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avortement - Page 6

  • « Les actes de Simone Veil sont horribles » (Dr Xavier Dor) .

     

    Tandis que peu de voix discordantes osent interrompre le concert de louanges qui entoure Simone Veil depuis l’annonce de son décès, nous croyons utile de republier l’article du Docteur Dor paru dans le journal Présent du 17 mars 2010.

     

    18 mars 2010 : entrée de la culture de mort à l’Académie française

     

    La culture de mort est entrée dans notre société en 1967, le 28 décembre, jour anniversaire du massacre des Saints Innocents. L’auteur de la loi qui a autorisé l’usage de la pilule et la contraception est Lucien Neuwirth, franc-maçon, ce qui n’a jamais effrayé le gaullisme, même vieillissant.

    La loi avait été précédée le 23 septembre de la même année par une redéfinition, dans le Code de la santé publique, du mot « médicament » : substance permettant de soigner et, éventuellement, guérir, mais aussi « capable de modifier les fonctions organiques ». Les choses iront si loin que l’on parlera d’IVG médicamenteuse, mortelle pour l’enfant et non sans danger pour la mère.

    La pilule qui s’oppose à la fécondation a été présentée comme moyen d’éviter un avortement. En réalité – tout est là – la contraception n’a d’autre but que la libération sexuelle séparant la sexualité et la fécondité.

    La chose est si claire que le MFPF (Mouvement français pour le planning familial) a inscrit dans ses statuts : art. 1-5, « le droit à la contraception et à l’avortement ».

    La contraception est une guerre déclarée à la chasteté, à la fidélité, à la maîtrise de soi, ouvrant la porte à la débauche et au meurtre.

    Restait la loi de 1920 qui poursuivait et condamnait l’avortement. Il fallait compléter la loi de 1967. Suivit une campagne effrénée des féministes. Giscard, pour se faire élire à la présidence en 1974, fit le tour des loges. Et ce fut la loi Giscard-Chirac-Veil, dite loi Veil. Elle fut votée le 29 novembre à 3 h 40 du matin : la gauche avait fait bloc et la droite avait apporté le tiers de ses voix. La loi fut appliquée le 17 janvier 1975.

    D’où viennent les lois de 1967, 1975 et les suivantes ? Elles sont les filles de la Déclaration universelle des droits de l’homme de 1789, art. 6, tiré du Contrat Social de Jean-Jacques Rousseau : « La loi est l’expression de la volonté générale. »

    L’homme, désormais, décide lui-même du bien, du mal, du vrai et du faux, du juste et de l’injuste. Il ne dépend plus de la raison droite, celle d’Aristote et de saint Thomas d’Aquin mais de la raison seule, celle des Encyclopédistes et de Robespierre.

    L’Académie française a été fondée sous Louis XIII par un cardinal respectueux de la loi divine. C’est maintenant le règne des Droits de l’homme sans Dieu, d’une République qui donne le droit à l’élimination des plus faibles.

    En abrogeant la loi de 1920, faisant ainsi sauter le dernier verrou, la loi Veil n’a pas fondé la culture de mort mais elle l’a consacrée. Sa consécration est un sacrilège et ce sacrilège est celui de la transgression de la loi divine et de la loi naturelle, non par changement de civilisation mais par sa négation : l’élimination du plus faible et de l’innocent.

    La loi a tout perverti :

    La justice. En dépouillant de toute protection juridique l’enfant non né de moins de 10 semaines : on peut le considérer et le traiter comme une chose.

    La médecine. Pour être sans danger, l’avortement doit être propre. Le crime doit être médicalisé. Le serment d’Hippocrate est expurgé. Toute la profession est sinistrée. Actuellement, plus de 95 % des gynécologues font des avortements. Aucun d’eux ne peut devenir chef de service s’il n’accepte pas d’en pratiquer. La clause de conscience est reconnue aux médecins mais non aux pharmaciens.

