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Lobbies homosexuels - Page 6

  • La Commission européenne vient d' annoncer un plan visant à imposer des mesures Lgbt à tous les pays !

     

     

    Crime européen d’homophobie, reconnaissance des « mariages » homosexuels dans tous les États membres, utilisation d’une partie du Fonds de relance pour financer les activités LGBT, arrêt du financement des États qui ne s’inclinent pas.

     

    La Commission européenne a annoncé un plan visant à imposer l’agenda Lgbt à tous les pays. En violation des traités européens ! ...

     

    L’Union Européenne défend les revendications de la Gaystapo. Le 12 novembre, la Commission de l’Union européenne a publié une communication annonçant la volonté de préparer un plan pour que tous les pays de l’UE deviennent de plus en plus arc-en-ciel.

    En fait, la Commission veut introduire un crime d ‘« homophobie » au niveau européen et entend lutter contre les « stéréotypes de genre » à l’école. Elle insiste également pour que chaque État reconnaisse les « mariages » homosexuels célébrés dans d’autres États européens et le statut de l’homoparentalité reconnu dans d’autres systèmes juridiques. Enfin, les technocrates bruxellois ont exprimé leur désir d’attribuer un financement spécifique aux initiatives Lgbt, y compris une part du Fonds de relance, mis en place pour faire face à l’urgence sanitaire actuelle pour le covid.

    Le point sensible de cette décision n’est pas seulement le contenu, promouvoir davantage l’agenda Lgbt en Europe mais aussi de méthode : il s’agit d’une ingérence indue dans les affaires de chaque État membre, c’est-à-dire d’une invasion injustifiée de ce thème dans des domaines de compétence nationale et non de la responsabilité de la Commission. Cette dernière cherche à dissimuler cette violation de la souveraineté nationale en évoquant la volonté d’offrir de simples « orientations politiques », de ne vouloir que « coordonner les actions des États membres, suivre la mise en œuvre et les progrès, apporter un soutien grâce aux fonds européens et promouvoir l’échange de bonnes pratiques entre les États membres ». Tout cela sonne bien, mais il y a quelque chose de pourri en dessous.

    Et le pourri a été clairement identifié par une analyse publiée par le Centre d’Etudes Livatino. Ce dernier souligne tout d’abord que le Parlement européen et le Conseil européen ne peuvent pas instituer le crime d’« homophobie » parce qu’ils échappent à leurs compétences. En fait, l’art. 83 du traité sur le fonctionnement de l’Union Européenne indique précisément les matières sur lesquelles l’Union Européenne peut « établir des règles minimales relatives à la définition des infractions et des sanctions dans des domaines pénaux particulièrement graves qui ont une dimension transnationale ».

    Ces sujets sont : « terrorisme, traite des êtres humains et exploitation sexuelle des femmes et des mineurs, trafic de drogue, trafic d’armes, blanchiment d’argent, corruption, contrefaçon des moyens de paiement, cybercriminalité et criminalité organisée. » La discrimination fondée sur l’orientation sexuelle et la soi-disant identité de genre ne figure pas sur la liste. Le Centre d’Etudes Livatino souligne en effet que l’intention exprimée par la Commission de modifier l’article 83 susmentionné afin d’inclure également le crime d’« homophobie » dans la liste, d’une part, n’est pas justifiée par la ratio du même article qui prévoit une intervention réglementaire de l’UE uniquement pour les crimes transnationaux, c’est-à-dire pour les comportements susceptibles d’affecter plusieurs États à la fois, comme le trafic d’esclaves et/ou le commerce des armes où par exemple une fille est « achetée » dans un pays, puis « revendue » dans un autre, ou lorsqu’un stock d’armes de contrebande entre dans un État pour être ensuite revendu dans un autre. Sur les autres fronts, le pouvoir législatif ne relève certainement pas de la compétence de la Commission.

