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Rome infiltrée - Page 13

  • Le journal de gauche Ouest-France a une nouvelle fois fait preuve de sa haine atavique envers l’héritage chrétien des Européens.

    Le journal de gauche Ouest-France a une nouvelle fois fait preuve de sa haine atavique envers l’héritage et l’essence des Européens.

     

    Fidèle au vieux terrorisme cosmopolite défendu par le clergé marxiste bergoglien, le journal du monothéisme démocratique a dénoncé avec virulence l’usage de runes scandinaves par la sélection olympique norvégienne.

    Ouest-France (source) :

    Dale of Norway est à l’origine d’un gros scandale en Norvège. En effet, après avoir sorti une ligne de pulls destinée au skieur alpin norvégien, la polémique comme quoi les symboles inscrits sur les vêtements étaient nazis a enflé.
    C’est le scandale qui fait du bruit ces derniers jours en Norvège. Des équipements créés par la marque Dale of Norway destiné aux skieurs alpins arborent des motifs qui ont été utilisés par les nazis. Ces symboles sont aujourd’hui utilisés par des groupuscules néo-nazis.
    Le motif à l’origine de la polémique est une rune en forme de parapluie qui représente Tyr, le dieu de la guerre. Celui-ci est associé à la bataille, à la stratégie et à la victoire. Dans les années 1930, le IIIe Reich a repris la rune de Tyr pour en faire l’emblème d’une école où ont été formés des représentants du régime nazi.

    Il s’agit ici de l’habituelle inquisition cosmopolite pour laquelle tout ce qui existait avant les tables de la loi des droits de l’homme relève de l’hérésie, du séparatisme culturel et moral, bref du différentialisme.

    Ces prétendus « symboles nazis » sont en réalité vieux de plusieurs millénaires et étaient en usage dans le monde germanique et scandinave : les runes.

    La vieille haine de la bourgeoisie socialo-marxiste, post-chrétienne et cosmopolite envers la culture populaire des Européens n’est pas une chose nouvelle.

    Et elle doit cependant alerter ces derniers contre les tentatives désespérées des tenants du monothéisme antiraciste visant à détruire, à l’image des islamistes, tout ce qui incarne l’identité profonde des peuples qu’ils cherchent à maintenir, avec une difficulté croissante, dans le giron de leur superstition.

     

     

    Plus particulièrement, les oghams celtiques ou les symboles comme le triskel ne manqueront pas d’être désignés comme suspects aux yeux des inquisiteurs de l’église démocratique pour lesquels l’abolition des peuples et de leur culture est une condition sine qua non de la parousie du communisme racial, i.e. le « multiculturalisme ».

     

    Le programme anti-européen de Ouest-France et du Vatican néo-communiste ne doit tromper aucun Breton : leur héritage celtique sera ciblé tôt ou tard pour faire place au nouveau monothéisme qu’est le socialisme couronné par l’islam !

     

     

  • L’Eglise Catholique conciliaire exige que l’Etat ne puisse plus rechercher les clandestins dans les mosquées, en faisant de facto des sanctuaires pour djihadistes infiltrés ! ...

    BREIZATAO – ETREBROADEL (11/01/2018)

    Le clergé catholique , s’inscrivant dans une dérive de plus en plus marquée, a encore renforcé son alignement sur les organisations immigrationnistes d’extrême-gauche mais aussi sur l’agenda arrêté par la finance internationale en matière d’immigration.

    La Conférence des Evêques de France a appelé à faire des mosquées des lieux où l’état ne pourrait plus intervenir pour expulser des migrants clandestins, transformant de facto ces dernières en zone où ne s’exercerait plus la souveraineté française.

    Libération :

    L’Eglise catholique a demandé mercredi, lors d’une conférence de presse, la «sanctuarisation des centres d’hébergement» marquant ainsi son désaccord avec la circulaire du ministre de l’Intérieur, Gérard Collomb, diffusée aux préfets début décembre. Cette circulaire, qui permet d’identifier les sans-papiers présents dans les structures d’accueil, avait provoqué la colère des associations. «Les personnes doivent pouvoir s’y rendre en confiance», a soutenu Carlos Caetano, directeur de la Pastorale des migrants, le service de l’épiscopat dédié à ce dossier. Le prêtre a aussi inclus dans cette «sanctuarisation» les écoles, les hôpitaux et les lieux de cultes.

