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Histoire - Page 12

  • Les trahisons de Macron envers la France devraient entraîner sa destitution .

    Les trahisons du pouvoir politique ne connaissent aucune trêve.

     Tandis que nous commémorons ces jours-ci deux très tristes événements, aux conséquences funestes, la forfaiture d’Evian le 19 mars 1962 et la dramatique fusillade de la rue d’Isly une semaine plus tard, le 26 mars, une double tragédie dont le pouvoir gaulliste est le seul et unique responsable, le gouvernement actuel, poursuivant une même œuvre anti-nationale que ses prédécesseurs depuis plus de soixante ans, entend aggraver encore la trahison de notre pays, la falsification du passé et les repentances en tous genres pour les fautes et les crimes prétendument commis par la France en Algérie de 1830 à 1962. 

    Rappelons qu’Emmanuel Macron avait déclaré, de manière aussi provocatrice que significative, pendant la dernière campagne présidentielle, le 15 février 2017, que la colonisation en Algérie avait été « un crime contre l’humanité ». Et ce qui est encore plus grave, c’est que le candidat à l’Elysée avait prononcé ses propos contre son pays lors d’un voyage en Algérie, en accordant une interview à la télévision algérienne. Quand on sait que les crimes contre l’humanité sont jugés imprescriptibles et qu’ils donnent droit pour leurs victimes supposées à des demandes permanentes de dommages et intérêts en espèces sonnantes et trébuchantes, mais aussi au rappel incessant à l’école et dans les grands médias des monstruosités attribuées à leurs auteurs et complices, il était évident qu’Emmanuel Macron par sa déclaration évidemment calculée mettait le doigt dans un engrenage infernal où la France serait sans cesse humiliée, tenue de rendre des comptes, de faire repentance, de réparer matériellement et moralement pour ses prétendus « crimes contre l’humanité ». 

    LE RAPPORT que Benjamin Stora, historien pro-FLN, a remis tout récemment au chef de l’Etat va dans le même sens puisqu’il recommande la mise en place d’une commission « Mémoire et Vérité  chargée d’impulser des initiatives mémorielles communes entre la France et l’Algérie » et qui est en réalité une machine de guerre contre notre pays, son être historique, son œuvre colonisatrice et civilisationnelle. Stora propose que cette commission soit composée de « différentes personnalités engagées dans le dialogue franco-algérien », comme Fadila Khattabi, présidente du groupe d’amitié France-Algérie de l’Assemblée nationale, Karim Amellal, ambassadeur, délégué interministériel à la Méditerranée, des intellectuels, médecins, chercheurs, chefs d’entreprise, animateurs d’associations, tous notoirement hostiles à la colonisation française en Algérie. La commission a pour objet de formuler des recommandations sur 22 points. Nous ne pouvons tous les citer, faute de place, mais il importe de noter les plus pernicieux. Le rapport Stora appelle ainsi à « poursuivre les commémorations, comme celle du 19 mars 1962 demandée par plusieurs associations d’anciens combattants à propos des accords d’Evian, premier pas vers la fin de la guerre d’Algérie. D’autres initiatives de commémorations importantes pourraient être organisées comme celle du 17 octobre 1961, à propos de la répression des travailleurs algériens en France. A tous ces moments de commémoration pourraient être invités les représentants des groupes de mémoires concernés par cette histoire. » Or, on sait que les associations de Pieds-Noirs et d’harkis contestent vigoureusement et à juste titre que la fin de la guerre d’Algérie soit fixée au 19 mars.

    Il y eut en effet encore des combats, des morts, des assassinats, des personnes portées disparues, et en grand nombre, bien après cette date. C’est falsifier l’histoire et insulter la vérité que de faire finir la guerre d’Algérie avec les accords dits d’Evian. 

    Dans la même veine, le rapport prévoit également d’organiser en 2021 un colloque international dédié au refus de la guerre d’Algérie, ou plutôt du maintien de la France en Algérie, par certaines personnalités françaises comme François Mauriac, Raymond Aron, Jean-Paul Sartre et Paul Ricœur. Il entend par ailleurs préparer, toujours en 2021, au Musée national de l’histoire de l’immigration voulu par le désastreux Chirac une exposition ou un colloque sur les indépendances africaines. Enfin, Stora réclame l’entrée au Panthéon de la militante activiste et gauchiste pro-FLN, anti-française, abortive et féministe Gisèle Halimi, preuve qu’il ne s’agit nullement de réconcilier des camps opposés mais de rouvrir des plaies laissées béantes.