    La reconnaissance mutuelle entre les Etats des « mariages » entre duos homosexuels et du statut des parents homosexuels, ainsi que la lutte contre les « stéréotypes de genre » dans le milieu scolaire, en somme les domaines matrimoniaux et parentaux, ainsi qu’éducatif, concernent la législation nationale et l’Europe ne peut pas se substituer aux États membres en matière de famille et d’école. En particulier en ce qui concerne la question « famille », le jeu que la Commission européenne voudrait jouer est facile à comprendre : si l’État X a légitimé le « mariage » gay, obliger l’État Y à reconnaître le « mariage » entre deux hommes célébré dans l’État X représente la première étape pour que l’État Y légifère en faveur du « mariage » gay.

    Enfin, nous arrivons au chapitre sur le financement des initiatives arc-en-ciel.

    La Commission veut faire chanter les États membres de l’UE : soit ils soutiennent les politiques Lgbt, soit les robinets du financement public se ferment! 

    Mais la règle du do ut des dans le domaine financier, rappelle toujours le Centre Livatino, n’est en aucune manière envisagée par le traité précité sur le fonctionnement de l’Union européenne. Vouloir ensuite aspirer les ressources fournies par le Fonds de relance et destinées aux commerçants, entrepreneurs, industriels, familles, patients, hôpitaux et centres de recherche pour les allouer à des initiatives arc-en-ciel car, écrit la Commission, « la crise du covid-19 […] a frappé de manière disproportionnée les personnes Lgbtqi vulnérables », est incroyable.

    En fait, d’une part, il est bon de rappeler que le pourcentage d’homosexuels est d’environ 1 à 4% en Europe, en tenant également compte des bisexuels, et celui des transsexuels autour du point zéro. C’est donc un groupe absolument restreint, si petit que cela ne justifie pas un financement ad hoc. Pour tenir compte de cette logique, il devrait y avoir un financement européen pour les jardiniers et les arbitres de football touchés par le covid. Au contraire, la Commission aurait dû suggérer d’introduire un soutien financier pour les familles, les travailleurs et les employeurs.

    Une deuxième raison de perplexité est le fait que la Commission n’apporte aucune preuve que le covid a frappé particulièrement durement les homosexuels et les transsexuels. Nous connaissions les personnes âgées et les patients atteints de pathologies multiples, mais personne n’a jamais entendu parler des homosexuels et des trans. Si le virus affecte également les gays et les personnes trans, c’est parce qu’il touche presque tout le monde. En ce sens, les lobbies Lgbt et la Commission européenne doivent être sereins : le coronavirus ne discrimine personne, il ne fait pas de distinction par orientation sexuelle et « identité de genre ». C’est un virus très inclusif.

    En fin de compte, le fonctionnement de la Commission européenne a clairement une empreinte idéologique : des ressources pour embaucher des médecins et des infirmières sont retirées avec l’intention de les allouer à l’organisation de la gay pride.

    Francesca de Villasmundo

  • Nous avons en France une république la plus anti-catholique qui soit .

     

    Quand il s'agit de matraquer les baptisés catholiques, notre République judéo-maçonnique est toujours prête à passer à l’action!

    On se souvient ainsi des manifestants qui avaient été passés à tabac et gazés lors des Manifs pour tous en 2013, y compris des personnes âgées et des pères et mères de famille promenant leurs bébés dans des poussettes, par la police régimiste qui s’en donnait à cœur joie.

    Il est vrai qu’il était plus facile et moins risqué de violenter des manifestants tranquilles et pacifiques que des bandes ethniques enragées! ...

    Et voici que le ministre de l’Intérieur Gérald Darmanin a prévenu le vendredi qu’il enverrait ses milices verbaliser les catholiques qui manifesteraient le dimanche pour le respect de la liberté de culte. Puisque les écoles, les bureaux, moult magasins sont ouverts, pourquoi les églises et les lieux de pèlerinage et d’apparition ne le seraient-ils pas ? C’est une brimade inacceptable.

    Les lois de la République ont bon dos, quand la famille Traoré et les indigénistes manifestaient bruyamment devant le palais de justice de Paris pendant le confinement pour protester avec virulence contre le sort qui serait fait en France aux non-Blancs, aucun manifestant n’a été verbalisé. De même que lorsqu’il y a des émeutes allogènes en banlieues occupées, les bandes ethniques ne sont jamais violentées. Contrairement aux gilets jaunes qui ont été mutilés, énucléés, gazés, leur République sait prendre des gants avec les allogènes. Darmanin ose parler de mansuétude alors qu’il envoie ses gros bras, tandis que les meutes d’antifas et autres Black Blocs ne sont jamais aussi sévèrement traités, eux qui cassent, qui pillent et qui frappent.