    Si cette mesure était adoptée comme l’exige le clergé catholique – qui rompt là son devoir de neutralité politique en s’ingérant dans un domaine strictement régalien – elle serait une véritable aubaine pour les organisations djihadistes.

    Comme l’ont démontré les attaques du Bataclan et de Nice, des migrants clandestins musulmans s’infiltrent en Europe et en France pour y commettre des attentats. Si les mosquées échappaient au contrôle du gouvernement, comme le prône à présent le clergé catholique conciliaire, elles deviendraient de facto des forteresses idéales pour les djihadistes, ces derniers étant certains de ne pas y être recherchés.

    Pour protester contre les menées subversives de l’agent pro-islamiste George Pontier, contactez l’intéressé ici :

    Tél. : 04 91 14 28 90
    Fax. : 04 91 31 06 81
    archeveque-marseille@wanadoo.fr

  • Amoris laetitia : trois évêques du Kazakhstan rappellent l’indissolubilité du mariage et l’impossibilité d’accéder aux sacrements pour « les divorcés-remariés » .

     

     

    L’exhortation bergoglienne sur la famille Amoris Laetitia, dévastatrice pour l’union familiale et la notion d’indissolubilité du mariage, n’en finit pas de susciter des oppositions dans l’Église officielle, parmi les membres de la curie et des conférences épiscopales !

    « Il ne nous est pas permis de nous taire »

    écrivent fermement trois évêques du Kazakhstan, Mgr Tomash Peta, Archevêque Métropolite de l´archidiocèse de Saint Marie en Astana, Mgr Jan Pawel Lenga, Archevêque-Évêque de Karaganda et Mgr Athanasius Schneider, Évêque Auxiliaire de l´archidiocèse de Saint Marie en Astana, dans un document dans lequel ils rappellent les normes traditionnelles du sacrement de mariage, l’indissolubilité du lien matrimonial et l’impossibilité pour les divorcés remariés civilement d’avoir accès aux sacrements s’ils ne vivent pas dans la chasteté.

    Les signataires insistent tout particulièrement sur la question de l’accès à la Sainte Communion :

    « Il n’est pas permis (non licet) de justifier, d’approuver ou de légitimer, ni directement, ni indirectement, le divorce et une relation sexuelle stable non conjugale en admettant les soi-disant « divorcés-remariés » à la Sainte-Communion, puisqu’il s’agit en ce cas d’une discipline étrangère à toute la Tradition de la foi catholique et apostolique. »

    Le texte, intitulé Profession des vérités immuables sur le mariage sacramentel, a un objectif clair : contrecarrer Amoris laetitia et son interprétation extensive.

    Le pape François avait peut-être cru mettre un terme à l’opposition et au débat en rendant officielle la possibilité de communier pour les soi-disant « divorcés-remariés » prise par les évêques de Buenos-Aires en publiant dans les Acta Apostolicae Sedes (AAS) la lettre dans laquelle il les félicitait de cette nouvelle discipline sacramentelle. Décision qui contraste avec le silence dont il fait preuve jusqu’à maintenant avec les quatre cardinaux des dubia.

