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Science - Page 2

  • Face au coronavirus, l’État est notre pire ennemi !

     

     

    Services de santé saturés, confinement généralisé, chute de l’activité productive : ce scénario catastrophe, personne n’avait osé l’envisager ! ...

     Les témoignages des soignants en première ligne sont accablants. Les pénuries de masques, de gels hydroalcooliques, de tests et de machines respiratoires sont partout flagrantes. L' État n 'est absolument pas à la hauteur de la crise bien qu’il se soit arrogé tous les pouvoirs.

    Médiapart décrivait le 2 avril dernier comment la réquisition des masques avait totalement désorganisé les circuits nationaux et internationaux de distribution. Des administrations incompétentes ont laissé filer des opportunités commerciales de se faire livrer des millions de masques, exposant les soignants et les malades dénués de protection à des risques d’infection très élevés pendant de longues semaines. D’autres exemples édifiants illustrent l’incurie des normes protectionnistes, qui limitent les importations de matériel pourtant parfaitement adapté.

    Une autre enquête, celle de Géraldine Woessner du Point, publiée le 3 avril, révèle comment la bureaucratie s’assoit sur un potentiel de plusieurs centaines de milliers de tests hebdomadaires depuis le 15 mars. Les laboratoires départementaux vétérinaires qui disposent des compétences et du matériel nécessaires n’ont toujours pas reçu l’autorisation de les réaliser.

    Sur ce même sujet, un autre article de l' Opinion explique que les laboratoires de ville n’ont pas eu l’autorisation de pratiquer les tests avant le 6 mars, l’État imposant le monopole aux hôpitaux. Les tests sont pourtant essentiels pour réagir au plus vite en début de pandémie.

    Cette défiance vis-à-vis du secteur privé s’illustre aussi par les lits vides que les cliniques privées ont pris soin de libérer pour accueillir des patients. Certains directeurs de ces hôpitaux à but non lucratif témoignaient aux Échos du fait que les agences régionales de santé (ARS) ne leur donnent pas la priorité pour leur envoyer les patients alors que ceux-ci sont parfois transférés par train ou par avion à l’autre bout du pays.

    L’État, un facteur aggravant l’insécurité sanitaire

    Si médecins et infirmières font ce qu’ils peuvent avec les moyens qu’ils ont, les révélations de ces derniers jours démontrent que l’État n’assure pas notre sécurité sanitaire et se révèle même être un facteur aggravant la crise !

    Manque d’anticipation, désorganisation des circuits existants, normes protectionnistes, bureaucratie inadaptée, mensonges : ces défaillances sont malheureusement inhérentes à la centralisation jacobine. Deux cents ans d’histoire et de théorie économique devraient pourtant nous rappeler que la planification ne fonctionne jamais. Les conséquences sont dramatiques et nous ne sommes pas à l’abri de la découverte de blocages administratifs supplémentaires faisant perdre eux aussi des capacités de soins considérables et des vies.

    Le secteur privé assure le service après-vente des défaillances systémiques de l’État. Des ateliers artisanaux de confection de masques aux fleurons industriels qui transforment en urgence leurs chaînes de production, la solidarité spontanée et volontaire fait des miracles. Les initiatives privées, associatives, individuelles, petites ou géantes, réalisent des prouesses d’inventivité et de logistique.

    Syndrome de Stockholm : et pourtant l’État apparaît toujours comme le seul sauveur

    Beaucoup affirment à longueur de journée que le manque de moyens, d’anticipation et de souveraineté explique notre incapacité à faire face aux pandémies. Le procès de la mondialisation et l’apologie du « service public » sont sur toutes les lèvres.

    Lors de son discours télévisé du 12 mars dernier, le chef de l’État n’a pas hésité à cultiver la récupération étatiste en déclarant : « Ce que révèle cette pandémie, c’est qu’il est des biens et des services qui doivent être placés en dehors des lois du marché. Déléguer notre alimentation, notre protection, notre capacité à soigner notre cadre de vie au fond à d’autres est une folie. » ! ...