    Le ministre de l’intérieur, plus prompt à pourchasser les braves gens que les vrais délinquants et criminels, a tenu parole puisque le dimanche 15 novembre une trentaine de fidèles traditionalistes d’une chapelle d’Aix-en-Provence ont été verbalisés (135 euros par personne !) pour avoir participé à une messe tridentine .

    En effet, depuis le 3 novembre, tout culte public est interdit en France, sauf bien sûr le culte shoahtique !

    En fin de matinée, la police nationale est intervenue sur ordre du préfet dans la petite chapelle Notre-Dame de l’Immaculée Conception du boulevard Gambetta pour faire cesser l’office religieux « organisé illégalement ». Le prêtre qui célébrait la messe, laquelle a été interrompue contrairement à tous les usages, ce qui montre une impiété doublée d’une goujaterie difficilement égalables, a dû suivre la police pour être auditionné et sanctionné. Une procédure administrative a aussitôt été engagée par la préfecture pouvant aboutir à des sanctions radicales, telle la fermeture du lieu 24 heures sur 24.

    Voilà où nous en sommes dans le pays qui fut appelé traditionnellement la fille aînée de l’Eglise. Avec l’apologie du blasphème tous azimuts, au nom de leur satanée laïcité, qui n’est jamais qu’un rejet public, total et viscéral de Dieu et de Sa loi, et désormais les interruptions d’offices religieux et les fermetures de chapelles et d’églises, mais aussi de la grotte de Lourdes inaccessible aux pèlerins depuis le 3 novembre et pour une durée indéterminée, on se croirait revenu au temps du petit père Combes, à l’époque des crochetages d’églises et de couvents, à la Querelle des Inventaires de 1906.

    Après que le Conseil d’Etat a rejeté le 7 novembre, premier samedi du mois, le référé déposé par des catholiques pour le respect de la liberté de culte, la préfecture de police de Paris a carrément interdit de manière préventive le samedi la manifestation qui était prévue le lendemain place Saint-Sulpice pour le retour du culte public. On vit vraiment en pleine tyrannie. Pas simplement sanitaire mais mentale. L’Enfer se déchaîne. Avec la suppression de l’école à la maison, les menaces sur les écoles hors contrat et la suppression de la liberté de culte, faudra-t-il songer un jour à s’exiler ? La question commence à se poser sérieusement. Mais pour aller où ? L’apostasie est aujourd’hui universelle.

    Réciter le chapelet ou entonner un chant religieux dans la rue, ou même sur le parvis d’une église, est désormais une atteinte à la laïcité sanctionnable par la loi.

     C’est bien ce qui s’est passé à Bordeaux dimanche dernier. Plus de 300 baptisés catholiques s’étaient rassemblés le 15 novembre devant la cathédrale de Bordeaux pour demander la reprise du culte public, interdit pendant le confinement, certains entonnant des prières, qui ont valu aux organisateurs une convocation au commissariat. Les fidèles se sont en effet réunis sur le parvis de la cathédrale Saint-André de Bordeaux durant une heure en fin de matinée. Malgré les appels (peu courageux) des organisateurs à ne pas prier ou entonner des chants religieux conformément aux demandes exorbitantes de la préfecture de police, plusieurs chants ont retenti ainsi que des « je vous salue Marie ». Des dizaines de personnes se sont également agenouillées pour prier. Cela a été jugé insupportable par les autorités civiles. L’un des organisateurs de la manifestation, Maxence Castay, a indiqué à Sud Ouest : « Les policiers nous ont indiqué qu’un certain nombre de gestes ne respectaient pas le principe de laïcité. Je suis donc convoqué demain matin au commissariat ». 

    On le voit, réciter un Pater ou un Ave est contraire à la loi de la République, il faut le savoir, et peut déboucher sur une sanction.