    Les trois évêques du Kazakhstan ont relancé l’attaque contre l’exhortation en déclarant :

    « Les évêques, par leur office pastoral, doivent veiller fidèlement sur la foi catholique reçue des Apôtres (« cultores catholicæ et apostolicæ fidei » : cf. Missale Romanum, Canon Romanus). Nous sommes conscients de cette grave responsabilité et de notre devoir face aux fidèles qui attendent de nous une profession publique et sans équivoque de la vérité et de la discipline immuable de l’Église sur l’indissolubilité du mariage. Pour cette raison, il ne nous est pas permis de nous taire. »

    Parmi les points qui ressortent, il en est un majeur qui traite de « la plaie du divorce » :

    « Les normes pastorales évoquées contribuent de fait et dans le temps à la diffusion de « l’épidémie du divorce » (expression utilisée par le Concile Vatican II, cf. Gaudium et spes 47). Cette diffusion de « l’épidémie du divorce » intervient dans la vie même de l’Église, alors même que l’Église, par sa fidélité inconditionnelle à la doctrine du Christ, devrait être un rempart et un signe incomparable de contradiction contre la plaie du divorce toujours plus répandue dans la société civile. 

    De manière absolument univoque et sans admettre aucune exception, Notre Seigneur et Rédempteur Jésus Christ a solennellement reconfirmé la volonté de Dieu quant à l’interdiction absolue du divorce. Une approbation ou légitimation de la violation de la sacralité du lien matrimonial, même indirectement par la nouvelle discipline sacramentelle évoquée, contredit gravement la volonté expresse de Dieu et Son commandement. Une telle pratique altère donc substantiellement la discipline sacramentelle bimillénaire de l’Église, ce qui entraînera aussi avec le temps une altération de la doctrine correspondante. »

    Le problème principal que fait émerger ce document concerne cependant « la nouvelle discipline sacramentelle » qui découle d’Amoris Laetitia.

    « Après la publication de l’exhortation apostolique Amoris laetitia (2016), divers évêques ont émané, au niveau local, régional et national, des normes d’application sur la discipline sacramentelle des fidèles, dits « divorcés-remariés » qui, bien que le conjoint auquel ils sont unis par un lien valide du mariage sacramentel vive encore, ont toutefois entamé une cohabitation stable à la manière des époux avec une personne autre que leur conjoint légitime. 

    Ces normes prévoient entre autres que, dans des cas individuels, les personnes dites « divorcées-remariées » puissent recevoir le sacrement de Pénitence ainsi que la Sainte Communion bien qu’ils continuent de vivre habituellement et intentionnellement à la manière des époux avec une personne autre que leur conjoint légitime. De telles normes pastorales ont reçu l’approbation de plusieurs autorités hiérarchiques. Quelques-unes de ces normes ont même reçu l’approbation de l’autorité suprême de l’Église », écrivent pertinemment les trois évêques signataires.

    Amoris Laetitia, c’est la victoire de cette « théologie » de la « praxis » chère au pape François qui veut dépasser définitivement « le dogme » pour ouvrir totalement l’Église au monde contemporain ! Quoi de mieux pour « changer les mentalités » et « changer le visage de l’Église » ainsi qu’il le souhaite que de favoriser, dans les faits, le primat de la pratique sur la doctrine. Immanquablement, avec le temps, l’enseignement concernant le  mariage et l’accès aux sacrements changera par le biais de cette pastorale innovante, – en germe dans les ambiguïtés de cette Exhortation faussement familiale – , qui s’adapte aux us et coutumes de cette « a-civilisation » post-moderne ! C’est contre cette dénaturation prévisible de la doctrine sacramentelle et matrimoniale que s’insurgent, à juste titre, ces Mgr Tomash Peta, Mgr Jan Pawel Lenga et Mgr Athanasius Schneider.

    Ce serait une erreur cependant de croire que ces « envies de nouveautés » et ce désir de transformation datent de Jorge Maria Bergoglio. La volonté de générer une Nouvelle Pentecôte pour l’Église en l’ouvrant à la modernité, en la centrant sur l’homme et en faisant des choix en accord avec la mentalité progressiste de Notre Temps ont pris racine dans le cœur de la romanité depuis le dernier Concile. Le pontife argentin porte la logique de cette « auto-démolition » dogmatique, liturgique, sacramentelle et morale débutée il y a plus de 50 ans maintenant vers son terme ultime : l’annihilation de toute catholicité dans l’Église conciliaire néo-protestante…

    Raison supplémentaire s’il en faut pour rester éloigné de cette « secte conciliaire » !

    Francesca de Villasmundo