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Lobbies homosexuels - Page 12

  • La France est sous la coupe d' un gouvernement d' invertis et de corrompus !

     

    Si l'on voulait démontrer l’effondrement moral de la classe politique en général et de la Macronie en particulier, ce qu’il est désormais convenu d’appeler l’affaire Benjamin Griveaux, ci-devant candidat LREM à la mairie de Paris, en constituerait une parfaite illustration. Tout dans ce dossier sordide relève de la bassesse, de l’abjection, de l’immoralité et du cynisme le plus absolu : d’abord le comportement de Griveaux qui envoie à sa maîtresse du moment une vidéo à caractère sexuel le mettant en scène. Comment est-il possible qu’un homme public occupant des fonctions politiques importantes, et aspirant à des responsabilités encore plus écrasantes (devenir l’édile de la capitale de la France), puisse se laisser aller à un comportement aussi imprudent, aussi infantile et aussi vil ? Cette manie qu’ont un grand nombre de gens aujourd’hui de se filmer dans leurs ébats et de communiquer ces vidéos généralement réalisées avec un téléphone portable témoigne d’un affaissement moral inouï. Cette culture pornographique, ce culte de l’impudeur, de l’impudicité, cet étalage de la lubricité la plus débridée sont le signe d’un grave dérèglement de l’homme moderne. On ne dira jamais assez combien la déspiritualisation générale, l’apostasie universelle, l’absence à peu près totale de convictions religieuses et de principes directeurs sont un poison pour le corps social, agissent comme un acide qui détruit, dissout, érode, corrompt, dilue, décompose et putréfie. 

    Le comportement de Griveaux envoyant à sa maîtresse une vidéo où il se masturbe est évidemment indigne. Et cela en dit long sur le degré de moralité de la garde rapprochée du chef de l’Etat car, des extravagances sexuelles du ministre de l’Intérieur Christophe Castaner à l’attitude abjecte de l’ancien porte-parole du gouvernement Benjamin Griveaux, pilier de la campagne présidentielle de Macron en 2017, en passant par les agissements crapuleux du président de l’Assemblée nationale Richard Ferrand, ayant favorisé son ex-épouse et sa concubine de manière illégale, la coupe est pleine. Rappelons qu’en mai 2017, Le Canard enchaîné, Le Monde et Mediapart avaient révélé que les Mutuelles de Bretagne (MDB) avaient été subventionnées à hauteur de 55 000 euros par de l’argent public lorsque Richard Ferrand les dirigeait dans les années 2010. Son ex-femme Françoise Coustal, artiste plasticienne, a facturé aux Mutuelles de Bretagne des travaux d’aménagement d’un Ehpad, situé à Guilers, qui a bénéficié d’une subvention de 1,66 million d’euros du Conseil départemental du Finistère, dont Richard Ferrand était alors vice-président. Les Mutuelles de Bretagne ont ensuite fait effectuer d’autres travaux, pour 184 000 euros, dans un local appartenant à l’avocate Sandrine Doucen, sa concubine et mère de sa fille, qui a par ailleurs facturé régulièrement aux Mutuelles de Bretagne des services de conseil juridique. Richard Ferrand a, une fois élu député en juin 2012, conservé un poste de chargé de mission des Mutuelles de Bretagne et embauché comme assistant parlementaire Hervé Clabon, concubin de son ex-adjointe puis son fils...

    Et ce sont ces gens-là qui s’érigent en donneurs de leçons et qui ne cessent de demander aux Français des sacrifices, de rogner leurs retraites, leur épargne, d’augmenter les impôts et les taxes en tous genres. Cela devient de plus en plus insupportable !

     

    Le comportement de Griveaux est inqualifiable, mais celui du Russe d’extrême gauche, le pseudo-artiste Piotr Pavlenski, n’est pas plus recommandable et il est même pire tellement il est ignoble. Diffuser sur les réseaux sociaux une vidéo à caractère sexuel pour tuer politiquement et détruire socialement un responsable politique, quel que soit ce qu’on pense de ce dernier, est un procédé abject. Mais qui hélas tend à se répandre dans un monde où l’infamie ne semble plus avoir de limites. On ne compte plus en effet les vidéos d’ébats sexuels mises en ligne par une amante trompée ou délaissée qui veut ainsi se venger et nuire le plus possible à son ex-partenaire. Et que dire aussi des agressions qui sont filmées avec un smartphone et mises sur Internet de manière à humilier, à ridiculiser, à détruire de l’intérieur la personne ainsi agressée, violentée ou passée à tabac ? Cela se pratique de plus en plus à l’école et dans la rue. 

