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Mondialisme - Page 10

  • La France en 2022 .

    LA NOUVELLE ANNÉE commence aussi mal que la précédente s’était achevée.

    Le président de la République multiplie les provocations : à peine la France avait-elle prise pour six mois la présidence tournante de l’Union européenne, ce machin supranational, antinaturel et antichrétien, que l’emblème européiste bleuâtre flottait sous l’Arc de Triomphe en lieu et place du drapeau national, signe ostentatoire que leur prétendue Europe se fait contre la France, qu’avec leur Union européenne notre patrie se défait. L’Europe bruxelloise, cheval de Troie de l’atlantisme, du mondialisme, de l’écologauchisme et de l’homosexualisme, bref du cosmopolitisme, de la révolution arc-en-ciel, est une machine de guerre contre la France et a vocation à se substituer à elle. Ce n’est pas un hasard si, d’après le quotidien britannique The Telegraph, la France macronienne serait prête à céder son siège du Conseil de sécurité aux Nations unies à l’Union européenne. Même si l’Elysée a démenti cette information, des parlementaires de la République en marche se sont déjà clairement prononcés dans ce sens au nom de leur européisme fanatique qui consiste dans les faits à faire disparaître la France, à fondre notre patrie dans un ensemble technocratique qui n’est en rien une nation et qui ne repose sur aucune réalité charnelle.


    Nous commémorons cette année le trentième anniversaire du référendum sur le traité de Maastricht qui ouvrit la voie à la disparition de notre monnaie nationale, notre compagnon de route de 632 ans, depuis Jean II Le Bon, le franc, mot qui veut dire libre. Nous étions le seul pays au monde dont la monnaie portait le nom, et dont le nom était une vertu. La monnaie est l’un des principaux attributs de la souveraineté. En renonçant à ce pouvoir, nous avons beaucoup perdu et ouvert la porte à la destruction méthodique de tous nos ultimes attributs de souveraineté, avec les traités successifs d’Amsterdam, de Nice puis de Lisbonne. Et il est profondément regrettable, et ô combien significatif, que la quasi-totalité des candidats à l’élection présidentielle refusent de sortir de l’euro et de l’Union européenne, y compris dans le camp dit populiste. Comme ils refusent tous de revenir sur les lois Veil et Taubira destructrices de notre civilisation. Mais comment peut-on prétendre mener une politique authentiquement indépendante, renouer avec la grandeur de la France en restant dans ce machin supranational qui impose ses lois, ses directives et règlements, dispose de ses tribunaux (Cour européenne des droits de l’homme, Cour de justice de l’Union européenne) condamnant régulièrement la France (ce qui n’a pas empêché une Marine Le Pen de déclarer qu’élue, elle respecterait ces juridictions européennes !), et alors même que les traités européens et internationaux sont scandaleusement considérés comme supérieurs à notre droit interne, même constitutionnel, depuis les arrêts Vabre (24 mai 1975) de la Cour de cassation et Nicolo (20 octobre 1989) du Conseil d’Etat ?


