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Lobbies homosexuels - Page 5

  • Radio France n’aime pas le mot “chrétien” !

     

     
    Lundi 7 décembre, l’Œuvre d’Orient publiait un communiqué de presse regrettant qu’une campagne – payante – de publicité pour faire un appel aux dons ait été refusée par Radio France. Avant de médiatiser l’affaire, l’association a tenté, durant un mois et demi, de trouver une solution auprès de la radio. Avec le succès que l’on sait. Pour motiver son refus, cette dernière a brandi l’article 37 du cahier des charges, lequel stipule : « Les messages publicitaires ne doivent contenir aucun élément de nature à choquer les convictions politiques des auditeurs. » Demander de l’aide pour une association, bien connue, qui soutient les Chrétiens d’Orient depuis plus de 150 ans est donc choquant pour Radio France en général et France Inter en particulier.

    Ce n’était pourtant pas une première puisque l’association avait déjà diffusé cinq campagnes sur les ondes de Radio France. C’était la belle époque. Aujourd’hui, il semblerait que certains auditeurs soient allergiques à toute référence chrétienne. D’où l’ultimatum posé sous forme d’alternative : la publicité devra parler de l’Œuvre d’Orient mais pas des chrétiens d’Orient. C’est ça ou la censure!.

    D’après un article du Figaro, les auditeurs avaient envoyé de nombreuses réclamations auprès de la direction de Radio France après une campagne de soutien au Liban, lancée en septembre, et pour laquelle l’Œuvre d’Orient avait diffusé des publicités. « Les auditeurs des antennes de Radio France, très attentifs au respect du principe de neutralité religieuse, philosophique et politique du service public, ont été nombreux à réagir et à questionner Radio France sur ce choix », dixit la radio. Quelques auditeurs ont maugréé et Radio France s’est couchée sous couvert de laïcité.

    On a connu Radio France et surtout France Inter beaucoup moins tatillonnes avec les sentiments et les émotions d’autres auditeurs. On se souvient du sinistre Frédéric Fromet qui chantait d’un air guilleret « Jésus est pédé » sous les rires du studio. Et s’est empressé de s’excuser quelques jours plus tard auprès de la communauté LGBT pour l’avoir comparée à Jésus-Christ. On parle alors de laïcité, d’humour et de liberté d’expression !!

    C’est toute la mauvaise foi du deux poids, deux mesures.

    Il apparaît surtout que la laïcité de notre XXIe siècle est plus un athéisme militant qu’une saine séparation des pouvoirs.

    Qui se souvient encore, aujourd’hui, que la vraie laïcité est d’origine chrétienne ? Le fameux : « Rendez à César ce qui est à César et à Dieu ce qui est à Dieu. » Comme l’a fait très justement remarquer Mgr Gollnisch, directeur général de l’association : « Elle [Radio France] transforme une laïcité louable en un athéisme affiché et l’Œuvre d’Orient ne peut l’accepter. »

    L’Œuvre d’Orient n’a pas plié et bien lui en a pris. A l’heure où nous écrivons ces lignes nous apprenons que la direction de Radio France a appelé l’association pour lui dire qu’elle revenait sur sa décision et acceptait de diffuser, telle quelle, la publicité. Une victoire qu’elle n’aurait sans doute pas obtenue sans cette médiatisation et la vague de soutien qu’elle a soulevée. En attendant, la laïcité a dévoilé son vrai visage.

    Notre pays est malade de son athéisme et de son laïcisme .

    Aujourd’hui c’est une publicité que l’on censure, demain une œuvre de musique parce qu’elle est un requiem, ou un chant grégorien ou une messe ? .

     

  • Giscard et Macron, deux fossoyeurs acharnés responsables du génocide des français .

    S’il existe assurément une communion des saints, il existe tout aussi sûrement une communion des imposteurs.

    Le 3 décembre, dans son allocution télévisée, Emmanuel Macron a ainsi rendu un vibrant hommage à l’ancien président Valéry Giscard d’Estaing qui venait de décéder la veille, à 94 ans et 10 mois, des suites du coronavirus. En dressant le panégyrique de VGE, le chef de l’Etat faisait en creux l’éloge de sa pensée et de son action car l’actuel locataire de l’Elysée est sans doute celui qui, malgré un demi-siècle de différence, s’inscrit le plus et le mieux dans le sillage de l’Auvergnat. Comme Giscard, Macron est devenu président à la quarantaine. Il a même devancé là son prédécesseur puisqu’il a été élu à la magistrature suprême à 39 ans, là où l’ex-maire de Chamalières est devenu président à 48 ans. 

    Comme Giscard, Macron est fondamentalement un européiste forcené.

