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Persécutions chrétiennes - Page 10

  • L’Union européenne est devenue un camp de concentration !

     

     

    C’est désormais officiel : le premier juillet, l’Union européenne devient un immense camp de concentration, comme le note à juste titre le site Réseau international.

    Le passeport sanitaire devrait en effet être officiellement mis en place au début du second semestre 2021 pour circuler à nouveau entre les différents pays de l’Union. L’accord devra être approuvé par le Parlement européen à la prochaine session plénière du 7 au 10 juin à Strasbourg. « Ce qui permettra une entrée en vigueur le 1er juillet » a confirmé l’eurodéputé espagnol Juan Fernando Lopez Aguilar, négociateur du Parlement, lors d’une conférence de presse. Il ne fait guère de doute que tous les kapos de cette désormais Union de l’Enfermement voteront tous le bras levé à l’unanimité pour valider cet ausweis avec enthousiasme. Il en est de même d’ailleurs du Parlement national. Nul doute, pensent-ils, que tous les Européens vont accepter d’arrêter de vivre pour éviter de mourir. 

    Notons une nouvelle fois que c’est une Assemblée européenne et non un Parlement ayant pouvoir de légiférer qui s’apprête à transformer une Union européenne déjà fortement liberticide en véritable prison des peuples.

    Ne serait-il pas temps, comme nous l’indique judicieusement un correspondant, pour tous les résistants au nouvel ordre mondial d’enfiler, au moins mentalement, un gilet jaune, symbole de résistance populaire ?

    Après Gaza bombardée, humiliée, martyrisée, endeuillée, dans l’indifférence quasi-générale des chancelleries occidentales, l’entité sioniste bénéficiant d’une totale impunité grâce à son passeport shoahtique, voici que l’Europe dite occidentale est à son tour transformée en camp de concentration.

    Certes ce qui se passe ici est moins violent qu’à Gaza, c’est évident, mais cela participe de la même logique destructrice, liberticide et mortifère. Un accord vient donc d’être trouvé entre eurodéputés et États membres sur le fameux pass sanitaire qui permettra à l’aide d’un QR code d’indiquer que son titulaire a bien été vacciné, qu’il a passé un test négatif, ou encore qu’il est immunisé après avoir été infecté par le Covid-19. 

    Il ne faut pas s’y tromper : cet “ausweis” n’est rien d’autre qu’une permission de sortie de la prison européenne à ciel ouvert pour pouvoir à nouveau circuler entre les différents pays européens. Il entérine ainsi la création d’Alpha+ et de bêta-, autrement dit, une gigantesque discrimination européenne, permise celle-là, selon qu’on aura été vacciné ou non. Ce dispositif vient compléter et aggraver tout un arsenal répressif et liberticide comme le traçage, le pistage, la géolocalisation, le flicage tous azimuts, les confinements divers et variés, le port de la muselière, les couvre-feux, les limitations de déplacement dans le temps et dans l’espace, la propagande des grands médias et la censure de plus en plus implacables des réseaux sociaux (suppression de comptes YouTube, Twitter, Facebook, Instagram, VK, etc.).

    Qui ne voit que cette monstrueuse Union européenne est en guerre contre ses peuples pour asseoir définitivement sa tyrannie avant un éventuel effondrement économique, prélude au Grand Reset théorisé à de Davos et peut-être à l’instauration de la monnaie numérique, après la monnaie unique qu’est l’euro, et le revenu universel, afin de conduire à la soumission et à la sujétion de toute la classe moyenne européenne, à commencer par la classe entrepreneuriale, celle qui était jusque-là créatrice de richesses. Ce scénario cauchemardesque n’empêche pas, bien au contraire, l’Euro-Kommissar Didier Reynders de comparer cet accord à la triomphale élection d’un pape en tweetant, enthousiaste : « Fumée blanche : nous avons un accord sur la proposition de la Commission de certificat européen Covid ». « Nous avons abouti sur ce nouvel instrument en un temps record pour sauvegarder la libre circulation pour tous les citoyens », s’est-il félicité avec outrecuidance. Comment peut-on davantage se moquer du monde puisque la liberté de circulation sera désormais soumise à un passeport sanitaire ?

    De sorte qu’on en arrive à cette situation ubuesque : les immigrés extra-européens continuent à entrer en masse sur le Vieux Continent, le Grand Remplacement se poursuit et s’accélère, et les Européens, eux, pour pouvoir se déplacer d’un pays à un autre de l’Union européenne, devront passer sous les fourches caudines de la tyrannie sanitaire !

    Comme ils doivent déjà se plier à la tyrannie de la Mémoire s’ils veulent faire carrière, gravir les échelons et ne pas être socialement marginalisé et éliminé. Et pénalement sanctionné. Jusqu’à la prison ou l’exil.

    On le voit, plus le temps passe, plus les choses s’accélèrent, plus il devient évident, à qui veut voir la vérité en face, que nous sommes sans le savoir des Palestiniens en Europe occupée.

     

  • Nos gouvernenants utilisent l' immigration pour nous liquider !

