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Mondialisme - Page 12

  • "Pandora Papers" : les trésors cachés de ceux qui nous pillent .

     

    La nouvelle enquête journalistique du Consortium international des journalistes d’investigation révèle les richesses cachées dans les paradis fiscaux par des milliers de puissants à travers le monde. Il y a 35 chefs d’État et de gouvernement, banquiers, ministres, chefs de partis, parlementaires, ainsi que des généraux, chefs de services secrets, managers publics et privés, banquiers et industriels, chanteurs et VIP en tous genres, tout appartenant au gratin de la bonne conscience morale universelle.

    L’affaire Pandora Papers explose : cette nouvelle enquête journalistique du Consortium international des journalistes d’investigation révèle les richesses cachées dans les paradis offshore par ces milliers de puissants à travers le monde. Ce sont les trésors cachés de l’élite mondiale, du roi de Jordanie Abdallah II à l’ancien Premier ministre britannique Tony Blair en passant par certains oligarques proches du président russe Vladimir Poutine. Comme le rapporte l’agence de presse italienne AdnKronos, il s’agit de « douze millions de documents hautement confidentiels qui démasquent l’offshore des politiciens, stars du sport et du divertissement, généraux et grands noms du business. Du roi de Jordanie au président ukrainien, du ministre néerlandais aux dictateurs africains, de Julio Iglesias à Claudia Schiffer ».

    Dénommés Pandora Papers, il s’agit de 12 millions de dossiers révélés par l’enquête et anticipée par la quotidien italien Espresso qui fait partie des 150 journaux internationaux qui ont investigué :

    « Cinq ans après les Panama Papers, lit-on, une nouvelle enquête journalistique internationale encore plus large révèle les richesses cachées dans les paradis fiscaux par des milliers de puissants à travers le monde. Il y a 35 chefs d’État ou de gouvernement. Plus de 300 hommes politiques de tous horizons à travers le monde. Plus de quatre-vingt-dix nations : ministres, chefs de partis, parlementaires. Aux côtés de généraux, chefs de services secrets, gestionnaires publics et privés, banquiers, industriels ». Les nouvelles cartes « documentent une myriade d’accords très riches avec les noms des bénéficiaires, jusqu’alors tenus secrets. La liste des actionnaires protégés par le voile des sociétés offshore comprend le premier ministre de la République tchèque, le ministre néerlandais de l’économie, l’ancien chef du gouvernement britannique Tony Blair, le roi de Jordanie et des présidents de pays comme l’Ukraine, le Kenya, le Chili, l’Equateur. Les noms de nombreuses célébrités du sport, de la mode et du divertissement ressortent de la liste. Mais il y a aussi des criminels. Des anciens terroristes. Des personnes qui ont fait banqueroute. Des trafiquants de drogue. Et des chefs mafieux, y compris des Italiens, avec leurs trésoriers. »

    L’enquête prend le nom de Pandora Papers car elle ouvre une boite de Pandore mondiale de poisons. Plus de 11,9 millions de documents avec les noms de plus de 29 000 bénéficiaires de sociétés offshore, inconnus jusqu’à hier. Derrière les papiers au nom des administrateurs, émergent pour la première fois des investissements et avoirs étrangers d’hommes politiques européens et sud-américains, dictateurs africains, ministres asiatiques, des cheikhs arabes. Les coffres-forts secrets de 46 oligarques russes.

    Ces sociétés offshore effacent les impôts d’une super caste de plus de 130 multimilliardaires américains, indiens, mexicains et autres. Les résultats de l’enquête, qui a duré près de deux ans, sont le fruit du travail collectif de plus de 600 journalistes de 150 journaux internationaux.

    « Les documents Pandora, lit-on encore dans l’enquête, montrent qu’un patron camorra, Raffaele Amato, a utilisé une société de fiducie basée à Montecarlo pour protéger la propriété d’une société sûre anglaise, qui a acheté un terrain et des bâtiments en Espagne. »

    Amato, pour ceux qui ne le connaissent pas, était un des plus redoutables chefs mafieux italien du clan Camorra au centre d’une sanglante guerre mafieuse. Lié à de nombreux meurtres, il purge une peine de 20 ans de prison.