    C’est pourtant l’État qui a participé à la pénurie après avoir mis en dehors des lois du marché les tests, les masques et les gels hydroalcooliques en contrôlant les prix, rationnant leur distribution ou réquisitionnant les importations et les producteurs intérieurs.

    Accuser le (néo/ultra) libéralisme pour l’impréparation, les rationnements, le manque de place en réanimation dans un des pays où l’industrie de la santé est la plus socialisée et étatisée du monde relève de la dissonance cognitive.

    L’IREF avait publié une analyse prémonitoire sur le fonctionnement de l’APHP en 2017 dénoncant la bureaucratie kafkaïenne, des problèmes de gouvernance avec l’ARS, le manque d’efficience, l’incapacité d’adaptation et les rigidités associées au statut de la fonction publique hospitalière.

    Le libéralisme, ce n’est pas rendre exsangue l’hôpital pour « faire des économies ». C’est libérer l’hôpital de la gestion bureaucratique et inefficace de l’État et de ses agences régionales de santé pour laisser faire les professionnels compétents, avec le financement des assurances santé et des mutuelles solidaires.

    L’agonie des libertés fondamentales, un effet secondaire du coronavirus ?

    Mais il faut prendre garde à un danger encore plus grand. « Le coronavirus ravit tous les ennemis de la liberté » nous alerte l’écrivain Mario Vargas Llosa. Avec le confinement généralisé, le virage autoritaire de la gestion de cette crise est au moins aussi inquiétant que le coronavirus lui-même.

    Les témoignages de l’arbitraire des policiers se multiplient autant que les discours martiaux du préfet de Police de Paris. À Sanary-sur-Mer dans le Var, le maire interdit les achats de pain à l’unité et a tenté, avant d’y renoncer, d’imposer à ses administrés de ne pas sortir à plus de 10 mètres de chez eux. La prolongation des délais maximum de détention provisoire inquiète les défenseurs des libertés publiques. La loi d’urgence suspend les délais de transmission et d’examen des questions prioritaires de constitutionnalité. Le Conseil constitutionnel est donc aux abonnés absents au moment où l’on a le plus besoin de protéger les droits humains face aux risques de l’arbitraire et des dérives autoritaires.

    L’avocat François Sureau, auteur de Sans la liberté, nous met en garde : « Les Français ne sont pas un troupeau de moutons ou une garderie d’enfants. Ils n’ont pas nécessairement besoin d’être d’abord protégés ou rassurés, ils ont besoin d’une autorité politique qui leur dise la vérité, et qui les traite comme des citoyens adultes. »

    Le formulaire de déplacement dérogatoire est la marque de l’infantilisation d’État, comme si le comportement insouciant d’une minorité impliquait de traiter tous les Français comme des irresponsables !!!

    Nombre de nos voisins européens n’ont pas besoin de ce genre d’attestation humiliant notre responsabilité pour appeler la population à observer un comportement conforme aux consignes de distanciation sociale des médecins.

    Ces précédents historiques ne seront pas sans conséquence. Nous risquons de nous relever de cette crise avec l’idée que le gouvernement a toute légitimité pour contrôler notre liberté d’aller et venir. Le passeport, outil de contrôle liberticide des déplacements internationaux des individus, n’existait pas avant la Première Guerre mondiale et son instauration se voulait strictement provisoire le temps du conflit. Nous ne sommes pourtant jamais revenus dessus.

    Aujourd’hui, si personne n’envisage sérieusement que ce formulaire soit conservé après la fin du confinement, le discours antimondialisation qui devient la norme ne nous garantit pas de retrouver l’ensemble des libertés de circulation aux frontières  et de commercer à l’international, d’avant le virus.

     Demain, plutôt que d’attendre toutes nos réponses d’un État surpuissant, notre impératif sera d’inventer des institutions qui ne nous mettent plus jamais à la merci d’une classe politique qui n’hésitera pas à s’asseoir sur nos libertés au moindre prétexte.