    En revanche, danser nu dans une Gay Pride est parrainé et subventionné très officiellement par la ville de Paris, le conseil régional d’Ile-de-France et le gouvernement tandis que le Palais-Bourbon se couvre des couleurs du drapeau arc-en-ciel de la communauté LGBT. Avorter jusqu’à neuf mois, c’est-à-dire jusqu’à l’accouchement, ce qui implique d’écraser la tête du bébé et de couper le fœtus en morceaux, ça, en revanche, c’est permis et c’est promu par leur République. Changer de sexe, être transsexuel, faire porter des enfants pour la satisfaction et le plaisir de paires homosexuelles, ça, c’est permis et promu dans leur République.

    Des optimistes croient que la suspension du culte public pourrait être levée à partir du 1er décembre. Mais rien n’indique que ce sera réellement le cas. Et, de toute façon, le Premier ministre a expliqué aux différents dignitaires religieux que cela ne pourrait être envisagé qu’à condition de respecter un protocole sanitaire draconien. En plus du gel hydroalcoolique, du port du masque qui fait ressembler à un clown et n’est pas digne dans un édifice religieux, la fameuse distanciation sociale serait considérablement augmentée.

    Le « président de la conférence des évêques de France », en bon collabo du régime en place, a ainsi proposé de lui-même que l’occupation d’une église soit d’environ « un tiers de l’espace » ou de « 4 m2 » autour d’un fidèle, et que l’on renonce totalement au chant ! Ce même “épiscopat” moderniste avait déjà proposé lors du premier confinement qu’on se saisisse des hosties pour communier « avec des pincettes » ! Comment croire que tous ces imposteurs “mitrés” ont la foi et la moindre crainte de Dieu ?

     

    Au-delà du Covid, le pire virus auquel l’on a à faire face, c’est le sida mental. Et contre celui-là hélas, on n’est pas près de trouver un vaccin !!!

     

     

  • Comment Macron utilise le covid et le terrorisme pour mettre en place la gouvernance mondiale .

     

    L’infernale conjuration contre les peuples !

    Le glas pour ceux dont la confiance a été trahie par une classe politique déchue et se font égorger au coin de la rue ou en allant prier de bon matin. Trahis par des gens qui gouvernent par la manipulation et le mensonge… et qui le payent de leur vie sous le couteau de fanatiques téléguidés, ou qui se suicident parce que leur vie est ruinée par une mondialisation aggravée de crise sanitaire. Mondialisation qui nous a rendus d’une extrême vulnérabilité… parce qu’entre autres la division internationale de la production et du travail s’est traduite chez nous par l’instauration d’une économie de services, d’une désindustrialisation massive et une dépendance pernicieuse, voire funeste, à cette manne conjoncturelle et volatile qu’est le tourisme. Quelques attentats retentissants, une mauvaise grippe politiquement surexploitée et nos hôtels, nos musées, nos stations balnéaires se vident et descendent les rideaux des commerces en faillites. Exeunt les classes moyennes, forces vives de la Nation !

    Or pour ceux qui ne s’en seraient pas vraiment encore rendus compte, nous sommes aujourd’hui parvenus à un point de rupture… Ce qu’il convient d’appeler un changement de « paradigme civilisationnel » parce que le monde est littéralement, sous nos yeux, en train de changer de face. Non tant en raison des actes de terrorisme et de barbarie qui se multiplient sur notre territoire et en Europe de l’Ouest, ou encore d’arbitraires confinements à répétition des populations sous couvert de sauver des vies, celles par exemple de ces vieillards que l’on a sacrifiés sans états d’âme lors de la crise du mois de mars… Des péripéties odieuses, insupportables mais qui, toute raison gardée, en soi ne devraient pas être fondamentalement irréparables. Encore que ? Si le présent bouclage de la France devait se poursuivre en 2021 que resterait-il alors de notre économie ? Les classes moyennes auront été en partie laminées par la démocratie social-libérale ainsi que le prévoyait le Manifeste de 1848 de Friedrich Engels et de Karl Marx. 

