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Rome infiltrée - Page 15

  • Summa familiae cura : un nouveau pas du pape François contre la famille .

    Le service de presse du Vatican vient de rendre public un Motu proprio intitulé Summa familiae cura par lequel le Souverain Pontife met - dans les faits - fin à l'Institut Jean-Paul II sur le mariage et la famille que le pape polonais avait créé pour répondre à la crise morale traversée par tant de sociétés contemporaines au cœur de leurs cellules vivantes que sont les familles.

    Le pape François a baptisé ce nouvel institut, Institut pontifical théologique Jean-Paul II pour les sciences du mariage et de la famille. Et même s'il précise qu’il souhaite que la nouvelle structure, rattachée à l’université pontificale du Latran, demeure fidèle à « l’inspiration originelle » de son fondateur, c''est en réalité une refondation « sociologique » qui s'annonce – et ce dans toutes les antennes nationales que compte l'institut, présent sur les cinq continents.

    Après les deux synodes sur la famille et Amoris Laetitia, l'exhortation hétérodoxe qui en découle, le pape François vient d'agrandir la rupture avec la conception traditionnelle de la famille.

     

    Le Motu proprio Summa familiae cura met en oeuvre les dérives d’ “Amoris laetitia”

    Sous couvert de « refonder » l’Institut Jean-Paul II d’études sur le mariage et la famille le Pape François lui substitue une nouvelle structure à la mission redéfinie : étudier davantage, à l’aide des sciences humaines, la « réalité de la famille d’aujourd’hui dans toute sa complexité ».

    Cette nouvelle structure appelée "Institut pontifical théologique Jean-Paul II pour les sciences du mariage et de la famille", a clairement pour but de mettre en pratique la réforme sacramentelle prévue par Amoris Laetitia envers les divorces remariés civilement et autres couples en rupture de catholicité et de consacrer les nouveaux modèles « familiaux » défendus par les tenants romains d'une approche plus "charitable" de la mouvance LGBT...

    Le nouveau Motu proprio repose sur le principe d’attention aux situations concrètes ; il cite largement Amoris laetitia et insiste sur « le changement anthropologique et culturel » actuel qui requiert de nouvelles réponses.

    L’Institut théologique Jean-Paul II pour les sciences du mariage de la famille aura un champ d’intérêt plus large - que celui créé par Jean-Paul II - avec « le développement des sciences humaines et de la culture anthropologique dans un domaine aussi fondamental pour la culture de vie ». Charabia jésuite qui ne trompe personne sur les réelles intentions de son auteur : affaiblir un peu plus, dans la pratique, le magistère traditionnel sur le mariage !

    En fait, le Pape s’arroge le droit de décider qu’il faut « en finir avec les modèles du passé » :

    « le changement anthropologico-culturel qui influence tous les aspects de la vie et requiert une approche analytique et diversifiée ne nous permet pas de nous limiter à des pratiques de la pastorale et de la mission qui reflètent des formes et des modèles du passé ».

    Dans le but clair de rester fidèles à l’enseignement du Christ, nous devons regarder avec l’intelligence de l’amour et avec un sage réalisme la réalité de la famille aujourd’hui, dans toute sa complexité, dans ses lumières et dans ses ombres »

    En quelques mots, il adhère à la révolution anthropologique actuelle qui fait fi de toute loi naturelle et divine en matière familiale et sexuelle. Après avoir relativisé la Vérité, la Rome post-conciliaire relativise la morale divine et  se fait l’apôtre de la corruption des mœurs, plus grave de la transformation artificielle de l’être humain, sous couvert de répondre « pleinement aux exigences actuelles de la mission pastorale de l’Église »

     

    Adieu l'Institut Jean-Paul II, Amoris Laetitia devient la nouvelle Magna Carta

    Définissant les limites de la mission de l’Institut « dans le domaine des sciences qui ont un rapport avec le mariage et la famille, et par rapport aux thèmes associés à l’alliance fondamentale de l’homme et de la femme pour la garde et la génération de la création », la lettre Summa familiae cura établit comme enseignement fondamental dans le domaine de la famille et du mariage Amoris Laetitia et le discernement pastoral « analytique et diversifié », c’est-à-dire une pastorale ne se basant plus sur l’indissolubilité du mariage et l’immutabilité naturelle de la famille.

    Mgr Vincenzo Paglia, actuel Grand chancelier de l’Institut pontifical Jean-Paul II, a salué les "modifications" (sic) apportées par le pape François lors d’un point de presse à la Salle de presse du Vatican, les résumant avec ces mots révélateurs : « Amoris laetitia devient la nouvelle Magna Carta. » C’est dire que l’Exhortation post-synodale, loin d’être un simple encouragement aux familles, et considéré est utilisé comme un document fondateur, en vue d’un changement fondamental.