    Si nous devons bien entendu suivre les consignes des professionnels de santé de manière responsable, notre devoir est de nous méfier tout autant de l’Etat que du coronavirus. Les libéraux de tous bords doivent être plus vigilants que jamais et exiger, dès que cela sera possible, le rétablissement sans délai de toutes les libertés disparues pendant la crise.

    En attendant, il est urgent que le gouvernement n’agisse plus sur les marchés des tests, masques et appareils de ventilation. L’omnipotence des administrations d’État retarde de plusieurs semaines les réponses face au virus et limite l’émergence de solutions privées et décentralisées.

     

     

  • Vacciner doit rester un choix – L’appel à manifester le 15 octobre 2017 .

     

    L’association Ensemble pour une vaccination libre communique :

     

     

    « Le Monde » a perdu ses lunettes

    Le 9 Septembre 2017, c’est sous un ciel chargé, que se sont réunis les manifestants pour la liberté vaccinale. Devant le Ministère de la santé, citoyens, parents, professionnels de santé, personnalités politiques, et représentants d’associations sont arrivés de la France entière, mais aussi de pays voisins, certains s’étant déplacés pour quelques heures uniquement. Leur motivation ? Défendre envers et contre l’apothéose du tout sécuritaire, une valeur fondamentale :

    La Liberté

    La place jouxtant l’avenue Duquesne, entourée de camions de CRS et arrosée d’averses tout l’après midi, a accueilli cette foule courageuse, qui n’a pas dégrossi malgré la météo. Selon le cadastre, la surface occupée s’élevait à 2121 m². Si l’on se réfère aux différentes méthodes de calcul de la densité d’une foule (1 personne au m² pour la police et 1,5 personnes au m² pour les syndicats), on dénombre objectivement entre 2000 à 3000 personnes.

     

    Plan cadastre manifestation du 9 Septembre 2017

     

    Plan cadastre manifestation du 9 Septembre 2017

    Pourquoi la presse a-t-elle titré que le mouvement peinait à se réunir ? Pourquoi “Le Monde” parle-t-il de quelques 300 illuminés bravant les éléments pour une revendication excentrique ? La presse a-t-elle oublié que c’est elle qui relaye depuis des mois des sondages présentant les Français comme majoritairement opposés à l’élargissement des obligations vaccinales ? Ces derniers se rendent de plus en plus compte des mystifications écrites et télévisuelles qui visent à ridiculiser toute opposition aux dispositions annoncées, soient-elles socialement injustes ou liberticides au plus haut point, même totalement injustifiées épidémiologiquement. Un retour de manivelle s’annonce d’ores et déjà sur les réseaux sociaux, où les grands médias ne sont plus présentés comme des organes fiables de l’information, mais plutôt comme des instruments de propagande. Bienvenue en Macronie !

     

    Peut être que « Le Monde » verra mieux avec cette vidéo ? :

    photos © www.madewithemotion.com

    En plus de cette opacité médiatique, un occultisme encore plus inquiétant drape les hautes sphères décisionnelles.

    Cela semble incroyable, mais lors de ses fonctions précédentes la nouvelle Ministre de la santé affirmait avec condescendance que les liens d’intérêt entre spécialistes et industrie garantissaient une clairvoyance désirable dans le domaine de l’expertise (sic!). C’est plus qu’une négligence de sa part, c’est l’anéantissement voulu de tout principe d’impartialité. Les ministères précédents avaient déjà montré des dérèglements regrettables. Pour mémoire, en 2009, la crise sanitaire de la grippe AH1N1 a amené la presse française à conclure que les experts consultés par Roselyne Bachelot, ainsi que ceux qui influencèrent l’OMS, étaient bien trop intimes avec les industriels du vaccin pour que leurs propos aient la moindre fiabilité ! Où sont ces esprits critiques aujourd’hui ? Le souffle violent du libéralisme leur a t-il ôté la mémoire ? Les dysfonctionnements cités ont coûté cher aux Français, à savoir : 382 millions d’euros pour 94 millions de doses de vaccin inutilisables et 20,95 millions de doses stockées en milieux réfrigérés (date de péremption : octobre de cette année) aux frais des contribuables !

