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Justice - Page 2

  • Macron et sa clique font une guerre quotidienne impitoyable aux Français de souche .

     

    L’épisode de Marlène Schiappa prenant la plume pour demander aux préfets de prioriser les clandestins dans la reconstruction du pays sera-t-il la goutte d’eau qui fera déborder le vase ?

    Mais si l’ineffable Marlène mérite ce verdict, y a-t-il un seul membre du gouvernement qui peut échapper à la sentence ? Notre ami Laurent Droit a depuis longtemps estimé que le chef de la clique, Emmanuel Macron en personne, méritait la peine de mort.

    Dans ce cas, que dire de Gérald Moussa Darmanin, mais aussi de ses prédécesseurs LREM Gérard Collomb et Christophe Castaner, mais encore d’autres prédécesseurs comme Bernard Cazeneuve ? Chargés de faire respecter l’ordre, et donc de défendre les Français dans leur sécurité quotidienne, ils ont d’abord imposé à notre peuple, depuis 2015, des millions de nouveaux venus, majoritairement africains et musulmans, qui, par leur présence et leur culture, fort différente de la nôtre, ont transformé nombre de nos villes et villages, et ensauvagé notre pays.

    Mais en plus, leur tradition faisant qu’ils se baladent, pour beaucoup d’entre eux, avec des couteaux, cela se traduit par de plus en plus de Français agressés, blessés à coups de couteaux, et hélas parfois tués, égorgés, au nom d’Allah, ou parfois pour de sombres raisons de vols avec violences. La formule, à présent, nous fait comprendre que la malheureuse victime était « au mauvais endroit, au mauvais moment », comme si c’était finalement de sa faute. Le fait que le frère d’une de ces victimes, à Bordeaux, ait choisi de montrer, en publiant des photos, la réalité physique de ces agressions, confirme que les nôtres sont abandonnés par nos gouvernants, qui veulent surtout cacher la réalité aux Français.

    Darmanin et ses préfets sont capables de multiplier les descentes policières chez des patriotes, à 6 heures du matin, pour leur confisquer leurs armes, mais ils n’ont encore pris aucune décision pour demander aux forces de l’ordre de multiplier les fouilles contre ceux qui ont le profil de porter des couteaux, ou parfois même des sabres, sur eux. Ils ne le font pas pour deux raisons. D’abord, cela ne les dérange pas, au contraire, que la racaille terrorise les Français, dans la rue. Cela leur permet d’asservir encore davantage notre peuple, qui, ne pensant qu’à sa survie, ne mène pas d’actions de lutte contre ce pouvoir d’assassins et de traîtres.

    D’autre part, ils peuvent s’appuyer sur toute la gauche et l’extrême gauche, le Conseil d’État et autres officines gangrenées par la propagande mondialiste et droit-de-lhommiste, pour interdire aux policiers d’effectuer des contrôles au faciès, comme si c’étaient les vieux Français qui faisaient du trafic de drogue ou multipliaient les attaques au couteau.

    Que dire de la guerre quotidienne menée aux Français au nom de la crise sanitaire ? Depuis un an, ce sont d’abord les nôtres qui sont touchés, privés de liberté, harcelés et sanctionnés par les forces de l’ordre, et victimes, notamment pour les professions libérales, de la politique criminelle de ce régime. N’oublions pas nos anciens, livrés à la solitude, au nom de prétendues précautions, qui meurent de désespoir, et les jeunes, privés d’avenir et désespérés, qui sombrent dans la dépression. Et manifestement, ce régime n’a aucune envie d’en finir avec ces restrictions, au contraire, il rêve d’imposer à la France un troisième confinement, pour mieux faire passer l’annulation des régionales, et mieux imposer l’asservissement du peuple.

    Et comme si cela ne suffisait pas, ils veulent nous imposer leur passeport vaccinal européen, même si Macron, selon sa bonne habitude, essaie de nous enfumer avec son « pass sanitaire ». À Nice, sous la direction de l’ineffable Estrosi, on voit même des caméras se mettre en place pour traquer les mauvais confinés.