    AUTRE PROVOCATION du chef de l’Etat : l’attribution de la Légion d’honneur, lors de la promotion du 1er janvier 2022, à l’ancien ministre de la Santé, Madame Agnès Buzyn, admise au grade de chevalier. Comme l’écrivent pour le coup fort justement les Patriotes qui appellent au retrait immédiat de cette distinction et lancent à cette fin une pétition qui hélas a bien peu de chances d’être couronnée de succès, comme c’est le cas généralement de ce genre d’initiatives, « c’est une véritable provocation quand on connaît le bilan du passage de Madame Buzyn au ministère de la Santé, aussi bien concernant la gestion des débuts du covid, le retrait de l’hydroxychloroquine des pharmacies mais aussi au sujet de la poursuite de la fermeture des lits à l’hôpital. De surcroît, en septembre dernier, Agnès Buzyn a été mise en examen pour “mise en danger de la vie d’autrui” sur le dossier covid par la Cour de justice de la République ! »
    On mesure là le cynisme des pouvoirs publics. On ment aux Français, on les trompe, on les manipule, on affirme tout et son contraire, tout particulièrement depuis les débuts il y a deux ans de cette folie covidesque (un jour les masques ne servent à rien, un jour ils sont indispensables, un jour le vaccin est totalement protecteur, un jour il ne l’est plus, un jour une dose suffit, un jour il faut un abonnement vaccinal trimestriel, un jour le passe sanitaire n’est pas nécessaire, un jour il devient obligatoire, un jour il est transitoire (on le supprimera dès qu’on le pourra, avait affirmé, la main sur le cœur, le sinistre Véran), un jour il devient à durée indéterminée, est indéfiniment prolongé, un jour la vaccination des enfants n’est pas d’actualité, un jour elle le devient, etc., etc.) Et l’on prend des mesures de plus en plus vexatoires et liberticides contre les Français, cherchant à les domestiquer et à les infantiliser : le Premier ministre Jean Castex a interdit, à partir du lundi 3 janvier, et pour au moins trois semaines, de boire debout dans les cafés et les restaurants. Le petit noir au comptoir, c’est fini, ô désespoir ! Dans de nombreux lieux comme les cinémas, les théâtres, les équipements sportifs, les transports collectifs (y compris de longue distance), la consommation de boissons et d’aliments est également interdite. Impossible de boire dans un train ou un avion, même si le trajet dure de longues heures, même s’il fait chaud, même si l’on est malade, diabétique.

    A FORCE de normes et d’interdits, on finit par rendre la société complètement inhumaine, invivable. Et hélas leur monde repose sur la délation citoyenne, la démocratie participative : c’est très souvent un simple passager, et non le contrôleur, qui morigène, au besoin avec agressivité, le voyageur qui ne porte pas le masque ou qui le porte mal (en laissant son nez à découvert). Dans leur monde totalitaire les vraies personnalités se révèlent, ce qu’il y a au fond du cœur humain se donne à voir et ce n’est pas toujours beau : ce mélange de lâcheté, de crainte servile, de délation est assez écœurant. Les comportements de petit chef, de sinistre kapo se multiplient. Au nom bien sûr de notre bien.
    Les jauges sont, quant à elles, rétablies pour les grands événements : 2 000 personnes en intérieur, 5 000 personnes en extérieur. Et surtout, à partir du 15 janvier, le passe sanitaire deviendra un passe vaccinal. Plus moyen désormais d’échapper à la vaccination, sauf à accepter de ne quasiment plus sortir de chez soi, d’être un mort social. Ou sauf à prendre des libertés avec la loi en utilisant de faux passes sanitaires mais à ses risques et périls, la sanction allant jusqu’à cinq ans de prison ferme et devant être prochainement aggravée ! D’ailleurs, il ne se passe pas une semaine sans qu’un nouveau délit soit créé pour restreindre, annihiler, supprimer nos derniers lambeaux de liberté. Qui ne voit que le coronavirus, et ses différents variants, sont un moyen extraordinaire de contrôler, de brider et de brimer la population ? Il n’y a pas que Gaza qui est un camp de concentration à ciel ouvert. C’est quasiment le monde entier, et singulièrement l’Occident, qui est devenu aujourd’hui une vaste prison. Sans qu’on s’en soit toujours bien rendu compte à l’époque, les révisionnistes et les nationalistes ont été à l’avant-garde de la défense de nos libertés. Lorsqu’ils étaient poursuivis, condamnés, pourchassés, traqués, incarcérés, c’était, au-delà de leur personne, le peuple français dans son entier qui était visé. Mieux, c’était l’humanité entière, en tant qu’elle souhaite penser par elle-même, exercer son esprit critique, vivre et se déplacer librement, faire ses propres choix, que l’on voulait mettre en cage. Par la surveillance généralisée, la révolution numérique et électronique, le traçage, le flicage, le règne de la puce et du QR code.