    « Pour le pape François, la famille n’est pas simplement un idéal abstrait : ce sont toutes les familles, sans distinction, qui doivent être aidées et accompagnées afin de redécouvrir leur mission historique, que ce soit dans l’Eglise ou dans la société, et cela lie l’Institut de manière particulière au dernier de synode », a indiqué Mgr Paglia, promoteur à titre personnel de la communion pour les divorcés remariés dès avant sa nomination à la tête du conseil pontifical pour la famille, puis de l’Académie pontificale pour la vie et de l’institut Jean-Paul II.

    Si l’on comprend le message dans toute sa froide logique, la famille dont le pape argentin s’estime le gardien et le guide n’est donc plus la petite société fondée naturellement sur un père et une mère, et élevé à l’ordre de la grâce par le mariage sacramentel ce qui la définit chrétienne, mais tous les genres d’union avec ou sans enfants : monoparentale, homoparentale, mariés-divorcés-remariés, transsexuelle, synthétique, chimique, artificielle, etc. Et selon lui, chacune de ces « unions » serait une « famille » avec un rôle à jouer dans l’Église et la société !

    « Tanti saluti à Wojtyla et Caffarra », titre Sandro Magister, évoquant ce nouveau « tremblement de terre » et faisant référence à Jean-Paul II et au cardinal Caffara, signataire des dubia, décédé le 6 septembre 2017 avant la parution de ce funeste nouveau fruit du Concile Vatican II.

    Qu'il nous soit humblement permis de rappeler au successeur de Pierre ces terribles paroles de Notre Seigneur :

    « Adultères, ne savez-vous pas que l'amitié du monde c'est l'inimitié contre Dieu ? Quiconque veut être ami du monde se rend ennemi de Dieu. » (Jacques 4, 4)

  • Paris – Des musulmans prient dans la crypte de l’église Saint-Christophe de Javel avec la complicité du père Yannick André !

     
    Eglise St-Christophe de Javel, Paris XV

    Suite à un gros dégât des eaux dans leur salle de prière de la rue de Javel (XVe) qu’ils louent à Paris Habitat, les musulmans viennent dérouler leur tapis de prière… dans la salle paroissiale de l’église Saint-Christophe de Javel avec la bénédiction du curé, le père Yannick André, véritable caricature de pro-pro !

    Tous les vendredis du mois d’août, des musulmans sont déjà venus prier dans la crypte qui fait office de salle paroissiale de l’église Saint-Christophe-de -Javel, rue de la Convention (XVe). Et cela devrait encore continuer un certain temps.

    Mohammed Benali, le président de la salle de prière de Paris XVe, explique volontiers que le rabbin de la synagogue Adath Shalom de la rue George-Bernard-Shaw a proposé de les aider pour les travaux, et le curé a proposé de prêter sa salle. Notez la différence : le rabbin, lui n’a pas proposé d’ouvrir un quelconque lieu de sa synagogue pour que les musulmans viennent y prier. C’est une aide matérielle qu’il a proposé pour que les musulmans puissent remettre en état leur salle de prière. Ici encore, le dindon de la farce de ce relativisme religieux, c’est le curé de l’Eglise conciliaire.

  • Gérard Collomb, franc-maçon et ministre des cultes ...

     

    Gérard Collomb est un habile politicien.

    A 69 ans, l’ex-maire de Lyon est le ministre de l’Intérieur d’Emmanuel Macron. Il est aussi le ministre des relations avec les cultes. Depuis 1912, ces deux fonctions sont couplées.

    Or, comme nombre de ses prédécesseurs à la place Beauvau, Gérard Collomb est un franc-maçon, initié en 1989 au Grand Orient de France.

    Il est aussi membre du club mondialiste Le Siècle et membre du Groupe d’amitié parlementaire France-Israël et entretient les meilleures relations avec le CRIF.

    L’habileté de Gérard Collomb consiste précisément à faire oublier ses appartenances occultes et à amadouer l’ensemble de ses interlocuteurs.

    Ainsi, le franc-maçon Gérard Collomb est devenu un proche de Mgr Barbarin! ...

     

    Le franc-maçon Gérard Collomb ne manque pas non plus une occasion de s’afficher avec des représentants de l’islam.

    Bref, Gérard Collomb facilite tranquillement l’acceptation d’un syncrétisme religieux qui entre parfaitement dans le plan mondialiste.