    Tout cela est lié, et a sa cohérence.

    Les soixante-huitards, au pouvoir depuis 1981, ont méthodiquement détruit la France, tels des taupes creusant ses galeries pour que le sol s’effondre. Tous les secteurs de la société ont été minés de l’intérieur : armée, police, école, justice, médias, université, familles, sports, culture…

    Macron, imposé par le système avec la complicité des juges et des journalistes, a accéléré cette destruction, depuis bientôt quatre ans. Il a été mis là pour cela. Il bénéficie de la complicité de l’ensemble de la classe politique, qui l’appuie sur sa politique migratoire et sanitaire, très complémentaires pour achever une France déjà moribonde.

    Marine Le Pen est-elle le seul rempart, comme le disent nombre de patriotes, pour avoir une chance de gagner en 2022 ? Ou bien est-elle devenue la marionnette préférée de Macron, qui rêve de l’affronter de nouveau ? La candidature Zemmour, qui fait rêver de plus en plus de patriotes – séduits par son discours sans concession – sera-t-elle le grain de sable qui peut bouleverser la donne ? Ou bien serait-il instrumentalisé pour faire battre le RN et l’empêcher d’être au second tour ?

    Au-delà de ces questions, incontournables à quatorze mois de la présidentielle, la France a besoin de vrais Insoumis à la dictature immigrationniste et sanitaire, et ce ne sont pas les pantins de Mélenchon qui peuvent faire l’affaire.

    Les vrais Insoumis, les bêtes noires du régime, aujourd’hui, s’appellent les médias de la réinformation, ceux que nos ennemis de la collabosphère appellent la fachosphère ou complosphère, et nous avons la fierté d’en faire partie, avec d’autres. Mais nous avons aussi besoin de voix pour porter notre discours, dans les grands médias, qui demeurent, même si cela nous agace, les lieux où l’opinion de construit et se manipule quotidiennement. C’est un pot de terre contre un pot de fer, les moyens des uns, gavés de subventions bien que propriétés de milliardaires, n’ayant rien à voir avec ceux des autres, qui ne survivent que grâce à leurs lecteurs, et à leurs dons.

    Malgré tout, nous avons encore des porte-parole qui, sur les plateaux de télévision, nous rendent fiers d’être français et d’aimer notre pays. Aujourd’hui, nous avons trois fers de lance : Éric Zemmour, tous les soirs sur CNews, et Florian Philippot, qui mène un combat acharné – et seul – contre la dictature sanitaire, puis enfin Jean Messiha, qui, bien qu’ayant quitté le RN, continue à démasquer les imposteurs et les traîtres, sur les plateaux qui l’invitent encore.

    Face à la guerre quotidienne que mène Macron aux Français, c’est peu ; mais il ne dépend que de nos compatriotes pour que cela suffise à renverser la tendance, et, dans la rue ou dans les urnes, à balayer les nuisibles et les traîtres qui veulent nous éradiquer et nous empêcher de vivre .

     

     

  • Police de la pensée : Cassandre Fristot guillotinée, Alain Soral rejugé .

     

    ALORS qu’elle avait un casier judiciaire vierge, qu’elle n’avait jamais commis la moindre violence, la jeune enseignante certifiée d’allemand, Cassandre Fristot, a été lynchée judiciairement, après l’avoir été politiquement, médiatiquement et professionnellement.

    Chose rare, les magistrats ont été au-delà des réquisitions du Parquet qui réclamait 3 mois de prison avec sursis. Le 20 octobre, la veille des trois ans du rappel à Dieu du Professeur Faurisson, le tribunal correctionnel de Metz a doublé la peine requise : 6 mois avec sursis pour une simple pancarte en carton brandie lors d’une manifestation, le 7 août dernier, contre le pass sanitaire et sur laquelle ne figurait nul appel à la violence. 

