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Fiscalité - Page 13

  • Macron et son gouvernement socialo-marxiste s' acharnent contre les retraités .

     

     

    Dans la presse, comme sur les plateaux de télévision et bien d’autres médias encore, il n’est pratiquement jamais question à propos des sacrifices imposés aux retraités que de la dernière majoration de CSG de 1,70% (en réalité, 1,85% sur le montant net !) imposée par le pouvoir à compter du 1er janvier dernier.

    Manifestement, tous ces gens n’ont rien compris ou font semblant de ne pas comprendre à la manœuvre d’encerclement récemment lancée par le Président Macron contre ses têtes de turc favorites : ces "rentiers" qui se prélassent aux frais de la Nation, ces nantis cupides et voraces que sont les retraités. En effet avec une inflation annuelle qui pourrait approcher ou dépasser les 2% en 2019 et peut-être plus en 2020, la majoration dérisoire de 0,30% par an de leur pension de base va laisser à de très nombreux retraités une ardoise probable de 2,00 – 0,30 = 1,70% pour chacune des deux années à venir, en succédant de plus à une période de quasi-blocage sur plusieurs années.

    Dès lors ceux qui ne se focalisent que sur la dernière majoration de CSG pour évaluer le sacrifice imposé aux retraités de la classe moyenne ont tout faux, puisque, sans entrer dans des calculs compliqués, à fin 2020 ces seniors auront en trois ans subi sur leurs pensions de base (et les autres risquent bien de suivre !) l’équivalent de trois hausses de CSG consécutives (une officielle et annoncée par l’impôt, deux autres sournoisement dissimulées dans la désindexation des pensions pour 2019 et 2020).

    Et on s’aperçoit qu’à chaque fois, comme par hasard et sans même que le pouvoir ne s’en cache, ces "hold up" successifs sont fléchés vers les actifs :


    - une fois pour alléger leurs cotisations salariales,


    - une autre fois pour exonérer leurs heures supplémentaires ou de substantielles primes de fin d’année (€ 1 500 chez Total où le personnel n’est pourtant pas dans la misère !),

    -ou encore pour "booster" la prime d’activité liée au SMIC.

    Mais désormais, la coupe est pleine surtout que, lors de sa campagne et même après son élection, le Président avait à plusieurs reprises formellement garanti aux retraités le maintien de leur pouvoir d’achat. Pourtant, lors de sa dernière intervention, le Président a une fois de plus renié les promesses qui lui ont permis de se faire élire. En effet, le Chef de l’État a confirmé sa parfaite indifférence au déclassement de tous les retraités qui, ayant l’outrecuidance de dépasser le seuil fatidique des 2 000 euros mensuels, tout en demeurant exclus de l’exonération progressive de la taxe d’habitation, figureront bien sûr parmi les premiers contribuables à devoir financer plus de dix milliards d’euros de nouvelles largesses qui ne sont pas pour eux.

    En réalité, il apparaît de plus en plus clairement qu’à l’instar de beaucoup de financiers, le Président voue une antipathie personnelle aux retraités.

    Ne sachant plus où trouver la moindre ressource, incapable de maîtriser la dépense de l’État, aux abois devant les exigences de Bruxelles, il a choisi en conséquence de faire cyniquement des retraites l"open bar" (service gratuit et à volonté) de son quinquennat.

    Jugés peu enclins à se mobiliser, les retraités sont devenus une catégorie sociale taillable et corvéable à merci, tandis que leurs retraites représentent une sorte de "réserve" dans laquelle le pouvoir puise sans vergogne pour régaler tous les actifs, qui réclament du pouvoir d’achat sur les ronds-points ou ailleurs.


    Manifestement, l’idée que la réitération abusive de telles prédations pourrait rapidement conduire à une guerre des générations n’a pas effleuré cet incompétent Chef d' État (pas plus d’ailleurs que ne l’avait inquiété tout récemment l’émergence des gilets jaunes !). Et comme sa majorité parlementaire suit aveuglément le Président jusque dans ses errements, on observe maintenant et depuis plusieurs semaines que le centre de décision politique se déplace progressivement du Parlement vers la rue.