     

    Qui eût imaginé qu’une ville historiquement aussi calme, tranquille et bourgeoise que Rambouillet, avec son charmant et majestueux château, devînt le théâtre d’une action terroriste perpétrée le vendredi 23 avril, en début d’après-midi, par un Tunisien de 36 ans contre une policière de 49 ans, mère de famille, sauvagement égorgée dans le sas de sécurité (tout un symbole !) du commissariat de Rambouillet ? C’est dire que les métastases de l’immigration extra-européenne se sont étendues désormais à tout le territoire national et qu’il n’est plus aucun endroit qui soit sûr actuellement. Comme toujours ou presque, il s’agit d’un immigré entré illégalement en France en 2009, il y a douze ans, qui a vécu dans notre pays pendant dix ans de manière illicite avant d’être régularisé en 2019. 

     

    Car avec les gouvernements successifs qui ont encouragé et continuent à encourager plus que jamais la submersion migratoire de notre pays et le Grand Remplacement, le destin d’un immigré qui entre illégalement en France est quasiment toujours le même : de clandestin, il finit par être régularisé, et une fois régularisé, il finit par être naturalisé.

    Ce qui crée par millions des Français de papier, des Français transgéniques que rien ne rattache à notre pays, à son passé, à son sol, à sa foi (qui a hélas aujourd’hui presque totalement disparu, c’est le fond du problème), à ses paysages, à ses monuments, à ses traditions. 

    Le tunisien Jamel G. est l’auteur des deux coups de couteau, l’un à l’abdomen, l’autre à la gorge, qui ont coûté la vie à la policière Stéphanie M., une Française de souche qui laisse orphelines deux filles, Elodie (18 ans) et Anaïs (13 ans) et un veuf, son époux Alain, artisan boulanger. Mais si l’assassin est celui qui a porté les coups et endeuillé et brisé à vie toute une famille, le plus coupable moralement et politiquement dans cette affaire, ce sont les pouvoirs publics qui organisent depuis un demi-siècle environ l’invasion de notre pays par des masses allogènes et inassimilables. Les vrais coupables, ce sont les gouvernements et les associations dites antiracistes qui diabolisent, qui poursuivent en justice les patriotes, nationaux et nationalistes qui s’opposent à cette destruction méthodique et programmée de notre pays et de notre peuple et qui refusent de se taire et de courber l’échine devant cette infamie.  

    Les coupables, ce sont ceux qui, comme la LICRA et consorts, exigent l’ouverture totale des frontières, condamnent toute politique de régulation et a fortiori d’inversion des flux migratoires, veulent ouvrir le pays à des millions de migrants, pour la plupart mahométans, et qui, en même temps, de manière diabolique, provoquent ces mêmes immigrés musulmans dont ils favorisent l’accueil et l’installation chez nous, en se revendiquant bruyamment Charlie, en exigeant la republication des caricatures de Mahomet, en ordonnant qu’elles soient montrées dans toutes les écoles au risque évident d’attiser les haines, les rancœurs et les fanatismes.

    Car précisément ce Jamel G., au départ pas spécialement engagé sur le plan religieux, a été radicalisé à partir de l’automne 2020 au moment où ont été republiées et à nouveau médiatisées les caricatures de Mahomet montré nu, les fesses à l’air, l’appareil génital exhibé, de manière à offenser de manière directe, et donc à radicaliser contre la France et les Français, des musulmans qui sont désormais des millions dans notre pays.

     

    Sauf à être naïf et aveugle, il est donc évident qu’il y a une volonté au plus haut niveau de conduire à la guerre civile et au chaos.

    Cette vérité est certes difficile à croire, tellement elle est effrayante, elle est pourtant incontestable : les différents gouvernements successifs, les institutions actuelles travaillent activement à notre destruction, tant physique que mentale, tant culturelle que spirituelle, tant biologique que morale. L’Etat profond promeut l’ouverture du pays aux migrants, mais il veut que chacun de nous devienne un migrant dans son propre corps et dans sa tête ; un être qui peut sans cesse se transformer, se réinventer, changer, qui n’est ni homme ni femme, ni blanc ni noir, ni défini sexuellement, ni ethniquement, ni religieusement. 

    Nous vivons l’époque effrayante de la disparition des frontières physiques mais aussi morales. Ce n’est pas un hasard si les sectateurs de l’ouverture totale des frontières sont aussi les militants du lobby LGBT, un acronyme qui chaque année s’enrichit, si j’ose dire, d’une lettre supplémentaire. N’existe-t-il pas une institution gouvernementale officielle qui s’appelle la DILCRAH : la Délégation interministérielle à la lutte contre le racisme, l’antisémitisme et la haine anti-LGBT ? C’est clair, le pouvoir est notre ennemi, travaille à notre ruine.

