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lgbt - Page 5

  • Face à un gouvernement totalement corrompu et qui est le principal ennemi des français, ne votons plus !

     

    ATTENDRE DE BOURREAUX qu’ils deviennent des bienfaiteurs est faire preuve d’une sottise sans nom. Or, à en croire certains représentants autoproclamés des Gilets jaunes, il serait possible de dialoguer avec le pouvoir en place et d’obtenir de lui des réformes, dont le fameux RIC, le référendum d’initiative citoyenne. Croire cela, c’est ne rien comprendre au fonctionnement du pouvoir oligarchique qui nous opprime et qui n’a d’autre finalité que de nous détruire et de poursuivre et d’amplifier sa domination communautaire.

    Jamais l’Etat profond n’acceptera de donner la parole au peuple sur des sujets fondamentaux et vitaux qui engagent son avenir. Lorsque Macron et ses acolytes disent qu’ils acceptent de dialoguer, c’est qu’en réalité ils veulent continuer à enfumer, à manipuler et à tromper.

    Lorsqu’ils affirment qu’ils sont prêts à poser des questions au peuple français par voie référendaire, c’est qu’ils veulent faire taire la contestation, désarmer l’insurrection sans rien lâcher. 

    C’est si vrai que les questions envisagées pour ce référendum qui pourrait avoir lieu le jour des élections européennes, le 26 mai prochain, sont sans aucun rapport avec les causes profondes du mouvement des gilets jaunes, non plus qu’avec leurs revendications fondamentales comme l’augmentation du pouvoir d’achat, l’aspiration à pouvoir vivre décemment des fruits de son travail.

    On nous parle de limitation du cumul des mandats, de réduction du nombre de parlementaires, de modification du mode de scrutin. On croirait un gag tellement c’est insultant à l’égard du peuple en général et des gilets jaunes en particulier mais ce n’en est pas un.

    Le pouvoir pédérastique et rothschildien que nous subissons n’est là que pour mener à son terme la révolution arc-en-ciel. Puisque le peuple constitue une gêne, un obstacle, il convient de le manipuler, de le pervertir voire de le dissoudre. Par la destruction de la famille et de l’identité, par la submersion migratoire et la promotion tous azimuts du métissage, par la promotion de toutes les déviances. 

     

    POUR METTRE FIN à un conflit, une opposition, un mécontentement, une insurrection, rien de mieux pour le Système qu’un pseudo-débat national et qu’une “bonne” élection. Les Européennes sont ainsi du pain bénit pour le pouvoir en place car pendant qu’on blablate, qu’on parlote, on n’agit pas, on endort le peuple, on l’anesthésie.

    Le vote est un moyen de canaliser, de neutraliser la radicalité des contestations. De Gaulle l’avait bien compris qui, dès qu’il est revenu au pouvoir, a organisé des élections en Algérie pour diviser ainsi les Pieds-Noirs qui étaient jusque-là tous unis, dans la volonté de maintenir la présence française outre-Méditerranée. Croire que la renaissance nationale puisse naître aujourd’hui d’une « bonne élection » est faire preuve d’une confondante naïveté. Ne serait-ce que parce que les groupements et personnalités qui sont préemptés, qui ont accès aux radios et aux télévisions sont sélectionnés précisément parce qu’ils ne représentent aucun danger pour le Système actuel. Dans les démocraties occidentales, comme naguère dans les pays communistes, mais de manière plus subtile, n’a droit de cité qu’une opposition contrôlée. C’est le cas évidemment d’un Mélenchon qui fut ministre de Jospin, resta trente ans au PS, fut sénateur socialiste et qui est depuis fort longtemps un membre du Grand Orient. Mais, disons-le, c’est aussi le cas d’une Marine Le Pen qui, dès le début du mouvement des gilets jaunes, a pondu un texte réaffirmant son attachement aux institutions actuelles et à la Ve République, a redit à plusieurs reprises son rejet de l’antisémitisme et son refus de toute violence — comme si la politique ne reposait pas fondamentalement sur la peur et la violence, qu’elle soit directe ou indirecte, que cette illettrée lise Georges Sorel ! — et qui, loin de défendre réellement les intérêts des travailleurs français, campe sur une ligne national-sioniste. 

