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Rome infiltrée - Page 12

  • Le pape François de nouveau en faveur du droit du sol et de l’accueil des migrants.

     

    Nouvelle polémique autour du pape François…

    Droit du sol à la place du droit du sang : la question, hautement importante en cette période électorale, divise les Italiens qui, pour l’instant, rejettent le changement voulu par la gauche. Toujours soumise aux diktats du mondialisme, cette dernière souhaite donner la nationalité italienne à toute personne naissant en Italie, quelle que soit son origine. Souhait que partage El pape argentin, le pape qui ne fait pas de politique…

    En octobre 2017, en plein durant ce débat sur la réforme de la loi de nationalité, des enfants d’une école primaire de Cagliari en Sardègne, « Pietro Allori » de Iglesias, sont descendus dans la rue afin de « garantir à tous l’égalité dans les droits et les devoirs, en reconnaissant et respectant la diversité ».

    « Un flash mob, en somme, avec pancartes et musique, destiné en quelque sorte à faire de la propagande sur la bonté du projet sur le droit du sol en discussion à la chambre des députés ces jours-là, écrit dans son édition d ‘hier Il Giornale. Cette initiative conseillée par des enseignants, avait suscité une polémique. Non à la propagande en faveur du droit du sol dans les écoles, d’autant plus portée en avant par des mineurs, avait souligné Ugo Cappellacci, coordinateur régional de Forza Italia. Il est inacceptable que l’on utilise un lieu institutionnel et surtout que l’on fasse participer des mineurs dans une bataille politique. […] Un autre Non”, ensuite, avait été prononcé par le parti de Giorgia Meloni (Fratelli d’Italia, parti nationalsite, ndlr) : “Fratelli d’Italia trouve vraiment inconvenant d’employer des enfants, de cet âge, dans des programmes aux engagements politiques clairs tandis qu’au Parlement on discute encore d’un projet de loi qui divise non seulement les forces politiques mais des courants philosophiques et culturels.” »

    En parallèle, les enfants de l’école avaient envoyé au pape François « des dessins et des écrits relatifs au parcours didactique d’approfondissement sur les thématiques de l’accueil. »

    A quelques mois de distance, semble que soit arrivé le placet du pape François envers ce « parcours didactique » très politisé et le flash mob qui va avec ! Le Vatican a envoyéà l’évêque du diocèse de Iglesias, Mgr Giovanni Paolo Zedda, une lettre louangeuse envers l’école, le 13 février dernier et rendue publique le 1er mars :

    « Sa Sainteté, qui a reçu avec plaisir les dessins et a apprécié les sentiments qui les ont inspirés, écrit Mgr Becciu, le substitut pour les Affaires générales de la Secrétairerie d’État, espère que le message diffusé par les enfants à travers leur initiative puisse susciter une renouvelée et commune attention aux nécessités de ceux qui sont à la recherche d’une vie digne. »

    Pour un pape qui ne fait pas de politique et qui s’insurge régulièrement contre l’exploitation des enfants, une telle intromission de sa part dans le débat si hautement politique du code de la nationalité italienne et son aval à la politisation d’enfants si jeunes par leurs enseignants, ont de quoi laisser perplexes… Mais il semble bien que pour le pape argentin les partisans mondialistes et immigrationnistes ont, à la différence de leurs adversaires, tous les droits…

    Francesca de Villasmundo

  • Macron et la réforme de « l’islam de France » ...

     

    L’islam est un vrai problème en France, et d’ailleurs dans toute l’Europe, que les politiciens au pouvoir ne veulent pas regarder en face.

    Macron prend ainsi la suite de l' apprenti sorcier Sarkozy ...

    Les plus de quinze millions de musulmans, citoyens français sont une manne électorale à ne pas dédaigner…

    Alors on recherche des subterfuges pour faire croire aux Français que l’islam est sous contrôle, que l’État socialiste ou sarkoziste ou en marche gère le problème…

    L’un d’entre eux est déjà en train de parler d’un islam de France plutôt que de l’islam en France. Comme s’il y avait un islam spécifiquement français ! Or c’est le même Coran et la même charia que prône l’islam sous toutes les latitudes et toutes les longitudes.

    La différence est d’ordre territoriale et politique : là où les musulmans sont prépondérants, la charia s’applique avec plus ou moins de rigueur selon le pouvoir politique en place, là où les musulmans sont minoritaires la charia ne peut être appliquée ou seulement de façon clandestine.

    Propager l’idée qu’il existe un islam de France différent de l’islam courant est une véritable fumisterie, destinée à endormir les esprits. Personne, d’ailleurs, n’aurait l’idée de parler d’un catholicisme de France différent du catholicisme romain…

    C’est à ce travail d’endormissement que s’attèle le président Emmanuel Macron : par le biais du Journal du Dimanche, il a annoncé qu’il veut « structurer l’islam de France » :

    « C’est durant ce premier semestre 2018 que je souhaite poser les jalons de toute l’organisation de l’islam de France » affirme-t-il.

