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  • Islamisme, PMA, GPA: Macron est le grand fossoyeur de la france .

    GPA, Goulard, Syrie, tuerie à Paris : le chaos est là, mais Macron s’accroche !

    La débâcle est totale. Mais elle n’est pas seulement sociétale, économique, elle est aussi profondément politique. Le cas Castaner — que son patron ne parvient pas à limoger ; vous avez bien lu « ne parvient pas » et non« ne se décide pas à… » —, lequel constitue en soi un scandale dans le scandale, le premier étant celui de la tuerie islamiste dans le saint des saints de la Préfecture de police de Paris, le second le maintien du ministre de l’Intérieur dans ses fonctions. Il ne s’agit d’ailleurs pas simplement de perdre la face, le fiasco de la désignation de Sylvie Goulard au poste de commissaire européen y a largement suffi, mais de savoir par qui le remplacer. Mais était-il prudent de présenter à cette fonction une politicienne compromise dans l’affaire des emplois fictifs du Modem de Bayrou au Parlement européen où avaient été embauchés, semble-t-il en toute illégalité, des assistants parlementaires travaillant en réalité pour le parti centriste ? Mais, par ce cinglant camouflet, n’a-t-on pas voulu aussi faire payer à Macron dans certains cercles européo-atlantistes bruxellois son attitude relativement modérée à la fois à l’égard de l’Iran et de Poutine qu’il a reçu cet été avec tous les égards dus à son rang ?

    Le remplacement de Sylvie Goulard ne s’annonce en tout cas pas des plus faciles. Il avait déjà fallu trois semaines pleines pour dénicher ce M. Castaner et le faire succéder au démissionnaire Gérard Collomb. Pensons en outre à cette bécasse, Nathalie Loiseau, tête de liste de la République en marche aux élections européennes. En réalité Macron évolue au milieu d’un vide humain sidéral. C’est d’ailleurs l’une des caractéristiques de notre époque que la raréfaction des hommes de qualité et compétents dans leur domaine, d’où la détérioration et la dégradation constantes des services, du monde du travail, des fonctions de direction.

     

    Pauvre monsieur Castaner qui enfile bourde sur bourde, qui s’essaye avec si peu de succès à raconter des mensonges aussitôt démentis par les faits. Pour rappel : des Gilets Jaunes attaquant le service de réanimation de l’hôpital de la Pitié-Salpêtrière le 1er mai dernier. Infox immédiatement relayée par les grands professionnels de la presse donneuse sempiternelle de leçons, jusqu’à ce pauvre garçon (Mickaël Harpon) brocardé par ses collègues en raison de son déficit auditif. En vérité, nous dit-on, un fonctionnaire modèle depuis deux décennies, âgé de quarante-cinq ans, père de deux enfants, habilité « secret défense » (ce qui n’est pas rien) et « très apprécié de ses collègues… Il faisait partie des murs » [leparisien.fr3oct19] qui cependant aurait « pété les plombs » ce fatal jeudi 3 octobre à la Préfecture de Police et trucidé au couteau de cuisine quatre de ses collègues dont deux à l’intérieur des locaux de la Direction du renseignement… et dans des conditions peu claires, chaque bureau étant en principe isolé des autres par des portes closes avec code d’accès. Ce qui pose la question d’éventuelles complicités.

     

    Castaner qui — prenant le Français de base pour plus bovinisé qu’il n’est — nie grossièrement l’évidence et joue la surprise, déclare froidement que le surineur « n’avait jamais manifesté de difficultés comportementales, ni le moindre signe d’alerte », la faute à pas de chance en quelque sorte ! Toujours aussi bien inspiré, le ministre ira froidement jusqu’à évoquer un « dysfonctionnement » des services qui n’auraient pas les outils nécessaires pour identifier « les signaux faibles » annonciateurs du grand raptus. Difficile néanmoins de faire mieux dans l’euphémisme édulcorant ! Quelques jours plus tard, gonflant le jabot, Castaner fera interdire, in extremis — la veille — la très indécente manifestation qu’un citoyen 2.0 avait organisée pour la réhabilitation du tueur, victime de discrimination en raison de sa surdité… Après que le préfet du Val-d’Oise eut lui-même autorisé le rassemblement déclarant être dans l’incapacité juridique de l’interdire. Magnifique État de droit ! Hadama Traoré, militant “indigéniste” d’Aulnay-sous-Bois dans le Val-d’Oise, se proposait en effet, aux fins de réhabiliter le tueur Mickaël Harpon, de rassembler le 10 octobre 2019 la foule de leurs semblables devant la mairie de Gonesse avec la bénédiction de la préfecture. Sur les réseaux sociaux, le sieur Traoré ne se gênait pas pour annoncer la couleur : « J’ai la haine. La personne qui ose dire que Mickaël Harpon est un terroriste animé de revendications religieuses, je lui traite sa mère et je lui crache à la gueule… On a le bras long ! Toutes les communautés persécutées, on va faire la guerre ensemble, aux politiques et aux médias. Et on commence ce jeudi ». 