    Le langage. L’Académie est la gardienne de la langue française, claire et belle. La règle ici est la confusion, celle de Babel :

    — si l’article 1er de la loi affirme le principe du respect de la vie dès son « commencement », c’est pour, aussitôt, y déroger.

    — la contraception – pilule, implant, stérilet – ne s’oppose plus ou guère à la fécondation mais à la nidation de l’œuf : elle tue un œuf dans le sein de sa mère. L’avortement est si précoce qu’il passe inaperçu. On appelle contraceptif ce qui, en fait, est le plus souvent abortif.

    — médecin-assassin, médicament-poison font d’étranges figures. Le mensonge cache l’homicide.

    La conscience. Madame Veil, le 3 mars 1975, un mois et demi après la parution de la loi, a déclaré au Times : « En modifiant la loi, vous pouvez modifier fondamentalement le modèle du comportement humain. Cela me fascine. »

    La maternité, la paternité, la fratrie, la famille. Une femme peut tuer son père, sa mère, son voisin, c’est gravissime. Mais elle seule peut tuer ou faire tuer son propre enfant. La maternité est inscrite au plus profond d’elle-même et y porter atteinte, c’est la dénaturer. La loi permet de tuer mais ne permet pas de s’en consoler. Le père renonce à sa paternité, la fratrie est prise entre le soupçon, la crainte et la violence : « Et si cela avait été moi ? »

    La recherche scientifique. La période embryonnaire, dans l’espèce humaine, dure 8 semaines. La loi est donc un trésor pour tous ceux qui veulent manipuler l’embryon. La liberté de recherche scientifique doit être absolue « contre les interdits moraux » (Alain Bauer). On peut rappeler ici les libertés que prennent les comités d’éthique et les lois bioéthiques.

    L’Etat, mené par la franc-maçonnerie et le laïcisme, a fait sienne, sans discontinuité, la culture de mort, chaque gouvernement apportant sa pierre ; il est responsable de millions de morts de futurs citoyens. Servitude des médias, mainmise sur l’Education…

    L’Eglise a été contaminée largement. D’après Madame Veil elle-même, la loi ne serait pas passée si les évêques s’y étaient opposés plus fermement. Prudence, pour ne pas dire lâcheté, de nos pasteurs. « Laïcité apaisée », silence des paroisses – complicité même : dans le journal la Croix du 1er avril 1993, un Vendredi Saint, Madame Veil était célébrée : « Prima donna inter pares », « haute figure morale », « grande figure morale ». Pas un mot sur l’avortement.

    Et que dire des catholiques qui utilisent le stérilet ?

    Madame Veil a ses partisans, mais au-delà, il y a tous ceux qui ont pour elle de l’admiration et même de la dévotion. Il faut y voir, semble-t-il : l’image de son passé douloureux, l’audace – terrible – de briser un interdit pour libérer la femme… mais à quel prix !

    Les honneurs dont elle ne cesse d’être comblée par les pouvoirs publics successifs… L’intérêt des politiques, des féministes, du Planning, des chercheurs, des industriels, des arrivistes…

    Mais le plus important est le conditionnement des esprits, celui-là même dont elle parlait lors de son interview au Times : « modifier fondamentalement le modèle du comportement humain », celui dont parlait Orwell dans son livre, 1984, à propos de Big Brother : « 2 + 2 = 5. Je ne te dis pas de le dire, je te dis de le penser. » Il ne s’agit plus ici de Staline mais de la franc-maçonnerie, du mondialisme, du grand capitalisme, de l’athéisme, libéral ou marxiste, de l’anarchie.

    Simone Veil a choisi d’en être le symbole populaire. L’a-t-elle fait de gaieté de cœur ? On a du mal à le penser. Nous ne sommes pas là pour la juger, elle ne porte pas toute seule la responsabilité mais ses actes sont horribles.

    Orwell terminait son livre en parlant de son héros malheureux, Winston, par cette dernière phrase : « Il aimait Big Brother. » Il faudrait plutôt parler d’aliénation ou de syndrome de Stockholm : on aime la main qui vous frappe.

    Xavier Dor

     

  • Le cri de SOS Maman .

