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Rome infiltrée - Page 13

  • L’Eglise Catholique conciliaire exige que l’Etat ne puisse plus rechercher les clandestins dans les mosquées, en faisant de facto des sanctuaires pour djihadistes infiltrés ! ...

    BREIZATAO – ETREBROADEL (11/01/2018)

    Le clergé catholique , s’inscrivant dans une dérive de plus en plus marquée, a encore renforcé son alignement sur les organisations immigrationnistes d’extrême-gauche mais aussi sur l’agenda arrêté par la finance internationale en matière d’immigration.

    La Conférence des Evêques de France a appelé à faire des mosquées des lieux où l’état ne pourrait plus intervenir pour expulser des migrants clandestins, transformant de facto ces dernières en zone où ne s’exercerait plus la souveraineté française.

    Libération :

    L’Eglise catholique a demandé mercredi, lors d’une conférence de presse, la «sanctuarisation des centres d’hébergement» marquant ainsi son désaccord avec la circulaire du ministre de l’Intérieur, Gérard Collomb, diffusée aux préfets début décembre. Cette circulaire, qui permet d’identifier les sans-papiers présents dans les structures d’accueil, avait provoqué la colère des associations. «Les personnes doivent pouvoir s’y rendre en confiance», a soutenu Carlos Caetano, directeur de la Pastorale des migrants, le service de l’épiscopat dédié à ce dossier. Le prêtre a aussi inclus dans cette «sanctuarisation» les écoles, les hôpitaux et les lieux de cultes.

    Si cette mesure était adoptée comme l’exige le clergé catholique – qui rompt là son devoir de neutralité politique en s’ingérant dans un domaine strictement régalien – elle serait une véritable aubaine pour les organisations djihadistes.

    Comme l’ont démontré les attaques du Bataclan et de Nice, des migrants clandestins musulmans s’infiltrent en Europe et en France pour y commettre des attentats. Si les mosquées échappaient au contrôle du gouvernement, comme le prône à présent le clergé catholique conciliaire, elles deviendraient de facto des forteresses idéales pour les djihadistes, ces derniers étant certains de ne pas y être recherchés.

    Pour protester contre les menées subversives de l’agent pro-islamiste George Pontier, contactez l’intéressé ici :

    Tél. : 04 91 14 28 90
    Fax. : 04 91 31 06 81
    archeveque-marseille@wanadoo.fr

  • Amoris laetitia : trois évêques du Kazakhstan rappellent l’indissolubilité du mariage et l’impossibilité d’accéder aux sacrements pour « les divorcés-remariés » .

     

     

    L’exhortation bergoglienne sur la famille Amoris Laetitia, dévastatrice pour l’union familiale et la notion d’indissolubilité du mariage, n’en finit pas de susciter des oppositions dans l’Église officielle, parmi les membres de la curie et des conférences épiscopales !

    « Il ne nous est pas permis de nous taire »

    écrivent fermement trois évêques du Kazakhstan, Mgr Tomash Peta, Archevêque Métropolite de l´archidiocèse de Saint Marie en Astana, Mgr Jan Pawel Lenga, Archevêque-Évêque de Karaganda et Mgr Athanasius Schneider, Évêque Auxiliaire de l´archidiocèse de Saint Marie en Astana, dans un document dans lequel ils rappellent les normes traditionnelles du sacrement de mariage, l’indissolubilité du lien matrimonial et l’impossibilité pour les divorcés remariés civilement d’avoir accès aux sacrements s’ils ne vivent pas dans la chasteté.

    Les signataires insistent tout particulièrement sur la question de l’accès à la Sainte Communion :

    « Il n’est pas permis (non licet) de justifier, d’approuver ou de légitimer, ni directement, ni indirectement, le divorce et une relation sexuelle stable non conjugale en admettant les soi-disant « divorcés-remariés » à la Sainte-Communion, puisqu’il s’agit en ce cas d’une discipline étrangère à toute la Tradition de la foi catholique et apostolique. »

    Le texte, intitulé Profession des vérités immuables sur le mariage sacramentel, a un objectif clair : contrecarrer Amoris laetitia et son interprétation extensive.

    Le pape François avait peut-être cru mettre un terme à l’opposition et au débat en rendant officielle la possibilité de communier pour les soi-disant « divorcés-remariés » prise par les évêques de Buenos-Aires en publiant dans les Acta Apostolicae Sedes (AAS) la lettre dans laquelle il les félicitait de cette nouvelle discipline sacramentelle. Décision qui contraste avec le silence dont il fait preuve jusqu’à maintenant avec les quatre cardinaux des dubia.

    Les trois évêques du Kazakhstan ont relancé l’attaque contre l’exhortation en déclarant :

    « Les évêques, par leur office pastoral, doivent veiller fidèlement sur la foi catholique reçue des Apôtres (« cultores catholicæ et apostolicæ fidei » : cf. Missale Romanum, Canon Romanus). Nous sommes conscients de cette grave responsabilité et de notre devoir face aux fidèles qui attendent de nous une profession publique et sans équivoque de la vérité et de la discipline immuable de l’Église sur l’indissolubilité du mariage. Pour cette raison, il ne nous est pas permis de nous taire. »

    Parmi les points qui ressortent, il en est un majeur qui traite de « la plaie du divorce » :

    « Les normes pastorales évoquées contribuent de fait et dans le temps à la diffusion de « l’épidémie du divorce » (expression utilisée par le Concile Vatican II, cf. Gaudium et spes 47). Cette diffusion de « l’épidémie du divorce » intervient dans la vie même de l’Église, alors même que l’Église, par sa fidélité inconditionnelle à la doctrine du Christ, devrait être un rempart et un signe incomparable de contradiction contre la plaie du divorce toujours plus répandue dans la société civile. 

