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laïcité - Page 2

  • Hollande et Valls aux ordres du CRIF .

    Le 27 janvier, lors d’un discours au mémorial de la Shoah à Paris, à l’occasion du 70e anniversaire de la “libération” du camp d’Auschwitz, François Hollande a annoncé « d’ici la fin du mois de février un plan global de lutte contre le racisme et l’antisémitisme ». “Sécurité”, “transmission” vers les jeunes générations et « régulation du numérique » seront les principes de cet énième plan selon le président de la République qui a décidé de renforcer considérablement la chape de plomb qui pèse sur nous et qui est de plus en plus insupportable. « Le gouvernement de Manuel Valls a pris les dispositions qui convenaient pour que les synagogues, les commerces, les écoles, les centres culturels de la communauté juive soient protégés », a rappelé l’hôte de l’Elysée. « Je veux aller plus loin, en améliorant la visibilité et l’efficacité des sanctions : ce qui supposera de généraliser la caractérisation raciste et antisémite comme circonstance aggravante d’un délit, et sortir la répression de la parole raciste et antisémite du droit de la presse pour l’intégrer au droit pénal général », a affirmé François Hollande confirmant les projets de Christiane Taubira dont nous avons parlé dans notre précédent éditorial. On peut s’attendre au pire : détention préventive, comparution immédiate, peines de prison allongées, amendes alourdies. Traiter les journalistes politiquement incorrects, et au-delà tous les hommes libres, comme des criminels de droit commun, voilà le projet du pouvoir en place qui montre de manière spectaculaire à quel point il est du camp de l’anti-France.

    Le chômage et la violence, les dettes et les déficits peuvent exploser, ce qui compte pour l’Exécutif, c’est de traquer les mal-pensants !

     

    Et pour que personne n’échappe à la nouvelle religion laïque, antiraciste et philosémite (c’est en fait la même chose), le bourrage de crânes va s’intensifier dès la maternelle et à tous les niveaux de l’enseignement. Les élèves, les enseignants et les parents d’élèves devront se soumettre sauf à essuyer les pires avanies. Dans son discours à la Sorbonne, le 21 janvier, Hollande, évoquant les minutes de silence perturbées dans certains établissements scolaires, s’était déjà montré martial : « Tout comportement mettant en cause les valeurs de la République ou l’autorité [des enseignants fera l’objet d’un] signalement [au chef d’établissement] […] Aucun incident ne sera laissé sans suite. Chaque fois qu’il y aura une mise en cause de la dignité, de l’égalité entre jeune fille et jeune garçon, qu’il y aura une pression, un mot qui sera prononcé qui met en cause une valeur fondamentale de l’école et de la République, il y aura une réaction. » Hollande a par ailleurs annoncé la création dans chaque académie de groupes de volontaires, des « réserves citoyennes » (sic !), pouvant intervenir dans les établissements scolaires. François Hollande a également souhaité que le 9 décembre, la « Journée de la laïcité soit célébré dans tous les établissements scolaires ». Ce jour a été choisi car c’est l’anniversaire de la séparation de l’Eglise et de l’Etat, le 9 décembre 1905.

    Mais si l’Etat français est en effet séparé de l’Eglise depuis cette date, il n’a jamais été séparé en revanche de la loge ni de la synagogue dont il est en fait une émanation. Il n’est que de voir son allégeance au CRIF et les valeurs qu’il prône et qui sont toutes celles de la franc-maçonnerie.

    Le ministre de l’Education nationale, Najat Vallaud-Belkacem, a détaillé le 22 janvier les mesures que le gouvernement a prises pour l’école dans le cadre d’une grande mobilisation pour les « valeurs de la République ». Elles font froid dans le dos. La Franco-Marocaine a d’abord annoncé « un plan exceptionnel de formation continue des enseignants et des personnels d’éducation » Mille premiers «formateurs» seront préparés, avant la fin de l’année scolaire, pour « aborder avec les élèves les questions relatives à la citoyenneté, à la laïcité, à la lutte contre les préjugés ». Dans les concours de recrutement, la capacité des candidats « à expliquer et à faire partager les valeurs de la République » sera par ailleurs évaluée. Autrement dit les enseignants ne seront plus recrutés d’abord pour leurs connaissances et leur capacité à transmettre des savoirs mais pour leur capacité à faire de leurs élèves des militants antiracistes, philosémites, antirévisionnistes et homosexualistes. Bref des moutons de Panurge du Système qui nous opprime et qui nous détruit. Car ce sont précisément les valeurs de la République qui tuent la France, détruisent ses défenses immunitaires, sont la négation des vertus chrétiennes.