    Ce n’est pas forcément un progrès et la prochaine échéance électorale pourrait bien le rappeler fort douloureusement à celui qui, loin de réunir les Français, n’a eu de cesse depuis le début de son mandat que de les humilier ou de les diviser et de s'acharner sur une population de Français méritants qui, après une longue vie de travail, ont eu le tort de croire que leurs enfants feraient pour eux ce qu’eux-mêmes avaient fait pour leurs aînés !

     

  • Economie et fiscalité: Macron est pire que les socialo-marxistes !

    S' il fallait bien que le gouvernement prenne des mesures pour stopper les débordements inutiles, il a décidé de dépenser encore de l’argent public, plus de dix milliards d’euros sans doute, pour tenter de satisfaire à la grogne des gilets jaunes. Ce qui va peser sur l’économie.

    Pourtant, les premiers gilets jaunes, avant d’être récupérés par l’extrême gauche, demandaient moins de servitude fiscale plutôt que plus d’aide sociale ; ils voulaient vivre de leur travail plutôt que de prébendes publiques. Le résultat obtenu sera à l’inverse de celui qui était espéré !

    Nous n’en serions pas là si par un effort significatif pour réduire les dépenses publiques, les impôts et taxes avaient aussi pu être allégés sensiblement. Mais le gouvernement joue encore au pompier pyromane : après n’avoir rien fait de significatif en matière d’économies publiques, il pense moins à économiser qu’à augmenter sa dette pour payer les charges nouvelles qu’il devra supporter.

    Il était prompt à critiquer l’Italie, mais il fait pire en matière budgétaire. Dès avant que soient pris dans l’urgence ces nouveaux engagements, les dépenses continuaient déjà d’augmenter de manière masquée.

    La stabilité apparente du nombre de fonctionnaires en 2017 cache en fait une baisse de 50 400 contrats aidés et une hausse de 45 000 fonctionnaires de plein exercice.

    Les effectifs des ministères ont augmenté de 1,2% hors contrats aidés, soit 23 000 agents supplémentaires dans la fonction publique d’Etat, dont 20 600 à l’Education nationale et seulement 1 300 à la Justice. Les effectifs de la fonction publique territoriale ont augmenté de 0,9% hors contrats aidés, et ceux de la fonction hospitalière de 0,7%. Craignons qu’il n’en soit de même cette année.

    Les économies sont pourtant possibles en bien des domaines et elles sont possibles à court terme. Par exemple en allégeant beaucoup de réglementations qui exigent des contrôles et augmentent les coûts de production comme les prix des produits et services. Ou en réduisant nombre de subventions aux associations et entreprises, en baissant de manière drastique les effectifs de la fonction publique non régalienne tout en préservant la sécurité et la justice.

    En arrêtant, aussi, cette course forcée, inutile et très coûteuse à la transition énergétique qui peut avoir du sens pour faire baisser la pollution dans les villes mais n’est pas justifiée de manière rationnelle en l’état pour lutter contre le prétendu réchauffement climatique et la farce du CO2 …

    Ces économies budgétaires sont aussi possibles dans le temps long en remettant en cause les monopoles, les statuts trop rigides, les rentes de situation, en introduisant la concurrence dans les assurances sociales et dans l’éducation.

    Il faudra bien réviser les conditions d’accès aux mesures d’assistance sociale. Les deux tiers des prélèvements obligatoires sont affectés à des dépenses sociales ; celles-ci représentent environ 32% du PIB contre 22% en moyenne dans l’OCDE ! Il ne s’agit pas bien entendu de remettre en cause l’aide accordée à ceux qui en ont vraiment besoin, mais il y a tant de faux chômeurs, d’assurés sociaux irresponsables, de migrants illégaux, d’aides intempestives à l’achat de logements, de voitures importées de l' étranger, de chaudières à tout va…

    Depuis des décennies, l’Etat intervient tant et tant dans la vie de chacun que la valeur des choses et des services est biaisée. Il n’y a plus de vrais prix puisque tout est selon les cas excessivement taxé ou subventionné, directement ou indirectement. Les salaires eux-mêmes sont artificiellement abaissés ou augmentés par des cotisations qui varient en fonction des humeurs du temps et de l’intensité des fièvres de la rue. Comment être rationnellement responsable de sa vie dans ces conditions puisque les critères de choix sont factices et aléatoires ?