    De manière absolument univoque et sans admettre aucune exception, Notre Seigneur et Rédempteur Jésus Christ a solennellement reconfirmé la volonté de Dieu quant à l’interdiction absolue du divorce. Une approbation ou légitimation de la violation de la sacralité du lien matrimonial, même indirectement par la nouvelle discipline sacramentelle évoquée, contredit gravement la volonté expresse de Dieu et Son commandement. Une telle pratique altère donc substantiellement la discipline sacramentelle bimillénaire de l’Église, ce qui entraînera aussi avec le temps une altération de la doctrine correspondante. »

    Le problème principal que fait émerger ce document concerne cependant « la nouvelle discipline sacramentelle » qui découle d’Amoris Laetitia.

    « Après la publication de l’exhortation apostolique Amoris laetitia (2016), divers évêques ont émané, au niveau local, régional et national, des normes d’application sur la discipline sacramentelle des fidèles, dits « divorcés-remariés » qui, bien que le conjoint auquel ils sont unis par un lien valide du mariage sacramentel vive encore, ont toutefois entamé une cohabitation stable à la manière des époux avec une personne autre que leur conjoint légitime. 

    Ces normes prévoient entre autres que, dans des cas individuels, les personnes dites « divorcées-remariées » puissent recevoir le sacrement de Pénitence ainsi que la Sainte Communion bien qu’ils continuent de vivre habituellement et intentionnellement à la manière des époux avec une personne autre que leur conjoint légitime. De telles normes pastorales ont reçu l’approbation de plusieurs autorités hiérarchiques. Quelques-unes de ces normes ont même reçu l’approbation de l’autorité suprême de l’Église », écrivent pertinemment les trois évêques signataires.

    Amoris Laetitia, c’est la victoire de cette « théologie » de la « praxis » chère au pape François qui veut dépasser définitivement « le dogme » pour ouvrir totalement l’Église au monde contemporain ! Quoi de mieux pour « changer les mentalités » et « changer le visage de l’Église » ainsi qu’il le souhaite que de favoriser, dans les faits, le primat de la pratique sur la doctrine. Immanquablement, avec le temps, l’enseignement concernant le  mariage et l’accès aux sacrements changera par le biais de cette pastorale innovante, – en germe dans les ambiguïtés de cette Exhortation faussement familiale – , qui s’adapte aux us et coutumes de cette « a-civilisation » post-moderne ! C’est contre cette dénaturation prévisible de la doctrine sacramentelle et matrimoniale que s’insurgent, à juste titre, ces Mgr Tomash Peta, Mgr Jan Pawel Lenga et Mgr Athanasius Schneider.

    Ce serait une erreur cependant de croire que ces « envies de nouveautés » et ce désir de transformation datent de Jorge Maria Bergoglio. La volonté de générer une Nouvelle Pentecôte pour l’Église en l’ouvrant à la modernité, en la centrant sur l’homme et en faisant des choix en accord avec la mentalité progressiste de Notre Temps ont pris racine dans le cœur de la romanité depuis le dernier Concile. Le pontife argentin porte la logique de cette « auto-démolition » dogmatique, liturgique, sacramentelle et morale débutée il y a plus de 50 ans maintenant vers son terme ultime : l’annihilation de toute catholicité dans l’Église conciliaire néo-protestante…

    Raison supplémentaire s’il en faut pour rester éloigné de cette « secte conciliaire » !

    Francesca de Villasmundo

  • Le message de Noël de Viktor Orban : un appel à protéger le christianisme et la patrie ...

     

     

    Hongrie – Le chef de l’Etat a publié un message de Noël qui tranche avec les discours pro-immigration de la Rome conciliaire, des institutions euro-mondialistes, du gouvernement maçonnique macronique ainsi que des gouvernements et journalistes de l’Europe de l’ouest.

    Dans ce message publié par Magyar Idők , Viktor Orban souligne l’importance du christianisme.

    « Le christianisme est une culture et une civilisation. Nous y vivons. (…) La culture chrétienne définit notre morale quotidienne. »

    Viktor Orbán réplique à tous ceux qui tentent de faire croire qu’être chrétien, c’est permettre «à des millions d’extra-européens de s’installer en Europe» et qui abusent pour cela du commandement «aime ton prochain comme toi-même» .

    « Ils oublient la deuxième partie du commandement », note Orbán.

    « S’aimer soi-même signifie aussi protéger tout ce que nous sommes et qui nous sommes. Nous aimer signifie que nous aimons notre pays, notre nation, notre famille, la culture hongroise et la civilisation européenne.  »

    « Les bases de la vie européenne sont maintenant attaquées »

    « Nous ne voulons pas que nos marchés de Noël soient renommés, et nous ne voulons absolument pas nous retrancher derrière des blocs de béton. Nous ne voulons pas que nos fêtes de Noël soient marquées par la peur. Nous ne voulons pas que nos femmes, nos filles soient agressées le soir du Nouvel An. »

    « Ils veulent que nous arrêtions d’être ce que nous sommes. Ils veulent que nous devenions ceux que nous ne voulons pas être. Ils veulent que nous nous mélangions à des gens d’un autre monde. »

    « Les nations libres d’Europe, les gouvernements nationaux élus par des citoyens libres, ont une nouvelle mission : protéger notre culture chrétienne. »

    « Pas pour les autres, mais pour nous-mêmes; pour nos familles, pour notre nation, pour notre pays, pour la patrie, la terre de nos pères. »

     

     

     Que Macron et tous ses affidés en prennent de la graine !