    Nous sommes d’autant plus sensibles à cette question que le directeur de RIVAROL a été victime de ce procédé ignoble en juillet 2015 dans l’étroit corridor d’un parking souterrain parisien, un individu très hostile ayant décidé de le poursuivre, puis de le coincer dans ce corridor, et de le gifler fortement, tout en filmant la scène pour le ridiculiser  et en la diffusant massivement sur les réseaux sociaux où cette vidéo de 20 secondes a été vue plus de 200 000 fois et accompagnée d’une litanie d’injures, de moqueries et de menaces contre… l’agressé, mais nullement contre l’agresseur ! Ce qui en dit long sur le degré de moralité et de vertu du public. Nous avons publié récemment, dans notre numéro du 29 janvier, un long article sur Bernanos et la technique. L’affaire Griveaux montre de manière superlative comment l’auteur de La France contre les robots avait raison de dénoncer l’avènement d’une société technicienne totalement inhumaine où pourraient se donner libre cours les pires ignominies. Et ce d’autant plus que l’anonymat sur les réseaux sociaux, qu’il ne faut certes pas supprimer, donne un sentiment de toute-puissance et favorise l’irresponsabilité. 

     

    Benjamin Griveaux a été remplacé au pied levé par le ministre de la Santé Agnès Buzyn pour conduire la liste de la majorité présidentielle à la mairie de Paris. Ses chances de victoire sont à peu près nulles. Mais cela n’a finalement aucune importance puisque, de toute façon, quel que soit l’heureux élu, rien ne changera sur l’essentiel. Ils sont tous interchangeables. C’est d’ailleurs le drame de notre époque : quels que soient les partis, les hommes et les étiquettes, c’est bonnet rose et rose bonnet. 

    Tant que nous n’aurons pas des hommes ayant une colonne vertébrale, des convictions fortes, des chefs animés par des principes immuables, des certitudes intangibles, une foi chevillée au corps, une ferme volonté de servir le bien commun, et non de se servir, tout continuera à se dégrader, à pourrir et à mourir. C’est d’une profonde révolution intellectuelle, morale et spirituelle que notre monde a urgemment besoin !

     

     

     

  • L' hystérie shoatique est devenue une arme de destruction massive ! ...

    Mémoire : la chape de plomb se renforce, l'hystérie se donne libre cours ...

     

    C’est l'hystérie. Le soixante-quinzième anniversaire de l’arrivée de l’Armée rouge à Auschwitz-Birkenau le 27 janvier 1945 est l’occasion depuis plusieurs jours, et de manière ininterrompue, de déverser un déluge de propagande absolument inouï.

    L’objectif est toujours le même : il s’agit de tétaniser, de sidérer les consciences, de violer les âmes, de détruire les défenses immunitaires pour empêcher toute réaction musclée contre les politiques que l’on nous impose dans tous les domaines.

    L’arme de la Mémoire, comme nous l’avons souvent écrit, agit comme un rouleau compresseur qui permet d’en finir avec les institutions et les croyances les plus fondamentales, les plus immémoriales et les plus légitimes. Au même titre que les Palestiniens dont les droits et la dignité sont chaque jour foulés au pied, dont les maisons sont détruites par les chars israéliens, dont les enfants sont abattus ou mutilés sans sommation et de manière barbare, nous sommes humiliés, dépossédés, désarmés, niés, tyrannisés en permanence. 

    Certes pour l’heure les violences en Palestine occupée sont plus redoutables, plus brutales, plus sanglantes. Mais le processus est exactement le même, l’ennemi aussi.

    Il s’agit de détruire notre héritage matériel et immatériel, de nier ce que nous sommes, nos racines, notre être, notre foi, d’imposer une loi, des mots d’ordre, des slogans, un univers dont nous ne voulons pas.

    Un monde sans frontières où il n’y aura plus ni hommes ni femmes, ni Blancs ni Noirs, un monde où rien n’est certain, si ce n’est le Dogme holocaustique sacralisé et protégé par des lois contre le blasphème, un monde où l’on peut changer de sexe, d’orientation sexuelle, d’identité de genre, un monde où il faut se métisser mais où l’on ne croit plus en rien, où l’on ne transmet plus rien, sinon la Mémoire imposée d’une certaine communauté, où l’on ne sait plus qui l’on est et d’où l’on vient, où l’on n’a plus le droit de penser, d’aimer, de croire, de dire, d’écrire et de professer ce qui est interdit par Big Brother, un monde où ce sont les algorithmes sur Internet qui vont censurer sous 24 heures, comme c’est demandé par la loi Avia, tout ce qui est jugé haineux par les puissants qui nous oppriment.

     

    Quelle formidable invention que cette “haine” dont la définition n’est ni claire ni précise, dont les contours sont infinis et qui permet de diaboliser et de persécuter tous ceux que les puissants n’aiment pas, tous ceux dont on réclame l’isolement, la marginalisation, l’incarcération voire l’élimination. Il ne faut pas croire que ce qui se passe actuellement ne concernera que les militants et sympathisants de ce que le média obèse appelle l’extrême droite.