    MALGRÉ toutes leurs repentances indignes et leurs trahisons insupportables, les dirigeants français n’en font jamais assez aux yeux d’Alger.

    Trois semaines seulement après la remise du rapport Stora sur les relations entre la France et son ancienne colonie, Alger a réagi vivement et dit regretter l’absence d’excuses explicites et de reconnaissance. Loin d’apaiser les relations, cela semble les crisper, relève la presse algérienne. Le rapport de l’historien Benjamin Stora, commandé par Emmanuel Macron, visait officiellement à apaiser les relations franco-algériennes. Pour l’heure, il n’a fait qu’accentuer les crispations. Comme c’était prévisible.

    La réaction de l’Exécutif algérien le confirme. Le porte-parole du gouvernement algérien, Ammar Belhimer, a ainsi déclaré regretter le refus de la France de reconnaître ses « crimes coloniaux ». Selon lui, l’épais dossier de 150 pages de Benjamin Stora vient camoufler la vérité historique de la colonisation et de la guerre d’Algérie, rapporte sévèrement le journal algérien TSA : « Le criminel (sic !) fait tout pour éviter de reconnaître ses crimes. Mais cette fuite en avant ne pourra pas durer. » A l’évidence, l’Algérie exige une reconnaissance explicite de culpabilité de la France pour pouvoir demander des réparations morales et financières considérables et incessantes. Imitant en cela le comportement des dirigeants d’une petite communauté très habiles à sans cesse tendre la sébile. Comme quoi les coteries et lobbys dans notre pays, même quand leurs intérêts ou leurs sensibilités divergent parfois, savent additionner leur malfaisance et utiliser les mêmes méthodes détestables mais ô combien efficaces quand il s’agit de salir notre pays et de le traiter plus bas que terre!

     

  • Le décret de dissolution de Génération Identitaire est invalide et vide juridiquement .

    Mercredi 3 mars, en conseil des ministres, la proposition du ministre de l’Intérieur, Gérald Darmanin, de dissoudre l' Association Génération Identitaire a  été actée par un décret qui précise que GI « incite à la discrimination, la haine et la violence ». Notamment GI est accusée d’avoir reçu un don de Brenton Tarrant, l’auteur de l’attentat de Christchurch (Nouvelle-Zélande), de provoquer  à la discrimination, la haine ou la violence, et d ‘être une milice privée.

    L’avocat Pierre Gentillet commente sur twitter :

    « cela fait 3 fois que je relis le décret de dissolution de Génération Identitaire. Je n’ai jamais lu un texte aussi creux et aussi peu rigoureux juridiquement. A ce niveau-là, même un gamin de CM2 peut faire du droit. »

     

    Et donne, toujours sur twitter, quelques explications quant au vide juridique du décret :

    « Premier grief du décret (6° du L212-1 du CSI) : la provocation à la discrimination, la haine ou la violence. Le décret indique que « les militants se revendiquent de Charles Martel ou de la reconquista ». Se référer à des personnages historiques, mêmes violences serait donc un délit ? 

    « Sur la base de ce même raisonnement, faut-il dissoudre la France Insoumise puisqu’ils citent en permanence les révolutionnaires, tels Hébert ou Robespierre, qui ont massacrés des dizaines de milliers de personnes ? Ridicule. 

    « On reproche à Génération ID de faire le lien entre immigration et délinquance. Selon le ministre de l’Intérieur, en 2019 : 63% des violences sexuelles commises en Ile-de-France l’ont été par des étrangers. Question : @GDarmanin faut-il dissoudre le Ministère de l’Intérieur? Ridicule. 

    « Fin du deuxième paragraphe et là on attend des sommets de bêtise juridique. Il est reproché à Génération Identitaire d’avoir reçu des dons de la part du terroriste de ChristChurch (!). Cela prouverait que l’association incite bien à la haine et à la discrimination.

    « Absurdité juridique totale. En quoi le don d’une personne extérieure au mouvement, sans aucun rôle, peut-il entrainer une quelconque responsabilité pour Génération Identitaire ? C’est un pur raisonnement totalitaire. »

    « On passe au 2ème grief : de milice privé. Pour mémoire, la jurisprudence exige classiquement plusieurs conditions :

    1) Présence de grades, uniformes et discipline

    2)développement de stratégies paramilitaires,

    3) détention ou l’accès à des armes

    4)Trouble causé à l’ordre public.

