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macron - Page 5

  • Alors que la Russie est accusée d’ingérence, les Américains (CIA) ont pesé la présidentielle de 2012.

     

     

    Alors que Macron appuyé par l’Elysée relaye la fable de l’ingérence des sites d’information russes dans la campagne présidentielle au détriment de Macron, Julien Assange a publié un communique aujourd’hui sur l’ingérence américaine par ses services d’espionnage, dans la campagne présidentielle de 2012. C’est une reprise des accusations lancées par Obama durant la campagne présidentielle américaine qui a eu le succès que l’on connaît, puisque ces accusations n’ont pas empêché l’élection de Donald Trump.

    Emmanuel Macron la créature de François Hollande

    Emmanuel Macron en perte de vitesse dans les sondages, manquant probablement un peu d’imagination n’a rien trouvé de mieux que de tenter de faire son petit Obama en accusant à son tour Vladimir Poutine d’interférer dans sa campagne.  Un bon moyen de tenter de minimiser les scores de Marine Le Pen sensée en récolter les fruits, ainsi que ceux de François Fillon, ce qui ne manque pas de sel quand on assiste médusé à la plus grande campagne médiatique jamais orchestrée contre un candidat. Une tactique pour faire rebondir la campagne du candidat de l’Elysée, Macron, la créature de Hollande, que l’Elysée abonde pour apporter à son poulain un petit coup de pouce en plus du soutien inconditionnel du Système médiatico-Politique Drahi-Berger et du soutien du la haute finance etc. Le petit Macron n’étant rien que le cheval de Troie de François Hollande, honni par le peuple, qui a du renoncer à se présenter, mais qui entend continuer de payer ses dettes de reconnaissance au mondialisme.

    Il est à noter que si les révélations de Wikileaks sont attaquées quant à la forme, les documents sur lesquels il s’appuie n’ont jamais été contestés sur le fond. En plus d’une diabolisation récurrente de Vladimir Poutine qui ne semble plus faire grand effet, Emmanuel Macron est allé en Algérie flatter les partisans du FLN dont beaucoup ont acquis la nationalité française et pourront voter, en accusant la France en Algérie de « crimes contre l’humanité ». Dans le même temps et toujours en flattant la sensibilité musulmane, il fait mine de s’attrister de l’humiliation subie par les Français concernant « le mariage » homosexuel, alors que lui-même était à l’époque, en 2013, conseiller de François Hollande à l’Elysée d’où il chapeautait l’avancée de la loi. Une manœuvre électoraliste insincère qui ne lui coûte rien mais flatte l’électorat musulman et essaye par la même occasion et sans frais,  d’attraper l’électorat catholique sur la droite…

    De la politique française à la politique internationale

    Autant de manœuvres politiciennes attrape-tout. Concernant les documents fuités publiés hier par Wikileaks, ceux-ci démontrent qu’une fois de plus en réalité c’est le Système des renseignements spéciaux américains sous l’autorité d’Obama qui ont largement interféré dans la campagne présidentielle de 2012 qui a vu l’élection du mondialiste socialiste, François Hollande. Cette campagne de haine contre la Russie est au cœur de la campagne de haine qui agite le Système partout en Occident et particulièrement en France, contre la politique de Donald Trump, qui manifeste son désir de normaliser les relations USA/Russie, ce que le très puissant lobby des marchands d’armes américains ne peut tolérer d’immenses capitaux étant en jeu. L’industrie et le commerce des armes US est de très loin celui qui domine tous les marchés d’armement de la planète en suscitant des conflits aux quatre coins du monde. La volonté de mettre en sourdine l’OTAN en Europe de la part du nouveau président américain interfère également avec les intérêts gigantesques de l’armement américain. Même chose concernant la volonté  revendiquée de Trump de mettre un terme au conflit ukrainien qui endeuille l’Europe, mais qui justifie l’encerclement des frontières russes et la motivation de déploiement de missiles et de troupes au coeur de l’Europe. Conflit de nouveau activé par Porochenko. Les conflits au Moyen-Orient, en Ukraine, en Afrique sont autant de débouchés pour les armes américaines, dont l’industrie et la haute finance n’entendent pas se passer. Pour les justifier, un seul ennemi: Vladimir Poutine!