    Une pancarte qui comprenait treize patronymes, dont plusieurs non juifs, de responsables de l’actuelle tyrannie sanitaire qui ne cesse d’ailleurs de se renforcer avec les tests antigéniques et PCR payants depuis le 15 octobre, la prolongation du pass sanitaire jusqu’au 31 juillet 2022, la volonté d’une partie des parlementaires de se diriger vers la vaccination obligatoire que Macron avait évoquée dans son effrayant discours du 12 juillet dernier et alors même que les pouvoirs publics parlent très officiellement d’une troisième voire d’une quatrième dose de vaccin. En cédant, beaucoup de Français pensaient qu’ils auraient enfin la paix. Mais non, ce n’est jamais assez. C’est une tyrannie sans fin, un abîme ans fond, un cauchemar sans trêve. Attali l’avait bien dit dès mars 2020 : le monde d’avant, c’est fini, bien fini. 

     

    TOUT dans cette affaire Fristot est ahurissant : la violence de la répression, sa rapidité foudroyante également. La manifestation date du samedi 7 août. Dès le lundi 9 au matin, elle est perquisitionnée à son domicile et mise aussitôt en garde à vue, laquelle sera prolongée. Le ministre de l’Intérieur Gérald Darmanin publie un communiqué officiel pour dénoncer une pancarte « antisémite abjecte » et met en branle une impitoyable répression. Le ministre de l’Education nationale, Jean-Michel Blanquer annonce la suspension immédiate de Cassandre Fristot de son poste d’enseignante, avant sa radiation qui devrait théoriquement être actée dans quelques jours, au terme des trois mois de suspension. De sorte que cette jeune enseignante se retrouvera sans emploi et sans ressources. 

     

    Un mois seulement après les faits, le 8 septembre, c’était déjà son procès à Metz devant treize (!) parties civiles et, le 20 octobre, elle est donc condamnée à 6 mois de prison avec sursis et 9702 euros de dommages et intérêts. Bref, en moins de trois mois, elle aura été liquidée socialement, financièrement, professionnellement par le fameux lobby dont on nous dit qu’il n’existe pas.

    Notons que ni Marine Le Pen ni Eric Zemmour n’ont condamné ce jugement infâme!

    On a jugé l’affaire Fristot tellement grave que le parquet de Metz a saisi la brigade des crimes contre l’humanité ! Car porter une pancarte où il y a en partie des patronymes juifs, ou suspectés de l’être, c’est commettre un crime contre l’humanité, pas moins ! Cassandre Fristot est le symbole d’une femme libre et courageuse, se battant avec foi contre la tyrannie et, en la châtiant sans pitié, on a voulu faire d’elle un exemple et décourager d’avance tous ceux qui, en France, seraient tentés de suivre le même chemin, de résister, de se révolter, de mettre un nom et un visage sur les responsables d’une politique liberticide qui nous détruit, nous asservit, nous avilit.

     

    SI LES GRANDS MEDIA ont évoqué la peine de prison, ils ont en revanche été plus pudiques sur les sommes qu’elle devra verser aux associations parties civiles qui tendent la sébile et réclament à chaque procès des sommes extravagantes au nom d’un prétendu préjudice moral qu’elles auraient subi, alors que c’est elles qui réclament à cor et à cri la prison pour tous ceux qu’elles n’aiment pas, qui ne correspondent pas à leur vision de l’homme, de la vie et de la société. Qu’on nous permette, une fois n’est pas coutume, de recenser intégralement les sommes obtenues par ces associations de malfaiteurs dans cette affaire Fristot pour qu’on comprenne mieux à qui vraiment l’on a affaire et à quel point ces groupes de pression sont d’une totale nocivité. Cassandre Fristot est condamnée à régler en tout 9 702 euros de dommages et intérêts et de remboursement de frais d’avocats (ce qui est un comble !) à neuf parties civiles (sur treize) qui ont été jugées recevables, au titre de l’article 475-1 du code de procédure pénale. C’est la loi Pleven du 1er juillet 1972 qui a introduit la possibilité pour des associations d’ester en justice, de faire valoir leur prétendu préjudice moral et de réclamer des sommes astronomiques. 

