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Gouvernement - Page 5

  • L’euthanasie, un nouveau filon et beaucoup d' argent pour nos "spécialistes" .

     

    Nous le voyons, la société est labourée de toute part, en profondeur. Enfin faut-il préciser que si certains sillons sont parfaitement visibles, d’autres sont moins nets en surface, mais l’effet du soc n’en reste pas moins puissant sous-terre. Un sol plus meuble où prendront racines les nouveaux plants sélectionnés par nos maîtres.


    Parmi les grands projets qu’entend imposer le système se trouve indéniablement l’institutionnalisation-banalisation de l’euthanasie et du suicide assisté. Pour préparer au mieux la société à accepter, sans rejet dirimant, cette véritable révolution thanatocratique où le néant deviendra encore plus clairement le nord de la nouvelle boussole axiologique, le pouvoir s’est battu sur plusieurs fronts à la fois, a travaillé sur plusieurs sujets et sur plusieurs dossiers.
    Nous avons consacré plusieurs articles sur ce point ces derniers mois en nous focalisant principalement sur la propagande industrielle imprimée par l’Etat et les media afin de modifier l’état d’esprit des Français quant à leur perception de ce qu’est ou de ce que devrait être une « mort digne ». Ici, nous l’avons vu et revu, la première force mise en branle sous les applaudissements des élus et des journalistes certifiés conformes, fut indubitablement (les premiers intéressés le confirment) la franc-maçonnerie qui, comme elle le fit auparavant (et depuis fort longtemps) avec l’avortement et sa libéralisation, mena cette fois le combat sociétal au nom de « la dernière liberté à prendre », soit celle de mourir où on veut, quand on veut, comme on veut. Un débat tronqué d’emblée, puisque purement “philosophique” lié à des images caricaturales assimilant la mort naturelle à la puanteur, la saleté, l’indignité et, en définitive, à une sorte d’insulte faite à l’humanité. Un débat de purs dialecticiens faisant fi des incommensurables effets pervers qui seront immanquablement engendrés par la libéralisation de l’euthanasie, par ces nouveaux nérons de mort.

    Ces effets pervers, nous pouvons les observer dans l’histoire de la libéralisation de l’avortement.

    Vendue comme quelque chose qui était censée fournir une ultime solution, une solution salvatrice à la femme en détresse, l’avortement devint rapidement un moyen radical et industriel de supprimer l’enfant à naître, une sorte de contraception à rebours, et cette pratique modifia progressivement la perception des hommes et des femmes sur l’enfant et sur la vie d’une manière générale, des choses considérées de plus en plus comme des biens de consommation jetables que l’on peut bien gaspiller à l’ère du plastique.

    LE PRÉCÉDENT ABORTIF

    Aujourd’hui, un enfant à naître sur trois finit broyé par l’aspiration abortive.

    La société est imprégnée de cette funeste banalité. Et l’immense majorité des femmes et des hommes considère l’avortement comme une alternative à une grossesse non désirée (le géniteur l’exige parfois, il ne faut pas l’oublier).


    Alors que les femmes avortent toujours plus tardivement, la loi les y autorisant, on peut légitimement penser (puisqu’on l’observe dans les pays dits progressistes où la pratique est autorisée et en voie de banalisation) que l’euthanasie et le suicide assisté libéralisés chez nous auront pour effet principal de nourrir un phénomène morbide favorisant toujours plus le choix de la mort sur celui, non de la souffrance, mais de l’acceptation de soi (d’un soi ne correspondant pas aux standards des gens bien comme il faut socialement imposés). 

    Il ne faut jamais oublier à quel point l’homme est un animal social, à quel point il est soumis à la pression des normes. Et ces normes sont, aujourd’hui, distillées par le dieu médiatique qui n’est que la voix du système dont les caractéristiques propres ne sont ni la recherche de la vérité, ni l’amour.

    Il n’existe plus de contre-poison. Ni pour l’avortement, ni pour l’euthanasie.