    NOUS COMMÉMORERONS aussi cette année les cinquante ans de la loi Pleven (1er juillet 1972) qui a transformé la France en une République cosmopolite où toute discrimination, distinction entre nationaux et étrangers est frappée d’interdit (pour l’heure sauf le vote, même si les naturalisations massives permettent largement de contourner cette exception). Depuis un demi-siècle, les pouvoirs publics ont traqué, et avec quel acharnement, les patriotes et nationalistes qui s’opposaient à l’immigration de masse et au Grand Remplacement en empilant des législations liberticides (Gayssot, Lellouche, Perben) et des dispositifs (HALDE, DILCRAH) permettant de les bâillonner et de les sanctionner. Le bâillon physique que l’on doit désormais mettre sur le visage est le symbole et le couronnement du bâillon intellectuel, moral et spirituel que nous subissons depuis des décennies.


    Cette année, c’est aussi le soixantième anniversaire de l’indépendance de l’Algérie (juillet 1962) qui ouvrit la voie à une immigration de masse ininterrompue depuis lors dans notre pays, au point que d’ici une génération à peine nous pourrions être minoritaires en France, comme c’est déjà le cas dans nombre de quartiers, de cités voire de départements, comme le 9-3. D’autant que les Français connaissent un hiver démographique aggravé par la politique contraceptive et abortive de masse (pilule gratuite à 100 % jusqu’à 25 ans, avortement remboursé à 100 %) qu’aucun candidat ayant quelque chance d’obtenir les 500 signatures n’entend remettre en question, même à la marge.

    LE MILLÉSIME 2022 marque également le soixantième anniversaire de l’élection présidentielle au suffrage universel direct, réforme approuvée par référendum le 28 octobre 1962. Depuis, nous avons connu dix présidentielles (1965, 1969, 1974, 1981, 1988, 1995, 2002, 2007, 2012, 2017) et cette année sera la onzième. Le pays s’est-il redressé depuis l’adoption de ce dispositif ? Bien au contraire. Plus il y a d’élections, plus l’on fait voter la masse, plus le pays se porte mal. Cette année, comme tous les 5 ans (tous les 7 ans auparavant), on va nous promettre que tout va changer, tout va s’arranger. Par la grâce du bulletin de vote. Par le miracle de l’isoloir. La France est de retour dit Zemmour, reprenant le titre du livre de Le Pen en 1985. La droite est de retour répond en écho Pécresse qui n’est qu’une Macron en jupon. La France va être sauvée, redressée. Elle va renaître de ses cendres. Le pire, ce n’est pas qu’on nous le dise tous les cinq ans. Le pire, c’est qu’il y ait toujours des millions de gens pour y croire. Ils vont agiter leur petit drapeau, payer leur petit écot, donner leur cotisation, ne pas être avare de leurs acclamations, et crier à propos d’un tel (ou d’une telle) à pleins poumons : « Président, Président ». Comme le camembert !


    Nous commémorerons aussi cette année les cinquante ans de la naissance du Front national, le 5 octobre 1972. Un mouvement qui a enthousiasmé les foules, galvanisé les militants, suscité un nombre impressionnant de dévouements et un très grand enthousiasme (Le Pen avait quasiment réussi à remplir le stade Vélodrome à Marseille en 1988, et que dire des magnifiques BBR tant au Bourget que Pelouse de Reuilly !) Mais pour quel résultat ? Cela n’a pas empêché ni retardé la destruction de la nation, de la famille, des corps intermédiaires, le Grand Remplacement, le Grand Déclassement, le Grand Effacement du pays. Et au prix de quels sacrifices personnels, professionnels et familiaux ? Au prix de combien de drames (huit morts, des prisonniers, des divorces, des séparations, des ruines, des faillites) ? Depuis un demi-siècle se sont succédé les mouvements et les chefs qui prétendaient tous sauver la France avec de grands drapeaux tricolores à la tribune. Tous ont échoué. Tous ont trahi. Du RPR de Chirac en 1976 en passant par La Droite de Millon, le Rassemblement pour la France de Pasqua, le Mouvement pour la France de Villiers, le CNI, et tant d’autres. Et pourtant, chacun, à un moment, avait suscité l’enthousiasme, la ferveur, les espoirs de milliers voire de millions de braves gens, de Français ne souhaitant pas voir leur pays se déliter et expirer. Gardons-nous donc des illusions électorales qui ne suscitent qu’un espoir passager, qui ne sont que leurres et chimères, et qui débouchent invariablement sur la déception voire le dégoût, la colère et le désespoir, la rancœur et l’amertume. Soyons convaincus que l’électoralisme est la tare et la sauvegarde du régime, que leur République certes gouverne mal mais se défend bien.

