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Europe - Page 10

  • Il fallait s'y attendre: le pacte de l' Union Européenne sur les migrants est un canular, la relocalisation n’est pas obligatoire !

    Le nouveau pacte pour les migrants annoncé par Ursula von der Leyen qui devrait soulager les pays membres sous pression, en abolissant le traité de Dublin se révèle être encore un canular.

     

    La présidente de la Commission européenne a présenté la philosophie de base du pacte proposé aux États et donc pas encore approuvé.

    « L’Europe doit abandonner les solutions ad hoc pour mettre en œuvre un système de gestion des migrations prévisible et fiable. Ce paquet reflète un juste équilibre entre responsabilité et solidarité entre les États membres. »

    De beaux mots qui cachent le fait que tout restera comme avant.

    En effet, le nouveau plan ne prévoit pas la relocalisation obligatoire des quotas de migrants mais contient une invitation générale à la solidarité de la part des Etats membres envers les nations qui supportent le plus la pression migratoire, c’est-à-dire la Grèce et l’Italie. Et comment exprimer cette solidarité ? Soit par la relocalisation, soit en gérant les retours.

    En pratique, si un État membre refuse d’accepter un quota de migrants, il pourra exprimer sa solidarité en gérant le rapatriement des immigrés clandestins...

    La Commission propose « un système de contributions flexibles des États membres » qui pourra ouvrir les portes à la « relocalisation des demandeurs d’asile du pays de première entrée ». Ou bien prendre en charge le rapatriement « des personnes sans droit de séjour » ou proposer « diverses formes de soutien opérationnel ».

    Le nouveau système, comme celui en vigueur, repose donc sur  des formes de soutien volontaires, mais « en période de pression sur les États membres, des contributions plus rigoureuses seront nécessaires, basées sur un filet de sécurité ».

    Et encore : le règlement de Dublin place toute la responsabilité du migrant entré illégalement dans l’UE sur le pays de première entrée, sauf dans certains cas, et présente « des échappatoires qui permettent aux migrants de fuir et d’aller chercher asile dans l’État de leur choix. Cette proposition comble les lacunes et introduit des changements qui permettent une répartition plus juste des responsabilités », a déclaré le commissaire européenne, madame Ylva Johansson. Citant des exemples d’allégement de responsabilité, Johansson explique:

    « Si le migrant a déjà un parent dans l’UE, le pays où réside le parent sera également responsable du nouvel arrivant. Si le migrant a précédemment travaillé ou étudié dans un État autre que la première entrée, ce pays sera responsable. »

    Cependant, l’UE doit admettre que les retours ne sont pas si faciles à obtenir.

    « Actuellement, l’UE, a déclaré le commissaire européenne, Ylva Johansson, a des accords de réadmission avec 24 pays, certains fonctionnent, d’autres pas. Nous renforcerons les négociations à ce sujet, mais j’ai également l’intention d’utiliser pour la première fois la législation entrée en vigueur en février sur les visas : des rapports annuels seront préparés pour les pays tiers où le niveau de coopération en matière de réadmission sera évalué. Et cela pourrait avoir un effet positif ou négatif sur la politique des visas de l’Union européenne envers ces pays. »

    Elle a ensuite expliqué que pour rendre la politique de retour plus efficace, elle nommera un « coordinateur de retour ». Qui travaillera avec le « réseau d’experts sur les retours des Etats membres ».

     

     C’est une nouvelle farce de la politique immigrationniste des technocrates au pouvoir à Bruxelles, de la poudre de perlinpinpin destinée à calmer la colère des pays submergés par les vagues migratoires !!

    Francesca de Villasmundo 

  • Le foutoir de l' Europe permet à Erdogan de violer le droit international !

     

    La Turquie a signé en Novembre dernier un accord avec le GNA libyen qui lui permettait d’étendre la surface de son plateau continental et donc d’appuyer ses revendications pour l’exploitation d’importants gisements de gaz en Méditerranée orientale .