    L’institutionnalisation de l’euthanasie industrielle, du suicide assisté et recommandé, de la mort comme solution, comme “remède” est prévue, et elle prendra racine. La grande préparation mentale a déjà été accomplie. Les Français comme la majorité des Européens voient désormais l’euthanasie comme une panacée contre la douleur, qu’elle soit physique ou psychologique. Paradoxalement, quiconque s’interroge sur les conséquences de cette institutionnalisation passe pour un vieux méchant bougon, un réactionnaire irrationnel, un ringard obtus et dangereux, un individu faisant partie de l’ancien monde, le monde de la souffrance avec laquelle il fallait composer au nom d’une ténébreuse mystique.

    LE RÈGNE DE LA CULTURE DE MORT

    Bientôt, très bientôt, les vies humaines seront écourtées, massivement, et d’une manière de plus en plus industrielle. Au début, on fera une publicité émouvante autour des grands artistes, des poètes, des stars, des écrivains, des intellectuels et des riches qui nourriront le Soleil vert. Mais, progressivement, les vrais encombrants sociaux seront liquidés, empoisonnés, gazés puis transformés en cendre ou en compost qui fumera les grandes cultures de cannabis. Les organes seront prélevés, d’autant plus que les candidats à « la mort qui délivre » seront de plus en plus jeunes et de moins en moins malades.


    Bon, les esprits ont déjà été préparés à tout cela. Il reste cependant un élément du problème qui n’a pas été totalement résolu mais qui est en train d’être réglé par les autorités. Si les esprits sont préparés, ils sont toujours à la merci d’une catégorie des professionnels de santé qui a, certes, l’habitude de côtoyer la mort, mais qui est susceptible de peser dans l’opinion dans le but de défendre ses intérêts, ses revenus et son statut. Le sujet peut paraître dérisoire, mais il est, bien au contraire, désormais impérieux pour le pouvoir lancé dans la dernière ligne droite de son projet de libéralisation de la mort pour tous. Nous voulons parler ici, en particulier, des médecins, spécialistes ou non, des infirmières, des aides-soignants, des ergothérapeutes, des psychologues qui travaillent dans le secteur des soins palliatifs, de tous ceux qui, d’une manière générale, accompagnent les malades agonisants vers la mort (plus de 50 % des gens meurent à l’hôpital). Mais, voilà, ce bataillon de soignants a un bifteck et un statut à défendre. Et son opposition à la mort préventive, à la mort précédant donc l’accès aux soins palliatifs, serait à même de contraindre l’Etat à lui donner satisfaction quant à ses attentes professionnelles. Une seule organisation non religieuse semble s’opposer à la libéralisation de l’euthanasie et du suicide assisté. C’est cette sorte de syndicat des soins palliatifs dirigé par Claire Fourcade, qui communique sur la nécessité de l’augmentation budgétaire de son secteur, condition nécessaire pour provoquer un supplément d’envie de vie des mourants. Résumons le message du syndicat des soins palliatifs : si les services des agonisants obtiennent ce qu’il faut pour qu’ils tournent à plein, l’Etat peut très bien légaliser le suicide assisté dans toutes ses dimensions, les mal en point n’auront alors que peu d’attrait pour le cocktail lytique devant la mort morphinique qu’ils proposent aux gens.

    François-Xavier ROCHETTE.

     

  • Pourquoi la république judéo maçonnique abhorre le Maréchal PETAIN .

    Pourquoi le" Système" diabolise le Maréchal Pétain

    Plus de soixante dix ans  après sa mort, le lundi 23 juillet 1951 à l’île d’Yeu, on ne parle dans l’actualité que du Maréchal. Pour le diaboliser bien sûr.