     

    LA FIN DES CLASSES MOYENNES 

     

    Il est loisible, à ce sujet, de se demander si effectivement cette élimination des classes intermédiaires, autonomes, ne figure pas au rang des effets recherchés par le déclenchement et la prolongation d’une crise en grande partie artificielle. Ne perdons jamais de vue que la Suède n’a imposé à ce jour aucune des restrictions coercitives (que nous avons subies et qui nous sont à nouveau imposées) et qu’elle n’a pas pour autant été rayée de la carte. Mais chut, évitons d’évoquer ce contre-exemple et les « Gaulois réfractaires » continueront de filer doux. 

    De même que la crise aurait dû avoir l’avantage de vider les bas-de-laine des Français (5 367 milliards au 1er avril 2020) au profit de l’économie via la consommation en remettant en circulation d’importantes liquidités… Horreur, c’est le contraire qui est advenu ! Les sournoises espérances de notre administration sont mort-nées. La spoliation déguisée ne s’étant pas faite spontanément, nul n’exclut plus que l’État pourrait dans un futur proche recourir à des méthodes contraignantes pour ponctionner l’épargne du pays réel. Et de la rumeur à l’acte, il n’y a qu’un pas ! Reste que, quels qu’en soient les conséquences économiques et les dégâts sociaux induits par une gestion volontairement catastrophique de la crise sanitaire, au stade où nous en sommes, le mal pourrait n’être pas encore incurable de sorte que le pronostic vital du pays ne serait pas définitivement engagé, aussi profondément fût-il atteint dans ses œuvres vives, morales et économiques… 

     

    UN NARRATIF DÉPLORABLE 

     

    Au demeurant, plus le temps passe et plus il apparaît que rien ne tient vraiment debout dans le narratif officiel ! Même s’il n’est pas toujours facile de démêler les tenants et les aboutissants, quoique de plus en plus nombreux sont ceux qui commencent à douter de la véracité de la présentation officielle des événements et de la dangerosité d’une épidémie qui — chiffres à l’appui — ne détermine aucune surmortalité significative à l’échelle européenne par rapport aux flambées virales de ces quarante dernières années… Pour Laurent Mucchielli, sociologue, directeur de recherche au CNRS, dans un texte cosigné par trois cent-cinquante personnalités scientifiques de premier plan, publié le 28 octobre [theworldnews.net], tout cela est cousu de fil blanc.

    En effet, nul n’ignore plus en substance que le reconfinement était envisagé depuis l’été dernier. La stratégie de communication du ministère de la Santé s’est déployée pendant deux mois en s’appuyant exclusivement sur les indicateurs les plus alarmants et en les changeant chaque fois que nécessaire afin de toujours envoyer le message le plus anxiogène possible. Le 27 octobre, la manipulation aura atteint un niveau inouï. La totalité des media a titré sur les prétendus 523 morts, « du jamais vu depuis le confinement ». Or ce chiffre était mensonger. Selon Santé Publique France, il y a eu 292 morts à l’hôpital, contre 257 la veille. Mais comme l’on ajoute les morts en EHPAD qu’une fois tous les quatre jours, compter les morts quotidiens le même jour revient à gonfler artificiellement les chiffres… à la veille de l’allocution du président de la République qui a évidemment repris à son compte ce chiffre trafiqué. 

    Malheureusement la connaissance de ces trucages statistiques éhontés, multidimensionnels autant que permanents, n’est accessible qu’à une minorité de spécialistes aptes à les décortiquer et… évidemment n’atteint pas la masse, bernée et lanternée par des médiacrates dont l’ignorance volontaire (leur paresse intellectuelle n’expliquant pas tout) est calamiteuse. Grâce au Ciel, cela commence à se savoir et, même si des questions de préséance institutionnelle ont été avancées, le Sénat vient de retoquer la loi d’urgence sanitaire et le confinement (ce qui annule toutes les pénalités infligées jusqu’à ce qu’un nouveau vote de la chambre haute vienne invalider le premier) : au lendemain de l’annonce par le président Macron du reconfinement, le Sénat rejetait par 178 voix contre, 130 voix pour, 27 abstentions, la prorogation de l’état d’urgence sanitaire et ses mesures d’accompagnement présentées par le Premier ministre [publicsenat.fr29oct20]. D’ailleurs — même pour les non-initiés aux arcanes de l’architectonie mondialiste —, tous ces événements paraissent tellement absurdes, incohérents et incongrus qu’un nombre toujours croissant de sceptiques pense que cette pseudo-crise serait finalement “organisée” de toutes pièces. La pensée et les analyses complotistes gagnent indéniablement du terrain !