    AUJOURD’HUI, disons-le franchement, au risque de ne pas être vendeur, mais ce qui compte, c’est de dire et de servir la vérité, à vue humaine, toutes les voies nous sont fermées : la voie électorale, on l’a dit, la voie militaire (comme nous l’avions prédit, la tribune des généraux n’a rien donné, c’était un coup d’épée dans l’eau), la voie de la rue (on l’a vu avec l’épisode des gilets jaunes), la voie du coup d’Etat (on le mesure chaque jour avec tous les groupes dits d’ultra-droite dissous et leurs chefs incarcérés avant même qu’ils aient tenté quoi que ce soit, on l’a vu avec l’épisode Rémy Daillet qui, selon toute vraisemblance, passera hélas de longues années derrière les barreaux bien qu’ait fait en 2020 et 2021 des centaines de milliers de vues sur YouTube avec son appel au renversement du gouvernement).


    La seule voie qui nous reste actuellement ouverte, c’est celle de la réanimation, en nous et autour de nous, du sentiment national, des positions et de la doctrine nationalistes. C’est la fidélité aux principes nationalistes et catholiques. C’est la recherche de la cohérence la plus parfaite possible entre sa vie et ses convictions. C’est le goût des bonnes lectures et des amitiés vraies. C’est l’amour et le service des siens. Dans la joie et la bonne humeur malgré les épreuves et les tourments du quotidien. Voilà ce qui peut rendre un homme heureux dans les ténèbres actuelles : la fidélité à ses engagements, à sa parole, à ses convictions, à ses certitudes. Ainsi, si l’on est sincèrement contre le Grand Remplacement, mieux vaut ne pas se métisser. Si l’on est partisan d’une politique d’ordre, mieux vaut commencer par mettre de l’ordre dans sa vie, sa conscience et ses affaires. Si l’on défend publiquement l’accueil de la vie et la famille, mieux vaut ne pas avoir des mœurs complètement dégénérées. Si l’on veut être un chef, mieux vaut commencer par donner l’exemple, aussi imparfait soit-on, car, comme l’écrivait Paul Bourget, « à force de vivre contrairement à ce que l’on pense, l’on finit par penser comme l’on vit ».

    NOUS commémorons enfin cette année le soixantième anniversaire d’un événement funeste, aux conséquences dévastatrices : les débuts du concile (ou plutôt conciliabule) Vatican II. Depuis soixante ans, plus rien ne tient debout, tout se délite, se décompose et se dissout parce que les hommes ont perdu leur boussole et que les sources de la grâce se sont taries. Sans religion authentique, il n’est plus de morale. Et sans morale, il n’est plus de famille, plus de civilisation. Et plus de nation car, comme l’enseignait le maréchal Pétain, « la nation est une famille de familles ».


    On peut faire les plus belles promesses, écrire les plus beaux discours, émouvoir un auditoire, sans ressourcement spirituel et moral, sans respiritualisation de l’homme et de la société, sans retour à une authentique transcendance, tant sur le plan individuel que collectif, sans respect des principes, tout est vain, tout est voué à l’échec, tout n’est que grains de sable et feuilles mortes. D’ailleurs à quoi sert-il de vivre, à quoi sert-il même de fabriquer la vie en laboratoire si l’on en a perdu le sens ? A quoi sert-il de se battre si l’on ne sait plus qui nous sommes, d’où nous venons et où nous allons ? Retrouver du sens, une foi, une morale, une espérance, un idéal, des certitudes qui réchauffent et enflamment, qui réjouissent et rassasient, il n’est assurément rien de plus urgent pour les hommes de notre temps

  • Contrôle mondial des peuples: du passe sanitaire au passe climatique ! ...