     

    Comme toujours en pareil cas l’on a droit au discours martial des dirigeants qui affirment péremptoirement, le menton en avant, qu’ils n’acceptent pas ce genre d’actes barbares, qu’ils lutteront de toutes leurs forces contre le terrorisme islamiste (qu’ils alimentent et promeuvent en réalité de toutes les façons par leur politique de submersion migratoire et de subversion pro-Charlie), que les fanatiques ne passeront pas, que jamais ils n’accepteront la répétition de telles tragédies, etc. Ce sont des menteurs et des hypocrites car rien n’a été fait, rien n’est fait et rien ne le sera pour empêcher la multiplication de ces attaques ignobles.

    Il n’est même pas question d’immigration zéro, encore moins de réémigration.

    Aucun parti politique ayant pignon sur vue ne propose aujourd’hui de telles mesures pourtant de bon sens. Cela en dit long sur la gravité de la situation. Aucun ne propose non plus d’en finir avec le torchon Charlie et ses provocations infâmes contre tous les croyants et qui agissent comme un chiffon rouge, de rééquilibrer notre politique au Proche Orient conformément à la vérité et à la justice, de ne pas participer à des actions extérieures dans lesquelles nous n’avons rien à faire, de rétablir immédiatement des frontières réelles, d’inverser les flux migratoires et de couper toutes les pompes aspirantes qui favorisent l’immigration de masse.

    En réalité, le pouvoir n’est pas mécontent de ce genre d’attentats.

    Et on peut toujours se demander si, au moins pour certains d’entre eux, ils ne les laissent pas faire. Car ces actions barbares engendrent une peur panique au sein de la population qu’il est alors plus facile de manipuler et de châtrer. En réduisant ses libertés, en prétextant que c’est nécessaire pour sa sécurité, laquelle n’est pourtant nullement assurée. On l’avait vu aux Etats-Unis avec le Patriot Act  après le 11 septembre 2001. On le voit chez nous avec l’empilement des législations et dispositifs liberticides.

    Le terrorisme islamique, comme ladite pandémie covidesque, comme la répression policière au moment des gilets jaunes, sont des moyens massifs d’apeurer le citoyen et de le tenir en laisse, de réduire considérablement toutes ses libertés.

    Comme le note Alain Soral « pour faire tenir tranquille et terroriser le natif paupérisé, le pouvoir dispose désormais du flash-ball de la police et du couteau du migrant ». Ceux qui nous gouvernent, ou plutôt nous oppriment, sont nos pires ennemis.

    Et les vrais gouvernants ne sont pas ceux qui apparaissent au-devant de la scène. Ils sont plutôt à chercher au CRIF, au Congrès juif mondial, à la LICRA, à l’AIPAC et au B’nai B’rith, bref chez ce lobby « influent et nocif » dont l’Exécutif est le docile et servile exécutant !

     

  • Scandaleuse mise en examen de Jean-Pierre Maugendre à la suite d’une plainte de SOS Homophobie .

     

     

    Je viens d’apprendre que, à la suite d’une plainte déposée par l’association Stop Homophobie, Jean-Pierre Maugendre a été mis en examen, comme directeur de publication du site internet Renaissance catholique, par le juge d’instruction pour « provocation à la discrimination à l’égard d’un groupe de personnes à raison de leur orientation sexuelle ».

    Le lobby LGBT Stop Homophobie, grassement subsidié, reproche à Renaissance catholique d’avoir publié sur son site, le 13 juin 2019, un article intitulé : L’Eglise du Dieu vivant : la colonne et l’appui de la vérité (1 Tim 3 ,15) tenant « notamment les propos suivants » : « Les autorités civiles ne doivent pas établir d’unions civiles ou légales entre deux personnes du même sexe, qui clairement imitent l´union du mariage, même si de telles unions ne reçoivent pas le nom de mariage, puisque de telles unions encourageraient le péché grave pour les personnes concernées et seraient cause d´un grave scandale pour d´autres (cf. Congrégation pour la Doctrine de la Foi, Considérations à propos des projets de reconnaissance juridique des unions entre personnes homosexuelles, 3 juin 2003) ».

    Jean-Pierre Maugendre fait remarquer que le texte incriminé était signé des cardinaux Burke, patron de l’Ordre de Malte, Pujats, archevêque émérite de Riga, et des évêques Peta, archevêque de Sainte-Marie en Astana, Lenga, archevêque émérite de Karaganda et Schneider évêque auxiliaire de Sainte-Marie en Astana.

    Par l’intermédiaire de cette mise en examen, le lobby LGBT tente une fois de plus de priver l’Eglise catholique, son clergé et ses fidèles de leur liberté de proclamer l’enseignement moral catholique, à la lumière de l’Evangile.

    Pas un mois ne passe sans qu’une police de la pensée ne vienne tenter de museler ceux qui refusent d’assister sans broncher à l’effondrement de notre pays et de notre civilisation.

    Ici comme dans d’autres affaires sur lesquelles Civitas s’est déjà exprimé, il convient de répéter que, quelles que soient les différences qui nous séparent sur certains points, nous tenons à exprimer notre soutien à tous ceux qui sont victimes de cette répression.

    Cette mise en examen est inique et scandaleuse. Elle témoigne de l’état de délabrement moral de cette société et de ses gouvernants.

    Alain Escada, président de Civitas