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Rome infiltrée - Page 16

  • Réveil chrétien face à l'islam .


     Après une forme de « sommeil » durant le XIXe et une partie du XXe siècle, l'islam s'est réveillé et a repris son vieux rêve de conquête du monde. Pour rester dans le « politiquement correct », il faudrait appeler « islamisme » cette visée expansionniste, qui passe souvent aujourd'hui par le terrorisme, afin de la distinguer d'un islam qui, lui, serait une « religion de paix et d'amour ». Cette distinction est factice car l'islamisme, s'il est un fruit vénéneux de l'islam que certains musulmans rejettent, n'en est pas moins une conséquence logique des textes où Mahomet lui-même prêche le djihad et l'asservissement des « infidèles ».

    Cette montée progressive de l'islam, liée dans nos pays à une immigration voulue par nos gouvernants et venue du Maghreb et de l'Afrique noire, représente un danger mortel pour la civilisation chrétienne.

    Des politiciens aveuglés ou franc-maçons sont complices de cette menace de submersion ; un clergé conciliaire naïf, voire « collaborationniste », prête trop souvent la main à cette capitulation. Pourtant, les rêves de coexistence pacifique sont clairement démentis par l'histoire : le mahométisme tend de lui-même à obtenir le pouvoir dès que ses membres sont assez nombreux, notamment parce qu'il ne fait aucune distinction entre le religieux et le politique.

    Il y a donc réellement motif à s'inquiéter pour l'avenir de notre France chrétienne. Cependant, il faut bien comprendre que si les armes pour se défendre de ce péril toujours plus grave comportent une dimension politique, policière, militaire, il est illusoire de croire que, par ces seuls moyens naturels, on édifiera un barrage vraiment efficace. L'islam est une foi, une conviction : on ne peut s'y opposer sur le long terme que par une autre foi, plus vraie et plus vive. Nous sommes en présence de bien plus qu'une « guerre de civilisation » : nous vivons une authentique guerre de religion.

    Un responsable musulman a récemment proposé de confier des églises aux musulmans pour en faire des mosquées. Une légitime indignation a traversé notre pays, une pétition a recueilli des signatures prestigieuses. Mais le problème est réel : si des dizaines de milliers d'églises restent quasi inoccupées, comment imaginer que la tentation ne revienne pas, toujours plus forte, d'en faire profiter des foules de musulmans fervents, qui sont aussi des électeurs et des consommateurs ?

    L'apostasie de la France et de l'Europe est le terreau où poussent immanquablement les racines de l'islamisme et, à tout le moins, de l'islam conquérant. La tiédeur des chrétiens ne peut qu'encourager une religion naturellement prosélyte, comme le malthusianisme des Occidentaux constitue un appel d'air irrésistible pour les peuples encore féconds. La vraie réponse à l'islam, la seule qui ne soit jamais vaincue ni dépassée, c'est donc une foi catholique ardente, forte et missionnaire. Cette foi doit irriguer les comportements des peuples chrétiens, et contribuer à la conversion des peuples musulmans. Il ne s'agit pas seulement de rester sur la défensive, d'essayer de conserver les derniers lambeaux de la civilisation chrétienne. Il s'agit bel et bien de faire revivre le christianisme, un christianisme plus rayonnant, plus ardent, plus conquérant que l'islam aujourd'hui.

    On dira volontiers que c'est utopique et impossible. Mais, d'abord, la grâce de Dieu est aussi puissante aujourd'hui qu'hier. Si don Juan à Lépante, si Jean Sobieski à Vienne, si saint Jean de Capistran à Belgrade ont réussi à vaincre de puissantes armées musulmanes par le secours de Dieu, pourquoi n'en serait-il pas de même aujourd'hui, si nous avions une foi aussi fervente qu'eux ? Ensuite, s'il n'est pas certain que nous gagnerons à tous les coups en travaillant à ce réveil chrétien, il est absolument certain que nous perdrons tout en restant dans la mollesse, le laisser-aller et la tiédeur.