    Il faut un grand débat public pour faire front au désarroi et à la colère de la France profonde. Il serait intéressant que nous y participions tous pour aborder ces vrais sujets et éviter que le débat soit accaparé par ceux qui n’ont d’autre souci que de demander toujours plus à l’Etat en pensant que ce sont les autres qui paieront...

     

  • Macron, sa stratégie du pourrissement et du chaos .

     

    IL FAUT SE PINCER pour y croire. Lors de sa conférence de presse en clôture du G20 en Argentine le 1er décembre, Emmanuel Macron n’a pas eu un mot pour les centaines de milliers de gilets jaunes qui expriment leur colère et leur détresse depuis la mi-novembre, il n’a pas développé une seule proposition, ni manifesté la moindre empathie, se contenant de condamner les pillages qui ont eu lieu en marge de la manifestation parisienne des gilets jaunes et balayant d’un revers de la main méprisant les questions sur ce sujet.

    C’est à se demander si la créature des Rothschild et d’Attali n’a pas totalement perdu le sens du réel. A force de ne fréquenter que des dirigeants de startups et des millionnaires, l’ex-banquier semble incapable de mesurer l’intensité de l’exaspération populaire. Même les préfets nommés par le pouvoir expriment pourtant leurs inquiétudes voire leur désarroi dans les colonnes du Monde sous le sceau de l’anonymat, ne comprenant pas l’autisme du Président et du gouvernement, le rocardo-juppéiste Edouard Philippe rappelant le Juppé de novembre-décembre 1995 qui se disait « droit dans ses bottes » et qui a tenu tête un mois durant aux manifestants contre la réforme des retraites du secteur public avant de céder. « Ce qui se passe est le fruit d’années de fragmentation de la société française, juge l’un des préfets. Pour l’heure, la réponse de l’exécutif est à côté de la plaque. » « Je suis très inquiet car le pouvoir est dans une bulle technocratique, renchérit un autre. Ils sont coupés de la France des braves gens qui n’arrivent pas à boucler leurs fins de mois. Ils n’ont aucun code et aucun capteur. Nous, les préfets, pourrions leur donner des éléments mais ils ne nous demandent rien. Quand ils viennent sur le terrain, c’est parés de leur arrogance parisienne. »

    Que des préfets chargés d’exécuter les ordres du gouvernement déclarent cela au quotidien vespéral éclaire sur la gravité d’une situation que plusieurs représentants de ce corps de hauts fonctionnaires décrit comme « explosive et quasi insurrectionnelle », voire « pré-révolutionnaire ».

    Un mouvement des gilets jaunes qui regroupe des profils très différents : « Dans mon département, analyse un préfet, le mouvement agrège des travailleurs pauvres, des retraités avec de petites pensions qui s’estiment touchés dans leur dignité, des dirigeants d’entreprise de travaux publics confrontés à des hausses de prix des carburants et des patrons de sociétés de petite taille, qui affirment ne pas s’en sortir. » C’est une révolte des classes moyennes, des classes populaires et de la petite bourgeoisie contre l’oppression fiscale, l’augmentation continue des taxes et des impôts qui conduit à une perte très sensible du pouvoir d’achat et qui crée des conditions de vie de plus en plus difficiles.

     Il semble qu’un point de non-retour ait été franchi et que l’exaspération soit aujourd’hui à son comble. C’est qu’à l’approche de Noël beaucoup de parents disent qu’ils n’ont pas de quoi glisser un cadeau sous le sapin pour leur progéniture, qu’ils n’arrivent plus à joindre les deux bouts, qu’on leur parle fin du monde alors qu’eux s’angoissent pour leur fin de mois. L’augmentation du prix de l’essence et du diesel touche de plein fouet tous ceux qui habitent loin des centres villes, faute souvent de moyens, et qui doivent parcourir des kilomètres pour aller à leur travail, surtout en province. La voiture est pour la plupart des Français une nécessité. Diaboliser la voiture diesel ou essence, accroître sans cesse les taxes, exhorter à acheter des voitures électriques est incompréhensible, inacceptable, inaudible. 

