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macron - Page 4

  • Le message de Noël de Viktor Orban : un appel à protéger le christianisme et la patrie ...

     

     

    Hongrie – Le chef de l’Etat a publié un message de Noël qui tranche avec les discours pro-immigration de la Rome conciliaire, des institutions euro-mondialistes, du gouvernement maçonnique macronique ainsi que des gouvernements et journalistes de l’Europe de l’ouest.

    Dans ce message publié par Magyar Idők , Viktor Orban souligne l’importance du christianisme.

    « Le christianisme est une culture et une civilisation. Nous y vivons. (…) La culture chrétienne définit notre morale quotidienne. »

    Viktor Orbán réplique à tous ceux qui tentent de faire croire qu’être chrétien, c’est permettre «à des millions d’extra-européens de s’installer en Europe» et qui abusent pour cela du commandement «aime ton prochain comme toi-même» .

    « Ils oublient la deuxième partie du commandement », note Orbán.

    « S’aimer soi-même signifie aussi protéger tout ce que nous sommes et qui nous sommes. Nous aimer signifie que nous aimons notre pays, notre nation, notre famille, la culture hongroise et la civilisation européenne.  »

    « Les bases de la vie européenne sont maintenant attaquées »

    « Nous ne voulons pas que nos marchés de Noël soient renommés, et nous ne voulons absolument pas nous retrancher derrière des blocs de béton. Nous ne voulons pas que nos fêtes de Noël soient marquées par la peur. Nous ne voulons pas que nos femmes, nos filles soient agressées le soir du Nouvel An. »

    « Ils veulent que nous arrêtions d’être ce que nous sommes. Ils veulent que nous devenions ceux que nous ne voulons pas être. Ils veulent que nous nous mélangions à des gens d’un autre monde. »

    « Les nations libres d’Europe, les gouvernements nationaux élus par des citoyens libres, ont une nouvelle mission : protéger notre culture chrétienne. »

    « Pas pour les autres, mais pour nous-mêmes; pour nos familles, pour notre nation, pour notre pays, pour la patrie, la terre de nos pères. »

     

     

     Que Macron et tous ses affidés en prennent de la graine !

     

  • Yanis Khalifa, une des recrues islamistes de Macron .

     

    Le parti d’Emmanuel Macron est une auberge espagnole regroupant des personnes venues du PS, des LR, des écologistes, du MoDem, etc. Même les islamistes y trouvent leur place !

    Prenons le cas de Yannis Khalifa. Ce jeune homme est suppléant de la candidate La République En Marche en Seine-Maritime, Sarah Silat. Il est aussi proche d’Alain Juppé et actif au MoDem.

    Le même Yannis Khalifa est très impliqué dans les réseaux islamistes de l’UOIF et des Frères Musulmans. La photo ci-dessous le montre juste derrière Tariq Ramadan.

    Le blogueur Mohamed Louizi livre de nombreux détails très intéressants sur cette nouvelle recrue  du parti d’Emmanuel Macron. Qui est Yanis Khalifa ?

    « De métier consultant, il cumule les mandats associatifs : membre du conseil d’administration de Coexister France, il est aussi secrétaire général du Club Hessel, un club se disant de réflexion politique. Mais, Yanis Khalifa est avant tout un pur produit de l’association EMF (Étudiants musulmans de France), le bras des Frères musulmans de l’UOIF à l’université française. Jusqu’à très récemment, il était membre du bureau national d’EMF, chargé des relations publiques et entretenant des liens européens et internationaux avec le Tanzim international des Frères musulmans. En France, il est très actif dans le réseautage influent. De part ses fonctions nationales, il participe à des activités et formations, notamment celles organisées en Turquie par le FEMYSO, la branche européenne des Frères musulmans, s’occupant des jeunes et des étudiants, que préside la «sœur» Intissar Kheriji, la fille du leader islamiste tunisien Rached el-Ghannouchi.