    De son côté la Grèce a conclu le 6 août dernier avec l’Égypte un accord sur leurs zones économiques exclusives respectives (ZEE) qui permettra à chacun des deux pays d’exploiter les ressources de pétrole et de gaz dans les meilleures conditions.

    La signature de cet accord conforme au droit international maritime , alors que l’accord GNA/Turquie n’a aucune légitimité, a immédiatement entrainé une réaction agressive du président Turc.

    Celui-ci a fait reprendre les forages en zones 7 et 8 au sud de Chypre qui avaient été interrompus à la demande de Berlin et a annoncé de prochains forages au large de la Crète .

    Dès le 7 Août le navire de recherche sismique Barbaros Hayrettin a repris sa mission et il était annoncé une nouvelle campagne de prospection menée par le navire Oruç Reis accompagné d’une flottille de bâtiments de guerre turcs.

    Ces manœuvres ont été accompagnées par une forte militarisation par la Turquie de la mer autour de Chypre : nombreux navires de guerre, patrouilles de drones armés et exercice militaires en mer.

    Parallèlement à ces actes d’agression maritimes, les autorités turques ont repris leurs activités d’aide au passage d’immigrants vers les iles grecques et la frontière terrestre de l’EVROS .

    On peut de ce fait s’interroger sur les raisons qui ont, ces deux derniers jours, poussé des Pakistanais présents en Crète ( messara) à soudainement agresser des femmes puis se regrouper en une centaine pour attaquer les hommes venus les défendre.

    En raison des  tensions provoquées par l’attitude très belliqueuse de la Turquie,  la Grèce a demandé une réunion d’urgence du conseil des affaires étrangères de L’UE.

    Le 14 août s’est donc tenue une réunion au cours de laquelle il a été choisi d’accorder une place majeure à la crise biélorusse jugée plus importante que la défense d’un état de l’UE.

    Une solidarité de principe a été affichée avec la Grèce et un appel a été lancé à la Turquie pour « pour une désescalade immédiate et un réengagement dans le dialogue ».

    Néanmoins, l’engagement préexistant de la France aux côtés de la Grèce, concrétisé par l’envoi  de deux rafales, d’un porte-hélicoptère amphibie et d’une frégate, a fait l’objet de critiques notamment de l’Allemagne qui a pris ses distances avec Paris estimant un processus diplomatique préférable à un engagement actif même mesuré.

    L’UE  attendait donc  le résultat de ses démarches diplomatiques avec la Turquie , les propositions que devait lui soumettre Josep Borrell missionné pour préparer « des mesures adéquates afin de répondre aux défis posés par la Turquie » , avant de prendre une position commune au cours d’une nouvelle réunion programmée pour les 27 et 28 août dernier .

    Le moins que l’on puisse dire est que l’arrogance Turque s’est amplifiée pendant cet espace de temps.

     ERDOGAN et son entourage, encouragés par la pusillanimité de l’UE ont durci leur position affirmant tour à tour que le Président français se comporte comme un caïd, qu’ils n’étaient prêts à aucune concession sur ce qui appartient à la Turquie et déterminés à défendre ses droits y compris militairement .

    Il était  par ailleurs annoncé de nouvelles manœuvres navales à tirs réels programmées pour le début du mois de septembre.

    On pouvait donc espérer que L’UE réagisse enfin avec vigueur lors de la dernière réunion des 27 et 28 Août.

    Il n’en a rien été. Seule la crise Biélo-russe a tenu les participants en haleine. Concernant la Turquie, la prise d’éventuelles décisions est une nouvelle fois reportée à la fin du mois de Septembre malgré la menace de véto aux sanctions contre la Biélo-russie opposé par le Ministre des affaires étrangères chypriote à défaut de voir d’égales sanctions retenues à l’encontre de la Turquie.

    La Turquie qui sait qu’elle n’a rien à craindre d’une UE fragmentée , aux intérêts divergents,  va donc pouvoir continuer impunément ses violations du droit international et de la souveraineté de la Grèce.