    Le dernier en date à avoir parler en ce sens est le démocrate Al Gore, un des khmers verts américains du réchauffement climatique. A Glasgow, devant un parterre de jet-setteurs ne se déplaçant qu’en jet privé, -la réduction des gaz ne devant peser que sur la masse des travailleurs et épargner un quelconque désagrément aux puissants qui nous gouvernent-, l’ancien vice-président d’Obama, Al Gore, grand promoteur de dogmes environnementaux, a annoncé le jeudi 4 novembre, lors d’un entretien avec la chaîne américaine MSNBC, la création d’une nouvelle technologie, Climat Trace, qui surveillera les émissions de gaz dans le monde entier. Ce nouveau « grand frère vert » est capable de retracer les « identités » des « responsables » des émissions de gaz à effet de serre.

    La COP 26, est-ce un hasard ?, a débuté à Halloween, le 31 octobre à Glasgow, en Écosse. Des milliers de politiciens, de bureaucrates, de journalistes et d’activistes ont depuis essayé d’effrayer le monde entier pour qu’il prenne des mesures immédiates et drastiques pour contrôler le « changement climatique causé par l’homme ».

    L’objectif de cet establishment international qui se retrouve, entre-soi, dans des raouts à Davos ou à Glasgow si ce n’est Rome, Paris ou New York, de contrôler la population, de la surveiller, n’est même plus caché.

    Ainsi lors de son annonce, Al Gore n’a pas hésité à appeler cette nouvelle technologie, « le grand frère vert ». La référence au Big Brother d’Orwell est patente, et ne laisse rien présager de bon pour la pauvre humanité.

    « Nous obtenons les données grâce à 300 satellites existants, à plus de 11 000 capteurs sur terre, dans les airs et en mer, à de multiples flux de données sur Internet et en utilisant l’intelligence artificielle… » a souligné Al Gore en insistant :

    « L’année prochaine, nous les aurons jusqu’au niveau de chaque centrale électrique, raffinerie, de chaque gros navire, de chaque avion, de chaque décharge et nous aurons l’identité des personnes qui sont responsables de chacun de ces flux d’émissions de gaz à effet de serre et si les investisseurs ou les gouvernements, ou les militants de la société civile veulent les tenir pour responsables, ils auront les informations sur lesquelles fonder leur action et ainsi les obliger à rendre des comptes. »

    Ainsi, ce Big Green Brother vérifiera, identifiera et enverra les preuves des condamnations contre l’environnementalisme. « Allumez-vous un feu dans les montagnes avec du bois trouvé dans les bois ? Votre vache pollue-t-elle avec l’ammoniac de ses propres excréments ou avec le méthane qu’elle émet dans l’air ? En prison ! » ironise un journaliste italien du quotidien LNBQ avant d’ajouter :

    « Ce choix de menaces, de mots et de priorités ne reconnaît pas la simple réalité : les pénuries énergétiques et alimentaires s’aggravent pour 99% des hommes et des femmes de la planète. La plupart des « solutions » à Glasgow ne sont pas seulement l’antithèse du respect de la dignité humaine, mais aussi le contraire de tout bon sens écologique.

    « L’Agence internationale de l’énergie elle-même a dû reconnaître que toute ‘’transition‘’ des combustibles fossiles vers une énergie ‘’propre, durable et renouvelable‘’ nécessitera d’énormes quantités de métaux, de minéraux et d’autres matériaux.

    Les voitures électriques ont besoin de trois fois plus de cuivre que les véhicules à essence, les éoliennes, par exemple, ont besoin de neuf fois plus de matériaux par mégawatt par rapport aux centrales de cogénération au gaz.

