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Politique de gauche - Page 11

  • La France en déshérence et les français lobotomisés !

     

    Plus il y des attentats commis au nom d’Allah, des agressions d' islamistes contre des Français, des viols, des coups de couteau ou autres « incivilités », et plus les Français votent pour les ordures qui leur imposent leur remplacement !

    Moins ils votent pour ceux qui, comme Zemmour, Vardon ou Patrick Jardin, essaient de leur remonter la culotte, plus il y a de mesures de confinements avec l’alibi du sanitaire, et plus les Français votent pour les crapules comme Véran, vendus et soumis aux labos.

    Et moins ils votent pour Martine Wonner ou Florian Philippot, qui ont essayé de les informer et de les aider à résister, plus Macron protège les racailles, plus il impose de nouveaux immigrés, plus il se moque ouvertement des Français, en mentant grossièrement, avec son larbin Darmanin, et plus nos compatriotes votent pour LREM et pour Moussa ...

     

  • Prévisions législatives 2022 .

    Les élections législatives des 12 et 19 juin pourraient être marquées par un nouveau record d’abstention du fait de la démobilisation et du désintérêt du corps électoral pour ce scrutin.

    Les scores vertigineux déjà observés en 2017 (51,30 % d’abstention au premier tour, 57,36 % au second tour) pourraient être encore plus impressionnants cette fois-ci. Il faut dire que tout concourt actuellement à ce que les Français en âge de voter et jouissant de leurs droits civiques désertent l’isoloir. On observe d’abord une certaine lassitude. Les législatives qui suivent de quelques semaines l’élection présidentielle, elle-même organisée sur deux tours, sont traditionnellement marquées par une participation assez médiocre, sinon faible. Les électeurs ont tendance à considérer que tout se joue lors de la présidentielle qui est en effet depuis la réforme constitutionnelle de 1962 l’élection-reine de la Vème République et, assez logiquement, ils se désintéressent par conséquent des législatives subséquentes. L’instauration du quinquennat en 2000 a considérablement aggravé cette évolution en faisant du président un futur Premier ministre et en ne dissociant plus les durées du mandat du chef de l’Etat, réduit à cinq ans au lieu de sept auparavant, de celui des députés, également de cinq années. Au-delà de ces deux facteurs, il faut reconnaître que tout est fait pour entraîner une dépolitisation du peuple. Il est loin le temps où l’on se battait pour un idéal, des principes, une doctrine, une vision de l’homme et de la société. Il s’agit aujourd’hui d’être les gestionnaires du déclin, de la décadence, les garants et gardiens du politiquement correct, de la police de la pensée. Dans ces conditions, il n’est pas étonnant que les campagnes électorales, et surtout celles dans les 577 circonscriptions de la métropole et de l’outre-mer, ne passionnent pas les foules.
    Cela dit, il n’est même pas sûr que des campagnes dynamiques, avec des propositions très marquées et des propos vigoureux seraient de nature à réveiller un peuple amorphe, passif, résigné, drogué de jeux télévisés, d’écrans et de divertissements variés.

    Malgré l’aggravation de la situation dans tous les domaines, il n’est pas évident que même un discours relativement décomplexé et clair comme celui du Front national dans les années 1980 et 1990 rencontrerait aujourd’hui un franc succès auprès des masses tant l’heure est aujourd’hui à la modération, à la fadeur, à la résignation, à la recherche à tout prix de la tranquillité personnelle et immédiate, et répugne à la radicalité, à la transgression du politiquement correct. Et ce n’est certes pas là une bonne nouvelle, car cela signifie une perte d’énergie, de capacité à résister, à se mobiliser, à refuser, à rejeter ce qui nous conduit à la mort et à la destruction. Il n’est rien de pire qu’une marche mente et insidieuse vers la tombe, vers le précipice. Et pourtant c’est bien ce que nous vivons aujourd’hui. De fait, dans sa grande majorité, il n’y a plus, semble-t-il, aujourd’hui de résistance active et résolue à la submersion de notre pays, à la destruction de la morale traditionnelle et de nos traditions les plus fondamentales, aux avancées chaque jour plus effrayantes du lobby LGBT, à la négation chaque jour plus totale de nos libertés.

    Les sondeurs et gazettes s’interrogent ces jours-ci pour savoir si Macron et ses alliés disposeront de la majorité absolue à l’Assemblée nationale. Ce qui semble être le cas si on en juge par les résultats déjà connus chez les Français de l’étranger, même si Macron obtient chez ces électeurs des scores toujours nettement supérieurs à la moyenne nationale.