    Cassandre Fristot, pour une simple pancarte brandie cet été dans une manifestation contre le passe sanitaire, est, selon le texte même du jugement, « condamnée à six mois d’emprisonnement avec sursis pour provocation publique à la haine ou à la violence en raison de l’origine, l’ethnie, la nation, la race ou la religion par parole, écrit, image ou moyen de communication au public ; condamnée à verser au Conseil Représentatif des institutions juives de France (CRIF) ayant pour représentant légal Francis Kalifat la somme de 1 euro de dommages-intérêts et 1 000 euros au titre de l’article 475-1 du code de procédure pénale ; condamnée à verser à l’Organisation Juive Européenne (OJE) ayant pour représentante légale Muriel Ouaknine Melki la somme de 300 euros de dommages-intérêts et 1 000 euros au titre de l’article 475-1 du code de procédure pénale ; condamnée à verser à la Ligue des Droits de l’Homme ayant pour représentant légal Malik Salemkour la somme de 300 euros de dommages-intérêts et 1 000 euros au titre de l’article 475-1 du code de procédure pénale ; condamnée à verser à la Maison des Potes et de l’Egalité ayant pour représentant légal Samuel Thomas la somme de 300 euros de dommages-intérêts et 600 euros au titre de l’article 475-1 du code de procédure pénale ; condamnée à verser à l’association B’NAI B’RITH FRANCE ayant pour représentant légal Philippe Meyer la somme de 300 euros de dommages-intérêts et 400 euros au titre de l’article 475-1 du code de procédure pénale ; condamnée à verser à l’association SOS Racisme ayant pour représentant légal Dominique Sopo la somme de 1 euro de dommages-intérêts et 1 000 euros au titre de l’article 475-1 du code de procédure pénale ; condamnée à verser au MRAP la somme de 300 euros de dommages-intérêts et 1 000 euros au titre de l’article 475-1 du code de procédure pénale ; condamnée à verser à la LICRA la somme de 300 euros de dommages-intérêts et 1 000 euros au titre de l’article 475-1 du code de procédure pénale ; condamnée à verser au Bureau national de vigilance contre l’antisémitisme (BNVCA) la somme de 300 euros de dommages-intérêts et 600 euros au titre de l’article 475-1 du code de procédure pénale. »

     

    QUINZE jours plus tôt, le 5 octobre, la cour de cassation cassait la relaxe d’Alain Soral dans l’affaire d’un clip suspecté d’être antisémite.

    En 2019, le site Égalité et Réconciliation avait en effet publié un clip du groupe Rude Goy Bit intitulé « Gilets jaunes ». On y voyait notamment une pancarte contenant le nom de Rothschild jetée au feu ou encore des photos de BHL, d’Attali ou de Drahi envoyées au bûcher. Alors que le tribunal correctionnel de Bobigny avait condamné l’essayiste à 24 mois de prison, dont 18 mois ferme en septembre 2019, la cour d’appel l’avait relaxé en deuxième instance, en considérant qu’il y avait également des personnalités non juives dont l’effigie était brûlée et qu’il n’y avait donc pas d’incitation à la haine raciale, que la communauté juive n’était pas visée en tant que telle. La cour de cassation, la juridiction la plus élevée de l’ordre judiciaire français, en a jugé autrement : « Les juges d’appel n’ont pas recherché, comme ils l’auraient dû, le sens véritable du clip, qui comportait de nombreuses références antisémites ». Heureusement que les juges de casse, eux, savent, décrypter ces références ! Soral sera donc rejugé en appel. Pour être sévèrement châtié.

    Après cela, qui oserait encore parler d’une « insupportable police juive de la pensée » ? ...

     

  • Mademoiselle Cassandre Fristot va devoir payer 9.400 euros aux parties civiles !