    Le président turc qui est un habile joueur d’échecs a bien compris qu’un incident tel que celui opportunément orchestré le 27 août entre des F-16  grecs et turcs, ces derniers ayant verrouillés leurs radars de conduites de tir sur leurs adversaires grecs, pouvait suffire à calmer une UE tout aussi «  en état de mort cérébrale » que l’OTAN.

    La menace migratoire fait le reste ainsi certainement que la possible activation, qu’il n’est même pas besoin d’énoncer,  du sentiment nationaliste des quelques 3 à 4 millions de turcs ou turco-allemands présents dans le pays de Madame MERKEL.

    Triste UE dans laquelle seules la France, l’Italie et l’Autriche font face à leurs obligations issues des traités pendant que d’autres ont vendu aux turcs un porte-aéronefs de 30000 tonnes ( l’Espagne) et 6 submersibles de type-214 ( Allemagne) qui permettront un sillonnage efficace des zones convoitées.

     

    Julie Gé

  • Coronavirus et révolution "arc en ciel" .

     

    Pendant le coronavirus, la révolution arc-en-ciel a continué, elle a même avancé et beaucoup !

    Comme elle nous en avait prévenu, la crainte des pandémies est l’une de ses meilleures armes, elle fait souhaiter une gouvernance mondiale.

    L’actualité a eu l’amabilité d’établir peu à peu aux yeux des moins voyants ce point acquis pour nous dès le mois de mars. Certains virus disparaissent tandis que d’autres prennent place parmi les saisonniers, mais il est déjà sûr que l’ombre politique et morale du Coronavirus fait désormais partie des grandes menaces, tels le changement du climat ou le terrorisme, qui déterminent notre comportement. Les gestes barrière et la distanciation sociale marqueront. Et d’autres choses dont on se gardera de dresser la liste (exemples : l’argent liquide est dans le collimateur, le port d’un masque cachant le visage dans la rue est devenu quelque chose de positif, alors que c’était hier le fait des gangsters et des femmes d’Islam enfreignant la loi française). 

    Quand on parle d’infantilisation et de domination des peuples, il ne faut pas oublier de relever ce à quoi sert cette immense manipulation : à la révolution arc-en-ciel.

    Avec la fin du confinement elle a changé son agenda d’information, son livre d’images. Au menu de la semaine dernière, nous avons eu le grand Barnum George Floyd accompagné des petits cirques français, Traoré et autres criminels de banlieue, nous avons eu la remarquable affaire Harry Potter/ JK Rowling, nous avons eu l’allocution d’Emmanuel Macron. Nous avons vu aussi une petite réaction de Marion Maréchal, qui a dit : « Je n’ai pas à m’excuser d’être blanche ». C’est mieux que rien. Mais elle ne semble pas saisir l’unité profonde de la révolution, ni sa façon de progresser : elle monte des opérations successives avec les mêmes militants et les mêmes méthodes pour obtenir une synergie des subversions tout en déconcertant la capacité d’analyse de ses adversaires. De sorte que la plupart de ceux-ci se bornent à crier d’indignation chaque fois qu’apparaît l’une des têtes de l’hydre, sans voir qu’elles appartiennent au même corps.

    Le monde d’après annoncé par Macron et Lemaire a deux caractéristiques principales. Un, il a déjà commencé. Le changement, c’est maintenant, comme on disait bêtement du temps de Hollande. Deux, il ne date pas d’aujourd’hui. Le monde d’après, c’est le monde nouveau rêvé par la révolution, avec ses hommes nouveaux, c’est l’avenir que nous impose peu à peu l’empire arc-en-ciel, suivant un plan tissu de longue main. C’est le monde de Greta Thunberg, d’Al Gore, de Judith Butler, de Mandela, de Rockefeller, Rothschild,  Strong, Sutherhand, accessoirement de Soros. Macron et Lemaire l’ont dit, il a un « volet économique ». Il va falloir produire, consommer, concevoir, différemment d’hier. Les maîtres mots de la chose sont solidarité et responsabilité.