    Or il est radicalement incompatible de se prétendre au chevet des catégories populaires et des classes moyennes entrepreneuriales et en même temps de faire des risettes à Goldnadel, à la Ligue de Défense juive et à toute cette camarilla communautaire dont la domination repose précisément sur l’esclavage salarial et fiscal du peuple à base d’anti-nationalisme, de dumping social et de métissage organisé.

    Ce n’est pas un hasard si les personnalités médiatisées de la communauté étoilée, de BHL à Haziza, en passant par Daniel Cohn-Bendit, Kassovitz et consorts ont pris dès le départ une position très hostile aux gilets jaunes et fort méprisante à leur égard. C’est qu’ils sentaient que leur domination insolente était menacée par une insurrection populaire, si elle devait aller à son terme et renverser le pouvoir actuel qui n’est jamais qu’une émanation du CRIF, du Congrès juif mondial, d’Attali et de la banque Rothschild. 

     

    IL FAUT BIEN comprendre que le pouvoir actuel, c’est essentiellement le pouvoir bancaire par la dette.

    En effet pus les Etats sont endettés, plus le pouvoir des usuriers est élevé. Or, d’après l’INSEE, au troisième trimestre 2018, la dette publique française s’élève à 2322,3 milliards d’euros. Soit près de 100 % du Produit intérieur brut, c’est-à-dire la totalité de la richesse produite en France en un an. Si l’on ajoute les engagements hors bilan, comme les retraites futures des fonctionnaires à payer et toute une série d’engagements pris par les pouvoirs publics, l’endettement réel du pays est de 6 500 milliards d’euros, une somme colossale.

    Au nom du remboursement de la dette et du paiement des intérêts, eux aussi colossaux, de la dette, on appauvrit le peuple, on le fragilise, on le martyrise. En réduisant ou en comprimant sans cesse les prestations, les salaires et les pensions d’une part.  En augmentant les taxes et les impôts d’autre part. En réduisant le nombre des services publics, de surcroît de plus en plus défaillants, singulièrement dans les zones rurales où l’on ne compte plus la fermeture des hôpitaux et des maternités, des écoles, des crèches et des bureaux de poste.

    C’est donc une politique délibérée d’enrichissement de prédateurs internationaux, de financiers apatrides, d’usuriers sans scrupules qui est mise en œuvre par les gouvernements successifs au détriment du peuple, à rebours du bien commun. 

    Et à ce pouvoir bancaire s’ajoute une idéologie cosmopolite à la fois pro-migrants et pro-LGBT qui consiste à organiser l’invasion de l’Europe et de l’Occident par des masses d’allogènes et leur dissolution par l’homosexualisme, la théorie du genre, une révolution anthropologique, sociétale et civilisationnelle sans précédent par son ampleur et sa rapidité dans l’histoire des hommes.

    Mais en réalité il s’agit du même pouvoir concentré dans les mêmes mains : il n’est que d’aller sur le site de la LICRA ou d’autres sites communautaires pour se rendre compte que ces organisations défendent avec autant d’ardeur le lobby LGBT et l’ouverture totale des frontières aux migrants qu’elles condamnent et poursuivent devant les tribunaux tout ce qu’elles considèrent comme manifestation d’homophobie, de racisme et d’antisémitisme.  Sachant que pour la LICRA, être révisionniste ou anti-sioniste, c’est être antisémite, promouvoir la famille traditionnelle et s’opposer au “mariage gay”, à la GPA et à la PMA, c’est être homophobe et rejeter l’immigration de masse, c’est être raciste.