    Dysfonctionnements structuraux à mettre au regard de la situation de cet imam de Gonesse qui aurait formé le converti et djihadiste néophyte Mickaël Harpon… mais jure n’avoir « jamais parlé » avec lui. Un fiché S qui pourtant n’avait pas échappé au radar de la détection des individus potentiellement dangereux ayant fait l’objet — il y a donc quatre années ! — d’une mesure d’obligation de quitter le territoire français, procédure diligentée par la DGSI, la Direction Générale de la Sécurité Intérieure. Mesure qui ne fut évidemment jamais appliquée. Or le passage à l’acte de Mickaël Harpon, même s’il était une « action isolée » (ce qui est loin d’être certain), ne peut a priori être extrait du contexte politique, démographique et géopolitique.

     

    Il est incontestable que ce drame est intervenu alors qu’Ankara préparait une offensive destinée à scinder en deux la région frontalière du Nord de la Syrie tenue par les supplétifs kurdes des forces américaines. À l’heure actuelle, les camps où étaient regroupées les familles des takfiristes de Daech, abandonnés pour leurs gardiens, se vident. On parle de huit cents femmes et enfants évaporés dans la nature. Question : combien de temps ces réfugiés mettront-ils pour accoster dans nos ports et aéroports ? Gageons que nous (les autorités publiques) trouverons d’excellentes raisons pour les accueillir. Si Erdogan ne nous les renvoie pas lui-même illico presto avec 3 autres millions et demi de déplacés syriens ainsi qu’il en a menacé l’Union européenne pour le cas où nos grandes consciences ne mettraient pas un bémol à leurs indignations vitupérantes. 

    Gageons encore que, par la suite, nos belles et bonnes grandes âmes exigeront pour les maris (pour la circonstance combattants repentis, cela va de soi) un nécessaire regroupement familial. Les petits daechiens ayant un droit irréfragable à un père aimant et protecteur… A contrario des petits Français désormais débarrassés par la force contraignante de la loi d’un “père” devenu — eu égard aux avancées de la science moderne — parfaitement superfétatoire (ou surnuméraire comme l’on voudra). Nous faisons bien entendu référence à la loi sur la Procréation médicalement assistée (PMA) et aux époustouflantes déclarations de nos ministresses merveilleusement postées à la pointe d’un progressisme échevelé (à l’instar de notre mirifique et ébouriffante garde des Sceaux !). On se reportera allègrement aux réponses surréalistes de Mme Buzyn, ministre des Solidarités et de la Santé, à ce propos sur la chaîne parlementaire LCP.

    Question : Un père, étant une fonction purement symbolique, peut-il être une femme ? Réponse d’Agnès Buzyn : « Cela peut être une femme, évidemment. Cela peut être une altérité qui est trouvée ailleurs dans la famille, on le voit, cela peut être des oncles »… Question : Une grand-mère ? Réponse : « Oui, une grand-mère… ». La dislocation de la société suivant celle de la pensée et celle-ci, la destruction du langage et du sens des mots.

    Jean-Louis Touraine, rapporteur de la mission d’information sur la révision de la loi relative à la bioéthique, réclame pour sa part l’extension de la future loi [PMA] aux transgenres... Cléo Carastro, chercheur à l’EHESS, elle-même transgenre, précise : « Outre la possibilité de faire appel à un don, deux hommes peuvent engendrer en mobilisant leurs seules forces procréatrices, et deux femmes le peuvent également. Ces hommes seront des pères, même si l’un d’eux aura accouché, et ces femmes seront des mères, même si l’une d’entre elles aura fourni des gamètes mâles. Le droit de filiation devrait ainsi être établi non pas en fonction de la gestation ou des gamètes, mais des relations de parenté que les géniteurs entendent établir avec leur progéniture, et sans qu’il y ait besoin de passer par l’adoption »...