    Car nous avons bien affaire à une imposture, celle-ci consistant à prendre prétexte d’une maladie dont le taux de létalité oscille selon les études entre 0,1 % et 0,6 %, pour justifier des mesures qui ruinent le pays tout entier!

    Apparemment dans le but inavoué (parce qu’inavouable) de mettre la France à genoux cela afin de conduire des politiques de déconstruction de l’État et de la Nation, lesquelles feraient horreur aux Français s’ils en comprenaient conscience et en percevaient la portée réelle. En d’autres termes, « la crise du Covid-19 » n’est qu’un vaste complot, une machination à visées antinationales fomentée par les plus hautes autorités de l’État, en particulier par le président de la République ce qui conduit à dire que nous ne pourrons sortir de cette crise qu’en “dégageant” les pseudo-élites dévoyées et compradores qui nous mènent en bateau [droiteligne30oct20].

    Un bateau ivre qui se dirige droit vers les hauts fonds de la guerre civile sur le cap des tempêtes des confrontations internationales… Ayons à l’esprit le sanglant conflit turco-arménien (cinq mille morts en quelques semaines) et le Proche-Orient, poudrière instable comparable à celle qui souffla le port de Beyrouth et une partie de la ville. Destitution manu militari et jugement pour haute trahison, tel devrait être par voie de conséquence le traitement applicable à nos bons dirigeants pour les temps à venir…

     

    LES DEUX MÂCHOIRES DE LA PEUR AU QUOTIDIEN

     

    Dans cet ordre d’idées, comprenons que le terrorisme à la petite semaine et la pandémie — tous deux bien réels — sont pareillement et merveilleusement mis en scène. Que tous deux ne sont que la partie émergée d’une machination autrement redoutable et surtout, ne doivent pas être regardés en soi, séparément, indépendamment l’un de l’autre ou du contexte général… mais comme des éléments saillants participant d’un plan de bataille aux finalités hélas invisibles aux yeux de la multitude.

    Covid et terrorisme sont à ce titre des outils, les deux mâchoires d’une seule et même stratégie du choc — un traumatisme collectif — destinée à nous conduire en marche forcée, la peur au ventre et la baïonnette dans les reins, à accepter voire à désirer une gouvernance supranationale passant par la soumission intégrale des peuples aux oukases de la dictature sanitaire, elle-même faux-nez de l’asservissement collectif aux cryptarchies régnantes déguisées en gouvernance mondiale : passeport vaccinal par puçage, traçage et contrôle social grâce à des permis de citoyenneté à points, etc. 

    Aujourd’hui la peur possède deux visages, la maladie sournoise et le couteau du boucher, le second poussant, incitant à se réfugier frileusement dans les jupes de la République… sachant que tout est fait, en particulier dans notre pays, pour faciliter la prolifération des candidats au martyre via l’assassinat sordide. Notons qu’après le carnage de Nice à la basilique Notre-Dame-de-l’Assomption, le ministère de l’Intérieur a fait montre de sollicitude en peuplant les parvis de nos églises de policiers fortement armés.

    L’État est présent et prétend nous protèger pour mieux nous faire oublier que ce même État maintient nos frontières ouvertes et qu’il encourage au blasphème de la catholicité et de l’islam, c’est-à-dire érige en droit la libre expression du mépris d’autrui… à travers la faculté d’insulter les croyances les plus sacrées de populations d’importation auxquelles nous avons grand ouvert les portes de la Cité pour mieux casser notre matrice ethnoculturelle, autrement dit helléno-catholique, laquelle s’incarne dès l’origine dans et par Athènes et Jérusalem. 

     

    Ils nous veulent à genoux !