    Traduction des documents publiés par Wikileaks

    « 16 février 2017 – Ordres de l’espionnage de la CIA pour la dernière élection présidentielle française

    Tous les principaux partis politiques français ont été ciblés pour être infiltrés par les espions humains («HUMINT») et électroniques («SIGINT») de la CIA dans les sept mois précédant l’élection présidentielle française 2012. Les révélations sont contenues dans trois ordres de mission de la CIA publiés aujourd’hui par WikiLeaks comme contexte pour sa quatrième série CIA Vault 7. Le Parti socialiste français (PS), le Front national (FN) et l’Union pour un mouvement populaire (UMP), ainsi que le Président actuel François Hollande,  le Président Nicolas Sarkozy, ainsi que les anciens candidats à la présidence Martine Aubry et Dominique Strauss-Khan.

    La CIA a estimé que le parti du président Sarkozy n’était pas assuré de sa réélection. Parmi les tâches spécifiques de la CIA concernant son parti il y avait l’obtention des « Plans Élections Stratégiques » de l’Union pour un Mouvement Populaire (UMP); Les ruptures ou les alliances qui se développant dans l’élite UMP; Les réactions UMP privées aux stratégies de campagne de Sarkozy;  Les discussions au sein de l’UMP sur les « vulnérabilités des stratégies de campagne de Sarkozy perçues comme maintien du pouvoir » après l’élection; Les efforts pour changer la mission idéologique du parti; Et des discussions sur le soutien de de l’UMP à Sarkozy et «la valeur qu’il met sur la poursuite de la domination du parti». Des instructions spécifiques chargent les agents de la CIA de découvrir les délibérations privées de Sarkozy «sur les autres candidats» ainsi que la façon dont il a interagi avec ses conseillers. L’auto-identification antérieure de Sarkozy comme « Sarkozy l’Américain » ne l’a pas protégé de l’espionnage américain aux élections 2012 ou pendant sa présidence.

    Une ordonnance d’espionnage des partis politiques et des candidats sur leurs plans stratégiques d’élection cible François Hollande, Marine Le Pen et d’autres personnalités de l’opposition, elle exige l’obtention des stratégies des partis de l’opposition pour l’élection, des informations sur la dynamique interne des partis et la montée des dirigeants; Les efforts pour influencer et mettre en œuvre les décisions politiques; Le soutien des autorités locales, des élites gouvernementales ou des élites d’entreprises; Vues des États-Unis; Obtenir des informations sur les dynamiques internes du parti et sur les dirigeants en devenir, sur les efforts pour influencer et mettre en œuvre des décisions politiques, l’aide de hauts fonctionnaires, des figures du gouvernement ou des hommes d’affaires en direction de la Palestine, l’Allemagne, l’Ukraine, la Libye, Israël, la Syrie et de la Côte d’Ivoire, ainsi que des informations sur le financement du parti et du candidat.

    Il est significatif que deux missions d’espionnage de la CIA, « Quelles politiques pour stimuler les perspectives de croissance économique de la France? » Et « Quelles sont leurs opinions sur le modèle allemand de croissance axée sur les exportations? » Résonnent avec un ordre américain d’espionnage économique de la même année. Cet ordre exige l’obtention de détails sur chaque contrat ou contrat d’exportation français envisagé évalué à 200 millions de dollars ou plus.

    L’ordre d’espionnage met également l’accent sur l’obtention des attitudes des candidats face à la crise économique de l’UE, en se concentrant sur leur position sur la crise de la dette grecque; Le rôle de la France et de l’Allemagne dans la gestion de la crise de la dette grecque; La vulnérabilité du gouvernement français et des banques françaises au défaut de paiement grec; Et des «propositions et recommandations spécifiques» pour faire face à la «crise de la zone euro».

    Deux parties des ordres de mission de la CIA: «Quels politiques en faveur de la croissance économique de la France ?» et «Quelles sont leurs opinions sur le modèle allemand d’amélioration de la balance extérieure ?» résonnent avec la consigne d ‘ espionnage économique américain de la même année. Cette demande nécessitait d’obtenir des détails sur chaque contrat d’exportation de 200 millions de dollars ou plus. La lettre de mission exigeait de déterminer l’attitude des candidats face à la crise économique européenne à partir de leur position sur la crise de la dette grecque et de la vulnérabilité de l’État français et des banques face à un défaut grec, ainsi que les «propositions et recommandations spécifiques» sur l’attitude à adopter face à la «crise de l’euro-zone».

    Les lettres de mission de la CIA publiées aujourd’hui sont classifiées et réservées uniquement aux services des États-Unis (« NOFORN ») du fait qu’elles sont classées « sensibilités amicales ». Les ordres exigent que les informations recueillies soient destinées à soutenir les activités de la CIA, de la section européenne de l’Agence de Renseignement de Défense américaine (Defense Intelligence Agency (DIA), ainsi que la section de recherche et de Renseignement du ministère américain des Affaires étrangères,  la Direction du renseignement et de la recherche du Département d’État des États-Unis.