     

    PAR CONSÉQUENT, il ne faut pas avoir peur de désigner l’ennemi. Car si l’on n’ose même pas le nommer, comment peut-on espérer le combattre ? Et si l’on fait ami-ami avec lui, c’est déjà qu’on a trahi. Un opposant sans concession au pouvoir actuel sera nécessairement traqué et diabolisé, les plateaux télé lui seront fermés. C’est à la façon dont le pouvoir médiatique traite les opposants qu’on sait à qui l’on a affaire. 

    Car il n’y a aucune illusion à se faire : pour conserver ses prébendes et sa domination, ce pouvoir est prêt à tout, y compris à tirer sur la foule. L’acquisition de nombreux flash-balls va clairement dans ce sens. La police française utilise de plus en plus les méthodes israéliennes de répression des manifestations. Depuis Sarkozy il y a eu en effet des échanges discrets mais nombreux et suivis avec de hauts responsables israéliens quant aux méthodes musclées de maintien de l’ordre.

    On veut nous traiter comme des Palestiniens dans une vaste Cisjordanie à la française, dans une bande de Gaza étendue aux six coins de l’Hexagone. Nous vivons dans un territoire occupé et cela va finir très mal .

     

     

  • Nouvelle offensive de propagande LGBT dans les écoles !

     

    Le ministre de l’éducation nationale Jean-Michel Blanquer, soutenu par la secrétaire d’Etat Marlène Schiappa, s’est réjoui de pouvoir annoncer une nouvelle campagne de propagande dans les écoles : « Collèges et lycées engagés contre l’homophobie et la transphobie : tous égaux, tous alliés ».

     

     

    Le site internet du ministère de l’éducation nationale décrit les objectifs de cette campagne « Tous égaux, tous alliés »...

    Affirmer l’opposition de l’institution scolaire à toute forme de discrimination et de violence LGBTphobes ;
    Mobiliser l’ensemble de la communauté éducative en engageant chacun et chacune à soutenir les jeunes LGBT face aux difficultés qu’ils sont susceptibles de rencontrer dans le cadre scolaire (ndlr : à quand l’instauration d’une mesure officielle de discrimination positive en faveur des élèves qui se déclareront LGBT ?)  ;
    Lutter contre l’invisibilisation des jeunes LGBT, terreau à la fois de l’homophobie et de la transphobie et du mal-être de certains adolescents (ndlr : avec de la propagande LGBT matin et après-midi pour que chacun soit bien encouragé à se sentir plus valorisé s’il se déclare LGBT ?) ;
    Engager une dynamique positive en matière de climat scolaire en portant l’idée que chaque établissement doit veiller à créer un climat sécurisant pour tous et toutes ;
    Développer des solidarités, notamment entre élèves, et des initiatives contre les discriminations ;
    Promouvoir le « zéro tolérance » à l’égard des injures sexistes et LGBTphobes ;
    Rappeler l’existence du service d’aide à distance ecoute.contrelhomophobie.org, accessible à toutes et tous par téléphone, courriel et chat.
    Tout en dénonçant les violences homophobes et transphobes, la campagne « tous égaux, tous alliés » véhicule un message positif qui valorise la diversité (ndlr : ici, il y a bien aveu d’une propagande LGBT) et invite à s’engager en faveur d’un climat scolaire plus inclusif et plus propice au bien-être et à la réussite de chacun. Le ministère souhaite ainsi provoquer un changement d’état d’esprit, afin que s’exprime dans les établissements scolaires davantage de bienveillance à l’égard des jeunes LGBT et que le discours homophobe et transphobe s’y trouve marginalisé.

    L’école a pour mission de transmettre des savoirs (qu' elle ne transmet plus depuis des lustres ...), pas d’inculquer une propagande LGBT ! Parents, réveillez-vous !

     

  • Veil au Panthéon !

     

     

    Au lendemain de la Gay Pride parisienne à l’occasion de laquelle les murs de l’Assemblée nationale avaient été recouverts par des drapeaux arcs-en-ciel, marquant ainsi de manière spectaculaire la totale inféodation de la représentation nationale et des pouvoirs publics au lobby LGBT, l’icône Simone Veil, née Jacob, est entrée au Panthéon. Avec son mari Antoine...