    Lors de la campagne présidentielle de 2017, l’ex-banquier d’affaires était le seul candidat à faire agiter sur les podiums et dans les salles de ses réunions des drapeaux de l’Union européenne. Giscard fut toute sa vie un européiste militant. Dans sa jeunesse, il militait pour les Etats-Unis d’Europe. Sous De Gaulle, il entendait incarner, avec sa Fédération nationale des Républicains indépendants, « l’élément centriste et européen de la majorité ». Elu chef de l’Etat, Giscard est à l’origine de la création en 1974 du Conseil européen, du lancement en 1978 du Système monétaire européen (SME), dont sortiront l’Union monétaire et l’euro. L’unité de compte européenne, l’écu, est créée en 1979, première étape vers la monnaie unique. On doit également à VGE l’élection du Parlement européen au suffrage universel direct.

    Une fois battu par Mitterrand en 1981, Giscard, qui fut élu onze fois député du Puy-de-Dome, occupa presque tous les mandats possibles et fut même élu académicien, poursuivit inlassablement son combat européiste. Il conduisit la liste RPR-UDF aux européennes de juin 1989, devint député européen. Il s’engagea fortement pour le oui à Maastricht en 1992 et, devenu président de la Convention pour l’avenir de l’Europe, qui élabora un projet constitutionnel pour l’Union européenne, il s’engagea fortement pour le oui lors du référendum du 29 mai 2005, qui certes échoua. Mais Sarkozy, deux ans plus tard, imposa par voie parlementaire le traité de Lisbonne qui reprenait les principales dispositions du traité constitutionnel de VGE. 

    Comme Giscard, Macron est avant tout un homme de la finance internationale et fait sienne une vision essentiellement économiste et mercantile de sa mission.

    VGE était inspecteur des finances, fut sous De Gaulle, puis sous Pompidou, ministre de l’Economie et des Finances et, pendant son septennat, c’est la dimension matérialiste et “économistique” de son action qu’il privilégia, au détriment de la défense de la civilisation, du patrimoine, de la famille traditionnelle et de la morale naturelle. On doit également à Giscard, alors qu’il était ministre des Finances de Pompidou, la loi dite Rothschild, du 2 janvier 1973, qui limite drastiquement le financement de l’Etat par la Banque centrale, ce qui conduisit les pouvoirs publics à s’endetter auprès d’acteurs privés et internationaux, prêtant avec de forts intérêts, ce qui est directement à l’origine d’une dette publique de plus en plus massive. Bien qu’officiellement libéral en économie, Giscard augmenta massivement les prélèvements obligatoires à chaque fois qu’il eut des responsabilités gouvernementales ou élyséennes. 

    Ministre de l’Economie et des Finances, il étend la TVA créée en 1954 et réservée initialement aux grandes entreprises aux commerces de détail. Sa réforme de l’impôt sur le revenu des personnes physiques accroît considérablement le nombre d’assujettis. Président, il institue en 1975 la taxe professionnelle, désastreuses pour les commerçants, artisans, petites et moyennes entreprises. Polytechnicien et énarque, il ne comprend pas que trop d’impôts tue l’impôt et que, pour réduire le chômage qui dépasse les un million officiels sous son mandat présidentiel et créer de la richesse, attirer des investisseurs, favoriser l’initiative, récompenser les talents, la créativité, il faut au contraire, réduire considérablement la pression fiscale sur les pauvres mais aussi sur les classes moyennes et supérieures qui créent de l’emploi et réinjectent l’argent qu’ils gagnent dans l’économie.

    A l'instar de VGE, Macron se veut résolument moderne.

    D’où le "couple" étonnant qu’il forme avec Brigitte, de très loin son aînée. D’où son soutien public et enthousiaste à la Gay Pride, aux musiques et “artistes” dégénérés (on l’a vu en juin 2018 lors d’une effarante Fête de la musique à l’Elysée, où un des danseurs, en grande partie dénudé, exhibait sur son maillot l’inscription « Fier d’être noir, immigré et pédé »), à la PMA pour les lesbiennes, etc.

    Avant lui, Giscard avait renoncé dès son élection au costume traditionnel en queue de pie. Sur la photographie officielle, il ne pose pas, contrairement à ses prédécesseurs, avec le collier de Grand Maître de la Légion d’honneur. C’est lui également qui met fin aux solennités de la fête de Jeanne d’Arc le deuxième dimanche de mai, en ne se déplaçant pas à la statue de la Pucelle place des Pyramides. Elu, il tient son premier discours en anglais, ce qu’il fera régulièrement par la suite. Macron agit pareillement. Giscard et Macron sont fondamentalement deux libéraux-libertaires. 

    On doit au premier la loi dépénalisant l’avortement le 17 janvier 1975, ce qui est à l’origine du génocide de plus de dix millions de bébés à naître en 45 ans et ce qui contribua à désacraliser l’enfance, à détruire les repères moraux, la loi instaurant le divorce par consentement mutuel le 11 juillet 1975, ce qui accéléra la destruction de la cellule familiale, favorisa l’infidélité conjugale et l’instabilité des couples et des foyers.