    Les photos publiques, issues de son profil Facebook et bien d’autres pages officielles de son réseau associatif, le montrent sous différents angles : à côté de la «sœur» tunisienne Sayida Ounissi, ex-députée du parti islamiste tunisien Ennahda, actuellement secrétaire d’état chargée de l’initiative privée ; ou lors d’une réunion de l’instance nationale d’EMF, organisée au siège social de l’UOIF à La Courneuve ; ou dans les studios de la radio Europe 1 pour présenter EMF ; ou à côté du frère musulman Bashar al-Sayadi, le président de l’Union des musulmans de Rouen (UOIF) ; ou faisant la promotion du Gala du 25ème anniversaire d’EMF, organisé au sein même de la faculté islamiste IESH (Institut Européen des Sciences Humaines à Paris), que finance en partie la Qatar Charity, avec comme invités, les islamistes Ahmed Jaballah et Hassan Iquioussen. (Lire Mosquées Radicales pour comprendre leur dangerosité)

    L’Institut Européen des Sciences Humaines est l’école d’imâms de l’UOIF. Hassan Iquioussen est un négateur du génocide arménien , partisan du califat et défenseur assumé des Frères Musulmans. Il préconise le jihâd guerrier au sens du juriste hanbalite Ibn Qayyim (conférence du 14 juillet 2013 à St-Louis de La Réunion). Son profil est analysé dans l’ouvrage Mosquées Radicales (éditions DMM).

    Par ailleurs, le profil de Yanis Khalifa devient plutôt intéressant à analyser, lorsqu’on découvre qu’il est aussi membre du bureau politique du MODEM76 (Seine-Maritime). En même temps, il semble être très proche et très familier aussi avec le couple Juppé, à tel point qu’il appelle, sur sa page Facebook, Alain Juppé «tonton Alain» et sa femme «tata Isabelle». Il faisait parti aussi des «Jeunes avec Juppé». Après la défaite de ce dernier aux primaires de la droite et du centre, il a cosigné un texte intitulé «Appel à François Bayrou, présentez-vous !». Un article du Figaro du 22 février explique pourquoi ce jeune islamiste souhaitait une candidature de François Bayrou. Le président du MODEM ayant décidé de ne pas se présenter et de rejoindre Emmanuel Macron, Yanis Khalifa, quant à lui, a cosigné à nouveau un nouveau texte, paru dans L’Obs du 13 mars, intitulé : «100 membres des Jeunes avec Juppé apportent leur soutien à Emmanuel Macron».

     

  • Moscovici, grand gourou de l’UE, rappelle à Macron qu’il a été élu pour que les Français crachent au bassinet ...

     
     
    Pendant que Macron détournait l’attention des Français avec le fascisme, les commissaires de Bruxelles se frottaient les mains puisque la France a dû payer aux banques et aux fonds d’investissement plus de 44 milliards d’euros d’intérêts en 2016.
     
    En élisant l’héritier de Hollande les électeurs qui votent en France ont donné carte blanche au représentant de l’oligarchie pour qu’il traie la vache à lait jusqu’à épuisement. Quel meilleur symbole pour Macron que la pyramide du Louvre mitterrandesque pour rendre hommage au veau d’or son maître à qui il doit son élection…?

    Le sujet a soigneusement été évité pendant l’entre-deux-tours, mais il n’a pas fallu 24 heures après l’élection d’Emmanuel Macron pour que les dirigeants européens, plutôt silencieux sur le sujet jusque-là, ne se fassent entendre et rappellent les contribuables français à leurs obligations contractuelles. Non élu, mais désigné collégialement par les chefs d’Etat et de gouvernement, le commissaire européen à l’Economie, Pierre Moscovici, a rappelé à Emmanuel Macron que la France était sous le coup d’une procédure pour déficit excessif (PDE) et devait ramener durablement le déficit budgétaire sous la barre des 3% du produit intérieur brut (PIB). (…) Le commissaire européen et ex-ministre des Finances français socialiste s’est par ailleurs dit confiant qu’Emmanuel Macron tiendrait «ses engagements de campagne» et respecterait les critères européens. (Source RT)

    Ils étaient tout miel, les commissaires européens, ou en tout cas très discrets… Pourtant ils ne chômaient pas. Leur « élu » caracolait sur un chemin parsemé des roses semées par les médias et l’ensemble de l’État profond, dénonçant selon un refrain qui semble inscrit dans le marbre de la République, le fascisme, tandis que les vrais tyrans du sommet des banques et de la Banque centrale européenne amassaient les milliards à pleine brassées… Les électeurs soumis à des réflexes émotifs se sont fait tondre en bêlant comme des moutons ou en roucoulant comme des pigeons, c’est au choix…

    La loi des intérêts de la dette 

    En voulant rendre le pouvoir à la Banque de France de frapper monnaie, Marine Le Pen voulait abroger la loi Pompidou-Rothschild-Giscard de 1973 qui a transféré de la Banque de France aux banques privées l’exclusivité de prêter à l’État. Ce qui jusque-là était sans intérêt est tout-à-coup devenu payant d’où la dette abyssale de la France quarante ans plus tard. Sans intérêts, la France n’aurait actuellement aucune dette ou très peu. Cette loi a été inscrite sur la table des lois de l’Union européenne. C’est l’inscription dans le marbre du racket légal des Français… Et ils en ont redemandé!..

