Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

Rome infiltrée - Page 19

  • Fausses associations catholiques et vrais chevaux de Troie LGBT s’agitent en préparation du Synode sur la Famille.

     

     
     
    bible-version-lgbt-mpi
     
    Aux Etats-Unis, ces chevaux de Troie du lobby LGBT avançant sous faux pavillon catholique exigent de l’Eglise que le soi-disant «mariage gay» soit reconnu et ait accès au sacrement, ce qui est opposé au plan de Dieu et qu’il est impossible d’accepter.
    Le professeur de théologie morale à l’Université catholique d’Amérique à Washington, le Dr John Grabowski, a déclaré que la pression pour « l’égalité sacramentelle » par des groupes comme Dignity USA montre « un manque de compréhension de la signification et de la nature de l’Eglise, en plus d’une méconnaissance des sacrements. »
     
    dignity-usa-logo-lgbt-mpi
     
    Le 5 Juillet, Dignity USA a entamé une nouvelle campagne pour « le plein accès au mariage et à l’ordination » des homosexuels dans l’Eglise catholique. Le congrès annuel de l’organisation, tenu dans la ville de Seattle a adopté une résolution déclarant que les dirigeants catholiques doivent « veiller à ce que tous les sacrements de notre Église soient administrés indépendamment de l’identité de genre, de l’orientation sexuelle ou de l’état relationnel des personnes qui les demandent« .
     
    « Nous ne pouvons pas être complètement égaux quand nous sommes exclus des sacrements de notre Eglise », a déclaré Marianne Duddy-Burke, l’une des figures de Dignity USA, qui, dans sa déclaration a rappelé la reconnaissance par la Cour suprême des États-Unis, en juin de cette année, du mariage civil entre personnes de même sexe.
    Pour sa part, le professeur Grabowski a réagi dans les médias en déclarant que la position de Dignity USA est « regrettable » et que le mariage a été créé par Dieu et que personne ne peut le reconfigurer ou redéfinir. La conception catholique du mariage est basé sur le livre de la Genèse, quand Dieu a créé l’homme et la femme et leur a ordonné « d’être féconds et de se multiplier». Grabowski a également expliqué que la morale catholique distingue différentes formes de discrimination et a déclaré que «la discrimination injuste est toujours moralement répréhensible, mais toute distinction n’est pas discriminatoire et injuste« .
    Elk Stanley, conseiller juridique de l’organisation Alliance Defending Freedom a averti que les individus et organisations catholiques peuvent faire face à des poursuites judiciaires et autres menaces en raison des lois et ordonnances de non-discrimination dans l’emploi et les lieux publics. « Les législateurs ont cité des cas d’églises évangélistes – qui ont abandonné l’enseignement protestant évangélique sur le mariage – pour faire valoir que les églises sont en train de changer leurs habitudes. »
     
    arcus_foundation_lgbt-mpi
    La pression de Dignity Etats-Unis pour «l’égalité sacramentelle » a été soutenu par un autre faux groupe catholique, New Ways Ministry. Ces deux groupes font partie de la Coalition Equally Blessed. Parmi ses bailleurs de fonds, on trouve la Fondation Arcus, organisation qui subventionne à hauteur de 200.000 $ « ces défenseurs croyants pro-homosexuels pour influencer et contrer le discours ultraconservateur de l’Eglise catholique et de ses membres« .
     
    new-ways-ministry-lgbt-rome-2015
    Ces manœuvres sont directement liées au Synode sur la Famille. Mais ces lobbies ont également prévu une présence importante aux Journées mondiales de la jeunesse (JMJ). D’importantes subventions ont spécialement été allouées par la fondation Arcus. La fondation Arcus a également aidé à financer les promoteurs de changements doctrinaux et liturgiques dans d’autres religions comme, par exemple, l’Église épiscopale des États-Unis.
     
    La Fondation Arcus est officiellement partenaire du Département d’État US...
     

  • Les manoeuvres maçonniques dévoilées en1859 par Jacques Crétineau-Joly.

    Qui n’a jamais entendu parler de la franc-maçonnerie ? Combien savent réellement de quoi il s’agit ?

    En 1859, paraissait L’Eglise romaine en face de la Révolution écrit par Jacques Crétineau-Joly (1803-1875) qui révélait certains papiers secrets de la Haute Vente des Carbonari (secte maçonnique) tombés entre les mains du pape Grégoire XVI.
    Ces lettres sont absolument effarantes et si les papes ont demandé qu’on les publiât, c’est pour que les fidèles sachent la conjuration ourdie contre l’Église par les sociétés secrètes, qu’ils en connaissent le plan et soient prémunis contre son éventuelle réalisation.
     
