps dépassé la date de péremption ! 

    On avait agi de la même manière pour l’avortement, officiellement limité aux cas de détresse en 1975 et précédé d’un entretien préalable dissuasif, et qui est aujourd’hui considéré comme un droit élémentaire et fondamental, une inestimable conquête de la femme, le gage de son émancipation et de sa liberté, un nouveau droit de l’homme, une des religions de la République comme en témoigne la panthéonisation de Simone Veil.

     

    Pour être sûrs d’avoir gain de cause et de ne connaître aucun obstacle sur ce chemin de perdition, les pouvoirs publics ont fait voter en 2004 un délit d’homophobie qui interdit dans les faits toute critique véritable de l’homosexualité, ce qui paralyse les adversaires du lobby LGBT.

    Cette loi Perben, du nom du ministre de la Justice de l’époque, décidée par un gouvernement (Raffarin) et un président (Chirac) dits de droite, comme ce fut déjà le cas de la loi Veil sous Giscard et Chirac, condamne en effet à un an de prison ferme et à 45 000 euros d’amende, soit à la même peine que le révisionnisme historique (loi Gayssot) et les discriminations raciales, nationales ou religieuses (loi Pleven), les propos, écrits ou considérations “homophobes”.

    De même qu’avec la loi Neiertz en 1993 créant un délit d’entrave à l’IVG, on avait interdit les manifestations et prières de rue à proximité des avortoirs (on sait que le docteur Dor a été condamné à 10 000 euros d’amende pour avoir seulement apporté pacifiquement des chaussons de bébé au Planning familial !), de même qu’il a été question d’instituer un délit d’entrave numérique à l’IVG pour interdire les sites et les argumentaires s’opposant à l’avortement, de même la création d’un délit d’homophobie qui date déjà de quinze ans a considérablement facilité la tâche du lobby LGBT et permis d’intimider, de neutraliser ou de faire condamner ses opposants. L’accusation d’homophobie fonctionne comme celle de racisme et d’antisémitisme : elle est un rayon paralysant, un gaz incapacitant, une arme de guerre d’une violence inouïe qui tue socialement, professionnellement, médiatiquement, politiquement. 

     

    Plus l' on nous parle de dialogue et de débats, moins il est possible de penser et de s’exprimer librement, moins il est permis de défendre le bien, le beau, le vrai !

    Il ne s’agit pas de débattre rationnellement entre gens civilisés, il s’agit sans cesse d’accuser l’autre d’être un affreux réactionnaire, un ennemi des libertés, un sexiste, un raciste, un antisémite, un homophobe, qui ne mérite donc pas d’avoir droit à la parole et dont le propos est par avance disqualifié. On utilise la violence et le mensonge pour discréditer le contradicteur. Ce sont des procédés détestables, soviétoïdes, mais qui hélas sont systématiquement utilisés en Occident pour détruire la société traditionnelle et faire triompher une révolution arc-en-ciel, mondialiste, nomade. 

    Ces principes dissolvants, destructeurs et mortifères tirent leur origine de la philosophie des Lumières, de la déclaration des droits de l’homme et ont été réactivés et aggravés à Nuremberg en 1946. Maurice Bardèche l’avait bien compris qui, dans son monumental et prophétique Nuremberg ou la Terre Promise, paru en 1948 et qui lui valut une condamnation à un an de prison ferme (déjà !), écrivait ainsi lumineusement : « Nous vivions jusqu’ici dans un univers solide dont les générations avaient déposé l’une après l’autre les stratifications. Tout était clair : le père était le père, la loi était la loi, l’étranger était l’étranger. On avait le droit de dire que la loi était dure, mais elle était la loi. Aujourd’hui ces bases certaines de la vie politique sont frappées d’anathème. Car ces vérités constituent le programme d’un parti raciste condamné au tribunal de l’humanité. En échange, l’étranger nous recommande un univers selon ses rêves. Il n’y a plus de frontières, il n’y a plus de cités. D’un bout à l’autre du continent, les lois sont les mêmes, et aussi les passeports, et aussi les monnaies ». Plus d’un demi-siècle à l’avance, Bardèche avait prévu la suppression de notre monnaie nationale, de nos frontières nationales, des distinctions entre l’étranger et le national et la suppression de la notion de père. Qui a dit que dans notre camp il n’y avait pas de grands esprits et de grands visionnaires ?