    Ainsi l’a voulu le chef de l’Etat, et avec lui tout ce que compte la République de politiciens, de journalistes, de décideurs. Il est logique que l’Etat cosmopolite canonise l’auteur de la loi légalisant le massacre de masse des innocents.

    Simone Veil incarne en effet par excellence les trois religions de notre pays sous occupation : la religion de l’avortement, la religion de la shoah et la religion de l’européisme.

    Dans son discours en forme d’hommage dithyrambique le 1er juillet, le chef de l’Etat a d’ailleurs bien mis en valeur ce triptyque. Grâce à son statut de juive et de déportée, elle s’est rendue intouchable, inattaquable. Elle était et demeure une icône. Auréolée, canonisée. Plus haut, c’est le soleil, comme dirait Dieudonné. Critiquer Simone Veil, manquer, ne serait-ce que d’enthousiasme, à l’évocation de son nom et de son œuvre, ne pas multiplier à son endroit les dithyrambes, c’est, aux yeux du Système, être un monstre, un odieux antisémite, un être malfaisant...

    Et pourtant cette femme horrible, au regard haineux, au maintien altier, profondément antipathique, a grandement contribué à la destruction de la France, à l’abandon des repères moraux et familiaux, à la propagation de la lèpre européo-mondialiste, à la contre-religion holocaustique qui détruit nos défenses immunitaires, crée des générations entières d’ethnomasochistes et de judéoserviles qui déposent dévotement leur fleur et leur bougie à Auschwitz, salit notre histoire et lave les cerveaux. 

    Par la loi qui porte son nom, plus de deux cent mille enfants français sont tués chaque année dans le ventre de leur mère. Et ce crime est légal. Il est même remboursé à 100 % par la Sécurité sociale.

    Qu’une mère tue le fruit de ses entrailles, ce que toutes les civilisations traditionnelles ont considéré comme le sommet de l’horreur et de l’abjection, est considéré aujourd’hui comme un droit élémentaire et fondamental, comme une fantastique conquête des femmes et de la modernité.

    Pourtant, comment un pays, une nation, un peuple, un continent pourrait-il avoir un avenir si l’on supprime en masse ses enfants à naître par appétit de jouissance, par volonté de vivre sans entraves ?

    On notera que Simone Veil est entrée au Panthéon le 1er juillet, fête du Précieux Sang. Ce jour-là, l’Eglise catholique rend hommage dans sa liturgie au Christ qui a fait couler Son sang innocent pour réparer les péchés des hommes. Or Simone Veil par sa loi fait couler en permanence depuis près d’un demi-siècle le sang des innocents. Et les enfants qui ne sont pas tués dans le ventre de leur mère, qui sont donc des rescapés, des survivants, non de la shoah mais de la loi Veil, ils ont le cerveau lavé par les pèlerinages à Auschwitz et au Struthof et par une intense propagande à l’école, dès le primaire, au cinéma, à la télévision, bourrage de crâne dans lequel l’ancienne ministre de Giscard a joué un rôle très important. 

     

    La nouvelle résidente du Panthéon a en effet été présidente de la Fondation pour la mémoire de la shoah. Or il y a plus de liens qu’on ne pense entre la religion de la shoah et celle de l’avortement...

    La religion de l’avortement tue les corps, la religion de la shoah assassine les âmes. Elle agit comme un virus qui détruit les défenses immunitaires. C’est un sida mental. Le culte holocaustique repose en effet sur la haine du nationalisme, sur la diabolisation de la devise de l’Etat français, Travail-Famille-Patrie, sur le rejet de l’être historique de la France et de l’Eglise, sur la condamnation de l’anti-judaïsme théologique du catholicisme traditionnel. Puisque, nous dit-on, le pétainisme qui défend une politique familiale et nataliste vigoureuse, à l’instar des régimes fascistes, a été complice d’un génocide, on ne peut que remettre radicalement en question son idéologie, les fondements sur lesquels il reposait.