     

  •  Les réformes bioéthiques en cours (PMA, GPA) mises en oeuve par la république maçonnique constituent un engrenage qui détruit un à un les repères naturels, sans savoir où l’on s’arrêtera.

    Il est un domaine où se distingue une véritable continuité entre la présidence actuelle et la précédente, celui de la bioéthique. Le principe souverain dirigeant toutes les actions reste celui de l’égalité : nul ne doit être privé d’un droit que possèdent les autres. C’est précisément par la voix de la piètre "Ministre de l’Egalité entre les Femmes et les Hommes" que le gouvernement de Macron a déclaré son intention de faire évoluer la législation dans un sens plus favorable à certaines populations prétendument discriminées. D’où les débats qui reprennent, principalement autour de deux abréviations, PMA et GPA. Les tenants du progrès en bioéthique parviennent souvent à dissimuler le véritable sens de leurs réformes sous des acronymes obscurs. A commencer par la fameuse « IVG », qui permet de parler d’avortement sans en prononcer le vrai nom. De surcroît, ce procédé donne un air scientifique et professionnel à des pratiques qui concernent beaucoup plus que le seul monde médical. Il importe donc de commencer par éclairer ces termes pour pouvoir juger de ce qui s’annonce.

     

    L'objet du débat actuel


     Par la PMA (Procréation Médicalement Assistée), on entend la fabrication d’enfants en éprouvette, pour venir en aide à des couples stériles. On prélève les gamètes des parents pour opérer une fécondation in vitro, après quoi l’embryon est implanté dans l’utérus de la mère où il se développe normalement. Ce procédé est autorisé en France depuis longtemps, et plusieurs milliers d’enfants sont nés ainsi hors des conditions naturelles de fécondation. L’objet du débat actuel est l’élargissement de cette pratique à d’autres situations apparues depuis la loi Taubira dite du « mariage pour tous ». Celle-ci répondait à une prétendue exigence d’égalité en mettant sur le même pied les paires homosexuelles et les couples mariés. Dès lors, la même revendication exige que ces paires puissent elles aussi avoir des enfants. L’adoption étant limitée par la loi, bien que déjà courante, pourquoi ne pas recourir à des pratiques médicales se substituant à la reproduction naturelle ? Deux cas se présentent donc :

    - les homosexuelles (au féminin), qui pourront avoir recours à un donneur pour pouvoir porter elles-mêmes l’enfant

    - les homosexuels (au masculin), qui devront quant à eux trouver non seulement une donneuse d’ovaires, mais aussi une « mère porteuse ». C’est là qu’intervient la fameuse GPA, ou « Gestation Pour Autrui ».

     Ces cas présentent plusieurs difficultés d’ordre moral, qui ont soulevé des protestations dès les débats sur la loi Taubira. Tout d’abord, la multiplication des « acteurs » de ces manipulations.

    Ainsi, dans le premier cas cité, un enfant pourra avoir deux « mères », dont une qui l’aura réellement porté et une simplement fictive, mais aussi un père biologique dont la loi impose l’anonymat.

    Dans le second cas, il aura deux « pères », dont le père biologique, et deux femmes qui se seront réparties le rôle naturel de la mère.

    Tout cela sans compter le médecin qui devient lui aussi un acteur essentiel du processus...

    Même dans les milieux dits progressistes, on s’alarme du sort de ces enfants qui auront toutes les peines du monde à trouver des repères dans cet imbroglio.

    Depuis longtemps on sait que les enfants qui n’ont pas connu leurs parents biologiques ont souvent l’obsession de les retrouver. Est-il sage de multiplier ces situations pénibles ? Ces pratiques remettent en question l’usage même de la médecine. Celle-ci a pour but de remédier à des infirmités, des déficiences, des maladies. S’il est parfaitement légitime pour un médecin de fournir une aide pour les couples qui ont des difficultés à avoir des enfants, qu’en est-il lorsqu’il s’agit d’une pure et simple impossibilité ? La médecine doit-elle établir artificiellement une pseudo-égalité entre couples homosexuels et hétérosexuels ?

    Un marché de l'enfant


    Un « droit » à la PMA pour les couples homosexuels fait passer d’un usage thérapeutique de la science à un emploi de confort, pour satisfaire les désirs de quelques-uns, à charge de la société au demeurant.