    « Aucun de ces points n’est repris par le ministère pour identifier ce que le droit appelle milice. Ceux qui ont rédigé ce décret n’ont jamais lu une loi ou un jugement de leur vie c’est impossible.

    « La dimension guerrière serait un élément (à raccrocher au 1) on suppose.. ?) démontré par les slogans de Génération Identitaire tels que : « l’avant-garde de la jeunesse debout » ou « entrer en guerre contre tous ceux qui veulent nous arracher à nos racines ».

    « Du coup, la dimension guerrière de lutte ouvrière (le poing levé à toutes les manifestations) est avérée je pense ? On voit bien qu’on nage dans le n’importe quoi et que le ministère ne sait pas distinguer le sens propre du sens figuré. Retour au CP.

    « Enfin il est reproché à Génération Identitaire leurs actions à la frontière, réalisées sans violence et de courte durée (donc sans efficacité réelle). Génération Identitaire n’arrête pas, bien évidemment, à elle-seule l’immigration illégale : elle n’est qu’un lanceur d’alerte !

    «Si l’on reprends les 4 critères, nécessaires pour qualifier l’existence d’une milice, que j’évoquais précédemment : ou sont-ils? Ou sont les armes de Génération Identitaire? Ou est le trouble à l’ordre public? Les stratégies paramilitaires? Bref, aucun effort de rigueur. 

    « Conclusion : je n’ai jamais lu un décret aussi indigent, aussi partial, aussi militant même, aussi peu rigoureux. Si le Conseil d’Etat valide le décret de dissolution, je ne vois vraiment pas à quoi il servira à l’avenir de faire des études de droit pour devenir juriste. »

  • En France, faire l’apologie du terrorisme ne suffit pas pour remettre en cause le statut d’un réfugié !

     

    En France, il vaut mieux être un Tchétchène bénéficiant du droit d’asile qu’un pauvre Français de souche dénonçant l’invasion migratoire !!

    En effet, dans une décision rendue publique le 19 février 2021, le Conseil d’Etat a estimé qu’un réfugié tchétchène condamné pour apologie du terrorisme pouvait conserver son statut de réfugié. La plus haute juridiction administrative a ainsi désavoué l’Ofpra (Office français de protection des réfugiés et apatrides) – l’office chargé de statuer sur les demandes d’asile – qui avait retiré son statut à un réfugié tchétchène. L’Ofpra avait motivé sa décision en arguant que sa présence sur le territoire français  «constituait une menace grave pour la société». La CNDA (Cour nationale du droit d’asile) avait ensuite annulé cette décision, soulignant que les faits d’apologie publique «ne constituaient pas un acte de terrorisme», l’un des motifs nécessaires pour enclencher la révocation du statut de réfugié.

    Venant au secours du CNDA, le Conseil d’Etat, ayant été saisi, considère désormais que “faire l’apologie du terrorisme ne suffit pas pour remettre en cause le statut d’un réfugié“!

    Quand on sait que le refugié tchétchène au cœur de cette affaire a fait l’objet de quatre condamnations pénales dont une, le 18 février 2015 à Nice, «pour des faits d’apologie publique d’un acte de terrorisme», on en reste bouche bée !

    Pour justifier sa décision, la Cour relève que les délits ayant donné lieu aux condamnations du réfugié tchétchène, et notamment celui d’apologie publique du terrorisme, ne sont pas suffisants pour le priver de ses droits en France. Selon la CNDA, pour mettre fin au statut de réfugié, « la personne doit avoir été condamnée pour un crime ou un délit constituant un acte de terrorisme ». Mieux, pour enlever le droit d’asile à un ressortissant étranger sa présence doit être jugée comme une menace grave pour la société une fois condamné pour des actes de terrorisme, comme l’a fait l’OFPRA en 2017. Or, l’apologie du terrorisme n’est pas reconnue comme un acte de terrorisme…

    A l’évidence, il est plus facile, et moins dangereux, désormais d’approuver les actes de terrorisme que de barrer, symboliquement, une frontière pour montrer l’impéritie des pouvoirs publics en matière d’immigration.

    Jamais l’adage “quos vult perdere Jupiter dementat” [Ceux qu’il veut perdre, Jupiter les rend fous] ne s’est autant appliqué qu’en ces circonstances.