    Le Premier ministre, désavoué par Macron, affirme ainsi que le RN est « l’héritier de Pétain », au grand dam de Marine Le Pen et de Jordan Bardella qui jugent scandaleuse et ignominieuse une telle accusation, tant eux aussi participent activement à la diabolisation du Maréchal, de sa vie, de son œuvre, de son régime, de la politique qu’il a menée, des principes qu’il a défendus, et ne veulent en aucun cas être confondus, si peu que ce soit, avec le chef de l’Etat français. Car, dans ce règne du mensonge et de l’imposture tous azimuts, le Maréchal Pétain doit être unanimement considéré comme un traître. Ainsi le serinent les media. Ainsi le répètent les manuels. Car si le personnage de Louis XVI a été en partie réhabilité, il n’en va pas de même de Philippe Pétain. Est-ce parce qu’il s’agit d’un passé plus récent et que les passions ne se sont pas encore apaisées ? Nous ne le pensons pas. C’est bien plutôt parce que le régime que nous subissons depuis 1945 tire sa légitimité de la disqualification politique, morale, intellectuelle et judiciaire du pétainisme et ne reconnaît donc aucun mérite au Maréchal. Au contraire. Plus ce régime s’enfonce dans le scandale, plus il manifeste sa nocivité, sa malfaisance intrinsèque, plus il se montre tyrannique, injuste, cruel, plus il éprouve le besoin de diaboliser la personne, l’action et la pensée du Maréchal. C’est pour lui une question de survie. Il doit sans cesse réactiver la haine dont il est sorti et qui le fait vivre.


    Et logiquement la diabolisation de Philippe Pétain, due essentiellement au traitement de la question juive sous Vichy (nous vivons sous la domination de ce puissant lobby), s’étend jusqu’aux vertus qu’il a promues, jusqu’aux principes qu’il a fait siens, jusqu’à la célèbre devise de l’Etat français. De sorte que quiconque entend défendre la patrie, exalter le travail, honorer la famille, promouvoir la religion est aussitôt traité de pétainiste. C’est-à-dire dans le langage médiatique de complice des nazis et de la solution finale. C’est ainsi que le régime en place installe une terreur intellectuelle qui compromet toute renaissance nationale. Alors que l’action menée pendant quatre ans par le Maréchal reste à bien des égards un modèle. Il n’est en effet pas difficile de voir où nous ont conduits ceux qui ont pris l’exact contrepied de ce qu’a tenté l’Etat français de 1940 à 1944.

    Le  Maréchal avait honoré le travail, en avait rappelé dans ses discours l’éminente dignité. C’est, disait-il, « le moyen le plus noble et le plus digne que nous ayons de devenir maîtres de notre sort ». La Révolution nationale était inséparable dans son esprit de la Révolution sociale. Aussi la Charte du travail définissait-elle, dans une perspective neuve et hardie, les rapports entre patrons et salariés dans la communauté de l’entreprise, en rejetant à la fois le dogme ruineux de la lutte des classes et le dévergondage d’un libéralisme incontrôlé. Vichy institua le 1er Mai fête du travail et des travailleurs afin d’œuvrer à « l’union et à l’amitié » de tous les Français.


    Or, après soixante-dix-neuf ans de régime gaullo-communiste, qui a encore l’amour du travail bien fait ?

    On décourage de travailler. En faisant miroiter un revenu universel de quelques centaines d’euros distribués comme une pitance en échange de la servilité du récipiendaire. En multipliant des aides et des allocations distribuées sans discernement ni contrôle. En empêchant même les gens de travailler, en le leur interdisant sous peine d’amende et de prison, ce qui est inouï, comme on l’a vu pendant les confinements successifs, pour toute une série de professions, et singulièrement celles du secteur tertiaire. En prélevant sur les revenus des sommes telles qu’on décourage l’effort et qu’on tue l’initiative. En transformant les entrepreneurs, comme naguère les paysans, en serfs modernes en les privant de toute vraie liberté et en leur versant de petites aides pour les neutraliser et les faire vivoter. En permettant de gagner facilement des gains substantiels grâce à des jeux qui ne cessent de croître en nombre et en imbécillité : « Qui veut gagner des millions ? », tel est significativement le titre d’un divertissement télévisé. Or, la civilisation de loisirs n’a jamais rien créé. Elle est un signe de décadence.