    Soit dit en passant on se réjouira de la défaite dès le premier tour de l’ancien Premier ministre, le Likoudnik Manuel Valls, persécuteur de Dieudonné et de la libre parole !

    Mais au fond cette question de la majorité parlementaire n’a guère d’importance car, que le président réélu dispose ou non d’une majorité absolue, cela ne l’empêchera nullement de mener à bien son entreprise de destruction du pays. Une simple majorité relative lui suffirait amplement pour gouverner pendant tout le quinquennat. Souvenons-nous des législatives de juin 1988. Le président socialiste François Mitterrand, brillamment réélu face à Jacques Chirac le 8 mai 1988 avec plus de 54 % des suffrages exprimés, avait dissous l’Assemblée mais, contrairement à juin 1981, le Parti socialiste n’avait pas alors obtenu la majorité absolue, mais seulement la majorité relative. Est-ce que cela a empêché le président de conduire la politique qu’il souhaitait ? Nullement. Il a nommé successivement trois Premiers ministres socialistes, Michel Rocard (1988-1991), Edith Cresson (1991-1992) puis Pierre Bérégovoy (1992-1993) et tous les textes qu’il a voulu faire adopter, y compris les plus détestables, comme la loi Gayssot en 1990 ou la loi Neiertz en 1993 créant un ahurissant délit d’entrave à l’IVG, l’ont été sans grande difficulté. Pour faire voter ces projets de loi, le gouvernement s’appuyait en effet tantôt sur les centristes, tantôt sur les communistes, et c’est ainsi que la législature est allée à son terme. Aucune motion de censure n’a obtenu la majorité absolue, les différents gouvernements socialistes entre 1988 et 1993 n’ont jamais été renversés.

    De la même manière, il y a fort à parier que si Macron n’obtenait pas la majorité absolue (ce qui n’est pas l’hypothèse la plus probable, ses électeurs, majoritairement âgés et aisés, ne désertant jamais les urnes, contrairement aux jeunes et aux catégories populaires qui lui sont beaucoup moins favorables), il pourrait s’appuyer tantôt sur la Nouvelle Union populaire écologique et sociale (NUPES) de Mélenchon, ou sur certains de ses éléments les plus modérés, tantôt sur les Républicains pour obtenir, au cas par cas, une majorité d’idée sur tel ou tel texte de loi. Par exemple la Macronie pourrait compter sur les voix de la NUPES pour légaliser l’euthanasie, le suicide assisté, la GPA et faciliter le changement de sexe. Ou encore pour aller plus loin dans les folies écologistes et antispécistes. A l’inverse, elle pourrait parfois avoir besoin des voix des députés LR pour la réforme des retraites et de la Sécurité sociale, pour le refus de l’augmentation des bas salaires et des minima sociaux.
    Ajoutons que le scrutin majoritaire à deux tours favorise mécaniquement et fortement le président élu ou réélu. Lequel, sauf en 1988, a toujours obtenu une majorité absolue. C’est pourquoi Macron s’est refusé lors de son premier mandat à réintroduire la proportionnelle, fût-ce de manière restrictive, pour les législatives, et ce contrairement à ce qu’il avait dit lors de la campagne présidentielle de 2017. Il n’avait en effet aucun intérêt à modifier le mode de scrutin, dès lors qu’il était convaincu d’être réélu face à Marine Le Pen qu’il voulait une nouvelle fois comme adversaire au second tour, assurance de sa confortable et certaine réélection.

    COMBIEN DE PARLEMENTAIRES obtiendront le Rassemblement National, Reconquête, Debout la France et les Patriotes au soir du 19 juin  ? Probablement aucun, à part peut-être Nicolas Dupont-Aignan dans l’Essonne, pour les trois derniers cités et sans doute une poignée pour le premier, le scrutin majoritaire à deux tours agissant comme un laminoir, surtout pour les mouvements disposant de peu de sortants et d’élus locaux implantés et connus. Le déficit de notoriété et d’implantation est dévastateur dans des élections législatives qui reposent sur un système par circonscription au scrutin majoritaire à deux tours. En une quarantaine d’années, depuis son émergence à Dreux en 1983, le Front national, rebaptisé en 2018 Rassemblement national, n’a jamais réussi, sauf dans quelques rares exceptions qui, comme en grammaire, confirment la règle, à percer le plafond de verre du scrutin à deux tours. Il est douteux qu’il y arrive beaucoup plus fortement cette fois-ci malgré la politique de dédiabolisation et de normalisation de Marine Le Pen.
    De toute façon, les huit députés FN et apparentés élus en 2017 ont brillé par leur absentéisme, se sont montrés le plus souvent incapables de s’opposer aux projets de loi restreignant les libertés fondamentales ou détruisant l’institution familiale et les vertus traditionnelles.