    Cependant, les fanatiques du climat qui se rassemblent à Glasgow pour bloquer des routes, prendre d’assaut des bâtiments publics ou manifester dans toutes les villes du monde pour exiger des actions immédiates et draconiennes, planifier le sabotage des oléoducs n’ont aucune intention d’être des mineurs, des ouvriers dans des aciéries ou des chauffeurs de camions chargés de cuivre-cobalt-nickel (indispensable pour l’énergie ‘’verte’’). »

    Et l’article de conclure avec une charge contre ces fous du ‘climat’, qui ont la haine de l’humanité en partage : 

    « La conférence des Nations Unies sur le climat ignore la privation d’énergie, le chômage, le faible niveau de vie, les maladies endémiques, l’agriculture primitive et la mort prématurée que cette tyrannie éco-impérialiste basée sur le climat perpétuera. Les bureaucrates et les extrémistes du climat se soucient peu des morts en dehors de leur cercle éclairé, en revanche, dans leur décalogue il y a le commandement malthusien. Ce n’est pas un hasard si les 1% qui veulent nous enchaîner à leurs caprices environnementaux, ne se considèrent pas liés par les règles de comportement qu’ils veulent nous imposer. 

    « De ce point de vue, le rôle de Greta Thunberg n’est compris qu’en considérant ses revenus disproportionnés accumulés en quelques années : plus les protestations absurdes sont criées dans les rues contre les gouvernements, plus grandes sont les chances qu’ils décident de mesures et de contrôles draconiens qui affectent des centaines de millions d’habitants de la planète. Tout cela, sans nuire aux intérêts milliardaires des nouveaux ‘’maîtres du monde‘’. »

    Qui du passe sanitaire au passe climatique ne feront qu’un pas. Green pass toujours !

    Francesca de Villasmundo 

     

  • les vrais chiffres des malades du COVID

    « Au cours de l’année 2020, les patients Covid représentent 5% de l’ensemble des patients pris en charge en service de soins critiques.» et « 2% de l’ensemble des hospitalisations ».

    Le rapport de l’ATIH 2020, l’Agence technique de l’information sur l’hospitalisation, vient de sortir. C’est une bombe il détruit les fables du covid-19.

    Les patients covid représentent 2% des hospitalisés en 2020, 5% de l’ensemble des patients pris en charge en service de soins critiques, O6% des plus de 80 ans sont décédés du covid, l’insuffisance cardiaque tue plus de 15% des plus de 80 ans.

     

    Il faut écouter le médecin de plateau Martin Blachier, transformé en girouette par la faute du covid, qui après avoir été alarmiste, vaccinaliste, hygiéniste, se rend compte que l’épidémie n’était peut-être pas si grave qu’on a voulu nous le faire croire : « "CV" est 2% des hospitalisations. C’est très très loin de l’image qu’on en a c‘est-à-dire pendant toute l’année 2020 des servcies hospitaliers qui étaient plein à rabord de patients covid qui faisait que les autres patients ne pouvaient plus rentrer à l’hôpital. »  « Le fait que la Covid cible plus les gens ayant des comorbidités, veut dire que quand il y aura une immunité suffisante dans la population, très probablement que la covid deviendra une maladie moins sévère que la grippe » ajoute-t-il.

    « En 2020, seulement 2% des hospitalisations étaient liées au Covid […] 5% en Réa. On a donné l’impression que les services étaient pleins à craquer de patients covid et en fait ce n’était pas le cas. […] La peur a été disproportionnée » analyse la psychologue Marie-Estelle Dupont.

     

    Malgré ces données, l’extrêmement faible taux de mortalité, Macron et son sous-fifre Véran ne veulent pas revenir à la raison, et traiter le covid comme une simple maladie. Le passe sanitaire est toujours de rigueur, la vaccination pareillement !

    Une bonne dose de preuves est cependant réunie dans ce rapport officiel contre l’alarmisme disproportionné des médecins et du gouvernement, et leurs mesures coercitives et liberticides. Cela débouchera-t-il sur un covidgate ? Rien n’est moins sûr, au vu de la soumission des médias maisntream au narratif covidien gouvernemental, nécessaire pour imposer le faux passe sanitaire mais vrai passe politique de contrôle social des populations.