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Fiscalité - Page 7

  • Le socialo-marxiste Macron veut fabriquer le « Français nouveau », en faisant fondre les individus dans le moule de l’étatisme !

    Lors de ses vœux aux Français, le président Macron a rappelé le rôle de l’Etat et du gouvernement dans un pays comme la France et s’est engagé à « consacrer toute mon (son) énergie à transformer notre pays pour le rendre plus fort, plus juste, plus humain. »...

    Il a rappelé aussi sa mission envers la société et notre vie : « Faut-il pour autant renoncer à changer notre pays et notre quotidien ? Non. Car ce serait abandonner ceux que le système a déjà abandonné, ce serait trahir nos enfants, leurs enfants après eux, qui alors auraient à payer le prix de nos renoncements. » « L’Etat et les services publics ont un rôle essentiel pour renforcer cette unité française. » a-t-il encore souligné. Tout cela, bien entendu, au nom de la justice, du progrès social et de l’écologisme.

    Macron perpétue la tradition de l’étatisme.

    Il l’aggrave même. Comme celui de ses prédécesseurs, son discours a été consacré à la gloire de l’interventionnisme politique et étatique. Comme si rien ne pouvait fonctionner ou même exister sans l’Etat...

    Celui-ci doit nous façonner, nous modeler à sa manière, nous dire ce qu’il faut faire. Trente ans après la fin du communisme en Europe, Emmanuel Macron réhabilite le concept de l’« homme nouveau », celui que le marxisme voulait créer. Dans ses vœux, il est question de bâtir une nouvelle société en fonction des « grands bouleversements » mondiaux, une société dont le fonctionnement sera décidé par l’Etat et ses serviteurs. Il est question de gouvernement, de maires, de lui, le Président qui agit ; mais jamais d’individus, de responsabilité, d’initiative ou de concurrence. Karl Popper et sa société ouverte sont très, très loin du discours d’Emmanuel Macron.

    Les Français sont réduits à une masse qu’on peut manipuler et diriger.

    La prétendue réforme des retraites en constitue la preuve la plus éclatante. Un système de retraite « universel » grâce à la nationalisation de toutes les caisses existantes et la confiscation de l’argent qui s’y trouve. On comprend de mieux en mieux, chaque jour, que ce système ne sera « universel » que pour certains grâce aux « spécificités » qui seront prises en compte. Sous le marxisme aussi certains étaient plus… égaux que d’autres.

    Tout cela est très inquiétant. Les décideurs politiques veulent non seulement diriger l’économie mais changer les mentalités.

    Le président Macron a été le seul chef d’Etat à ne pas souhaiter un « Joyeux Noël » à ses compatriotes.

    Il ne s’agit pas d’un acte laïc mais d’une provocation (il a bien souhaité un « Bon Ramadan » aux musulmans de France).

    Au nom de la laïcité, on méprise la France chrétienne et au nom de l’égalitarisme, on homogénéise les gens. On nous dit comment et ce qu’il faut manger et on veut changer notre façon de penser, nos mentalités. On veut effectivement créer un « homme nouveau » qui serait progressiste, écologiste, égalitariste. C’est une obsession pour la plupart des politiques. Par un tour de magie dont ils ont le secret, ces politiques accusent le capitalisme de tous les maux alors que c’est le socialisme qui crée la misère et les pénuries.

    Les jeunes sont les plus nombreux à tomber dans ce piège : les sondages montrent qu’ils sont une majorité à rejeter le capitalisme et qu’ils ont une opinion très favorable à l’égard du socialisme responsable du chômage de masse !...

     

  • Jack Lang habillé gratuitement de costumes de luxe pendant 15 ans ...

     

     

    Combien de politiciens payent-ils de leur poche les costumes de luxe qu’ils portent ? On peut se poser la question au vu de nouvelles révélations sur le sujet.

    Souvenez-vous de l’histoire des costumes offerts à François Fillon. L’affaire, a priori secondaire, était venue perturber la campagne d’un François Fillon pour la présidence de la république, préparant le terrain à un travail de sape l’obligeant à se retirer de la course à l’Elysée.

    Pourtant, les montants concernant les costumes offerts à Fillon étaient dérisoires (13.000 euros, tout est relatif) en comparaison des près de 600.000 euros de costumes offerts en quinze ans à Jack Lang par le patron de la maison Smalto.

    C’est Le Canard enchaîné qui, ici encore, dévoile les étonnantes habitudes vestimentaires du monde politique. Les cadeaux faits à Jack Lang auraient été découverts par la brigade financière lors d’une perquisition des bureaux d’Alain Duménil, propriétaire de Smalto.

    Maître Laurent Merlet, avocat de Jack Lang, n’y voit aucun problème car son client serait “un ambassadeur de la mode depuis de nombreuses années”. Les cadeaux vestimentaires auraient été offerts de 2003 à 2018.

    Depuis, le pauvre Lang s’habille "comme un sac". Regardez cette photo ci-dessous, prise lors du déplacement de Jack Lang en Tunisie pour le dernier festival électro dont il est le parrain.

     

    Jack Lang en Tunisie pour le festival électro dont il est le parrain…


    Trêve de plaisanterie, nos lecteurs se souviendront aussi que Jack Lang, ancien ministre socialiste reconverti en président de l’Institut du Monde Arabe, en avait déjà profité pour habilement et abusivement négocier de manger à l’œil, sur une base forfaitaire gargantuesque, au restaurant situé à l’intérieur de l’Institut.

    Voilà donc un socialiste dont il est rare de voir la couleur du portefeuille !..

