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Partis politiques - Page 7

  • L’entité sioniste tue en toute impunité .

     

     

    Quel état au monde pourrait se permettre de procéder à une épuration ethnique continuelle, à des humiliations systématiques, à des expropriations massives, à des destructions par des chars de maisons, de champs, de récoltes, à des bombardements sanglants de la population civile, à des massacres délibérés et répétés d’enfants, de femmes, de vieillards, à des agressions militaires continuelles par air, par terre et par mer d’une population pauvre, humiliée, dépossédée et globalement désarmée, à la négation de tous les droits humains les plus imprescriptibles sans être isolé diplomatiquement, sanctionné économiquement et puni militairement ? Aucun pays, sinon la criminelle entité sioniste, Etat voyou et terroriste qui ensanglante la Palestine et le Proche-Orient depuis des décennies.

    Il est écœurant de voir à quel point la quasi-totalité des gouvernements dans le monde sont de misérables laquais du judaïsme et du sionisme international, sont incapables de condamner et de faire cesser les crimes à grande échelle opérés par l’Eretz.

    Ces dirigeants, ces politiciens sont sans honneur, sans courage, sans dignité, sans souci de la vérité et de la justice. Ils tremblent tellement à l’idée d’être taxés d’antisémites et de ne plus être invités au prochain dîner du CRIF qu’ils se taisent. Pis, ils justifient les crimes israéliens, condamnent les Palestiniens qui luttent pour leur survie et se font massacrer dans la plus totale impunité. 

    Les communiqués et déclarations qui se succèdent sont plus vomitifs les uns que les autres : les manifestations en faveur des Palestiniens martyrisés, opprimés, massacrés, des enfants réduits en bouillie par les bombes israéliennes sont interdites car, nous explique-t-on, il pourrait y avoir des slogans antisémites. Il est plus grave de s’en prendre verbalement à l’entité sioniste et à ses agissements meurtriers que de tuer des enfants palestiniens innocents. Voilà où nous en sommes : de même que le Lobby a réussi à criminaliser le révisionnisme, en l’assimilant à de la haine antisémite, défendre le droit des Palestiniens à une terre et à un Etat, dénoncer le sort injuste et ignoble qui leur est fait est de même considéré aujourd’hui comme l’expression la plus caractérisée de l’antisémitisme. Ne nous répète-t-on pas ad nauseam que l’antisionisme est le prétexte à l’antisémitisme ?

     

    Ce n'est pourtant pas l’antisionisme qui nourrit l’antisémitisme, c’est bien plutôt l’attitude de l’entité sioniste et de nombreux israélites qui soutiennent, légitiment, approuvent le massacre des Palestiniens, leur épuration ethnique, leur déportation, leur humiliation, n’expriment jamais la moindre compassion à l’égard d’un peuple dont on nie tout droit, toute dignité. La persécution de tout un peuple chassé de sa terre n’est pas près de cesser, bien au contraire, puisque, au nom de la Mémoire, l’entité sioniste peut tout se permettre.

    « En Occident, on n’a pas le droit de s’approcher de la boîte noire de l’Holocauste pour voir ce qu’il y a à l’intérieur » disait l’ancien président iranien Mahmoud Ahmadinejad. Au nom d’un Holocauste dont on n’a pas légalement le droit sous nos latitudes de s’approcher de la boîte noire, l’entité sioniste commet un holocauste permanent. Chaque fois qu’est rallumée la flamme du mémorial de la Shoah se perpétue le massacre de Gaza. Yad Vashem est la porte ouverte à toutes les haines. Tous les jours la criminelle entité sioniste opprime, affame, tue, persécute grâce au passeport shoahtique qui est son passeport vaccinal le plus efficace, le garant de son impunité, le gardien de son immunité. 

    Ce serait une erreur de croire que le sort des Palestiniens ne nous concerne en rien.

    Outre que toute injustice, tout crime doit être dénoncé, nous sommes de plus en plus traités en Palestiniens dans notre propre pays. Par les mêmes et leurs complices et laquais. Comme eux, nous sommes dépossédés, niés dans notre existence, dans nos droits, dans nos libertés. Comme eux, nous sommes remplacés dans les médias et sur notre sol. Les gilets jaunes qui se battaient contre l’injustice et pour leur dignité ont été sauvagement réprimés comme les manifestants palestiniens le sont. Nous avons été contraints depuis plus d’un an de rester chez nous, de remplir, de signer et de montrer à la police des attestations pour sortir de notre domicile, nous sommes soumis au couvre-feu, à des limitations de déplacements tant en distance que dans le temps, à l’instar des Palestiniens qui sont systématiquement fouillés, humiliés, contrôlés, qui doivent sans cesser montrer des papiers, prouver qu’ils ont le droit de circuler, de se déplacer, qui attendent des heures aux check points alors qu’ils sont chez eux et qu’on a leur a volé leur terre, qu’on nie leur passé, leurs racines et qu’on leur interdit tout avenir, à jamais. Leur situation est certes bien pire que la nôtre en terme de conditions de vie et de travail, en terme d’oppression et de servitude, mais progressivement la France devient une Palestine occupée. Dirigée, opprimée, défigurée par les mêmes !