     

     

    Il aura fallu attendre le vendredi 22 octobre après-midi pour que Maître François Wagner, l’un des deux avocats de Cassandre Fristot (l’autre étant Maître Paul Yon), obtienne enfin copie de la décision du Tribunal judiciaire de Metz rendue le mercredi 20 octobre et commentée le jour-même dans les médias du système pour annoncer la condamnation de Cassandre à six mois de prison avec sursis.

    Or, ce que BFMTV et consorts se sont bien gardés de signaler, ce sont les montants accordés aux parties civiles à titre de dommages-intérêts ainsi que pour leurs frais d’avocats au titre de l’article 475-1 du code de procédure pénale.

    Il ressort donc de la décision du tribunal que Mademoiselle Cassandre Fristot, pour une simple pancarte brandie cet été dans une manifestation contre le passe sanitaire, est

    . condamnée à six mois d’emprisonnement avec sursis pour provocation publique à la haine ou à la violence en raison de l’origine, l’ethnie, la nation, la race ou la religion par parole, écrit, image ou moyen de communication au public;

    . condamnée à verser au Conseil Représentatif des institutions juives de France (CRIF) ayant pour représentant légal Francis Kalifat la somme de 1 euro de dommages-intérêts et 1.000 euros au titre de l’article 475-1 du code de procédure pénale;

    . condamnée à verser à l’Organisation Juive Européenne (OJE) ayant pour représentante légale Muriel Ouaknine Melki la somme de 300 euros de dommages-intérêts et 1.000 euros au titre de l’article 475-1 du code de procédure pénale;

    . condamnée à verser à la Ligue des Droits de l’Homme ayant pour représentant légal Malik Salemkour la somme de 300 euros de dommages-intérêts et 1.000 euros au titre de l’article 475-1 du code de procédure pénale;

    . condamnée à verser à la Maison des Potes et de l’Egalité ayant pour représentant légal Samuel Thomas la somme de 300 euros de dommages-intérêts et 600 euros au titre de l’article 475-1 du code de procédure pénale;

    . condamnée à verser à l’association B’NAI B’RITH FRANCE ayant pour représentant légal Philippe Meyer la somme de 300 euros de dommages-intérêts et 400 euros au titre de l’article 475-1 du code de procédure pénale;

    . condamnée à verser à l’association SOS Racisme ayant pour représentant légal Dominique Sopo la somme de 1 euro de dommages-intérêts et 1.000 euros au titre de l’article 475-1 du code de procédure pénale;

    . condamnée à verser au MRAP la somme de 300 euros de dommages-intérêts et 1.000 euros au titre de l’article 475-1 du code de procédure pénale;

    . condamnée à verser à la LICRA la somme de 300 euros de dommages-intérêts et 1.000 euros au titre de l’article 475-1 du code de procédure pénale;

    . condamnée à verser au bureau national de vigilance contre l’antisémitisme la somme de 300 euros de dommages-intérêts et 600 euros au titre de l’article 475-1 du code de procédure pénale.

    Au total, c’est donc la somme d’environ 9.400 euros que Cassandre Fristot va devoir payer aux parties civiles alors qu’elle risque probablement d’être également révoquée de son emploi d’enseignante.

    Les déclarations de partie civile de l’Observatoire des juifs de France, du Cercle National Juif France Israël, du Consistoire Israélite de la Moselle et du conseil national de l’ordre des médecins ont été jugés irrecevables.

    Faut-il rappeler que l’essentiel de ces treize parties civiles bénéficient déjà de plantureux financements de l’argent public c’est-à-dire de l’argent des contribuables ?

    Amis et sympathisants vous pouvez écrire un mot de soutien et adresser un don à Cassandre Fristot pour pouvoir payer ses avocats (mais pas les montants qu’elle est condamnée à verser aux parties civiles) :

    Cassandre Fristot, 39 F rue Georges Bizet, 57800 Freyming-Merlebach