    Mue par des forces aussi obscures, en 2009, l’OMS changea brutalement les critères définissant une pandémie, en faveur de critères d’inclusions délirants ! Le taux de mortalité n’est désormais plus une notion nécessaire pour qu’un foyer infectieux porte le nom de pandémie ! Ce glissement signifiant a pour effet caché de faciliter les campagnes de médicamentation et/ou de vaccination de masse, justifiées voire réclamées dans la psychose qu’un tel mot provoque dans le champ social. Forte de cette confusion, le 16 juillet 2009, Françoise Weber, Directrice générale de l’InVS, avait allégué sur France Inter que 20 000 français périraient en l’absence d’un acte vaccinal rapidement consenti avant Noël 2009. Qu’en a-t-il vraiment été ? 10 % des français se sont fait vacciner et les décès annoncés n’ont pas eu lieu ! Ironie du sort, cette pandémie annoncée tua moins que la grippe saisonnière. Coutume répugnante et pourtant itérative :

    Le catastrophisme est utilisé comme levier de l’acceptation des masses.

    Aujourd’hui, Mme Buzyn insiste sur les critères de l’OMS pour tenter de justifier son décrié projet de loi. Elle serine la nécessité incontournable d’un taux vaccinal de 95%. Voilà une autre spéculation dont les Français et leurs enfants devraient répondre de leur corps ? Pour justifier le caractère obligatoire de ce projet, elle brandit “ 10 enfants morts de la rougeole depuis 2008”, au pays de Pasteur déplore-t-elle. Pense-t-elle que nous serions aveuglés par le chauvinisme ? Ou alors, envisage-t-elle de priver le peuple Français de sa souveraineté ? En fait, quel est le risque d’une rupture d’avec les préconisations de l’OMS ? Un documentaire édifiant en la matière : « L’OMS : dans les griffes des lobbyistes ? » (déjà diffusé sur Arte) apporte un éclairage plus qu’intéressant sur le rôle de cette instance, désormais dépendante de “généreux” donateurs privés. Il démontre que les politiques du “tout vaccin”, menées en Afrique par l’OMS, se font au détriment de l’installation de réseaux d’eau potable et de réseaux de récupération des eaux usées. Inique, quand on sait combien le tiers monde souffre de ces carences !

    Les Français le savent-ils ? Aux USA, pays adepte de la vaccination précoce contre la rougeole, des épidémies se sont répandues sur des populations vaccinées à 99% (primo-vaccination et rappel compris) ? Que faire alors du concept apparemment imaginaire de couverture ? Si la couverture anti-rougeole n’est pas fonctionnelle, comment justifier en plus de l’obligation du vaccin oreillons et rubéole, pour lesquels, de surcroît, on ne compte aucun mort en France sur bien plus que ces 10 dernières années ? Quel intérêt défend vraiment Madame Buzyn en prétendant imposer ce trivalent ?

    Revenons à ce 9 Septembre

    Sophie Guillot

     

    Sophie Guillot – Porte Parole du mouvement EPVL

     

    Sophie Guillot, porte-parole du mouvement pour la liberté vaccinale, a pris le micro au milieu d’une foule scandant le mot “liberté” à tue-tête et a rappelé les motivations profondes et historiques du mouvement. Elle a également fait lecture d’un mail envoyé par Isabelle Adjani (en déplacement à l’étranger à cette date), qui a apporté son soutien indéfectible au combat pour la liberté vaccinale. A ses côtés, la présidente du REVAHB a aussi pris la parole pour réaffirmer le rôle fort de cette association, qui milite depuis plus de 20 ans, et qui a assuré, à elle seule, 72% de la pharmacovigilance nationale sur les accidents post-vaccinaux postérieurs à l’administration du vaccin hépatite B. A cette occasion, la Présidente du REVAHB a annoncé que, confrontée aux appels de plus en plus nombreux des parents désemparés, l’association a décidé d’élargir ses missions, afin de se consacrer à toutes les victimes de vaccins (et non plus specifiquement au vaccin Hép. B).