    Outre le roi de Jordanie Abdallah II qui, selon le Corriere della Sera, aurait plus de 80 millions d’euros de biens immobiliers au Royaume-Uni et aux États-Unis (dont des villas à Malibu), achetés via des personnels offshore, apparait le nom de l’ex-Premier ministre britannique, Tony Blair qui avec son épouse Cherie aurait économisé plus de 350 mille euros de taxes dans l’achat d’un bureau à Londres ; puis il y a le premier ministre tchèque Andrej Babis, le premier ministre du Liban Liban, Najib Mikati, son prédécesseur Hassan Diab, le gouverneur de la Banque centrale libanaise Riad Salameh et le président kenyan Uhuru Kenyatta, qui auraient abrité 30 millions de dollars dans une fondation panaméenne. Parmi les VIP, les noms du mannequin allemand Claudia Schiffer, de la chanteuse Shakira, d’Elton John et de Julio Iglesias se démarquent.

    On retrouve également plus 600 Français cités dont Dominique Strauss-Kahn, l’ancien directeur général du Fonds monétaire international qui figure dans les Pandora Papers comme le directeur et actionnaire d’une entreprise à Dubaï. Il aurait fait transiter plusieurs millions de dollars sur une société marocaine, qui ne serait pas soumise à l’impôt.

     

  • La facture du «quoi qu'il en coûte» de Macron dépasse les 240 milliards d'euros !!

     
     

    Le soutien financier de l'État à l'économie française pendant la crise sanitaire du Covid-19 a atteint 80 milliards d'euros en termes de subventions aux entreprises et 160 milliards pour les prêts garantis par l'État (PGE), a déclaré lundi le ministre de l'Économie, des Finances et de la Relance.

    «Quatre-vingts milliards d'euros de subventions, 160 milliards d'euros de prêt, c'est aujourd'hui la facture du "quoi qu'il en coûte"», a-t-il précisé sur France inter.

    Cette formule lancée par Emmanuel Macron lors d'une allocution solennelle en mars 2020 au début de l'épidémie de Covid-19 en France va désormais céder la place au «sur-mesure», avec des aides concentrées sur les secteurs pénalisés par les restrictions sanitaires encore en vigueur, selon les termes de Bruno Le Maire la semaine dernière à LaREF (la rencontre des entrepreneurs de France, ex-université d'été du Medef).

    Le ministre a rappelé sur France inter que le montant total des subventions accordées aux entreprises se décomposait entre le fonds de solidarité (35 milliards d'euros), l'activité partielle (35 milliards) et les exonérations de charges (10 milliards).

     

    A votre bon coeur !!

     

     

     

  • Le conseil constitutionnel piétine gravement le droit international en validant l'”obligation” de se faire injecter un produit expérimental ayant déjà provoqué des dizaines de milliers de morts en Europe !

     

     

    Le conseil Constitutionnel, en plus de violer le code de Nuremberg de 1947 et le traité 164 de la Convention d’Oviedo, qui d’après le site internet du Conseil de l’Europe, a une valeur juridique contraignante pour tous les pays membres du Conseil de l’Europe dont la France fait partie, ne tient pas compte des articles 7.3.1 et 7.3.2 de la résolution 2361 de l’Assemblée parlementaire du conseil de l’Europe qui demande aux Etats-Membres :

    7.3.1 “de s’assurer que les citoyens et citoyennes sont informés que la vaccination n’est pas obligatoire et que personne ne subit de pressions politiques, sociales ou autres pour se faire vacciner, s’il ou elle ne souhaite pas le faire personnellement;

    7.3.2 de veiller à ce que personne ne soit victime de discrimination pour ne pas avoir été vacciné, en raison de risques potentiels pour la santé ou pour ne pas vouloir se faire vacciner.