    L’Opération s’est déroulée pendant 10 mois, le 21 novembre 2011 au 29 septembre 2012, notamment durant l’élection présidentielle française d’avril et mai 2012, et plusieurs mois après la formation du nouveau gouvernement.

    Documents fuites »

    Le sénateur UDI Pozzo Yves Pozzo di Borgo confirment les révélations de Wilileaks et estime que c’est un secret de polichinelle que les États-Unis espionnent la France en vue des élections de 2017, comme ils l’ont fait par le passé. La France n’a aucun moyen de protection contre l’ingérence de la CIA:

  • Le « Je vous ai compris! » d’Emmanuel Macron aux pieds-noirs de Toulon… très en colère .

     

    Il est clair que Macron n’a rien compris! Il n’a rien trouvé de mieux pour calmer la colère des pieds noirs que de lancer le fameux « Je vous ai compris » de de Gaulle qui a fait que celui-ci est passé du statut de sauveur de la France qu’il était, à celui de traître, qui lance de grands espoirs pour mieux les trahir.

    «Macron trahison!» en chute dans les sondages…

     

    Si on en juge au parcours de la figure du Judas français qu’est Macron, à l’ENA on apprend à défendre les intérêts de la haute finance cosmopolite, les intérêts de l’industrie énergétique américaine (braderie d’Alstom-énergie), les intérêts des grands groupes de presse apatride (SFR à Patrick Drahi), on apprend à s’adresser en Anglais aux affairistes allemands, et on apprend l’histoire de France à travers les lunettes des terroristes assassins du FLN. Ce qui est certain c’est que ni Macron, ni les mondialistes affairistes qui l’entourent n’ont appris l’Histoire de France… la vraie. Mais la vérité intéresse-t-elle des gens formatés pour trahir la France ?

     

    « Selon un sondage OpinionWay publié vendredi, l’ex-conseiller de Hollande à l’Elysée et ex-ministre de l’Economie, [Emmanuel Macron], recule dans les intentions de vote. Une chute esquissée plus tôt dans la semaine. »

    https://twitter.com/fandetv/status/833001866497781760

    Plusieurs centaines de personnes étaient rassemblées devant le principal accès du meeting organisé au Zénith de Toulon dans le Var par Emmanuel Macron, le 18 février. Une foule très remontée formée notamment qui scandait : «Macron trahison!».

    Macron : «Je vous ai compris !»

    L’artisan de la loi Travail a tenté de noyer le poisson à Toulon en s’exclamant: «Donc je le dis aujourd’hui, à chacun et chacune dans vos conditions, dans vos histoires, dans vos traumatismes, parce que je veux être président, je vous ai compris et je vous aime. Parce que la République, elle doit aimer chacun !», en un français moins châtié que son anglais, certes, mais le pauvre homme n’a fait que l’ENA…

    S’adressant aux rapatriés d’Algérie et aux anciens combattants et victimes de la guerre (1954-1962), Emmanuel Macron les a appelés à ne pas céder à la haine. Lui qui pourtant les a copieusement couvert de haine: «Cette haine, ce ressentiment que vous pouviez avoir, cette peur et cette frustration, elle a été récupérée, ici dans ces terres, on l’a vu dehors, par des marchands de la haine».

    Et d’insister lourdement, lui qui a bien appris sa leçon FLN qui semble être le socle de ce qui s’apprend à l’ENA en matière d’Histoire de France:

    «Je ne veux pas revenir sur les haines recuites, mais j’ai en même temps nommé les choses. On ne vous a dit, ou vous n’avez voulu entendre, qu’une partie de la chose», «J’ai dit en effet les responsabilités de la France quant à son passé, pas simplement en Algérie, quant à notre passé colonial». «Et on doit le regarder en face ce passé colonial, et oui, c’est un passé dans lequel il y a des crimes contre l’humain».

    Par définition un crime est contre « l’humain… Passons! Certes, il y a eu crimes en Algérie, nombreux et atroces, mais surtout contre la France, contre les Français d’Algérie et contre les harkis dans une bataille où de nombreux soldats Français ont donné leur vie pour la cause nationale, une bataille où l’Armée française à vaincu le terrorisme FLN, victoire volée dans les coulisses de la diplomatie gaullienne aux accords d’indépendance d’Evian.  Le mondialiste Macron  a ajouté au drame de l’Histoire, vécu par les soldats, harkis et Français d’Algérie, l’insulte et l’ignominie envers toute la nation Française.