    Jusqu'où iront-ils dans la déraison, dans la folie et dans le crime ? Alors même que les chiffres de l’INSEE, pourtant organisme des plus officiels, indiquent que le nombre de décès en France pour les huit premiers mois de l’année, est resté quasiment identique entre 2019 et 2020, que la moyenne d’âge des personnes mourant du Covid 19 est de 84 ans, ce qui correspond à l’actuelle espérance de vie des Français, le chef de l’Etat a pourtant décidé de reconfiner totalement le pays. Depuis le jeudi 28 octobre à minuit jusqu’au 1er décembre a minima. Mais on nous laisse entendre que ce confinement pourrait durer beaucoup plus longtemps, et qu’il pourrait même se durcir, au risque de détruire ce qui ne l’avait pas encore été il y a six mois. Comme si cela ne suffisait pas, après la première vague du printemps 2020 et la seconde de cet automne, voici que le président du sacro-saint Conseil scientifique nous annonce une troisième vague pour… le printemps 2021. Nous n’avons décidément pas le temps de respirer. Au propre comme au figuré puisque l’on impose désormais le port de masque à tout un chacun, y compris à des enfants de six ans, ce qui est une pure folie et une brimade insupportable. 

    On nous exhorte même vivement à garder le masque chez soi en famille, en permanence, y compris les enfants...

    Nous sommes enrégimentés, infantilisés, esclavagisés, tyrannisés d’une manière absolument effrayante, sidérante, stupéfiante. Sans que jusque-là cela ne suscite beaucoup de réactions. Car, contrairement aux Italiens qui se sont soulevés dans de nombreuses villes, de Naples à Milan, refusant de nouvelles mesures draconiennes tuant le commerce et détruisant les libertés fondamentales de circulation et de réunion, les Français pour l’heure, semblent résignés, apathiques, tels des moutons que l’on mène à l’abattoir. Sans doute faut-il qu’ils digèrent l’épisode des gilets jaunes qui a duré et dont la répression a été féroce avant qu’ils ne se révoltent peut-être à nouveau . Mais il est vrai que tout est fait pour qu’ils aient peur et l’on sait que quelqu’un qui est saisi par la crainte voire la panique peut être très facilement manipulé, dominé, opprimé. La multiplication sur notre sol des attentats spectaculaires, des égorgements et des décapitations dont les Charlie par leurs odieuses provocations sont les premiers responsables ont évidemment un effet de sidération sur le grand public. 

     

    On a le sentiment d’être les spectateurs impuissants d’une mise en scène exécutée sous nos yeux et qui a pour but de mettre au pas l’humanité tout entière, et d’abord l’Occident anciennement chrétien. Dès cet été, on parlait ici et là d’un reconfinement en octobre en France. C’est finalement bel et bien ce qui s’est passé.

    Dès le mois de mars, Jacques Attali avertissait que plus rien ne serait comme avant, qu’il fallait désormais s’habituer à vivre autrement! ...

    Des propos incompréhensibles s’il s’agit seulement de combattre un simple virus dont la durée de vie est forcément limitée dans le temps et qui ne saurait à soi seul justifier un changement de paradigme civilisationnel.

    C’est donc bien qu’il y a une volonté planétaire de procéder à une grande réinitialisation, de domestiquer les peuples, de leur imposer les vaccins, les vices et immondices de l’hyper-classe mondiale pour mieux les broyer et les tenir captifs, de limiter drastiquement leurs libertés. Est-il ainsi acceptable que les lieux de culte et de pèlerinage (la grotte de Lourdes n’est ainsi plus accessible au public depuis le 3 novembre, ce qui est une infamie) soient fermés, qu’il soit impossible de remplir le précepte dominical à l’église alors même que tous les commerces alimentaires restent ouverts, ainsi que les écoles, de la maternelle aux lycées, et qu’il est permis d’aller au bureau ou à l’usine pour travailler ? La nourriture terrestre est assurée, mais quid de la nourriture céleste ?

