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Franc-maçonnerie - Page 5

  • Tim Ballard : “le trafic sexuel d’enfants est l’entreprise criminelle à la croissance la plus rapide au monde” .

     
    Le vrai Tim Ballard, héros de Sound of Freedom
    Le vrai Tim Ballard, héros de Sound of Freedom

    Tim Ballard, interprété par Jim Caviezel dans le film Sound of Freedom, a quitté son emploi il y a dix ans afin de sauver des milliers d’enfants innocents piégés dans l’horrible monde souterrain du trafic sexuel d’enfants, décrit par Ballard comme “l’entreprise criminelle à la croissance la plus rapide au monde”.

    Ballard, le fondateur d’Operation Underground Railroad et PDG du Nazarene Fund, a déclaré :

    Je ne me serais pas lancé dans ce travail et je n’y serais pas resté si je n’avais pas cru que Dieu se soucie profondément de cette cause et des enfants.

    L’Écriture à laquelle je m’accroche est celle où Jésus devient très clair lorsqu’il dit : ” Mais si quelqu’un scandalisait un de ces petits qui croient en moi, il vaudrait mieux pour lui qu’on suspendît à son cou une meule de pierre et qu’on le jetât au fond de la mer, “

    Tim Ballard raconte que lorsqu’il se rend dans des lieux dangereux pour sauver des enfants, il se souvient de ces paroles de Jésus.

    Le défi lancé à l’équipe de tournage était de décider comment décrire le monde sombre des adultes dépravés qui paient pour abuser sexuellement des enfants enlevés par des réseaux.

    “Le film ne montre jamais que des enfants se font maltraiter”, a déclaré Ballard, mais il vous le fait comprendre et vous frappe.

    Ballard a expliqué qu’il aime se cacher dans les salles pour regarder la réaction du public à la fin du film. “A la fin, quand défile le générique, personne ne bouge”, a déclaré Ballard. « Personne ne se lève. Ils restent assis là et réfléchissent.» « Et ils se réveilleront en y pensant le lendemain matin.»

    Assurer un suivi des enfants sauvés

    Ballard a déclaré que très tôt, lui et son équipe ont établi un partenariat avec une organisation qui prend en charge des enfants sauvés de l’exploitation sexuelle. “Nous sommes restés avec ces enfants” décrits dans le film. « Ce sont maintenant de jeunes adultes et nous continuons à les aider.»

    L’opération Underground Railroad va “dans les recoins les plus sombres du monde pour aider à sauver les enfants de l’esclavage” .

    Léo Kersauzie

  • L’antichristianisme juif à Jérusalem révélé par un journaliste !

     
    Un journaliste s'est habillé en franciscain pour tester l'antichristianisme juif dans les rues de Jérusalem
    Un journaliste (à droite) s’est habillé en franciscain pour tester l’antichristianisme juif dans les rues de Jérusalem

    Il se développe une certaine prise de conscience de l’antichristianisme juif très perceptible dans les rues de Jérusalem. Le sujet a même fait récemment l’objet d’un colloque universitaire à Jérusalem avec comme intitulé : « Pourquoi certains juifs crachent-ils sur les gentils ? »


    La chaîne de télévision israélienne Channel 13 a fait réaliser une enquête sur la multiplication des actes anti-chrétiens en Israël. Pour ce faire, le journaliste Yossi Levi a revêtu la bure franciscaine et a accompagné un véritable franciscain dans les rues de Jérusalem. Il marchait depuis seulement cinq minutes lorsqu’il s’est fait cracher dessus pour la première fois.

    Accompagné du frère Alberto Pari, secrétaire de la Custodie de Terre Sainte, qui parle parfaitement hébreu, le journaliste israélien Yossi Eli, revêtu de la bure franciscaine, a ensuite essuyé les railleries d’un autre homme. Puis c’est un enfant âgé d’à peine huit ans qui leur crache dessus. Ensuite, au mont Sion, lieu où les tensions inter-religieuses sont régulières, ils croisent un groupe de soldats en service militaire dont l’un crache à leurs pieds. Le journaliste n’en peut plus, ôte la bure franciscaine et interpelle les jeunes soldats.