    Giscard est également à l’origine de la libéralisation, et donc de la massification, de la pornographie. L’idée avancée était que les gens pourraient ainsi se détendre et qu’il y aurait moins de crimes, notamment à caractère sexuel. Ce fut exactement le contraire qui se produisit, ce genre de spectacle nauséabond excitant au contraire les pulsions mauvaises et violentes et donnant une image totalement déformée, bestiale et avilissante de l’amour et de la sexualité.

    Bien plus tard, au moment du vote de la loi Taubira, Giscard se prononça en faveur du “mariage” homosexuel et de l’adoption.

    Bref, VGE est resté fidèle toute sa vie à de désastreuses options libérales-libertaires, sapant les fondements moraux et anthropologiques de la société.

    Sur le plan éducatif, on doit à Giscard la désastreuse réforme Haby qui créa le collège unique, réforme qu’on a pu, à juste titre, résumer par ce slogan « collège unique, collège inique » puisque, au nom d’une conception égalitariste de l’enseignement reposant sur le nivellement par le bas, méprisant la diversité des talents et des vocations, et négligeant donc l’apprentissage pour les métiers manuels, on a imposé un socle commun et une prolongation de la scolarité à des jeunes gens et des jeunes filles qui n’étaient pas faits et qui n’avaient pas le goût ou l’aptitude pour des études spéculatives. Enfin, par démagogie et par jeunisme, VGE abaissa l’âge de la majorité civile et électorale de 21 à 18 ans, une mesure qui profita à son adversaire socialiste, les deux millions de jeunes qui en bénéficièrent ayant massivement voté en 1981 pour François Mitterrand.

    A l'image de son prédécesseur, Macron n’a absolument pris aucune mesure contre l’immigration de masse, maintenant les frontières ouvertes (même pendant la farce du COVID), conservant, voire aggravant, toutes les mesures favorisant l’invasion et la submersion de notre pays. Mais Giscard et Chirac, alors Premier ministre, ont eu, quant à eux, une responsabilité historique encore plus grande en transformant l’immigration de travail en immigration de peuplement, par le décret du 29 avril 1976 instaurant le regroupement familial. C’est vraiment à partir de Giscard que le visage de la France commença vraiment à changer, avec une immigration de plus en plus imposante, même si ses successeurs immédiats ont encore aggravé le phénomène. 

    Avec sa loi sur l’avortement en 1975 et celle sur le regroupement familial en 1976, Giscard avait posé les conditions d’un carnage biologique et spirituel, d’un Grand Remplacement de la population, mais aussi des cœurs, des esprits et des âmes. Il a donc bien mérité de leur République mortifère et criminelle !

  • La Commission européenne vient d' annoncer un plan visant à imposer des mesures Lgbt à tous les pays !

     

     

    Crime européen d’homophobie, reconnaissance des « mariages » homosexuels dans tous les États membres, utilisation d’une partie du Fonds de relance pour financer les activités LGBT, arrêt du financement des États qui ne s’inclinent pas.

     

    La Commission européenne a annoncé un plan visant à imposer l’agenda Lgbt à tous les pays. En violation des traités européens ! ...

     

    L’Union Européenne défend les revendications de la Gaystapo. Le 12 novembre, la Commission de l’Union européenne a publié une communication annonçant la volonté de préparer un plan pour que tous les pays de l’UE deviennent de plus en plus arc-en-ciel.

    En fait, la Commission veut introduire un crime d ‘« homophobie » au niveau européen et entend lutter contre les « stéréotypes de genre » à l’école. Elle insiste également pour que chaque État reconnaisse les « mariages » homosexuels célébrés dans d’autres États européens et le statut de l’homoparentalité reconnu dans d’autres systèmes juridiques. Enfin, les technocrates bruxellois ont exprimé leur désir d’attribuer un financement spécifique aux initiatives Lgbt, y compris une part du Fonds de relance, mis en place pour faire face à l’urgence sanitaire actuelle pour le covid.

    Le point sensible de cette décision n’est pas seulement le contenu, promouvoir davantage l’agenda Lgbt en Europe mais aussi de méthode : il s’agit d’une ingérence indue dans les affaires de chaque État membre, c’est-à-dire d’une invasion injustifiée de ce thème dans des domaines de compétence nationale et non de la responsabilité de la Commission. Cette dernière cherche à dissimuler cette violation de la souveraineté nationale en évoquant la volonté d’offrir de simples « orientations politiques », de ne vouloir que « coordonner les actions des États membres, suivre la mise en œuvre et les progrès, apporter un soutien grâce aux fonds européens et promouvoir l’échange de bonnes pratiques entre les États membres ». Tout cela sonne bien, mais il y a quelque chose de pourri en dessous.