     

    MPI relaye avec plaisir la dernière dépêche de SOS Maman et encourage tous les lecteurs qui le souhaite à soutenir cette oeuvre magnifique qui oeuvre dans le silence et la discrétion.

    Dépêche de nouvelles chrétiennes RU (UNEC), Edition spéciale 26 juin 2017

    BP 70114, F-95210 St-Gratien, Tél./Rép. 0134120268, unec@wanadoo.frwww.radio-silence.tv

    SOS MAMANS interroge

    Voici d’abord les faits :

    –        En Angleterre furent fabriqués, entre 1991 et 2015, au total 3,9 millions d’embryons par le procédé FIV (fertilisation in vitro), dont 1,6 millions furent implantés aux femmes. Restaient 2,3 millions d’embryons vivants qui furent congelés. Ensuite, puisqu’ils ne trouvaient pas d’autres utilisateurs, ils furent « éliminés par voie d’ordures spéciales ». (Référence : Institut IMABE en Autriche, suivant l’annonce KATHNET du 22/6/2017.)

    –        En plus, en Angleterre la recherche « consommatrice » sur embryons est légale, mais cette recherche est pour l’instant limitée à 15 jours ; après ce délai les embryons utilisés doivent être tués. (Référence : M. Hubert Hüppe, député allemand, suivant l’annonce KATHNET du 3/04/2017).

    –        En France – et Allemagne – cette recherche « consommatrice » sur embryons est interdite, c’est-à-dire – comme tout ce qui est interdit – elle existe, mais elle est organisée de façon secrète, générant un véritable marché au noir.

     

    Notre propre expérience :

    Nous savons que cette recherche vise même des embryons de plusieurs mois, puisque nous avons racheté une vingtaine de bébés destinés à la « recherche » quand ils se trouvaient encore dans le sein des jeunes filles. Leurs mamans s’apprêtaient à les vendre en secret aux organismes de recherche ou leurs pourvoyeurs. En fait c’étaient des mères de jeunes filles qui voulaient vendre les embryons de leurs propres filles pour se faire de l’argent : embryon mâle = 5000 Euro, embryon femelle = 7000 Euro. Nous connaissons ces montants puisque nous avons « racheté» à ce prix ces bébés de la mort certaine. Nous avons même eu des cas où des jeunes filles enceintes devaient partir en Angleterre pour s’y faire enlever leurs bébés vivants et sains à un stade avancé. Ces « instituts de recherche » médicaux ou cosmétiques utilisent les embryons humains comme souris de recherche.

     

    Conclusion

    Face à ce cauchemar dont nous sommes les témoins, nous nous interrogeons si nous ne vivons pas en Europe dans une société carrément cannibale, en dépit du Christ qui est venu il y a 2000 ans pour annoncer et procurer la liberté à tous les hommes de bonne volonté en les rachetant avec son Précieux Sang. A sa suite, au Moyen Age, des moines (les Trinitaires et les Mercédaires) se sont dévoués à racheter par argent trébuchant les Chrétiens capturés par les Musulmans de l’Afrique du nord, en n’hésitant pas à se donner parfois eux-mêmes en échange pour la libération d’un prince catholique tenu en captivité.

    Nous interrogeons, surtout quand on considère en plus la mer de sang des bébés avortés chaque jour dans le monde, si nous ne vivons pas les derniers temps horribles annoncés par la Bible. Serait-ce le temps de l’anti-Christ ? Vu du Ciel l’aspect de la terre recouverte du sang de millions de bébés doit être piteux. Heureusement nous autres Chrétiens savons que, quand l’anti-Christ est arrivé, la venue du Christ Sauveur est proche.