    Le monde d’après suppose l’endettement massif des grandes entreprises garanti par l’Etat, c’est-à-dire le recours à la planche à billets ou à l’emprunt avec la permission de la BCE. Cela veut dire plus de dette, plus de socialisme, moins d’indépendance.

    Comment l’on fera pour empêcher l’inflation dans ces conditions demeure un mystère de la foi arc-en-ciel. Quant aux petits qui n’auront pas eu les reins suffisants pour passer le mauvais cap, ils auront le choix entre mettre la clef sous la porte et vendre. Quant aux salariés des entreprises malheureuses, ils iront grossir les rangs des sportulaires, forme future, en pleine croissance, des ilotes de l’empire. La peur, la peur de tout, de mourir, du ciel qui tombe sur la tête, la peur d’être coupable, de tout, de racisme, de sexisme, de négationnisme, climatique ou autre, tiendra quiet ce troupeau. Le principe de précaution et le risque zéro régiront le moindre de ses gestes.

    Mais le monde d’après sera aussi celui du vivre ensemble républicain et des bonnes personnes. Ici, la lyre révolutionnaire joue abondamment sur la corde antiraciste.

    La gestion de la crise Floyd, Traoré et alii, a été presque aussi spectaculaire que celle du corona. Le dossier médical et judiciaire de l’interpellation et de la mort d’Adama Traoré établit que, selon toute probabilité, les gendarmes sont innocents de ce dont on les accuse.

    D’autre part, au jeu des sept familles, dans la famille Traoré, on ne risque pas de faire une mauvaise pioche en appelant délinquant ou criminel.

    La cause des Traoré est donc exécrable et leur tintamarre a pour premier objet de se protéger eux-mêmes : il ne remue aujourd’hui des foules hexagonales hébétées que parce qu’elles suivent, comme la bourse de Paris suit Wall Street, le grand mouvement lancé aux Etats-Unis autour de George Floyd.

    Ce mouvement est double. Outre-Atlantique, il sert à abattre Trump, président qui déplaît à l’Etat profond américain et aux démocrates. Dans le monde, il sert aussi à abattre Trump, soupçonné de rébellion par la révolution arc-en-ciel, mais surtout à remuer les communautés noires et les communautés immigrées au profit de la subversion des institutions, de la destruction de la civilisation européenne et blanche. Pour l’instant, c’est la composante raciale (et parfois sociale, certains discernant derrière le noir ou l’immigré l’éternel prolétaire victime du grand capital) qui est activée, la composante religieuse restant au repos, Arabes et musulmans demeurant en réserve en ce début d’épisode. 

    Les amateurs de pittoresque sont aux anges tant la négromanie actuelle déborde, avec une inventivité sans complexe. Et chacun de s’y plier, les grands magasins suisses Migros viennent d’exclure de leurs gondoles une friandise au chocolat appelée Mohrenkopf, littéralement tête de maure. Et certaines plateformes de distribution ont ôté de leur catalogue le film Autant en emporte le Vent, qui avait pourtant offert un oscar à l’actrice noire Hattie MacDaniel dans le rôle de la nourrice (Monsieur Oueth !). On s’en offusque ou l’on en rit ici et là, mais rien de cela n’est nouveau. Cela fait belle lurette qu’on pourchasse les nègres en chemise et que l’on a pris l’habitude de dire noirs, hommes de couleur ou blacks pour nègres, qui n’avait pourtant, à la différence de l’américain niggers, rien de péjoratif. Cela fait tout aussi longtemps que la censure “antiraciste” sévit de manière indécente et triomphante, sûre d’elle et dominatrice.

    Le mouvement Floyd ne fait que répéter trente-six mouvements lancés dans un passé récent dont les émeutes de Ferguson à propos de la mort de Michael Bromw en 2014 et 2015 ont révélé le caractère organisé, le soutien systématique apporté par Barack Obama et les démocrates ...