    D’autre part, on peut craindre, comme c’est le cas dans divers pays dont la législation est plus « avancée » que la nôtre, la mise en place d’un marché de l’enfant, d’autant plus important que l’ensemble des frais de ces diverses opérations serait couvert par la Sécurité sociale !

    Il ne manque pas, aux Etats-Unis notamment, de sociétés spécialisées dans le commerce particulièrement lucratif des gamètes humaines. Or la France considère que le corps humain et ses composants ne peuvent être vendus ou achetés. Par conséquent tout doit reposer sur le don gratuit et anonyme. Bien évidemment, il n’est pas toujours facile de trouver des donneurs bénévoles, d’autant que certaines opérations (notamment le don d’ovaires) sont particulièrement douloureuses, et la multiplication des PMA entraînerait une hausse de la demande.

    Certains groupes font donc pression pour que soit autorisée en France la rétribution des donneurs, comme c’est le cas dans d’autres pays...

    Le raisonnement est toujours le même : il serait injuste d’obliger des « couples » à s’adresser à des entreprises étrangères, à grands frais, pour bénéficier d’un droit reconnu par la législation. C’est le même problème qui se pose pour la GPA. Outre le fait qu’elle fait intervenir une autre personne qui va jouer une partie du rôle de la mère, comment garantir le « droit » à un enfant si l’on manque de bénévoles ? La seule solution est de recourir à la location d’utérus, qui se pratique déjà couramment dans certains pays de l’Est et du Tiers-Monde. L’Assemblée parlementaire du Conseil de l’Europe a rejeté un projet de loi l’autorisant en octobre 2016, mais n’a pas voulu non plus se prononcer contre. Des pressions s’exercent déjà pour que la France reconnaisse à l’état-civil des enfants nés de GPA à l’étranger, donc illégalement.

    La PMA est immorale


    Du reste, au regard de la morale naturelle, c’est la PMA dans son principe qui est gravement déficiente. Non seulement parce qu’on a recours à un processus artificiel pour mettre au monde une nouvelle vie humaine, mais aussi parce que ce processus comprend des étapes inacceptables. Une PMA comprend un risque important d’échec. Les médecins doivent donc prévoir plusieurs fécondations in vitro pour être certains d’en garder une viable.

    De nombreux embryons surnuméraires sont ainsi créés, et congelés comme le prévoit la loi, faisant l’objet des convoitises du secteur de la recherche scientifique qui y voit de simples cobayes! Pour les mêmes raisons, plusieurs embryons sont souvent implantés dans l’utérus de la mère, avec un fort taux d’apparitions de jumeaux, voire de triplés ou de quadruplés. Dans ce cas, on procède sans état d’âme à une « réduction embryonnaire », autrement dit un avortement des enfants dont les parents ne veulent pas... Ce n’est donc pas, comme le laissent entendre de trop nombreux médias, pour des raisons purement religieuses que l’Eglise s’oppose à ces pratiques. C’est pour la défense de la loi naturelle, qui implique le respect de la vie de tout être humain depuis sa conception. C’est d’ailleurs pourquoi les partisans de la « culture de mort » s’empressent de déclarer que PMA et GPA sont des conséquences inévitables et logiques des décisions politiques prises il y a longtemps.

    Dire que l’embryon doit être respecté comme une personne humaine, s’opposer aux manipulations génétiques et procréatives, c’est remettre en cause la sacro-sainte IVG.

     

    Un engrenage destructeur de la famille et de la société


     Les réformes bioéthiques constituent un engrenage qui détruit un à un les repères naturels, sans savoir où l’on s’arrêtera. Le combat contre ces dangereuses innovations […] est d’évidence justifié. Toutefois, il ne faut pas en rester à une simple politique défensive qui ne fait que reculer, au fil des années, la ligne rouge à ne pas franchir. Aux yeux d’un catholique, cette ligne rouge est franchie depuis longtemps. Depuis que la « science » permet de déconnecter la sexualité de la maternité, au mépris de la loi naturelle.

    A l’heure où l’on s’interroge tant sur le respect de la nature et de ses lois, où l’on s’inquiète à tort et à travers des « transgressions » de l’activité humaine contre les règles de fonctionnement de la planète, n’est-il pas temps de rappeler l’existence de ces mêmes règles dans le fonctionnement de la nature humaine ? Si les hommes sont capables de détraquer l’équilibre des plantes et des animaux, ils sont capables aussi de se mettre en danger eux-mêmes...