    Ce sont tous les mouvements, toutes les structures, toutes les personnes qui défendent encore une vision traditionnelle de l’homme, de la famille, de la nation, de la civilisation qui sont dans le viseur.

    Il y a quelques semaines une école hors contrat dont nous tairons le nom et qui est tenue par des religieuses en France a été inspectée par l’académie. Alors qu’il s’agit d’une école catholique traditionaliste, d’une école confessionnelle, on a demandé aux religieuses de respecter et d’enseigner la laïcité dans les cours, ce qui est inouï. On a interrogé les enfants du primaire et du secondaire, ce qui ne s’était jamais fait jusque-là. Le temps n’est pas loin où, comme sous Mao, on demandera aux enfants de témoigner contre leurs parents. 

    Alors qu’il était question de la pratique du sport et que les sœurs indiquant que les garçons jouaient au football, les inspectrices ont insisté sur la nécessité de dispenser une éducation non genrée, les filles devant elles aussi faire du football, et avec les garçons. Car la mixité, une des valeurs principales de la République, doit s’appliquer à l’ensemble des établissements scolaires, au nom du « socle commun ». Ce fameux socle permet d’en finir avec la spécificité des écoles hors contrat et d’imposer chaque jour davantage à des écoles qui sont totalement financées par les parents d’élèves, l’Etat et les collectivités locales ne leur donnant pas un centime, ce qui a cours dans les écoles publiques et les établissements privés sous contrat. Enfin les inspectrices ont insisté sur l’importance de l’éducation sexuelle à l’école. Les religieuses répondant que c’était là l’affaire des parents à la maison, les fonctionnaires de l’Education nationale ont affirmé que les religieuses devaient elles-mêmes assurer cet enseignement à l’école, soit directement, soit par le biais d’une infirmière. Voilà où nous en sommes !

    Pour tous ceux qui voudront rester intégralement fidèles à la morale chrétienne, comme c’est nécessaire, le temps de la persécution se rapproche dangereusement. Bientôt il n’y aura plus d’autres choix que d’être héroïques ou apostats, martyrs ou traîtres à sa foi et à ses convictions les plus ancrées et les plus légitimes.

     

    Mais me direz-vous quel rapport tout cela a-t-il avec la Mémoire et le Forum international sur l’Holocauste à Jérusalem ? Il est pourtant évident. Car il suffit de se rendre sur les différents sites communautaires, ceux de la LICRA et de l’UEJF en passant par ceux du CRIF et d’autres organismes du même acabit, pour se rendre compte que pour eux le racisme, l’antisémitisme, l’homophobie, c’est la même chose, la même haine qu’il faut combattre sans merci.

    Défendre aujourd’hui la famille et la morale traditionnelles, s’opposer à la théorie du genre, au transhumanisme, à l’homosexualisme, aux revendications exorbitantes du lobby LGBT, c’est être un haineux homophobe qu’il faut condamner en justice et dont il faut interdire la libre parole sur les réseaux sociaux!

    De la même manière, s’opposer à l’invasion migratoire, au Grand Remplacement, au génocide de notre peuple, de notre race, de notre continent, de notre civilisation, refuser le métissage obligatoire, c’est être un haineux xénophobe et raciste qu’il faut poursuivre et faire taire!

    Dénoncer l’utilisation par l’entité sioniste du Dogme holocaustique pour justifier ses menées bellicistes contre tous ses Etats voisins, hier l’Irak et le Liban, aujourd’hui la Syrie et surtout l’Iran, pour nier tout droit aux Palestiniens et occuper indûment leur territoire, confisquer ce qui leur appartient légitimement, se scandaliser de la toute-puissance et de la nocivité du CRIF en France, se scandaliser que l’on ne puisse pas s’adonner à de libres recherches historiques sur la Seconde Guerre mondiale et sur les camps de concentration (« En Occident, on n’a pas le droit de s’approcher de la boîte noire de l’Holocauste pour voir ce qu’il y a à l’intérieur » constatait naguère avec esprit l’ancien président iranien Mahmoud Ahmadinejad), c’est être un haineux antisémite qu’il faut pourchasser et éliminer!

    Emmanuel Debono, historien écrivant sur le blog du Monde et ayant composé des ouvrages à la gloire des législations dites antiracistes, a rédigé sur le site du quotidien vespéral le 23 janvier, jour même du Forum international sur l’Holocauste, un long article appelant à une répression impitoyable contre RIVAROL et son directeur (voir l’article dans ce numéro de l’ami François-Xavier Rochette). Bien que notre hebdomadaire n’ait que quelques milliers de lecteurs et soit une publication ancienne mais modeste, les vérités qu’elle défend sont insupportables aux censeurs d’aujourd’hui qui ne souffrent plus la moindre voix dissidente ou dissonante dans leur conformisme idéologique glacial et glaçant.