    Jacques Crétineau-Joly
    En voici un des passages les plus célèbres et qui explique comment les francs-maçons sont arrivés à leurs fins :                                                                                                                              
    « Le pape, quel qu’il soit, ne viendra jamais aux sociétés secrètes : c’est aux sociétés secrètes à faire le premier pas vers l’Église, dans le but de les vaincre tous deux. Le travail que nous allons entreprendre n’est l’œuvre ni d’un jour, ni d’un mois, ni d’un an ; il peut durer plusieurs années, un siècle peut-être ; mais dans nos rangs le soldat meurt et le combat continue.
    Nous n’entendons pas gagner les papes à notre cause, en faire des néophytes de nos principes, des propagateurs de nos idées. Ce serait un rêve ridicule, et de quelque manière que tournent les événements, que des cardinaux ou des prélats, par exemple, soient entrés de plein gré ou par surprise dans une partie de nos secrets, ce n’est pas du tout un motif pour désirer leur élévation au siège de Pierre. Cette élévation nous perdrait. L’ambition seule les aurait conduits à l’apostasie, le besoin du pouvoir les forcerait à nous immoler. Ce que nous devons demander, ce que nous devons chercher et attendre, comme les Juifs attendent le Messie, c’est un pape selon nos besoins (…).
    Avec cela nous marcherons plus sûrement à l’assaut de l’Église, qu’avec les pamphlets de nos frères de France et l’or même de l’Angleterre. Voulez-vous en savoir la raison ?
    C’est qu’avec cela, pour briser le rocher sur lequel Dieu a bâti son Église, nous n’avons plus besoin de vinaigre annibalien, plus besoin de la poudre à canon, plus besoin même de nos bras. Nous avons le petit doigt du successeur de Pierre engagé dans le complot, et ce petit doigt vaut pour cette croisade tous les Urbain II et tous les saint Bernard de la Chrétienté.
    Nous ne doutons pas d’arriver à ce terme suprême de nos efforts ; mais quand ? mais comment ?
    L’inconnue ne se dégage pas encore. Néanmoins, comme rien ne doit nous écarter du plan tracé, qu’au contraire tout y doit tendre, comme si le succès devait couronner dès demain l’œuvre à peine ébauchée, nous voulons, dans cette instruction qui restera secrète pour les simples initiés, donner aux préposés de la Vente suprême des conseils qu’ils devront inculquer à l’universalité des frères, sous forme d’enseignement ou de memorandum (…).
    Or donc, pour nous assurer un pape dans les proportions exigées, il s’agit d’abord de lui façonner, à ce Pape, une génération digne du règne que nous rêvons. Laissez de côté la vieillesse et l’âge mûr ; allez à la jeunesse, et si c’est possible, jusqu’à l’enfance (…) vous vous arrangerez à peu de frais une réputation de bon catholique et de patriote pur.
     
    Cette réputation donnera accès à nos doctrines au sein du jeune clergé comme au fond des couvents. Dans quelques années, ce jeune clergé aura, par la force des choses, envahi toutes les fonctions ; il gouvernera, il administrera, il jugera, il formera le conseil du souverain, il sera appelé à choisir le Pontife qui devra régner, et ce Pontife, comme la plupart de ses contemporains, sera nécessairement plus ou moins imbu des principes italiens et humanitaires que nous allons commencer à mettre en circulation. C’est un petit grain de sénevé que nous confions à la terre ; mais le soleil des justices le développera jusqu’à la plus haute puissance, et vous verrez un jour quelle riche moisson ce petit grain produira.
     
    Dans la voie que nous traçons à nos frères, il se trouve de grands obstacles à vaincre, des difficultés de plus d’une sorte à surmonter. On en triomphera par l’expérience et par la perspicacité ; mais le but est si beau, qu’il importe de mettre toutes les voiles au vent pour l’atteindre. Vous voulez révolutionner l’Italie, cherchez le Pape dont nous venons de faire le portrait. Vous voulez établir le règne des élus sur le trône de la prostituée de Babylone, que le Clergé marche sous votre étendard en croyant toujours marcher sous la bannière des Clefs apostoliques. Vous voulez faire disparaître le dernier vestige des tyrans et des oppresseurs, tendez vos filets comme Simon Barjone ; tendez-les au fond des sacristies, des séminaires et des couvents plutôt qu’au fond de la mer : et si vous ne précipitez rien, nous vous promettons une pêche plus miraculeuse que la sienne. Le pêcheur de poissons devint pêcheur d’hommes ; vous, vous amènerez des amis autour de la Chaire apostolique. Vous aurez prêché une révolution en tiare et en chape, marchant avec la croix et la bannière, une révolution qui n’aura besoin que d’être un tout petit peu aiguillonnée pour mettre le feu aux quatre coins du monde ».
     
    Objectifs accomplis ? ...

  • Il n' ya plus de vocations en France .

    L’année 2015 a vu seulement 68 prêtres ordonnés pour les diocèses français : un chiffre qui s’est encore divisé par deux en 10 ans, et qui à l’époque était déjà catastrophique…

    La France ne compte plus que 15.000 prêtres aujourd’hui, et ce chiffre devrait descendre à 6000 dans 5 ans. Et que dire dans 10 ans ?

    Ces chiffres sont hélas factuels, et ils disent de façon dure et crue l’état de l’ Eglise de France, sachant que les autres pays européens ne font pas mieux. Et pourtant que d’efforts n’ont pas été entrepris pour donner un "aspect plus jeune et plus moderne" à l’ Eglise ? L’abandon de la soutane qui soit disant "éloignait les gens", l’abandon du latin qui "faisait fuir les fidèles", l’abandon du sacrifice trop décalé pour être admis, l’abandon d’une doctrine trop rigoureuse pour être comprise… bref, tous ces abandons avalisés par le concile Vatican II et son « aggiornamento » qui a voulu adapter l’ Eglise au monde.

    « Un bon arbre ne peut porter de mauvais fruits » dit le Seigneur dans l’Evangile. Les fruits du concile sont bel et bien là. « Tout arbre qui ne porte pas de bons fruits est coupé et jeté au feu. » continue le Seigneur.

    Les hommes d’ Eglise vont-ils enfin admettre avec un peu d’humilité l’impasse dans laquelle les réformes conciliaires ont mené l’ Eglise ? Car l’abandon de la soutane a fait disparaître le prêtre, l’abandon du latin a retiré ce sens du mystère et du sacré qui attirent, l’abandon du sacrifice propitiatoire a enlevé toute rédemption et l’abandon de la doctrine a dénué l’ Eglise ne serait-ce que de tout intérêt.

     Le concile n’a rien à voir là-dedans ? Peut-être, mais dans 5 ans il n’y aura plus que 6000 prêtres alors qu’il y en avait 41.000 juste avant l’ouverture du concile en 1960. Un curieux hasard tout de même…