    En attendant, avec les moyens modestes que nous avons grâce à nos donateurs, nous sauvons tous les bébés en danger de mort que le Bon Dieu nous fait rencontrer, jusqu’à présent 1296 bébés en 22 ans de sauvetages directs, en venant au secours des femmes et jeunes filles confrontées au cauchemar de l’avortement ou de l’utilisation « scientifique » de leurs bébés, y compris pour la fabrication honteuse de produits cosmétiques. Une d’elles, à peine 16 ans, d’une clairvoyance cruelle, a crié à sa maman devant nous : « Je ne veux pas que mon bébé disparaisse dans les crèmes de beauté ! »

     

    Chèques à : SOS MAMANS (UNEC), BP 70114, 95210 St-Gratien, Tél/Rép 0134120268, unec.sosmamans@gmail.com . Dons aussi par Paypal via www.radio-silence.tv, 1ère page.

     

  • Aggravation et accélération des avortements, la politique du Grand remplacement dans ses oeuvres: vers un avortement pour quatre naissances ...

    Dans la nuit, les députés ont supprimé en commission le délai de réflexion de sept jours imposé aux femmes souhaitant avorter, dans un amendement au projet de loi Santé.

    Actuellement, deux consultations médicales sont obligatoires avant un avortement, -appelé pudiquement IVG-, avec un délai de réflexion d’une semaine entre les deux. Ce délai de réflexion est « infantilisant » selon la député PS hystériquement féministe, Catherine Courtelle; il a pour tort de stigmatiser « l’avortement comme un acte médical à part ».; elle a donc déposé un amendement pour la suppression de ce laps de temps. Le ministre de la Santé, Marisol Touraine, voulait simplement le réduire à 2 jours. Mais dans la nuit du 18 au 19 mars, les députés ont supprimé purement et simplement le délai de réflexion, en commission des affaires sociales. C’est plus simple!

    Vers la suppression de la clause de conscience des médecins ?

    La présidente de la délégation aux Droits des femmes Catherine Coutelle (PS) a également proposé de supprimer la clause de conscience permettant aux médecins de refuser de pratiquer une IVG. Elle estime que cette disposition spécifique à l’avortement est redondante avec la clause de conscience générale, s’appliquant à tous les actes médicaux et inscrite dans le Code de la santé publique.

    La ministre de la Santé Marisol Touraine a émis « un avis résolument défavorable » à cet amendement, jugeant qu’il ne fallait pas « ranimer de débat éminemment symbolique dans un contexte de tensions sur un certain nombre de sujets de société ». Du coup Catherine Coutelle a accepté de retirer son amendement.

    On le voit la politique de mort avance à grands pas dans notre pays et pas seulement en raison des menaces islamistes ou en raison des accidents de la route. On ne sait pas encore si certains députés se sont élevés contre cette loi barbare.

     

    Totalitarisme: contrôle de la vie 

    Cela intervient suite au programme national d’action pour améliorer l’accès à l’avortement qui a été publié en janvier par le Marisol Touraine; il prévoit notamment le remboursement intégral de l’avortement volontaire. Ces mesures interviennent dans un climat de totalitarisme général et plus particulièrement en ce qui concerne la vie.  Il s’agit notamment d’établir une liste des établissements de santé « dont l’activité d’IVG est insuffisante ». Ces établissements devront, dans le cadre de contrats d’objectifs et de moyens, s’engager sur des quotas d’avortements, à hauteur d’1 avortement pour 4 naissances.

    Le Grand remplacement

    L’objectif est clair, détruire la vie! Mais pas n’importe quelle vie. Les populations d’origine musulmanes qui envahissent notre pays, -par terre, par air et par mer-, elles, grâce à la politique propice aux prétendues « familles uniparentales », peuvent multiplier les naissances à la faveur de la tolérance de la polygamie et grâce à la possibilité pour les musulmans de faire des mariages religieux sans passer par la mairie. Le tout subventionné par les aides sociales...

     

    Bompard, un homme courageux .

     

    Bien décidé à tout mettre en œuvre pour s’opposer aux projets criminels d’une majorité socialiste qui traite l’avortement « dans une démarche purement idéologique », le député-maire d’Orange demande aujourd’hui que l’on fasse écouter le cœur de leur enfant aux femmes souhaitant avorter, afin de leur « faire prendre conscience de la réalité de ce qu’elles portent ».