    Les conclusions de son reportage sont, pour lui, « très difficiles à digérer ». « Imaginez quelle aurait été la réaction de ces juifs si un chrétien leur avait craché dessus en Europe », ajoute-t-il ...

    Ces gestes de haine antichrétienne ne sont ni isolés ni nouveaux. Le phénomène connaît cependant une croissance exponentielle ces derniers mois. Les rapports de police les justifient régulièrement par « l’instabilité mentale » de leurs auteurs. « Ce n’est pas vrai, explique le journaliste Yossi Eli, dans un post Facebook. Notre enquête a prouvé que les attaques ne provenaient pas vraiment de malades mentaux, mais de personnes qui détestent tout ce qui est différent. »

    Interviewé dans le documentaire de Channel 13, le frère Francesco Patton, Custode de Terre Sainte, note que les attitudes antichrétiennes se sont multipliées « lorsque le langage politique est devenu plus violent » et souligne « la responsabilité des dirigeants, de ceux qui ont le pouvoir ».

  • Plutôt que de restaurer l’ordre, l’État a laissé la racaille allogène et les trafiquants prendre le contrôle de cités où les forces de l’ordre ne pénétrent plus !

    Territoires perdus. Plutôt que de restaurer l’ordre, l’État, utilisant la complicité des médias,  a préféré laisser la racaille et les trafiquants prendre le contrôle de cités où les forces de l’ordre ne vont plus. Pour laisser le pouvoir aux islamistes demain ?

     

    une politique ville tous contribuables 2021

     

    Une semaine ordinaire en France… En sept jours, entre la fin février et le début mars, les banlieues ont une nouvelle fois flambé.

    Dans le Rhône, émeutes dans le quartier de La Duchère, à Lyon, avec de multiples affrontements entre « jeunes » et policiers, suite à l’accident d’un adolescent de 13 ans à scooter.

    À Bron, du mobilier urbain a été cassé, plusieurs voitures de particuliers incendiées, un véhicule de police attaqué. Émeutes à Rillieux-La-Pape, dans le quartier des Alagniers, douze véhicules et deux buts ont été incendiés.

    En Picardie, émeutes dans le quartier de Saint-Jean à Beauvais, où les policiers tombent dans un guet-apens. Une trentaine d’émeutiers ont envoyé des mortiers d’artifice sur les forces de l’ordre, obligées de reculer. Tirs de mortier contre des CRS à Nîmes.

    Tentative de meurtre sur un photo-journaliste à Reims qui venait couvrir des « violences urbaines » dans le quartier de la Croix-Rouge.

    Christian Lantenois est retrouvé gisant près de son véhicule. Son pronostic vital est engagé.

    Deux suspects sont mis en examen, dont un Algérien de 21 ans, déjà condamné à huit reprises. Il disposait d’une carte de séjour espagnole.

    Tandis que l’État donne des coups de menton administratifs aux citoyens paisibles tenus de respecter les 18h du couvre-feu, les délinquants et criminels des banlieues semblent, quant à eux, bénéficier d’une forme d’impunité.

     

    Fort avec les faibles, faible avec les forts…

     

    Tandis que l’État donne des coups de menton administratifs aux citoyens paisibles tenus de respecter les 18h du couvre-feu, les délinquants et criminels des banlieues semblent, quant à eux, bénéficier d’une forme d’impunité.

    La France a subi 187 jours d’émeutes dans les banlieues en 2020, la moitié en région parisienne. Ces émeutiers sont de plus en plus jeunes car la justice est aux abonnés absents.


    La politique de la ville, créée vers la fin de la décennie 1970 pour insérer les « quartiers chauds » dans le droit commun et y faire éclore une élite bigarrée, a produit l’effet inverse : concentrer dans ces quartiers d’énormes trafics illicites, contrôlés par des gangs « tenant par ailleurs des politiciens complices ou épouvantés », estime le criminologue Xavier Raufer.