    Le Maréchal avait promu la famille.

    En créant la Fête des Mères. En encourageant moralement et matériellement les familles nombreuses. Le fameux baby boom n’a-t-il pas commencé sous son régime ? C’est que, disait le chef de l’Etat, « l’individu n’existe que par la famille dont il reçoit avec la vie, tous les moyens de vivre ». Et, ajoutait-il, « les époques où l’individualisme a fait loi sont celles qui comptent le moins d’individualités véritables ». Que ne dirait-il aujourd’hui, alors que l’institution familiale est parodiée, éclatée, décomposée, recomposée, que s’élabore un nouveau droit de la famille ouvert à toutes les perversions, à toutes les excentricités, que l’on a introduit officiellement dans l’enseignement dès la rentrée scolaire 2011 la folle théorie des gender selon laquelle l’identité sexuelle est librement choisie par l’individu, que des groupes LGBtistes vont dans des classes de mineurs faire sans vergogne l’apologie des sexualités déviantes, que l’on encourage le changement de sexe qui n’est en réalité qu’une affreuse mutilation, généralement irréversible, que l’on a légalisé et remboursé la contraception, l’avortement, le Pacs, le “mariage” homosexuel, la PMA désormais ouverte aux lesbiennes, que deux femmes peuvent être très officiellement considérées comme les deux parents de l’enfant, que l’on peut créer des chimères animal-homme ?
    A quoi sert-il à l’homme grâce aux techniques nouvelles de fabriquer la vie s’il en a perdu le sens ? On a fait croire qu’il était obsolète de parler d’engagement, de parole donnée, de fidélité, de loyauté, d’honneur, d’effort, de dévouement et de sacrifice. Moyennant quoi, on a précipité le malheur des gens : dépressions, drogue, divorces, suicides, actes de barbarie sans nombre, jusqu’à des actes d’anthropophagie, y compris en France, tels sont les fruits amers de la perte des principes et des repères les plus élémentaires.

    Le Maréchal avait défendu la patrie.

    Qui l’a mieux aimée, qui l’a plus servie que lui ? Et qui en a été aussi peu, aussi mal récompensé ? Car il n’avait pas besoin de se faire comme De Gaulle « une certaine idée de la France », il l’aimait charnellement. Intensément. Il en aimait les routes. Ah ces routes du pays d’Artois mystérieuses, changeantes, pleines du pas des hommes ! Ce fils de paysans aimait la terre de France, il aimait les paysages, les forêts, les coteaux de notre pays. Il en aimait les gens. D’où sa volonté d’économiser les vies humaines lors de la Première Guerre mondiale. D’où son souci constant d’améliorer les conditions de vie de ses chers Poilus. En ne laissant rien au hasard. En veillant à la qualité de la cuisine, de l’hygiène, à la mise en œuvre effective des permissions. En remontant le moral des troupes.
    Car, à la différence d’un général de brigade à titre temporaire, il n’a jamais désespéré des Français ; il ne les a jamais traités de “veaux” ; même lorsqu’à son retour en France en avril 1945 bien peu de nos compatriotes sont venus le soutenir, lui dire leur sympathie, leur gratitude ; que restait-il alors des quelque cinq cent mille Parisiens qui s’étaient pressés pour l’acclamer quelques mois plus tôt ? Même quand il fut abandonné de (presque) tous, il n’a jamais douté de son peuple, ne l’a jamais méprisé.

    Qui peut sérieusement douter que le Maréchal ait servi au mieux les intérêts de la France, qu’il ait essayé d’adoucir au maximum les souffrances de ses compatriotes dans des conditions extrêmement difficiles ?

    Un court instant, il a même réussi ce miracle de rassembler autour de sa personne et de son action tous les Français, eux si naturellement enclins aux divisions et aux discordes. L’ambition et l’orgueil de quelques-uns, les aléas de la guerre, les passions humaines n’ont hélas pas permis de maintenir une unité nationale qui ne s’est toujours pas reconstituée.