    « Nous travaillons à la structuration de l’islam de France et aussi à la manière de l’expliquer, ce qui est extrêmement important. »

    Selon l’hebdomadaire, la création de nouvelles instances représentatives, notamment pour définir un cadre pour le financement des lieux de culte et la collecte des dons, ou la formation des imams, ainsi qu’une taxe hallal (alors qu'elle existe déjà par le biais des abattoirs hallal !), sont à l’étude par les fran-mac de l’exécutif...

    Marine Le Pen a vertement réagi à ces propositions :

    « Il y a toute une série de pistes dont certaines sont insupportables, inadmissibles : par exemple, l’idée d’un concordat, l’idée de toucher à la loi de 1905. » Et suggère « l’arrêt total du financement étranger des mosquées ».

    Autant Macron que Marine croient en la laïcité, imposée de manières différentes, comme solution miracle au problème islamique.

    Mais la seule solution pour résoudre le problème non pas de l’islam de France mais de l’islam en France, c’est, et nous citerons l’écrivain Michel Houellebecq, que le catholicisme redevienne religion d’État :

    « L’intégration des musulmans ne pourrait fonctionner que si le catholicisme redevenait religion d’État ».

    Et que les Français soient à nouveau fiers de leurs racines chrétiennes…

    Prions pour cela .

  • En Italie comme en France, les associations catholiques, collaboratrices de l’invasion afro-musulmane !

     

    http://media.medias-presse.info/wp-content/uploads/2016/06/pape_francois_refugie.jpg

     

    Elles sont « catholiques » de nom mais elles sont immigrationnistes de fait ! Elles se disent « catholiques » pour mieux imposer le nouvel Évangile du migrante, cher au pape François !

    En  prêchant un « christianisme » pseudo-humanitariste et solidaire, pseudo-catholique aux vertus chrétiennes devenues folles, elles sont le cheval de Troie de l’invasion migratoire et du Grand Remplacement.

    Elles sévissent depuis des décennies dans les pays européens submergés par l’immigration, grâce bien trop souvent l’aide d’évêques modernistes et progressistes déconnectés de leur mission première qui consiste à prêcher, à temps et à contretemps, la foi en Jésus-Christ, seul et unique Sauveur du monde, mais branchés à l’altruisme socialo-marxisant de l’establishment mondialiste.

    A quelques semaines des futures élections législatives en Italie, ces associations prétendument catholiques ou ecclésiastiques ont fait sept propositions soi-disant pour sortir de l’urgence migratoire, des insuffisances et de la lenteur du système d’accueil. Sept propositions pour « démontrer que gouverner le phénomène migratoire c’est possible, en garantissant les droits et les devoirs de tous et en s’opposant à l’actuelle vague de racisme et de xénophobie. »

    Parmi les requêtes avancées on trouve l’éternelle revendication de la gauche internationaliste : « le droit de vote pour les étrangers qui travaillent en Italie ». Pareillement ces associations, telles la Communauté Saint’Egidio, le mouvement des Focolari, l’Action catholique, le Centre jésuite Astalli pour les réfugiés, militent pour « une réforme des lois sur la citoyenneté pour imposer à la place du droit du sans le fameux droit du sol rejeté pourtant par les Italiens au cours de l’année 2017. Elles demandent également la mise en place de nouvelles modalités d’entrée plus libérales qu’elles ne le sont déjà. Et elles aspirent à développer les couloirs humanitaires, pour permettre une entrée par des voies légales aux ‘migrants’.

    Bien entendu toutes ces belles consciences morales donnent des leçons d’économie aux Italiens en prétendant cette main-d’œuvre indispensable au tissu industriel de la péninsule et donc n’enlevant pas  de travail aux autochtones.

    Simplifier et unifier le système d’accueil, toujours dans un sens qui ne peut qu’encourager les arrivées illégales, est un autre de leur dada.

    Immigrationnistes et immigrophiles convaincues, ces associations se donnent le beau rôle face aux médias et à la pensée unique en reliant leur combat en faveur des migrants au combat antiraciste :

    « Chaque type de discrimination envers quelqu’un est un affront à la dignité de ces personnes qui ont fui leurs terres parce qu’elles étaient déjà discriminées. Nous prenons donc une position nette par rapport à celui qui fait du racisme un élément de la propre campagne électorale » a expliqué le Père Ripamonti, du Centre Astalli à Vatican Insider.

    Dans un raccourci parfaitement injuste et discriminatoire mais si politiquement correct, le père jésuite compare toute défense de l’identité nationale et civilisationnelle des pays du Vieux Continent par certains partis politiques à de la xénophobie :

    « je me sens comme chrétien capable d’assumer mes responsabilités dans ce contexte historique où certaines forces politiques, les forces racistes et xénophobes, rehaussent la tête : alors il faut dire non, que ceci ne fait pas partie de notre appartenance chrétienne et de notre appartenance citoyenne. »

     

    En Italie, comme en France d’ailleurs, les associations ecclésiales et ‘catholiques’ sont des alliées de l’immigration-invasion. Leur attitude multi-culturelle et mondialiste est une autre conséquence du dialogue inter-religieux promu par l’Église conciliaire. Le principe de suppression des frontières religieuses et spirituelles s’imposent à la nature… D’ailleurs ce sont ces mêmes associations qui prônent l’accueil à tout va qui prêchent l’union œcuménique et inter-religieuse « dans la diversité » !