    L’utilisation du verbe “informer” montre bien que le fait que la vaccination contre le sars-cov 2 ne puisse pas être obligatoire dans les pays membres du Conseil de l’Europe est un fait acquis et certain.

    Elle piétine aussi de nombreux principes du droit français. Parmi ceux-ci, il y a notamment les principes suivants:

    1) Violation du droit à l’emploi (Alinéa 5 du préambule de la constitution de 1946, préambule repris par la constitution actuelle, celle de 1958; article 8 de la déclaration de 1789) puisque les personnes non “vaccinées” ne pourront plus être rémunérés si elles occupent les emplois (environ 80 types d’emplois) prétendument visés par la loi votée le 25/7/2021. Le droit à l’emploi est reconnu en France depuis des siècles, bien avant la révolution dite française. Le droit à l’emploi signifie qu’on peut proposer sa candidature pour n’importe quel type d’emploi sans que des critères non liés aux compétences professionnelles ou à la formation reçue ne puissent entrer en compte.

    2) Non respect de la protection de la santé puisque que tout médicament ou vaccin, à fortiori un “vaccin” expérimental, a des effets indésirables qui varient d’ailleurs beaucoup selon les personnes. En ce qui concerne les vaccins utilisés en France, 1/4 de ces effets sont graves et avaient déjà tué environ 1000 personnes au 22/7 (à cause de la sous-déclaration, le nombre réel de victimes est beaucoup plus élevé)

    3) Non respect du droit à l’intégrité physique et à la dignité 

    4) Non respect de l’égal accès aux emplois publics, puisque de nombreux emplois publics sont concernés par la prétendue “obligation vaccinale”

    5) Absence de proportionnalité

    Toutes les statistiques officielles, dans tous les pays du monde, montrent que le taux de mortalité du sars-cov 2 est très faible.

    Au 31/12/2020, après plus d’un an d’épidémie, celle-ci ayant commencé en septembre ou octobre 2019 en Chine, il y avait 1 798 120 morts, soit 0,02% de la population mondiale. Même en France, où la mortalité a été augmentée du fait du manque de places dans les hôpitaux et notamment en réanimation, et de l’utilisation criminelle du rivotril (contre-indiqué pour les maladies respiratoires comme le sars-cov 2), elle n’a été officiellement en 2020 que de 0,1% (64 632 morts). En réalité beaucoup moins car l’INSEE n’a comptabilisé qu’environ 56 000 morts supplémentaires en 2020 (environ 669 000) par rapport à 2019 (613 000 morts), dont 2 000 environ dus à la journée supplémentaire (l’année 2020 était bissextile), 4 000 environ à la canicule d’août-septembre et plusieurs milliers (voire plus) dus aux cancers et aux maladies cardio-vasculaires, à cause des reports de soins et de diagnostics dus aux règles restrictives adoptées par le gouvernement pendant les différents confinements.

    Il en résulte qu’on ne peut imposer le choix entre le maintien des revenus et la mise en danger de sa santé d’un côté et la perte de revenus pour ne pas jouer à la roulette russe avec sa santé de l’autre. Roulette russe qu’il vaut mieux appeler désormais roulette “constitutionnelle”.

    Une seule réponse: ne pas tenir compte de l’avis du conseil constitutionnel car par cet avis, le dit conseil a failli à sa mission. Au lieu d’appliquer la constitution, le droit du Conseil de l’Europe et le droit international, il en a modifié le sens de manière arbitraire et sophistique.

    En tout état de cause, comme n’importe quel étudiant en droit le sait, le droit international est supérieur au droit français et ceux qui voudront appliquer la décision du conseil constitutionnel s’exposent à des poursuites devant les tribunaux internationaux.

    Ils s’exposent encore plus au jugement de Dieu.

    Prions pour le renversement de ce régime totalitaire.