     

    REVAHB

     

    La présidente du REVAHB

     

    Elle a également rappelé qu’une quinzaine d’études montraient que l’injection de la valence hépatite B aux nourrissons ne garantissait pas de protection au delà de 15 ans.

    Pire, après cette inoculation, les adolescents risquent même d’être non répondeurs à un nouvel acte, et de ne pas développer de réponse immunitaire (études que la bien-pensance de Madame Buzyn a encore une fois négligées).

    COMILVA

     

    Délégation Italienne

    Puis, des délégations étrangères se sont succédées sur le podium : des Italiens, des Allemands, des Belges, des Américains, etc., tous venus apporter un soutien bien plus qu’idéologique aux présents (associations débordées par les plaintes post-vaccinales de parents, ancienne travailleuse de l’industrie pharmaceutique dénonçant la recherche absolue de profit, médecins étrangers choqués par le déni de réalité des accidents, ancien sous-préfet sidéré par le caractère antidémocratique de la mesure, avocat ayant gagné de nombreux procès lancés par des victimes contre les industriels, etc.). Ces témoins ont rapporté comment l’hégémonie pharmaceutique infiltrait, avec la complicité des gouvernements, ses tentacules un peu partout dans le monde et ils ont confirmé avec force la nécessité de ce combat. Ils ont rappelé combien la France, haut lieu de la protestation sociale, était prise pour modèle par ses voisins.

    Le ton s’est ensuite alourdi avec les témoignages des familles de victimes. Victimes qui, rappelons-le, n’existent pas pour Madame Buzyn ! Ces enfants, ces adolescents, ces adultes très atteints dans leur corps ou disparus, qui n’inclinent que trop peu nos politiques et nos experts vers un véritable principe de précaution, portent les noms de : Stacy, petite fille décédée d’une infection fulgurante 8 jours après sa primo-vaccination, Gaëlle qui a failli perdre son fils encore à cause des vaccins, Marie-Océane, qui ne pourra jamais mener une vie normale, Rachel et sa fille Salomé, qui est lourdement handicapée suite à une seule injection à l’âge de 3 mois, Lucie Michel, qui est venue témoigner pour son fils né normal et devenu autiste profond, suite à ses premiers vaccins.

     

    Gaëlle

     

    Gaëlle, Mère d’un enfant qui a eu une anémie hémolytique aiguë post vaccinale Post ROR

     

    Ces révélations révoltantes coïncident avec d’autres scandales. Après cette confrontation in situ avec le réel des accidents post-vaccinaux, nous n’accueillons qu’avec plus de dégoût, les propos de la Ministre (recueillis sur France Inter le 15 septembre), qui parle d’un raidissement politique pour « siffler la fin à la récré” des parents réfractaires. Le style de Madame Buzyn, soit-disant représentante du peuple Français, qui conjugue un paternalisme méprisant et la pratique de la loi du plus fort, nourrit les rangs de la protestation des inquiets, des déçus, des victimes déniées et des indignés et ne laisse aucun doute sur ses réelles motivations, qui n’ont bien sûr jamais été de “redonner confiance” aux Français.

     

    Raph & Béa IVP

     

    Raphaël et Béatrice Sirjacobs, Parent de Stacy décédé d’un purpura fulminant suite à une vaccination Infanrix Hexa + Prevenar + Rotarix

    Cette attitude renforce aussi l’engagement du mouvement EPVL. Fédérant diverses associations et personnes, le collectif entend provoquer une remise en cause sérieuse des vraies orientations de nos politiques de santé, et le début d’une mise en acte de la contestation.

    Il fera entendre à Madame Buzyn qui déclare “siffler la fin de la récré” et aux médias à sa solde, qu’il n’y a jamais eu d’élèves dissipés ou d’esprit récréatif, mais au contraire des citoyens éclairés, qui refusent le dogmatisme, les manigances et la coercition. Puisque les médecins sont muselés par la menace de la radiation, c’est à eux, citoyens, de prendre la responsabilité de leur protection.

    Aussi, le mouvement EPVL prévoit-il d’autres manifestations le 15 octobre dans différentes villes.