    Depuis, ses successeurs à la tête de l’Etat ont bradé son héritage sans vergogne ni remords de conscience. Le drapeau national qu’il avait maintenu malgré les contraintes de la défaite et de l’Occupation, et qui figurait autrefois dans tous les dictionnaires à la première place est désormais relégué à la soixantième entre la Finlande et le Gabon tandis que l’emblème européiste à douze étoiles, signe de la sujétion de notre pays à une structure supranationale et mondialiste, occupe le premier rang du protocole. L’empire colonial qu’il avait maintenu intact a été démembré, dépecé dix ans à peine après sa mort par celui-là même qui l’accusait d’avoir trahi les intérêts français.
     
    Le Maréchal laissait une France française (lorsque les actualités de l’époque nous montrent les voyages du chef de l’Etat français en province, l’on observe des gens de tous âges, de toutes conditions, mais tous leucodermes !) ; aujourd’hui elle est métissée, mélanisée, défigurée. Et elle s’est aussi américanisée en même temps que marxisée, tout à la fois laïcisée et islamisée. S’il n’est plus d’armée étrangère qui occupe militairement notre pays, il est d’autres formes d’occupation. Plus insidieuses, plus redoutables. Celle d’une immigration de masse qui en détruit la substance corporelle, culturelle et spirituelle. Celle d’une idéologie mortifère qui promeut le désordre, qui exhorte à la haine et qui ne se complaît que dans le vice, la laideur et la destruction. Et si la France n’a pas connu récemment de grandes défaites militaires, il est d’autres défaites. Plus pernicieuses, plus angoissantes encore. Celles qui consistent à abdiquer son idéal de grandeur et de générosité, à ne plus croire en son destin, à ne plus avoir la force de haïr « ces mensonges qui nous ont fait tant de mal ». A ne plus avoir l’énergie de lutter activement contre la tyrannie : politique, idéologique, sanitaire, moderniste, holocaustique.


    Le Maréchal laissait une jeunesse belle, fière et ardente qu’il avait contribué à éduquer à travers les Chantiers de jeunesse, Uriage, les Centres de jeunes travailleurs. Il disait de l’école française qu’elle ne devait plus « prétendre à la neutralité ». Car, ajoutait-il, « la vie n’est pas neutre ; elle consiste à prendre parti hardiment. Il n’y a pas de neutralité possible entre le vrai et le faux, entre le bien et le mal, entre la santé et la maladie, entre l’ordre et le désordre, entre la France et l’Anti-France ».


    Les puissants qui nous gouvernent ont compris le danger que pouvait représenter une jeunesse croyant en un idéal. Alors ils ont fait tout ce qui était possible pour l’affaiblir, l’avilir, la pervertir. Par l’étalage nauséabond de la pornographie. Par la promotion de toutes les déviances. Par la diffusion de la drogue. Par une école et des media qui lui apprennent la haine de la France, l’oubli de son passé, de ses racines, qui lui enseignent qu’on peut changer d’identité et d’orientation sexuelles.

    Ce n'est pas un hasard si aujourd’hui tous les politiciens, de Mélenchon à Marine Le Pen, de Macron à Bardella, exècrent le Maréchal.

    Il représente en effet par excellence tout ce qu’ils haïssent, tout ce dont ils sont dépourvus : l’honneur, la fidélité, la loyauté, le désintéressement, le souci du bien commun, le sens du sacrifice, le service de la patrie, l’oubli et le don de soi jusqu’au martyre. Le Maréchal Pétain fut assurément notre dernier vrai chef d’Etat.

    Après lui, nous n’avons eu que des cloportes conduisant notre peuple à la ruine et à la servitude et notre pays au crépuscule et au tombeau.

    JB

     

     

  • En 2023, la hausse de la taxe foncière s’apparente à un racket fiscal des propriétaires .

     

     
    Taxe-foncière 
     

    Hausse moyenne de la taxe foncière s’échelonnant entre 7,1% et 59% : 2023 sera une année noire pour les propriétaires immobiliers !