     

     

    Où est le temps où il existait encore une diplomatie française digne de ce nom, où la France pouvait faire entendre sa voix, où le Quai d’Orsay menait une politique indépendante conforme aux intérêts de la France ? Nous n’avons aucune sympathie pour De Gaulle qui a été un fossoyeur et un diviseur mais il faut reconnaître qu’en 1967 lorsqu’il avait dénoncé « le peuple sûr de lui et dominateur », cela avait de l’allure et exprimait une grande vérité.

    On ne dira jamais assez combien l’existence même de l’entité sioniste est une menace permanente pour la paix du monde, combien elle excite les antagonismes, multiplie les crimes, est un élément majeur de déstabilisation et de tension.

    Et il est désolant de voir une classe politique totalement judéoservile, de Macron à Marine Le Pen. Tous dénoncent le Hamas et osent parler de la légitime défense d’Israël, de son droit à la sécurité.

     

  • Avec Macron la France est devenue le pays le plus endetté de l' OCDE !

    L' impact de la pandémie est très disparate selon les pays, eu égard, notamment, à la solidité de leurs dépenses publiques respectives. Au sortir de la crise de 2008, nombre de pays étaient endettés mais beaucoup ont engagé des réformes pour y remédier.

     

    La France a attaqué la crise sanitaire avec une dette qui atteignait 98,5% du PIB et est aujourd'hui l' un des pays les plus endettés au monde !

     

     

     

    Les données ci-dessus montrent une nette aggravation de l’endettement dans la plupart des pays mais pas au même degré de gravité. La Suisse prend 20 points de plus mais reste en-deçà de nombre de pays de l’OCDE. L’Allemagne a déployé un plan de relance de presque 300 Mds d’euros au sortir du printemps 2020 et voit son endettement augmenter de 11 points, sans que ses finances publiques en soient pour autant dégradées.

    La situation de la France surprend : notre dette publique est en hausse de presque 20 points alors qu’un plan de relance de 100 Mds est prévu sur 2 ans, à partir de 2021. On s’interroge : comment expliquer ces 20 points de dette supplémentaires ?

    On trouve une partie de la réponse dans le recours massif à des mesures sociales, abattement fiscaux, distribution de bons alimentaires, hausse du nombre d’allocataire au RSA (de 7.5%) et fonds de solidarité. En revanche, les investissements ont été très faibles pour financer des infrastructures, baisser les impôts ou encourager des projets innovants, comme l’ont fait les Américains ou les Allemands.

    Malgré la crise, la plupart des pays ont, eux, fait un usage raisonné des dépenses publiques et ont tenté de limiter les pertes de revenus. Il faut aussi noter que la France a pratiqué un confinement très strict, à l’opposé du Danemark (semi-confinement), de la Suède (pas de confinement) ou de la Corée (pas de confinement mais contrôle social rigoureux).

    Disparités dans la reprise économique

    Il faut mettre les chiffres de ce tableau en perspective avec la moyenne des taux de croissance au sein de l’OCDE, qui se situe à - 5,48. Par rapport à cette moyenne, deux pays sortent du lot, la France et le Royaume-Uni, auxquels il faudrait ajouter l’Italie et l’Espagne qui ne figurent pas sur ce graphique mais ont aussi été très fortement impactées. La Corée du Sud se distingue par des performances inverses ; elle a su gérer la crise sans détruire son économie, au travers d’une vraie politique de suivi faisant appel à la responsabilité et à la discipline de ses habitants, habitués aux épidémies, habitués à porter des maques. Elle n’a connu jusqu’ici que 1 737 décès au total, pour une population de plus de 50 millions. Le gouvernement a appliqué une grande transparence, et même le tracking des malades n’a pas contrevenu au respect de la vie privée. La France, avec trois confinements, affiche un nombre de décès près de 50 fois plus important…

    En France, l’activité économique s’est effondrée de 13,8% au deuxième trimestre 2020, selon l’INSEE. La reprise a été stoppée rapidement en raison notamment, du manque de confiance dans les actions du gouvernement, qui a toujours donné l’impression de patiner sans trouver de cap précis. Les prêts garantis par l’Etat et le chômage partiel ont maintenu l’activité économique dans une forme de stagnation. Puis, la résurgence de l’épidémie dès mi-septembre a anéanti l’espoir d’une reprise rapide.