    La religion de la Shoah est une contre-religion fondée sur la haine, d’où l’impitoyable persécution des révisionnistes, sur le rejet du sol, du sang, de l’attachement à son terroir, à sa nation, d’où la promotion de l’immigrationnisme, du métissage, de la diversité! Elle débouche nécessairement sur la haine de soi et sur un océan de nihilisme. Si Dieu s’est tu à Auschwitz, professent les grands prêtres de ce culte, c’est qu’il n’existe pas. C’est ce que répétait Lucie Aubrac et c’est ce que pensait Veil qui était notoirement athée. 

    Le culte holocaustique n’élève pas l’âme et l’esprit, il ne prépare pas au dépassement de soi, à l’héroïsme. Il conduit à la haine de ses racines, de son passé, de ses aïeux, de son pays, de ses traditions, de ses héros, il exprime la condamnation de deux mille ans de civilisation européenne et chrétienne puisque cette civilisation, nous dit-on, a conduit à l’Holocauste. Ce culte est une contrefaçon de la religion chrétienne dont il songe les rituels et dont il est une inversion diabolique, « la magique chambre à gaz », selon l’expression de feu Louis-Ferdinand Céline, se substituant à la Croix et le peuple juif crucifié au Christ. Les juifs deviennent dans cette perspective une sorte de Messie collectif, les rédempteurs de l’humanité. De même que le Christ est mort asphyxié sur la croix pour la rédemption de l’humanité et est ressuscité le troisième jour, de même le juif meurt asphyxié dans la chambre à gaz persécuté par l’humanité et ressuscite politiquement trois ans plus tard en Israël. La Shoah s’est substituée au Golgotha, le génocide au déicide. Simone Veil a été une grande prêtresse de ce culte, et aussi, ce qui va ensemble, un soutien inconditionnel de l’entité sioniste. Elle ne manquait d’ailleurs jamais un dîner du CRIF dont elle était la statue du commandeur.

     

    Apologiste des infanticides et grande prêtresse du culte holocaustique, Simone Veil fut enfin le sectateur acharné d’une Union européenne supranationale détruisant la souveraineté nationale. Elle fut la première présidente du Parlement européen et défendit à trois reprises, comme tête de liste aux élections européennes en France, des positions fédéralistes et agressivement européistes. Il y a dans tous ces engagements une profonde logique : Simone Veil était adepte de la suppression des frontières morales et physiques, sauf pour l’entité sioniste bien sûr. Elle a œuvré à la suppression des frontières nationales pour les hommes, les marchandises et les capitaux dans le cadre du grand marché européen, qui est en fait l’antichambre et l’alibi d’une gouvernance planétaire, mais également à la suppression des frontières morales avec la légalisation, puis la sacralisation, de l’infanticide, la destruction de la cellule familiale et de la morale traditionnelle. Elle a grandement contribué à la dilution de la famille et de la nation qui n’est jamais qu’une famille de familles comme le professait le maréchal Pétain. 

    En cela, elle a bien mérité de la République cosmopolite. Il était donc logique qu’elle entrât au Panthéon où elle est en bonne compagnie avec les René Cassin, les Jean Moulin et autres figures de l’imposture résistancialiste.

    Et il était logique que le pitoyable Macron, l’homme d’Attali et des Rothschild, présidât cette cérémonie, comme il avait dix jours plus tôt présidé à l’Elysée pour la Fête de la musique une soirée de musique électronique où un disc-jockey affichait fièrement sur son maillot la mention « Fils d’immigré, noir et pédé » et comme il avait la veille apporté son soutien public et enthousiaste à la Gay Pride.

    En quelques jours seulement, nous pouvions ainsi nous rendre compte que leur République judéo-maçonnique redonnait vie de manière superlative, en une forme d’effrayant triptyque, à trois épisodes de l’Ancien Testament : la tour de Babel, le veau d’or et Sodome et Gomorrhe !