     

    Si les enseignants sont formatés, les élèves doivent l’être dès la petite enfance : un « parcours citoyen » sera imposé aux élèves, de l’école élémentaire à la terminale. Il sera construit, dès septembre 2015, autour d’un nouvel enseignement moral et civique : 300 heures y seront dédiées sur l’ensemble de la scolarité. Ces cours devront intégrer les problématiques de lutte contre le racisme, l’antisémitisme, les préjugés et autres discriminations, notamment celles contre les homosexuels. Cela promet !

    Le gouvernement n’oublie pas non plus les parents qui pourraient n’être pas assez républicains, laïcards et antiracistes. Ils auront droit à une “mallette” pédagogique pour leur faire ingurgiter de force « les valeurs de la République ». Les actions éducatives et pédagogiques des associations dites de lutte contre le racisme et l’antisémitisme seront renforcées, spécifiquement sur les problématiques du vivre-ensemble, de la lutte contre les préjugés, le racisme, l’antisémitisme et la xénophobie afin que les parents soient, eux aussi, de bons républicains.

    Et Vallaud-Belkacem n’oublie pas bien sûr le plus important : la transmission de la Shoah. Le ministère de l’Education nationale vient de co-éditer avec la Fondation pour la mémoire de la Shoah de nouveaux supports à l’occasion de la commémoration du 70e anniversaire de la “libération” du camp d’Auschwitz-Birkenau. Un ouvrage — L’Album d’Auschwitz  —, un web-documentaire et un DVD permettent d’ « accompagner les nouveaux usages » et d’« intéresser l’élève ». La religion de la Shoah est en effet le meilleur garde-fou pour le maintien du Système actuel. D’où la nécessité que toutes les générations, des enfants de maternelle jusqu’aux vieillards, brûlent un grain d’encens devant l’idole holocaustique qui se substitue de manière satanique au sacrifice rédempteur du Christ sur la Croix.

     

    On le voit, le docteur Goebbels était un enfant de chœur, un aimable plaisantin à côté de ces propagandistes zélés de la laïcité, de l’antiracisme et de la Mémoire. Leur laïcité n’est en fait que le cache-sexe d’un athéisme d’Etat, militant et fanatique, d’un antichristianisme radical et d’un système judéo-maçonnique et ploutocratique en tous points haïssable et que nous combattrons de toutes nos forces tant que nous aurons un souffle de vie.

     

  • La laïcité n' a aucune chance de s' imposer face à l' islam ! ...

    Pour éviter qu’un jeune ne s’égare dans la voie de l’islamisme il convient que l’école le guide dans le droit chemin républicain. C’est ce que le chef de l’Etat appelle « l’acte II de la refondation de l’école », on a déjà oublié ce qu’était l’acte I… François Hollande a opté pour la fermeté ! Ainsi : « Aucun incident ne sera laissé sans suite. Chaque fois qu’il y aura une mise en cause de la dignité, de l’égalité entre jeune fille et jeune garçon, qu’il y aura une pression, un mot qui sera prononcé qui met en cause une valeur fondamentale de l’école et de la République… » Ah mais ! Que se passera-t-il alors ? Le président n’hésite pas et affirme: « il y aura une réaction ». Ouf ! Laquelle ? Là encore, sa voix ne tremble pas pour le dire : « Tout comportement mettant en cause les valeurs de la République ou l’autorité des enseignants fera l’objet d’un signalement au chef d’établissement. » ...
     
    Signalés au chef d’établissement ? Les collégiens et lycéens de banlieue en tremblent...
     
    Ils ne soupçonnaient pas que la République irait jusque-là pour les mettre au pas. Le lendemain, leur ministre de tutelle, Najat Vallaud-Belkacem, n’a pas été moins combative qui a précisé que ces cas-là seront non seulement « signalés au directeur d’école ou au chef d'établissement » mais en plus « suivis d’un dialogue avec les parents », voire « d'une sanction disciplinaire » mais, attention, point trop n’en faut pour ne point les désespérer, la sanction n’interviendra, elle, que « le cas échéant ». Un dialogue avec leurs parents, le coup est rude !...
     
    Quelles sanctions ? On n’ira pas jusqu’à les mettre au piquet pour ne pas les humilier, mais ce sera quand même terrible ! Les élèves pourront « écoper » (sic) de mesures de responsabilisation à effectuer auprès d’associations pour « développer leur conscience citoyenne et les aider à réfléchir à la portée de leurs actes ». Ainsi, grâce à cela, ils auront enfin une attitude civique, leur conscience assoupie étant éveillée au son du clairon républicain, ils comprendront qu’on peut aider les vieilles dames à traverser la rue sans leur piquer leur porte-monnaie. Dans les cas les plus douloureux, un juge de proximité pourra leur infliger un « rappel à la loi », qui est le terme juridique pour « tirer les oreilles ». Ils ne s'en remettront pas.
     