    Et le pourri a été clairement identifié par une analyse publiée par le Centre d’Etudes Livatino. Ce dernier souligne tout d’abord que le Parlement européen et le Conseil européen ne peuvent pas instituer le crime d’« homophobie » parce qu’ils échappent à leurs compétences. En fait, l’art. 83 du traité sur le fonctionnement de l’Union Européenne indique précisément les matières sur lesquelles l’Union Européenne peut « établir des règles minimales relatives à la définition des infractions et des sanctions dans des domaines pénaux particulièrement graves qui ont une dimension transnationale ».

    Ces sujets sont : « terrorisme, traite des êtres humains et exploitation sexuelle des femmes et des mineurs, trafic de drogue, trafic d’armes, blanchiment d’argent, corruption, contrefaçon des moyens de paiement, cybercriminalité et criminalité organisée. » La discrimination fondée sur l’orientation sexuelle et la soi-disant identité de genre ne figure pas sur la liste. Le Centre d’Etudes Livatino souligne en effet que l’intention exprimée par la Commission de modifier l’article 83 susmentionné afin d’inclure également le crime d’« homophobie » dans la liste, d’une part, n’est pas justifiée par la ratio du même article qui prévoit une intervention réglementaire de l’UE uniquement pour les crimes transnationaux, c’est-à-dire pour les comportements susceptibles d’affecter plusieurs États à la fois, comme le trafic d’esclaves et/ou le commerce des armes où par exemple une fille est « achetée » dans un pays, puis « revendue » dans un autre, ou lorsqu’un stock d’armes de contrebande entre dans un État pour être ensuite revendu dans un autre. Sur les autres fronts, le pouvoir législatif ne relève certainement pas de la compétence de la Commission.

    La reconnaissance mutuelle entre les Etats des « mariages » entre duos homosexuels et du statut des parents homosexuels, ainsi que la lutte contre les « stéréotypes de genre » dans le milieu scolaire, en somme les domaines matrimoniaux et parentaux, ainsi qu’éducatif, concernent la législation nationale et l’Europe ne peut pas se substituer aux États membres en matière de famille et d’école. En particulier en ce qui concerne la question « famille », le jeu que la Commission européenne voudrait jouer est facile à comprendre : si l’État X a légitimé le « mariage » gay, obliger l’État Y à reconnaître le « mariage » entre deux hommes célébré dans l’État X représente la première étape pour que l’État Y légifère en faveur du « mariage » gay.

    Enfin, nous arrivons au chapitre sur le financement des initiatives arc-en-ciel.

    La Commission veut faire chanter les États membres de l’UE : soit ils soutiennent les politiques Lgbt, soit les robinets du financement public se ferment! 

    Mais la règle du do ut des dans le domaine financier, rappelle toujours le Centre Livatino, n’est en aucune manière envisagée par le traité précité sur le fonctionnement de l’Union européenne. Vouloir ensuite aspirer les ressources fournies par le Fonds de relance et destinées aux commerçants, entrepreneurs, industriels, familles, patients, hôpitaux et centres de recherche pour les allouer à des initiatives arc-en-ciel car, écrit la Commission, « la crise du covid-19 […] a frappé de manière disproportionnée les personnes Lgbtqi vulnérables », est incroyable.

    En fait, d’une part, il est bon de rappeler que le pourcentage d’homosexuels est d’environ 1 à 4% en Europe, en tenant également compte des bisexuels, et celui des transsexuels autour du point zéro. C’est donc un groupe absolument restreint, si petit que cela ne justifie pas un financement ad hoc. Pour tenir compte de cette logique, il devrait y avoir un financement européen pour les jardiniers et les arbitres de football touchés par le covid. Au contraire, la Commission aurait dû suggérer d’introduire un soutien financier pour les familles, les travailleurs et les employeurs.

    Une deuxième raison de perplexité est le fait que la Commission n’apporte aucune preuve que le covid a frappé particulièrement durement les homosexuels et les transsexuels. Nous connaissions les personnes âgées et les patients atteints de pathologies multiples, mais personne n’a jamais entendu parler des homosexuels et des trans. Si le virus affecte également les gays et les personnes trans, c’est parce qu’il touche presque tout le monde. En ce sens, les lobbies Lgbt et la Commission européenne doivent être sereins : le coronavirus ne discrimine personne, il ne fait pas de distinction par orientation sexuelle et « identité de genre ». C’est un virus très inclusif.

    En fin de compte, le fonctionnement de la Commission européenne a clairement une empreinte idéologique : des ressources pour embaucher des médecins et des infirmières sont retirées avec l’intention de les allouer à l’organisation de la gay pride.

    Francesca de Villasmundo