    La dette, détenue par la haute finance est ainsi passée de 239 milliards d’euros en 1979, à 2 170 milliards en 2016, soit 98,4% du produit intérieur brut français.

    Depuis 1973, la France a ainsi versé 1 400 milliards d’euros d’intérêts à ses créanciers privés et institutionnels (Banques privées et BCE). Soit l’équivalent des deux tiers du capital de la dette de la France. Il est facile de comprendre que dans ces conditions les marchés financiers aient pris les grands moyens pour influencer le choix des électeurs: qui va du retour de la bête immonde à la prétendue ruine des petits épargnants. Les Français ont-il une mémoire autonome ? La question doit sérieusement se poser!

    A peine leur marionnette élue, les euroligarques ont laissé tomber le masque: Jean-Claude Junker,  président de la Commission européenne, estimait dés dimanche:

    « les Français dépensent trop d’argent et ils dépensent au mauvais endroit», a-t-il déclaré le 8 mai face à la presse à Berlin, au lendemain de l’élection de Macron. «Les Français consacrent entre 53% et 57% de leur produit intérieur brut à leurs budgets publics, compte tenu du niveau relativement élevé de la dette, cela ne peut pas fonctionner dans la durée», «Il appartient aux Français de faire un geste en direction des autres, en faisant les réformes nécessaires», a-t-il menacé.

    Le grand projet de Macron: les États-unis d’Europe

    Maintenant que leur homme est aux commandes, finie la mansuétude qui a prévalue à la demande de Hollande pour endormir la méfiance des électeurs, le temps des règlements de compte est arrivé! Le président élu a prévu dans son programme, une réduction des dépenses publiques de 60 milliards d’euros en cinq ans, passant entre autres par la suppression de 120 000 postes de fonctionnaires et par une aggravation de la loi Travail qu’il va imposer par ordonnances avant même l’élection du nouveau Parlement. Mais il a dans le même temps appelé l’Europe à se réformer.

    Se réformer comment ? En se fédéralisant derrière un pouvoir fédéré, comme aux USA, le modèle maçonnique absolu, ce qui rendra aux pays membres la sortie de l’UE encore plus difficile qu’elle ne l’est à présent. Sauf révolution ce sera même impossible.

    Pourtant un peu de jugeote aurait permis aux électeurs de voir scintiller devant leurs yeux les signes avant-coureurs de leur malheur: dés le résultat du premier tour lorsque le « Napoléon  » de la Vème République -selon certains journalistes- est arrivé en tête, ça a été l’euphorie des bourses mondiales… En plus de la suppression de 120 000 fonctionnaires, Macron prévoit dans son programme l’augmentation de la CSG, qui tout en permettant à l’État de dépenser moins, rassure les opérateurs financiers quant aux risques d’une crise de la dette souveraine. «C’est comme si les investisseurs savaient depuis longtemps comment ça allait se terminer», a reconnu un investisseur cité par l’AFP. Et pour cause, tout a été calculé et mis en place depuis deux ans pour assurer au Système sa poursuite effrénée: de la complicité des commissaires européens sur le silence de la dette, jusqu’aux « achats » des médias par Macron ministre de l’Économie et la démission de Hollande pour couper court à la détestation qu’il inspire.

    Aussi, sur le marché dit obligataire – celui où les entreprises comme les États émettent des titres de dette – le taux d’emprunt français à 10 ans a-t-il terminé en séance le 8 mai à Wall Street à l’équilibre, à 0,845%, tandis que l’écart de taux de la dette allemande, considérée plus sûre par les marché à même échéance, continuait à se réduire, un mouvement amorcé depuis le premier tour. Alors que cet écart, spread en jargon financier, commençait à croître dangereusement avant le premier tour, il s’est resserré à l’ouverture des marchés ce 9 mai, atteignant un plus bas depuis la mi-décembre 2016.

    Les investisseurs peuvent donc dormir tranquille, il semble que l’on touchera d’abord aux dépenses de l’État avant de remettre en cause le paiement des intérêts de la dette.

    C’est dans ce but que le déficit doit être contenu sous la limite des 3%, afin que les Français restent solvables. La France devra trouver quelque 200 milliards d’euros sur les marchés financiers rien que pour 2017. A la fois pour combler le déficit budgétaire annuel de l’État, mais aussi faire «rouler» la partie de la dette existante arrivant à échéance. (Source RT)