     

    La France a basculé en une tyrannie à la chinoise

    C’est un scandale mais pouvait-il en être autrement : le Conseil Constitutionnel a validé la quasi-totalité des mesures de la loi sur le passe sanitaire, sous la présidence de Laurent Fabius, l’ancien ministre qui fut « le responsable mais pas coupable » du scandale du sang contaminé qui fit des milliers de morts.

    Le CC valide ainsi la stratégie vaccinale d’Emmanuel Macron mise en place par le cabinet Kinsey dont le directeur en France est Victor Fabius, le fils de … Laurent dont un autre fils, Thomas, a été a été reconnu, en 2019, coupable de « faux et usage de faux en écriture privée » et « escroquerie ». La Macronnie a ses « élites » d’une honnêteté à toute épreuve…

    Dans son « jugement », le CC valide l’obligation du passe sanitaire pour les patients, sauf passage aux urgences, dans les établissements de santé et maisons de retraite tant que ce dernier ne fait pas « obstacle à l’accès aux soins ». La décision sera laissée à « l’appréciation des soignants ». Dorénavant, il faudra être en « bonne santé », c’est-à-dire être vacciné ou être négatif au covid, l’unique maladie qui existe aujourd’hui pour les oligarques qui nous gouvernent, et le prouver par un passe sanitaire pour aller à l’hôpital se faire soigner… La non-civilisation post-moderne dans toutes ses contradictions et son horreur.

    Il ne trouve également rien à redire à l’obligation vaccinale pour les soignants et d’autres professions en contact avec des personnes “à risque”.

    Le Conseil constitutionnel a également validé l’extension du passe sanitaire à certains centres commerciaux « au-delà d’un certain seuil défini par décret» et si «la gravité des risques de contamination » à l’échelle d’un département le justifie. L’autorité préfectorale pourra ainsi mettre en place le passe sanitaire dans les grands magasins et centres commerciaux tout en garantissant « l’accès des personnes aux biens et services de première nécessité ainsi qu’aux moyens de transport accessibles dans l’enceinte de ces magasins et centres », selon la loi adoptée le 25 juillet et validée par le Conseil Constitutionnel. Le gouvernement veut appliquer cette mesure dès lundi 9 août.

    Le passe sanitaire pourra également être exigé dans les cafés et les restaurants dès lundi, y compris en terrasse. Les ‘Sages’ ont estimé que son instauration pour les activités de loisirs et de restauration commerciale, et pour les débits de boissons, était justifiée, au nom d’une « conciliation équilibrée » entre les exigences de protection de la santé et des libertés individuelles. 

    N’ont été censurées que les dispositions prévoyant l’isolement obligatoire des malades ainsi que la rupture d’un contrat de travail à durée déterminée mais le Conseil a toutefois validé la procédure de suspension du contrat de travail sans rémunération pour les CDI. « En prévoyant que le défaut de présentation d’un ‘passe sanitaire’ constitue une cause de rupture anticipée des seuls contrats à durée déterminée ou de mission, le législateur a institué une différence de traitement entre les salariés selon la nature de leurs contrats de travail qui est sans lien avec l’objectif poursuivi », indiquent les « Sages ».

     

     Il faut user de toutes les armes légales pour mettre fin à ce passe dictatorial qui met en place une véritable ségrégation entre les citoyens et un traçage des faits et gestes de chacun.  

    Et il faut prier Notre-Dame de France, forte comme une armée rangée en bataille !

    Prière pour la France à faire jusqu’au 15 août

    Très Sainte Trinité, nous venons devant vous implorer votre pardon pour tous les péchés et les erreurs que nous avons commises et qui nous ont conduits à la situation actuelle.

    Que le précieux sang de Jésus efface ces péchés.

    Vierge Marie, avec votre Fils et saint Joseph, soyez nos avocats devant la cour Céleste.

    Nous vous rechoisissons comme Reine de France et nous déclarons avec foi votre royauté, ainsi que celle de votre Fils sur notre pays et sur le monde.

    Venez avec saint Michel et l’armée angélique protéger vos enfants qui implorent votre aide.

    Amen.