    Sébastien Chenu, l’un des porte-parole de Marine Le Pen, après avoir été cofondateur de Gay-Lib, a ainsi déclaré que le RN était favorable aux droits des homosexuels, au “mariage” inverti, à la PMA pour les lesbiennes. Et Marine le Pen a avalisé les lois Pleven et Gayssot à maintes reprises, et encore pendant sa campagne présidentielle de 2022. Comme nous l’indiquait en privé un membre lucide et isolé du bureau politique du RN, l’un des très rares à ne pas nous être hostile, de toute façon, quel que soit aujourd’hui le gouvernement, qu’il soit LREM, LR, NUPES ou RN, il persécuterait vraisemblablement de la même manière RIVAROL, maintiendrait en tous points les législations liberticides et mortifères que nous subissons. C’est d’ailleurs cela qui est le plus tragique. Il n’est désormais plus aucune force d’importance significative qui se batte aujourd’hui pour la vérité et la liberté. A nous alors, à notre humble niveau, de nous battre avec foi, ardeur, courage et opiniâtreté, de rester sur le pont avec la grâce de Dieu .

     

  • Les médias n’en peuvent plus de glorifier le grand assassin Macron !

     

    Les médias aux ordres des pitres qui nous dirigent assènent que la violence c’est mal, que la guerre c’est laid et que l’Ukraine est un pays merveilleux d’où, curieusement, vient aujourd’hui TOUT ce que nous consommons… !


    Les mêmes médias pleurnichent et s’apitoient sur l’affaire de la tuerie de l’école primaire au Texas par un psychopathe, mais pas un mot sur l’envoi en masse, par un autre psychopathe (Macron), d’armes de guerre et de forces spéciales françaises en Ukraine pour l’aider à vaincre la Russie en engendrant encore plus de morts, de blessés et de mutilés de guerre ukrainiens…
    Il faudrait savoir si la violence et la guerre c’est mal ou pas… ?
    Évidemment, on nous repasse à l’occasion le vieux film de la liberté d’être armé aux USA comme à chaque occasion d’une tuerie quelconque.

    Être armé devrait être un droit habituel dans tout pays de droit et de liberté. Les armes ne tuent jamais. Ce sont les hommes qui tuent et ils peuvent tuer avec n’importe quel moyen, même une bonne grosse pierre pour fracasser le crâne de l’autre.
    Que ce soit un couteau, un pistolet ou une bombe atomique, il y a toujours un type qui en fait usage ou appuie sur un bouton.
    Ce n’est pas l’arme qui tue, mais celui qui s’en sert. J’ai été artilleur et je sais qu’un canon de 155 dans un entrepôt ne tuera jamais personne.

    Je pense aussi que le droit d’être armé en France devrait figurer dans notre Constitution sous un certain nombre de conditions.
    En temps de paix, acquisition et détention d’armes simples, de poing ou des carabines à réarmement manuel, mais pas d’armes automatiques de guerre.
    5 cartouches maximum dans le chargeur, mais avec la possibilité d’avoir plusieurs chargeurs à disposition.

    Ensuite, pour toute demande d’acquisition, une chose dont on ne parle jamais, un examen psychiatrique en deux ou trois séances obligatoires devant un psychiatre et pas de casier judiciaire à part pour des délits mineurs comme de petites infractions routières sans violence ni conséquences.
    Les délits de violence volontaires, vols avec armes, viols et crimes de sang sont exclus, bien évidemment.
    Également l’appartenance à n’importe quel groupe humain incitant à la haine et à la violence contre d’autres humains, exclut automatiquement du droit à l’acquisition et la détention d’armes, notamment les groupuscules nazis ou autres violents ou les musulmans dont l’idéologie inclus dans ses textes le meurtre de tous ceux qui ne sont pas comme eux (voir Coran, charia et hadiths).

     
    Le simple port d’une arme n’empêchera jamais de se faire égorger par surprise (spécialité de nos amis au croissant vert).
    Le droit d’être armé chez soi devrait être libre . Par contre, en cas de besoin majeur de porter son arme sur soi (certains métiers, activités ou certains lieux) il devrait être obligatoire de le déclarer aux autorités de police par un simple courrier précisant les dates des périodes d’usage.
    Il n’y a pas de raison qu 'en France seuls les bandits et les terroristes soient armés en toute impunité avec le feu vert du gouvernement !...