    On veut imposer à tous la devise “métro-boulot-dodo” et empêcher toute vie spirituelle et tout contact chaleureux, convivial avec de la famille et des amis, si nécessaires pourtant à l’épanouissement personnel, à l’équilibre psychique, et qui fait partie de la joie de vivre. C’est que, pour les nihilistes qui nous gouvernent, la religion non seulement n’est pas essentielle, mais elle est à combattre car elle s’oppose à la vision du monde maçonnique et arc-en-ciel pro-LGBT, favorable au droit au blasphème, à la destruction de la famille traditionnelle et de la morale naturelle. Dans leur volonté de tout codifier, de tout régenter, les pouvoirs publics autorisent les mariages à condition qu’il n’y ait pas plus de six personnes à la cérémonie et les enterrements si l’assemblée n’excède pas trente personnes. Pourquoi des mesures aussi anti-sociales, aussi inhumaines et que rien ne justifie quand on se penche sur le nombre réel de décès dû au coronavirus ?

     

    Ils n’ont eu de cesse de réduire les lits des hôpitaux, ils n’ont pas commandé en nombre suffisant des respirateurs et ce sont les Français dans leur ensemble, et singulièrement les classes moyennes, les indépendants, le monde entrepreneurial qui doivent être immolés sur l’autel de l’incompétence, de l’inconséquence, ou plutôt du cynisme de ceux qui nous dirigent et qui n’ont d’autre but que de nous détruire, de nous mettre à genoux. Après avoir détruit la paysannerie française avec la Politique agricole commune, après avoir démantelé l’industrie française avec les délocalisations, le libre-échange et l’excès de charges, d’impôts et de tracasseries administratives, voici que l’on tue froidement le secteur tertiaire, celui des services : la restauration, l’hôtellerie, les fleuristes, les libraires, les bars et les cafés, et tant d’autres artisans et commerçants. Qui ne voit qu’il ne s’agit pas là du hasard ou de la faute à pas de chance mais d’une volonté implacable de détruire l’économie, et donc des vies ? La Suède qui n’a pas confiné sa population n’a pas été plus touchée par le virus que notre pays, bien au contraire.

    Ce que l’on nous présente donc comme obligatoire, incontournable, indispensable, inexorable (le confinement) ne l’est nullement. Sauf bien sûr s’il s’agit de détruire ce qui ne l’est pas encore et de conduire notre pays à l’abîme.

     

    On ne peut aucunement faire confiance aux “élites” politiques, médiatiques et enseignantes qui nous ont conduits là où nous en sommes. Elles dénoncent tout à coup l’islamisme (mais nullement l’immigration de masse, notez-le) alors qu’elles n’ont eu de cesse de désarmer notre pays contre toute forme d’invasion et de submersion, qu’elles ont dénoncé et fait condamner en justice les nationaux et nationalistes qui s’opposaient à cette colonisation à rebours.

    Et dans le formatage des esprits à l’antiracisme unilatéral, l’Education nationale a joué, et continue de jouer, un rôle de premier plan. Nous avons donc plus de compassion pour les trois victimes sauvagement égorgées à la basilique de Nice que pour tous les Charlie du monde qui n’ont que l’insulte et le blasphème à la bouche. Qu’ils ne croient en rien est une chose, cela les regarde, mais qu’ils insultent bassement la foi et les croyances des autres, qu’ils blasphèment en permanence en est une autre. Par leurs odieuses provocations parfaitement préméditées et exécutées, et alors qu’il y a des millions de mahométans en France qu’ils ont fait venir, ils mettent en danger tous les Français. Ceux qui résident à l’étranger dans des pays mahométans mais aussi bien sûr tous ceux qui vivent en France. Ils n’ont d’autre but que de conduire au chaos et à la guerre civile. 

    Face à ces manœuvres mortifères, il nous faut garder lucidité et sang-froid et éviter de sombrer dans les pièges où l’on veut nous faire tomber. Nous n’avons pas à être ou à devenir Charlie. Aujourd’hui, on veut nous pousser à adopter la “religion” Charlie, à faire nôtres la laïcité et les valeurs de la République qui nous ont conduits au chaos, il en est hors de question.

    C’est cette République, ignoble depuis l’origine, qui a conduit à la fragmentation et à la dissolution du pays.

    Ce n’est pas avec ce régime politique contre-nature et diabolique que l’on sauvera quoi que ce soit. Son élimination est le préalable indispensable à tout changement de cap et à toute renaissance nationale. En espérant qu’il n’est pas déjà trop tard.