     

  • LREM, Satan et les franc-maçons à l' oeuvre avec la fameuse PMA .

    L’horreur, c’est maintenant ! 

    ON CROIT avoir touché le fond mais on ne cesse de creuser !

    Le texte qui a été présenté en Conseil des ministres le 24 juillet bouleverse de fond en comble la filiation et la procréation.

    Supprimant l’infertilité comme critère donnant accès à la déjà monstrueuse procréation médicalement assistée, la fameuse PMA, qui consiste à fabriquer des bébés-éprouvette en laboratoire (sait-on assez qu’un enfant sur trente est actuellement conçu par PMA en France, selon les chiffres de juin 2018 donnés par l’INED, ce qui est considérable ?), le projet de loi de bioéthique voulu par le gouvernement et le chef de l’Etat marque une nouvelle rupture et une nouvelle avancée dans l’horreur. Non seulement la procréation médicalement assistée va être permise aux femmes célibataires et aux lesbiennes revendiquées, mais même les couples fertiles hétérosexuels y auront droit. Plutôt que de concevoir des enfants de manière naturelle, l’on promeut la création artificielle de bébés en laboratoires et l’on ouvre la voie à toutes les manipulations, à la marchandisation du vivant, à la tyrannie de la technique et de l’argent qui l’emporte sur l’homme, la nature et l’amour véritable. 

    Le projet de loi prévoit également d’autoriser pour toutes les femmes la congélation des ovocytes, « à partir de 30 ou 32 ans » en vue d’une grossesse ultérieure. Un décret est prévu pour autoriser le prélèvement de gamètes entre 30 et 37 ans  et une insémination artificielle ou une fécondation in vitro (FIV) jusqu’à 43 ans.

    On veut manifestement mettre en place une société sans père, ce qui ne peut conduire qu’aux pires catastrophes. La révolution sociétale, morale, sexuelle et anthropologique que nous subissons est sans précédent dans notre histoire, et dans toute l’histoire de l’humanité depuis les origines. Et cette révolution est sans fin, elle va toujours plus loin dans la négation de la morale naturelle, dans la destruction méthodique et acharnée de la famille traditionnelle, dans la mise à bas des repères moraux et civilisationnels les plus immémoriaux, les plus fondamentaux, les plus structurants.

    « La PMA pour toutes » n’est-elle pas encore votée et promulguée que l’on évoque déjà ouvertement l’étape suivante : la légalisation de la GPA, la gestation pour autrui, permettant aux sodomites de disposer d’enfants par le moyen de mères porteuses rémunérées. Plusieurs ministres et députés de la majorité présidentielle n’hésitent plus à dire publiquement qu’il conviendra de poser rapidement la question de la GPA. Et lorsque ces politiciens parlent de l’ouverture d’un débat, on sait qu’en réalité tout est déjà décidé à l’avance et que l’on s’oriente invariablement vers le choix du pire. Aucune liberté n’est de fait tolérée. A preuve la mésaventure du député macroniste, Agnès Thill, qui a été exclu de son groupe parlementaire et de son parti, la République en marche, pour avoir manifesté publiquement son opposition à l’ouverture de la PMA aux lesbiennes. A LREM manifestement il faut marcher au pas du lobby LGBT et danser sur les chars de la Gay Pride ! 

    La révolution que nous subissons depuis un demi-siècle et qui met à bas notre civilisation et la morale traditionnelle procède par étapes successives : après la contraception (1967), nous avons eu l’avortement (1975), puis le Pacs (1999), puis le “mariage” et le droit à l’adoption pour les invertis (2013), maintenant la PMA pour les adeptes des mœurs saphiques et demain la GPA pour les pédérastes. Ce bouleversement radical des mœurs et des mentalités, de la filiation et de la procréation, ouvre un gouffre sans fond. Et, malheureusement, on ne peut compter aujourd’hui sur aucune formation politique, aucun homme public d’envergure pour s’opposer frontalement, totalement, courageusement, à ces projets sataniques. Nous sommes seuls, tous les partis populistes ayant trahi et se faisant les obligés des revendications les plus folles du lobby LGBT. Mais il est des solitudes honorables.

    On ne se relève jamais de l’abandon des principes et plus que jamais dans ce chaudron infernal où Satan mène le bal, il nous faut nous préserver de la contagion et de la pollution du monde, débusquer le mensonge et défendre de toutes nos forces, à temps et à contretemps, le beau, le bien, le vrai.