    Le "sabre de bois" hollandais supposé tarir, à terme, les sources du djihadisme, ne concerne que les « meilleurs » de nos jeunes, c'est-à-dire ceux qui sont restés dans le système scolaire. Mais les autres qui l’ont déjà fui’? Ceux qu'on appelle aujourd'hui « décrocheurs » et qu’on nommait jadis « cancres » ? Ce sont eux qui sont disponibles pour l’aventure guerrière en Syrie et terroriste en France. Rien n’est prévu !
     
    Mme Najat Vallaud-Belkacem a également annoncé, incidemment, que les « candidats professeurs seront évalués sur les valeurs de la République. » On doit s’interroger sur cette formule. Il n’est pas rare qu’une mesure applicable à l’origine aux uns le soit finalement aux autres. Faite pour écarter d’éventuels islamistes, elle pourrait être opposée aux professeurs qui refuseraient l’égalité entre homosexualité et hétérosexualité ou ne sacrifieraient pas à la théorie du « genre ». Vigilance, donc…
     

  • Avec son “apartheid”, Valls encourage le communautarisme voire la guerre civile...

     

     
    Présentant mardi ses vœux aux journalistes, le Premier ministre n’a pas hésité à employer l’expression « d’apartheid territorial, social et ethnique » pour évoquer la situation catastrophique des banlieues françaises. Une expression à la fois anachronique et géographiquement inappropriée qui, non contente de montrer l’inculture de ceux qui nous gouvernent, abonde dans le sens de la culpabilisation de notre pays.

    « Les mots ont un sens »

    Ce n’est pas la première fois que Valls se hasarde à cette comparaison. En 2005 déjà, au lendemain des émeutes qui avaient mis à feu et à sang les banlieues, celui qui était alors maire d’Evry établissait ce parallèle douteux dans son livre La Laïcité en face. Depuis, il nous le ressert régulièrement, expliquant notamment en 2009, sur la chaîne Direct 8, « qu’un véritable apartheid s’est construit, que les gens bien-pensants voient de temps en temps leur éclater à la figure, comme ça a été le cas en 2005, à l’occasion des émeutes de banlieues ». Mardi, le Premier ministre est donc revenu à la charge en déclarant que « ces derniers jours ont souligné beaucoup des maux qui rongent notre pays » et « qu’à cela, il faut ajouter toutes les fractures, les tensions qui couvent depuis trop longtemps et dont on parle peu, (…) la relégation périurbaine, les ghettos, (…) un apartheid territorial, social, ethnique, qui s’est imposé à notre pays ».
    Des mots qui ont, bien sûr, suscité de vives réactions dans la classe politique. Ainsi le député UMP Philippe Gosselin, jugeant ces propos « vraiment excessifs », a-t-il rappelé que « les mots ont un sens » et que « la France aujourd’hui ne connaît pas l’apartheid que pratiquaient les dirigeants de l’Afrique du Sud ». Et de son côté, Florian Philippot a estimé pour le FN que le Premier ministre « a tenu des propos aussi irresponsables qu’insultants pour notre pays », ajoutant que Valls « ne peut ignorer que ses propos ne feront que jeter de l’huile sur le feu ».

    « Renforcer les processus de victimisation »

    En fait, comme le rappelait très justement le géographe Laurent Chalard, cité par le Figarovox, ces propos « sont particulièrement maladroits », parce que le Premier ministre « fait référence à un contexte historique et géographique très particulier (…) qui n’a strictement rien à voir avec la France et qui, si l’on suit sa définition stricto sensu, laisserait entendre que l’Etat français est responsable de cette situation, ayant volontairement “parqué” certaines populations dans des territoires réservés (nos grands ensembles étant nos bantoustans) et les empêchant de participer au reste de la vie de la société à travers une législation spécifique suivant l’origine ethnique des individus ». Une « interprétation erronée », ajoutait-il, qui « risque de renforcer les processus de victimisation et de déresponsabilisation déjà à l’œuvre parmi les personnes censées subir ce soi-disant apartheid » !
     
    F. DELETRAZ
     
     
    Commentaires: Valls et son gouvernement en parfaits marxistes,en quête de voix , tout en obéissant aux loges maçonniques, encouragent le communautarisme , l' immigration de masse( alors qu' il n' y a plus de travail et de logements pour les Français de souche), immigration qui nous mène à  la guerre civile et qui entraîne la destruction de la Nation Française .