    Chacun a encore en mémoire le discours poignant que Jacques Bompard avait prononcé en novembre dernier devant les députés qui venaient d’adopter à 143 voix contre 7 – honte à eux ! – la proposition de résolution réaffirmant le « droit fondamental » à l’IVG. Dénonçant les « nombreux attentats contre le bon sens », il avait alors demandé pardon – entre autres – « pour les enfants qui ne naîtront pas » et pour les « 225 000 parents en France qui disparaissent devant la grande coalition du prêt à penser et de la culture de mort ».

    Depuis, la « grande coalition » a encore avancé ses pions, faisant adopter mercredi par l’Assemblée la suppression du délai de réflexion de sept jours imposé aux femmes souhaitant une IVG. Mais le fondateur de la Ligue du Sud ne désarme pas. Dans un amendement déposé le 27 mars, il demande non seulement que « des solutions alternatives » soient proposées à la mère, mais aussi qu’on lui fasse écouter le cœur de son enfant afin de lui faire prendre conscience qu’elle porte une vie en elle .

     

    Bien décidé à tout mettre en œuvre pour s’opposer aux projets criminels d’une majorité socialiste qui traite l’avortement « dans une démarche purement idéologique », le député-maire d’Orange demande aujourd’hui que l’on fasse écouter le cœur de leur enfant aux femmes souhaitant avorter, afin de leur « faire prendre conscience de la réalité de ce qu’elles portent ».

    Chacun a encore en mémoire le discours poignant que Jacques Bompard avait prononcé en novembre dernier devant les députés qui venaient d’adopter à 143 voix contre 7 – honte à eux ! – la proposition de résolution réaffirmant le « droit fondamental » à l’IVG. Dénonçant les « nombreux attentats contre le bon sens », il avait alors demandé pardon – entre autres – « pour les enfants qui ne naîtront pas » et pour les « 225 000 parents en France qui disparaissent devant la grande coalition du prêt à penser et de la culture de mort ».

    Depuis, la « grande coalition » a encore avancé ses pions, faisant adopter mercredi par l’Assemblée la suppression du délai de réflexion de sept jours imposé aux femmes souhaitant une IVG. Mais le fondateur de la Ligue du Sud ne désarme pas. Dans un amendement déposé le 27 mars, il demande non seulement que « des solutions alternatives » soient proposées à la mère, mais aussi qu’on lui fasse écouter le cœur de son enfant afin de lui faire prendre conscience qu’elle porte une vie en elle.

    - See more at: http://www.present.fr/#sthash.1XOuNk9L.dpuf

     

    Bien décidé à tout mettre en œuvre pour s’opposer aux projets criminels d’une majorité socialiste qui traite l’avortement « dans une démarche purement idéologique », le député-maire d’Orange demande aujourd’hui que l’on fasse écouter le cœur de leur enfant aux femmes souhaitant avorter, afin de leur « faire prendre conscience de la réalité de ce qu’elles portent ».

    Chacun a encore en mémoire le discours poignant que Jacques Bompard avait prononcé en novembre dernier devant les députés qui venaient d’adopter à 143 voix contre 7 – honte à eux ! – la proposition de résolution réaffirmant le « droit fondamental » à l’IVG. Dénonçant les « nombreux attentats contre le bon sens », il avait alors demandé pardon – entre autres – « pour les enfants qui ne naîtront pas » et pour les « 225 000 parents en France qui disparaissent devant la grande coalition du prêt à penser et de la culture de mort ».

    Depuis, la « grande coalition » a encore avancé ses pions, faisant adopter mercredi par l’Assemblée la suppression du délai de réflexion de sept jours imposé aux femmes souhaitant une IVG. Mais le fondateur de la Ligue du Sud ne désarme pas. Dans un amendement déposé le 27 mars, il demande non seulement que « des solutions alternatives » soient proposées à la mère, mais aussi qu’on lui fasse écouter le cœur de son enfant afin de lui faire prendre conscience qu’elle porte une vie en elle.

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