    Des déclarations qui ont au moins le mérite de faire tomber le masque de ce traître formaté de l’ENA à la banque Rothschild, avant d’atterrir comme conseiller de François Hollande à l’Elysée puis de chasser Montebourg de Bercy pour céder le fleuron de l’industrie  française qu’était Alstom-énergie aux Américains qui détiennent grâce à lui un pan important de ce qui faisait avant Macron l’indépendance énergétique de la France. Sans compter qu’à peine huit jours après avoir investi Bercy, il donnait SFR au magnat de la presse qu’est l’Israélo-marocain Patrick Drahi, auquel là encore Montebourg faisait barrage. En échange de bon procédé, Drahi, dont le groupe de presse regroupe la plupart des médias français, a permis à l’inconnu Macron d’émerger subitement par des campagnes de presse sans précédents. 

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  • Le bankster Macron .

    Alors que le « Pénélopegate » menace gravement la candidature de l’ancien Premier ministre, les affaires semblent glisser sur l’ex-ministre de l’Économie démissionnaire, qui reste le favori des médias. François Fillon et Emmanuel Macron bénéficient-ils du même traitement médiatique ? Analyse.

    Le premier semble tout droit sorti de l'œuf et faire de la politique « ni de droite, ni de gauche ». Le second est un vieux briscard encarté depuis quarante ans au principal parti gouvernemental de droite. L'un et l'autre sont extrêmement bien placés actuellement dans les sondages pour devenir le prochain président de la République française. Pourtant, alors que les médias et les juges ont obligé François Fillon à mettre en place une communication de crise suite aux révélations du Canard Enchaîné sur des soupçons d'emplois fictifs de sa femme, rien ne semble inquiéter Emmanuel Macron, qui traîne pourtant déjà plusieurs casseroles, malgré son jeune âge.

     

    En deux ans passés au ministère de l'Économie, Emmanuel Macron est accusé d'avoir siphonné 80 % des frais de représentation alloués à son ministère pour recevoir, aux frais du contribuable, l'essentiel des soutiens politiques et financiers qui lui ont permis de lancer « En marche », le parti qu'il entend représenter aux élections présidentielles. Dans leur livre écrit à quatre mains, les journalistes Marion l'Hour et Frédéric Says estiment à 120 000 euros le total des frais de bouches payés en deux ans par le ministère au service des ambitions personnelles de l'ancien banquier qui voudrait devenir président.

     

    François Fillon, quant à lui, doit justifier de 500 000 euros de salaire d'attachée parlementaire, versés en six ans à sa femme, sans que personne n'ait eu connaissance d'une quelconque activité au Palais Bourbon de la désormais célèbre « Penny » Fillon.

    Aucune loi n'interdit à un député d'embaucher sa femme, ni à un ministre de dépenser comme il l'entend ses frais de représentation. Le problème se situe plutôt au niveau de l'image et de la parole donnée. Lorsque l'on revendique, comme François Fillon, une probité sans faille, ou que l'on prétend, comme Emmanuel Macron, ne pas toucher d'argent public, mieux vaut être irréprochable. Or, l'ancien ministre de l'Économie semble avoir largement puisé dans les ressources de Bercy pour lancer son parti et l'ancien Premier ministre, alors qu'il posait pour Paris Match aux côtés de sa femme, « mère au foyer », comme elle se qualifie elle-même, se retrouve à tenter de prouver que les six ans de salaire qu'elle a touché ne finançaient pas un emploi fictif.

     En fait, la différence principale c'est que Fillon a été l'objet, dès le lendemain de la sortie de l'affaire par le Canard, d'une enquête du Parquet National Financier qui sera chargé d'établir si oui ou non les salaires perçus pendant des années correspondent à un emploi fictif. Le vainqueur des primaires de la Droite et du Centre a par ailleurs fait savoir qu'il ne se présenterait pas aux élections présidentielles s'il devait être mis en examen. Pendant ce temps, l'affaire qui touche Macron ne semble pas avoir beaucoup ému les médias, qui ne lui ont accordé qu'une couverture minimale.

     Mais à deux mois et demi de l'élection, plusieurs zones d'ombre restent à explorer autour de Macron si les journalistes voulaient bien s'en donner la peine. Si certains semblent indiquer qu'ils disposent d'éléments concernant sa vie privée, d'autres pourraient revenir sur son redressement fiscal alors qu'il était ministre ou sur le financement de sa campagne, qui semble bénéficier des largesses des grands de ce monde, dont l'évocation pourrait écorner son image de candidat « hors système ».