    Macron, l’État, les institutions, les médias et les réseaux sociaux (grands détenteurs et diffuseurs de la nouvelle morale universelle islamogauchiste) tentent de nous culpabiliser sans arrêt par rapport à la haine et à la violence qu' eux mêmes ont engendrées.

    Nos dirigeants qui ne respectent pas les français, ne font pas leur travail et nous abreuvent de mots d’amour, de paix, de solidarité, d’accueil, de partage, de respect, etc.
    On se doit certes d'accueillir les Ukrainiens , au moins les vrais, femmes et enfants qui fuient la guerre et la ruine de leur pays provoquées par leur chef d’État nazi, acteur et clown de service sous la coupe des USA, de l’OTAN, de l’UE et de l’ONU.

    Leur but est que l’Ukraine entre dans l’OTAN (qui aurait dû être dissoute depuis au moins 40 ans) et permette la mise en place sur son sol de vecteurs balistiques tactiques nucléaires pointés sur la Russie. C’est la seule raison des USA dévorés par leur haine de la Russie et leur volonté de continuer à être les maîtres du monde pour nous imposer leur loi.


    La Russie a raison de refuser cela.

    À côté de ça, Macron envoie de l’argent (12 milliards d' euros)  à l’Ukraine pour l’aider à « gagner la guerre contre la Russie » qui est bien plus puissante…
    La France envoie aussi des canons Caesar et des missiles Milan, tandis que les USA et l’Angleterre envoient aussi des véhicules blindés, des drones explosifs et des missiles antichars.
    Le territoire ukrainien pourrait devenir, à l’image de pays comme la Syrie ou l’Irak, des territoires de guerre permanents où les maîtres du monde jouent aux échecs et commercialisent les armes de guerre qu’ils produisent…Et ces armes pourront demain se retourner contre nous !

    Tout ce que fait Macron ( chef d’État inopérant qui a dépassé sa date d’obsolescence programmée) en accord avec ce chien de Zelenski, c’est de prolonger cette guerre dans la durée et de permettre largement à Poutine de détruire plus totalement le pays et de tuer encore plus de populations ukrainiennes innocentes.
    Macron, le grand stratège devant l’Éternel, ne connaît rien à la guerre (ni à quoi que ce soit d’autre, d’ailleurs) et en particulier aux dégâts que peuvent provoquer des pièces d’artillerie mal encadrées (PC de tir).  Quand on tire au canon à 5, 10, 15, 20 ou 25 kilomètres, on ne voit pas sur quoi on tire... Et on peut tout autant détruire des structures amies qu’ennemies et tuer des gens du camp adverse comme de son propre camp.
    Macron est bel et bien un assassin, une fois encore, par ses mauvais choix et ses décisions absurdes.

    Macron grand chef de guerre et assassin détourné, incapable de gérer un pays de 67 millions d’habitants dont une majorité lobotomisée a voté pour lui…
    Ainsi, les médias encensent ce "grand chef de guerre" (qui n’a jamais touché une arme de toute sa vie) et veulent en faire un héros au service de la paix alors que ce n'est qu'un bouffon…
    On oublie aussi tous les crimes, assassinats et égorgements rituels commis en France chaque jour contre notre propre peuple (Français de souche,  chrétien ou juif) par des populations immigrées arabo-africaines au nom d’un culte sectaire barbare et génocidaire, sous le regard très bienveillant et approbateur du grand criminel Macron et de son ministricule Moussa Darmanin…
    Mais si un islamogauchiste se fait trucider, on en fait un débat pendant six mois.

     La réalité est que l’Ukraine est en ruine, finie, lessivée, rectifiée et a déposé les armes depuis longtemps et une grande partie des dernières troupes lucides ont déjà démissionné sagement face à une guerre qui les dépasse et dont ils savent qu’elle est d’ores et déjà perdue.
    Ils ne veulent pas être les derniers cadavres à joncher les rues et préfèrent rentrer chez eux.

    Les dernières poches de combattants survivants à résister encore sont ces fameux nazis qui savent qu’ils seront exécutés par l’armée russe pour leurs crimes contre les Russes et la population ukrainienne.

    Et toutes les absurdités distillées par les médias concernant la faiblesse de la Russie et une hypothétique maladie de Poutine ne sont que du vent.