     

     Deux fois plus de points de deal que de bureaux de Poste à Marseille

     

    Depuis 2008, plus de 200 personnes auraient été tuées lors de règlements de compte à Marseille. En 2020, huit individus sont morts dans des règlements de comptes liés au narco-banditisme.

    Le 13 février dernier, deux jeunes hommes de 24 et 28 ans sont fauchés sur la passerelle routière des Plombières par une rafale de kalachnikov tirée d’une BMW, tandis qu'ils tournaient un clip de rap.

    Le 17 février, un homme de 33 ans est tué d'une balle dans la tête dans la cité de la Bricarde, dans les quartiers Nord de la ville. 24 heures après, la police menait une opération contre le trafic de drogue dans la cité.

    Ces meurtres en disent long sur le climat qui règne dans les quartiers de la Cité phocéenne. La violence y est endémique et, de la cité Bassens, à La Paternelle, du Frais Vallon à La Castellane, trafics de drogue, meurtres et braquages font partie du quotidien.

    On aurait pu confier la campagne de vaccination contre le Covid aux dealers des cités, ils s’en seraient largement mieux sortis.

    Même si la police fait des descentes ponctuelles, elle n’est pas présente en permanence. Les dealers en profitent : il y a quelques années les trafiquants de la cité Val Plan avaient créé des cartes de fidélité pour leurs clients.

    Pour l’achat de 50 euros de « shit », la formule « confort » leur donnerait droit à un paquet de Marlboro gratuit, des feuilles à rouler et un briquet !

    À Marseille, comme ailleurs, les dealers ont aussi su s’adapter au contexte sanitaire. Ils ont développé, sous couvert de livraison de pizzas ou autres, la remise à domicile des substances illicites. Un business labellisé « Uber Shit ».

    Comme dit l’autre, on aurait pu confier la campagne de vaccination contre le Covid aux dealers des cités, ils s’en seraient largement mieux sortis.

    Fin février, Gérald Darmanin, le ministre de l’Intérieur était en déplacement dans la ville pour annoncer l’arrivée prochaine de 300 nouveaux policiers, dont 100 pour 2021. Avant la parade du ministre, les policiers ont fait un peu le ménage, en donnant néanmoins l’impression de vider l’océan à la petite cuillère.

    Marseille compte en effet deux fois plus de points de deal que de bureaux de Poste. Le meilleur spot de vente reçoit 2 000 clients au quotidien pour un chiffre d’affaires moyen de 80 000 euros par jour.

    Les guetteurs ou « choufs » de moins de 15 ans sont payés 100 euros par jour, avec bonbons et kebab du midi offert.

     

    Un aveu d'échec


    Violences urbaines, fusillades, règlements de compte par arme à feu, agressions sauvages et autres affrontements impliquant des bandes. Si Marseille est devenue la capitale française des tueries, les cités coupe-gorge sont présentes un peu partout en France.

    En 2015, on parlait de « quartiers sensibles de non-droit » (QSND). Six ans plus tard, cette dénomination n’est plus utilisée, tant la situation n’a cessé de se dégrader. Voici les quartiers «de reconquête républicaine», un vocable qui est surtout un aveu d’échec.

    Un ancien ministre de l'Intérieur : "Nous sommes en face de problèmes immenses".

    Cette opération de reprise en main concernait 15 quartiers en 2018, via un déploiement progressif de moyens de police supplémentaires. Un dispositif lancé par le ministre de l'Intérieur Gérard Collomb en septembre 2018.

    Collomb démissionnera de son poste quelques semaines plus tard en dressant un constat accablant de la situation sécuritaire, le 3 octobre 2018 :

    « On vit côte à côte, je crains que demain on ne vive face à face, nous sommes en face de problèmes immenses. […] Je suis allé [...] des quartiers Nord de Marseille, au Mirail à Toulouse, la situation est très dégradée, c'est plutôt la loi du plus fort qui s'impose, des narcotrafiquants, des islamistes radicaux, qui a pris la place de la République. »

    Une déclaration en forme d’avertissement pour le Président et tous ses ministres.