     

     

  • Eoliennes: la face cachée des coûts astronomiques et qui ne profitent qu' aux écolos de gauche !

    Éoliennes, la face noire de la transition écologique
    par Fabien Bouglé, Editions du Rocher, 2019

    Dans cet ouvrage, Fabien Bouglé ne se contente pas de déplorer les atteintes des éoliennes à nos paysages et au charme de nos campagnes, mais il dénonce avec précision et efficacité l’inutilité, voire la nocivité des éoliennes.

    Son analyse méthodique et percutante démontre que les éoliennes sont plus polluantes que ses promoteurs ne l’avouent.

    Leur construction est consommatrice de terres agricoles dont l’extraction est généralement outrancièrement dévastatrice de la nature et des ouvriers qui s’y consacrent. Leur durée de vie est courte et leur démantèlement à échéance de 20 ou 25 ans risque de produire des déchets difficiles et coûteux à traiter. Leur production intermittente d’énergie, dégressive avec l’usure du temps, oblige bien entendu à maintenir en activité des centrales consommatrices d’énergie fossile. Elles produiraient même un effet local de réchauffement…

    Les effets sur la santé de ces nouveaux moulins paraissent également inquiétants. Les plaintes des riverains se multiplient contre les effets néfastes de ces engins qui produiraient des infrasons attentatoires à la santé des hommes comme à celle des animaux.

    Leurs pales tuent les oiseaux en série et font disparaître les chauves-souris qui pourtant jouent un rôle essentiel dans la protection de nos écosystèmes. Et leur implantation en mer nuit à la faune marine et à la profession des marins pêcheurs. Elle fait également fuir les touristes et donc globalement elle porte atteinte à l’emploi qui n’est pas compensé par celui que leur implantation suscite.

    En outre, la politique française d’encouragement à l’installation d’éoliennes coûte une fortune.

    La politique publique a convenu de soutenir ces projets en subventionnant le prix de l’électricité éolienne à des niveaux très élevés et supérieurs à ceux de nos voisins. Alors que le prix moyen du mégawhattheure a été de 45€ en 2017, les prix de rachat consentis aux producteurs d’éolien marin sont, après renégociation l’an dernier, encore très supérieurs aux prix de marché puisqu’ils ont été arrêtés par exemple pour le projet d’Yeu à près de 175€ tout compris!...

    Au total, les engagements pris par le gouvernement représenteront un coût pour les vingt prochaines années, à la charge des consommateurs électriques et des contribuables, d’environ trente à quarante milliards pour l’éolien terrestre et trente et un milliards pour l’éolien marin!

    Alors pourquoi une telle gabegie, pourquoi un tel acharnement à vouloir installer des éoliennes non seulement peu utiles mais dangereuses, polluantes et ruineuses ? C’est là que Fabien Bouglé dévoile le dessous des cartes.

    Cette politique de destruction massive de l’environnement est soutenue par les écologistes parce qu’ils y ont un double intérêt idéologique et personnel.

    Les apologistes de l’énergie du vent sont des idéologues étatistes. Ils veulent que l’Etat nous gouverne en tout. « C’est sous le prétexte de la transition écologique, note Fabien Bouglé, que les Etats occidentaux se sont mis à dépenser des centaines de milliards d’euros, accentuant les déficits publics des pays concernés au détriment de citoyens rackettés via leurs factures d’électricité ou d’essence ». Et via la fiscalité. Ils en font une religion pour sauver la planète et ils désignent leurs prophètes que des enfants incarnent jusque devant les instances onusiennes plus ébahies qu’elles ne le seraient devant Bernadette Soubirous.

    Et pour eux, ce combat justifie tous les reniements de la démocratie élémentaire : ils permettent aux commissaires enquêteurs d’être rémunérés par les sociétés éoliennes dont ils doivent apprécier les projets ; ils ont supprimé les recours devant les tribunaux administratifs pour gagner du temps dans la procédure ; ils ne suivent jamais les avis des consultations publiques, même très majoritaires ; quand une association dont la consultation est obligatoire donne un avis hostile au projet, ils suppriment cette obligation de consultation….

    Mais ils n’oublient pas leurs intérêts personnels. Les cas de prises illégales d’intérêt des élus ne se comptent plus. Les sociétés de production éolienne « arrosent » largement les associations, les élus, les professionnels… pour gagner leur adhésion. Des ONG comme Greenpeace ou WWF ont elles-mêmes des intérêts dans des sociétés éoliennes qui permettent de mieux comprendre leur volonté de favoriser à tout prix cette politique dans une totale ambiguïté. « La vérité, note encore Fabien Bouglé, est que l’industrie éolienne n’est pas du tout écologiste mais répond à une logique de profit exclusif en faveur des promoteurs éoliens par des montages financiers couverts par la politique écologique des Etats ». Les liens entre les élus, parlementaires, ministres écolos et les promoteurs éoliens sont fréquents. Cosa Nostra serait même lourdement impliqué dans nombre de projets financés par l’Union européenne. Là où il y a de l’argent public et des affaires, les profiteurs sont toujours à l’affût. C’est ce qu’on peut appeler le socialisme de connivence.

    Heureusement, certains pays commencent à comprendre les dangers de cette folle politique en faveur de l’éolien. Les Etats-Unis, qui ont déjà plus de 14 000 éoliennes hors service dont ils ne savent que faire, et la Russie expriment désormais leur scepticisme. La Pologne a annoncé avoir mis fin à l’installation d’éoliennes sur son territoire. L’Allemagne commencerait à en démanteler. Puisse cet ouvrage ouvrir les yeux des Français et de leur gouvernement.