     

     

  • Ignoble et scandaleux blasphème contre le Christ sur France Inter !

     

    Un ignoble blasphème public a été commis contre Notre-Seigneur Jésus-Christ et ne peut rester sans réaction.

    Le vendredi 10 janvier, sur les ondes de la radio France Inter, une « chanson » ordurière intitulée « Jésus est pédé » a été diffusée, entonnée par le soi-disant « humoriste » Frédéric Fromet.

    Pour que chacun mesure la gravité du blasphème, voici quelques extraits de ce qui a été diffusé par une radio du service public.

    « Jésus est pédé, membre de la LGBT… du haut de la croix pourquoi ne pas l’avoir encu** »
    « Jésus de Nazareth était en vérité, Jésus du quartier du Marais ».
    « Jésus est pédé, il n’y a pas que l’hostie qu’il faut sucer ».
    « Cette manif’ qu’on appelle la cène fut la première gay pride »
    « Jésus est pédé, chante Boutin et de Villiers »
    « Jésus est pédé, à tous les homophobes » – comprendre à “tous les chrétiens”.

    Ce « chanteur-humoriste » Frédéric Fromet n’en est pas à sa première provocation foncièrement antichrétienne. Il s’était déjà illustré sur cette même radio France Inter en chantant “elle a cramé la cathédrale” – aux paroles également ignobles – quelques jours seulement après l’incendie de la cathédrale Notre-Dame de Paris.

    Le blasphème public diffusé par France Inter vendredi dernier a entraîné l’hilarité des animateurs présents sur le plateau radio.

    Il est bien évident qu’il serait inconcevable que France Inter diffuse une chanson qui se moquerait de façon équivalente du judaïsme ou de l’islam. Sous couvert d’humour, c’est le christianisme qu’ils haïssent publiquement.

    CIVITAS appelle tous les catholiques à réagir massivement. Non pas par une pétition mais en protestant directement à France Inter. Nous devons exiger des excuses publiques et des sanctions à l’égard des responsables récidivistes d’actes antichrétiens.

    Par mail : presidence@radiofrance.com
    Par téléphone : 01.45.24.70.00 / 01.56.40.22.22
    Par courrier postal : Maison de la Radio – France Inter, 116 avenue du Président Kennedy, 75220 Paris Cedex 16

    Notre silence serait impardonnable. L’antichristianisme qui sévit en ce moment ne se résume ni à des paroles ni à des dessins immondes. Il se traduit aussi, en France, par de très nombreuses profanations de lieux de culte et même  des incendies de lieux de culte.

    Cela doit cesser !

     

    Mais voici que Laurence Bloch, la présidente de France-Inter, radio financée avec l’argent de tous, se pâme aujourd’hui de sa finaude trouvaille : elle a adressé des excuses à la gent LGBT et non aux chrétiens pour la profération sur la radio de l’ignominie « Jésus est pédé » par le misérable Fromet.

    Mais pour mieux se couvrir, elle a pitoyablement suivi l’argument de la donzelle Charline Vanhoenacker, chouchou du bobarland radiophonique se portant avec  des accents grotesques d’autohéroïsation au secours de son petit camarade Frédéric Fromet.

    Au nom de la défense du grand principe intouchable de la « liberté d’expression » et d’une sublime fidélité véritablement d’ordre religieux à la grandeur sacrée de « l’esprit Charlie ». L’indécence de pareille argumentation, au demeurant d’un pitoyable conformisme, est à faire « hennir des constellations », comme aurait dit le grand Léon Bloy.

    Comme si le prix du sang de leurs collègues assassinés par les islamistes frères Kouachi octroyait à leurs continuateurs et à ceux du même acabit dans leur dérision et l’abjection scatologique d’être dans un statut d’intouchables de la République.

    Nous, nous ne nous prosternons pas  à l’invocation du soi-disant « esprit Charlie ». Nous, défendons fermement la liberté d’expression et notamment celle de pouvoir dire que Charlie ne mérite aucun respect.

    Aucun respect quand on s’y efforce de défigurer le visage du Christ dans un sommet d’obscénités blasphématoires.

    Nous disons, nous, que Charlie, subventionné aussi, n’est qu’une misérable, longue et terne continuité d’expression scatologique, de maladive et dégoulinante obsession d’excrémentation.

     Rien à voir avec la géniale santé paillarde de notre bon François Rabelais. Ce dernier n’eut certainement pas trouvé des qualités torcheculatives à ce torchon défécatoire ! ...