    Les chrétiens d'Orient, habitués à vivre sous le joug de l'islam, et qui pourtant subissent depuis de longs mois des persécutions plus fortes qu'à l'accoutumée, nous en ont prévenus par la bouche de Mgr Amel Shimon Nona, archevêque catholique chaldéen de Mossoul (Corriere della Sera du 9 août 2014) :

    « Nos souffrances actuelles sont le prélude de celles que vous, les Européens et les chrétiens occidentaux, allez souffrir dans un proche avenir. (...) Vous êtes aussi en danger. Vous devez prendre des décisions fortes et courageuses, même si elles contredisent vos principes. (...) Vos valeurs ne sont pas leurs valeurs. Si vous ne comprenez pas ceci très vite, vous allez devenir les victimes de l'ennemi que vous allez accueillir chez vous. »

     

  • L’Eglise orthodoxe de Bulgarie appelle le gouvernement à stopper l’immigration .

     

     
     
    église orthodoxe bulgare
     
    Loin du discours immigrationniste suicidaire de l’Eglise catholique conciliaire, l’Église orthodoxe de Bulgarie, qui représente plus de 80% des Bulgares, a appelé le gouvernement à stopper l’immigration.
     
    Par communiqué, le Saint Synode de l’Eglise orthodoxe de Bulgarie a souligné que « le gouvernement ne doit en aucun cas laisser entrer plus de réfugiés« .
    « Il s’agit d’une vague qui adopte tous les traits de l’invasion« , dit encore ce communiqué qui souligne également que le peuple bulgare n’a pas à payer le coût de cette immigration dont il n’est pas responsable.
     
    La Bulgarie voit arriver un important flux de migrants venant de Grèce et voulant rejoindre l’Allemagne.
     
    « J’ai peur et le peuple bulgare a peur, ne serait-ce qu’en ce qui concerne les religions. Nous sommes chrétiens, ils sont musulmans« , a déclaré vendredi le Premier ministre conservateur Boïko Borissov. 
     

  • Bolivie : l’évêque d’Oruro interdit la communion dans la main .

     

     

    Le 16 août 2015, l’évêque du diocèse d’Oruro, en Bolivie, Cristóbal Bialasik, a affirmé, devant ses fidèles, lors de la messe du dimanche, qu’il interdisait désormais la communion dans la main. Il a souligné que « son diocèse n’allait plus tolérer que l’on administre le Corps du Christ qui se trouve dans l’Eucharistie dans les mains des fidèles ».

    En effet, force est de constater que c’est une attitude que l’on ne voit guère de nos jours car en réalité dans la plupart des diocèses d’Amérique Latine, les évêques encouragent la communion dans la main et ils vont jusqu’à interdire la communion à genoux et dans la bouche.

    Des fidèles du diocèse ont applaudi la décision de l’évêque car, étant donné que dans cette région des pratiques sataniques et de sorcellerie sont à l’ordre du jour, la communion dans la bouche empêchera que les gens qui se rendent à de telles pratiques ne puissent plus voler les hosties et les utiliser à des fins sacrilèges.

    L’évêque de ce diocèse a très bien fait d’affirmer que le Corps de Notre Seigneur se trouve dans la Sainte Hostie, mais, rappelons-nous que pour qu’il y ait véritablement la Présence Réelle, c’est-à-dire, une vraie Consécration, il faut une vraie consécration et un véritable prêtre validement ordonné.

    Néanmoins, il a été très courageux de sa part de tenir tête à tous ses confrères d’Amérique du Sud, qui eux, sont en désaccord avec lui. Comme par exemple, l’ancien président de la Conférence Épiscopale d’Argentine, Jorge Mario Bergoglio, qui lui, sans aucun regret, distribuait déjà à l’époque, l’hostie dans les mains.

    Ne serait-il pas une bonne idée que les évêques conciliaires reprennent un peu le vieil enseignement de l’Eglise Catholique et dont le Docteur Angélique a si bien développé concernant la Communion ?