    Il faudra payer la facture d’une politique centrée sur la santé plus que sur l’économie

    La modélisation réalisée par l’institut économique Molinari apporte de l’eau au moulin de ceux qui pensent que le confinement n’a que modestement réduit la mortalité mais a été dévastateur pour l’emploi et l’économie.

    Nombre de commentateurs, sur les plateaux de télévision, se sont réjouis que le sanitaire ait pris le pas sur l’économie, mais il faudra bien payer la facture. Rappelons que le taux de mortalité du COVID en 2020 est inférieur à 1%. Au regard des conséquences, taux de chômage en hausse, appauvrissement de la population, endettement massif et arrêt des réformes, cela n’apparaît-il pas comme un trop grand sacrifice ?

    A l’exception du Royaume-Uni, ce sont les démocraties le plus libérales qui ont imposé les plus faibles restrictions et qui aujourd’hui voient leur croissance repartir à la hausse. Surtout, dans une approche plus économique de la crise et pour maintenir la croissance économique, la Suède et les Etats-Unis ont investi massivement sur la campagne de vaccination alors que la France peine à faire de même et que les perspectives de croissance pour 2021 s’amenuisent.

     

  • Mensonges et supercheries de la transition énergétique.

     

     

    En décembre dernier, invité de l’émission 28 minutes sur Arte, le président de Greenpeace France détaillait une stratégie de transition énergétique composée à 100% d’énergie renouvelable pour 2050.

    Dans l’esprit des écologistes, ce doux fantasme "repose sur du vent", car ni la technologie actuelle de stockage d’électricité ni l’efficience des énergies renouvelables, solaire, éolien, géothermique, ne sont en mesure de répondre aux besoins énergétiques d’un pays comme la France.
    D’une part, la doxa très répandue que les énergies renouvelables sont l’avenir de l’humanité, en vue d’une production électrique sans émission à effet de serre ni pollution, est un mythe.
    D’autre part, une transition énergétique efficace passe en l’état par le nucléaire, que cela prenne la forme de réacteur à fission ou à fusion nucléaire.

    Quand les écologistes prônent la décroissance pour répondre à l’urgence climatique, les libéraux prônent l’investissement technologique, l’innovation et la responsabilité individuelle.

    Le discours écologique des politiques cache une réalité bien sombre

    Les ONG, les écologistes, les gouvernements font l’apologie des énergies renouvelables ou de la voiture électrique contre le diesel. Cependant, Arte, le 24 novembre dernier, diffusait un reportage intitulé « la face cachée des énergies renouvelables », qui montrait les pollutions faramineuses induites par l’extraction des terres rares, notamment en Mongolie intérieure.

    L’extraction des terres rares, matières premières existant en faible quantité, est une opération très complexe car elles sont situées très profondément dans le sous-sol. Il est nécessaire de broyer plus de 1000 tonnes de roche pour extraire un kilogramme de germanium, un matériau servant notamment à la production de cellules photovoltaïques. De plus, le processus de purification et de raffinement est extrêmement nocif. Guillaume Pitron a montré que 90% des habitants d’un village dans le nord-ouest de la Chine ont dû partir, à cause de la pollution des sols et de l’eau par les solvants chimiques utilisés.

    Pour se donner bonne conscience, les hommes politiques vantent les mérites de ces énergies en passant sous silence le fait que la pollution induite est supérieure à celle de la production d’électricité par une centrale nucléaire. Guillaume Pitron dénonce cette hypocrisie ainsi que celle des ONG, qui promeuvent une transition énergétique à base d’énergies renouvelables mais se battent pour faire fermer les mines qui produisent les ressources nécessaires à leur fonctionnement.

    L’exemple frappant de la voiture électrique

    Présentée comme une alternative écologique et propre aux voitures diesel, la voiture électrique est très irréprochable . C’est ce qui ressort de l’ « Analyse du cycle de vie » (ACV), un indicateur qui fait consensus. Il permet de calculer le degré de pollution de l’extraction des matériaux pour préparer le véhicule à son recyclage et montre que le processus industriel de production de la voiture électrique est plus énergivore et polluant (de l’ordre de 3 à 4 fois plus) que pour une voiture thermique. Il ne faut pas oublier non plus qu’une voiture électrique utilise l’électricité produite par des centrales thermiques (charbon, gaz) et rejette donc des gaz à effet de serre. La revue Nature Energie a démontré qu’une voiture rechargée avec de l’électricité produite par des centrales thermiques est plus polluante qu’une voiture thermique. Autre élément, des voitures électriques en plus grand nombre nécessiteraient un déploiement plus important de bornes de recharge, donc une augmentation de la demande en énergie électrique, à laquelle les énergies renouvelables ne pourront pas répondre… Il faudra, dans pas mal de pays, compenser avec des centrales thermiques. L’Allemagne en fournit un exemple : la nuit, leurs éoliennes sont à moins de 5% de leur capacité et les panneaux photovoltaïques ne peuvent fonctionner, obligeant à recourir massivement aux centrales à charbon.