    Tant que le fruit rend du jus, il faut le presser. L’année 2023 risque de mettre sur le flanc des millions de contribuables locaux déjà en prise avec une inflation alimentaire galopante, et pris au piège de la fiscalité locale.

    Le rendement des taxes foncières (35,3 milliards d'euros en 2021), sur les propriétés bâties et non bâties va faire un bond significatif.

    Ces taxes touchent près d’un Français sur deux. En 2022, la taxe foncière a coûté 29 milliards d'euros aux contribuables.

    Et 2023 sera pire. Cette année, ce sera la double peine.

    La taxe foncière va augmenter pour deux raisons.

    D’abord, le montant forfaitaire des bases cadastrales a été revu à la hausse de 7,1% après le vote de la loi de Finances, en décembre dernier. Il avait déjà bondi de + 6,1% en 2022.

    Cette valeur locative représente le niveau de loyer annuel théorique qu’une propriété produirait si elle était louée. C’est l’une des bases servant au calcul de la taxe foncière.

    Cette valeur théorique est ensuite modifiée par des coefficients forfaitaires d’actualisation et de revalorisation.

    Effet mécanique de cette hausse de 7,1% appliquée urbi et orbi : quelles que soient les communes, toutes les taxes foncières subiront cette augmentation.

    Second facteur d’augmentation, beaucoup de collectivités, privées de taxe d’habitation font jouer la fiscalité locale pour pallier cette perte de revenus.

    Théoriquement ce manque à gagner devait être compensée par une dotation globale de fonctionnement (DGF), mais celle-ci a baissé entre 2014 et 2017 (- 11 milliards d'euros) et le compte n'y est pas.

    Taxe foncière : les collectivités incapables de réduire leur train de vie

    Plutôt que de se serrer la ceinture, la plupart des collectivités se tournent vers les propriétaires fonciers pour sauvegarder leur train de vie.

    Au final, si la fin de la taxe d’habitation a soulagé les locataires, elle a pour effet d’accabler des propriétaires à qui les collectivités reprennent d’une main ce qui leur a été donné de l’autre par l’État.

    Dans certaines villes, la hausse 2023 de la taxe foncière va atteindre des niveaux stratosphériques, notamment à Paris où à rebours de sa promesse électorale, la maire socialiste a annoncé pousser les feux de + 59,1 % (52% +7,1%) en un an !

    Le taux d'imposition passe ainsi de 13,5% à 20,5%. Ce coup de massue devrait rapporter 580 millions à la Ville.

    Parmi les plus beaux dérapages, on peut aussi mentionner + 25% à Grenoble, + 14,3% à Metz ou encore de + 9% à Lyon.

    L'outre-mer et la région francilienne sont les zones où la taxe moyenne est la plus élevée.

    Cette année, les augmentations sont si élevées qu’elles risquent de provoquer un risque social.

    Interrogé sur BFMTV, Christophe Demerson, président de l'Union nationale des propriétaires immobiliers (UNPI), estime notamment qu’à ce rythme, les classes moyennes, à qui l’exécutif promettait de l’aide il y a encore quelques jours, ne pourront plus rester chez elles.

    Les personnes âgées, dont le revenu est gelé, figurent parmi les principales victimes de l’emballement de la fiscalité locale.

    Ces hausses vont aussi naufrager les propriétaires bailleurs puisque le modèle économique se lézarde avec des rendements négatifs sur plus de la moitié du territoire, ajoute l’UNPI.

    Ces hausses de la fiscalité locale peuvent être remises en cause.

    Ainsi, à Marseille, des recours ont été déposés auprès du tribunal administratif par un conseiller municipal d’opposition et plus de 230 propriétaires marseillais s’opposant à l’augmentation de la taxe foncière 2022.

    En avril dernier, le rapporteur public a fini par annuler les hausses de taux des taxes foncières et la Ville pourrait être contrainte de restituer 50 millions d’euros à ses administrés !