    Que s’est-il passé depuis ? Rien, ah si, en 2021, le ministère de l’Intérieur a fait monter la jauge à 62 quartiers de reconquête républicaine.

     

    La criminalité dans les quartiers prioritaires de la politique de la ville 

     

    En décembre 2020, les services statistiques de la place Beauvau ont sorti un document d’analyse sur la criminalité dans les quartiers prioritaires de la politique de la ville (QPV).

    Il ressort des chiffres de l’Intérieur, que ces quartiers sont bien plus criminogènes que le reste du pays. Et que les braves gens des QPV sont les premières victimes de la racaille. On le savait déjà mais ce document donne des détails.

    Les habitants des QPV déclarent plus fréquemment être victimes d’atteintes relatives à la plupart des formes de délinquance : « Ce constat est particulièrement marqué pour les violences sexuelles ou physiques, les actes de vandalisme ou les vols concernant les véhicules. » Interrogés « sur la fréquence à laquelle ils se sentent en insécurité dans leur quartier », 26 % des habitants des quartiers de la politique de la ville répondent « Oui souvent » ou « Oui, de temps en temps ». La proportion tombe à 10 % pour les habitants du reste de la France.

    Les données sur le « ratio des personnes mises en causes » sont encore plus parlantes (voir le tableau ci-après ).

    Pour les vols violents, le ministère de l’Intérieur parle de « surreprésentation maximale » : on comptabilise 3,9 (vols avec armes) et 3,6 fois (vols sans arme) plus de personnes habitant en QPV parmi les mis en cause que d’habitants n’y vivant pas.

    Pour les vols portant sur les véhicules, les homicides (2,7), les cambriolages, les coups et blessures volontaires et les vols simples, les mis en cause sont de 2 à 2,8 fois plus nombreux qu’ailleurs, à population égale. Pour les viols et viols intrafamiliaux le ratio est de 1,8.

    mis en cause criminalite tableau


    Ces maires collabos


    Le constat est sans appel, cependant nombreux sont les élus qui continuent de nier la situation à coups de cajoleries clientélistes et communautaristes.

    On a vu Éric Piolle, le maire écolo de Grenoble, une des villes les plus violentes de France, demander aux maîtres-nageurs de fermer les yeux sur les femmes en burkini, ou financer entre 2016 et 2018 le très islamiste CCIF (Collectif contre l'islamophobie en France), dissout depuis.

     

    Le maire de Lyon : « On doit continuer à apaiser », tandis que sa ville était sous les panaches de fumée.

    On a entendu le maire écolo de Lyon, Grégory Doucet (celui qui n’aime pas le Tour de France ni la viande dans les cantines) déclarer sur le mode Bisounours : « On doit continuer à apaiser », tandis que sa ville était sous les panaches de fumée.

    Apaiser ? Le mot est juste. Dit autrement, ces élus achètent la paix sociale à coup de subventions et de compromissions.

    Exemple avec le quartier « sensible »de La Duchère qui, depuis des années (et notamment sous les mandats de Gérard Collomb maire de Lyon pendant 17 ans,) est un des enfants chéris de la politique de la ville.

    Les 10 000 habitants soi-disant déshérités de cet « écoquartier » ont à leur disposition, je cite (et j’en passe) : deux crèches, une maison des fêtes, une bibliothèque, une halle d’athlétisme, deux gymnases, deux stades, un médicentre, un cinéma (installé dans une ancienne église), et un musée des sapeurs-pompiers ...

    Le quartier a été refait à neuf : il y en a pour près de 700 millions de rénovation depuis 2003. Le tout avec votre argent et sous vos applaudissements.

    Jean-Baptiste Leon

    Disponible en téléchargement ou en version papier

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