    Il est aisé de préparer des plans marketing d’investissement public dans la transition énergétique quand cette révolution ne pollue que des espaces lointains et que les forages sont interdits dans notre propre sol. Ce qui se joue aussi à moyen-long terme, c’est une ultra dépendance en terres rares, donc envers la Chine. Elle produit 55% du vanadium, 77% de l’antimoine, 84% du tungstène. Matériaux utilisés dans la fabrication de voitures électriques, d’éolienne, de panneaux solaires.

    Concrètement, la Chine dispose d’un levier géopolitique important car c’est l’un des seuls pays ayant assumé le coût environnemental de l’extraction de ces terres rares. La France dispose de quelques ressources, notamment du tungstène, de l’antimoine ou de la barytine mais se garde bien d’en autoriser l’extraction à grande échelle. Guillaume Pitron défend la réouverture des mines afin de réduire notre dépendance à la Chine et d’assurer une souveraineté minérale à la France, notamment grâce à la Guyane et la Nouvelle-Calédonie.

    Les attaques envers le nucléaire sont inconscientes et inconsidérées

    L’énergie nucléaire produit en France près de 75% de notre électricité. D’après l’Analyse du cycle de vie, une centrale nucléaire émet moins de 10 gr CO2/ Kwh contre 14 pour l’éolien et 60 pour le photovoltaïque. La plupart des critiques portent sur les déchets ou la sécurité. Il convient de rappeler que les incidents sont très rares (949 de niveau 0 en 2017, selon ASN) et que les réacteurs EPR de nouvelle génération consomment 7 à 15% de moins que les réacteurs classiques. Ils peuvent en outre utiliser du combustible recyclé, ce qui réduit la quantité de déchets.

    Les retards et les surcoûts liés à la construction de l’EPR de Flamanville relèvent bien plus de l’incompétence de l’administration publique que de problèmes technologiques. Car la Chine a construit un EPR en moins de 10 ans, qui fonctionne - les travaux de l’EPR de Flamanville, eux, ont commencé en 2007 ! Surtout, comme l’explique la Société française de l’énergie atomique, la France, ayant délaissé l’énergie atomique pendant près de 15ans, a perdu de nombreux savoir-faire.

    Encore un mot sur la fusion nucléaire. Un site d’essai est en construction dans le sud de la France à Cadarache, les premiers essais devraient débuter en 2025. La fusion, si elle est maîtrisée, sera un véritable atout de transition énergétique puisqu’elle permet une production d’électricité supérieure aux réacteurs actuels tout en produisant très peu de déchet.

    Enfin, faut-il rappeler que les Français sont majoritairement en faveur de l’énergie nucléaire ?
    En effet, 59% se déclarent en faveur de cette énergie selon un sondage d’Odoxa commandé par Aviva.

    Sources :
    Wattez, EricGadault Thierry, EPR : pourquoi les Chinois y arrivent et pas nous ? Capital, 5 février 2020
    London Ernest, Les métaux rares, le visage sale des technologies « vertes », Reporterre, 10 février 2018
    Société Française de l’Energie Atomique, NOTE SFEN, Urgence climatique : peut-on se passer de l’énergie nucléaire ? Octobre 2018
    Safe Drinking Water Foundation, Exploitation minière et la pollution de l’eau, 2019
    Pitron Guillaume, La face cachée de la révolution verte, Les Echos Planète, 11 janvier 2021
    Pitron Guillaume, La guerre des métaux rares, Edition LLL, 2018
    Pérez Jean-Louis et Pitron Guillaume, reportage la face cachée des énergies vertes, Arte, 24 novembre 2020
    EEA report, Electric vehicles from life cycle and circular economy perspectives, 2018
    ADEME, élaboration selon les principes des ACV des bilans énergétiques, des émissions de gaza effet de serre et des autres impacts environnementaux induits par l’ensemble des filières de véhicules électriques et de véhicules thermiques, VP de segment b (citadine polyvalente) et VULa l’horizon 2012 et 2020, 2021