     

    LE POUVOIR politique a rejeté bruyamment la morale chrétienne et les dogmes religieux mais il impose sans cesse de nouveaux dogmes dont la contestation est interdite : le dogme holocaustique, le dogme réchauffiste, le dogme de la transition énergétique et écologique, du développement durable, du commerce équitable, autant d’éléments de langage auxquels on nous demande d’adhérer les yeux fermés et qui impliquent que l’on paye toujours davantage !

    Au moyen de réparations, de taxes, d’amendes, d’impôts supplémentaires. Au profit exclusif des multinationales et de la finance internationale. L’alliance de la science, des puissances d’argent et des politiciens est chaque jour davantage une catastrophe absolue car l’on ne gouverne plus en fonction de l’intérêt général, du bien commun, on n’a plus souci du bien, du beau et du vrai, on sert exclusivement des intérêts mercantiles, par exemple les laboratoires pharmaceutiques avec l’industrie du cancer (chaque président a présenté en début de mandat son plan anti-cancer), les banques d’affaires de Wall Street et de la City avec le remboursement des intérêts de la dette. 

    On ne dira jamais assez de mal de la loi Pompidou-Giscard-Rothschild du 3 janvier 1973 qui a fortement contribué à l’endettement du pays en contraignant l’Etat à emprunter sur des marchés privés avec des taux d’intérêts prohibitifs alors que la Banque de France prêtait à l’Etat de très fortes sommes sans intérêts.

    La France a aujourd’hui une dette de 2 300 milliards d’euros. Au deuxième trimestre 2018, elle a encore augmenté de 1,1 %. L’endettement de la France équivaut à 99 % du PIB. C’est-à-dire que le montant de la dette publique est aussi élevé que toutes les richesses produites par la France en un an, c’est inouï ! Et la France a déjà payé plus de 1 400 milliards d’euros d’intérêts à des prédateurs financiers depuis quarante ans. Au détriment du peuple, du développement, de la richesse du pays. Il est important de poser les bonnes questions : on fait payer au peuple les intérêts de la dette avec une surfiscalisation des carburants mais d’où vient la dette, qui la fait payer, et qui la touche ? A quoi servent les 252 taxes qui existent en France ? De la réponse donnée à ces questions dépend en partie la suite des événements. 

    On aura en tout cas noté que les représentants et amis de la finance anonyme et vagabonde ont tout de suite compris que le mouvement des gilets jaunes menaçait leurs intérêts. Aussi ont-ils réagi rapidement et sans nuance. Le B’nai B’rith qui ne s’exprime de manière publique que rarement a jugé urgent dans un communiqué de dénoncer le populisme qui pourrait incendier la République car le B’nai B’rith sait bien que la République en France est par essence judéo-maçonnique et que ce qui menace la République n’est pas bon pour la communauté. Bernard-Henry Lévy, Alain Finkielkraut, les cinéastes Goupil et Kassovitz ont manifesté leur mépris et leurs inquiétudes à l’égard des gilets jaunes car ils sentent confusément que ce mouvement populiste a des relents antisémites. De même que M. Jourdain faisait de la prose sans le savoir, les gilets jaunes combattent à leur insu l’étoile jaune.

     

    D’OÙ la stratégie de pourrissement et du chaos tentée par le pouvoir.

    Les violences et les pillages du 1er décembre à Paris montrent que les parasites du bas (les antifas, les Black Blocs et les racailles de banlieue) qui sont généralement des assistés vivant d’aides sociales, de RSA et qui se moquent éperdument des revendications des gilets jaunes et de la détresse populaire, sont les alliés objectifs des parasites du haut (le gang Attali, Rothschild et consorts). N’importe qui peut revêtir un gilet jaune sans rien avoir de commun avec ce mouvement d’essence essentiellement poujadiste. Il s’agit pour le pouvoir de laisser les violences et pillages se donner libre cours pour rendre le mouvement impopulaire, le discréditer, le dévoyer, et ainsi le tuer dans l’œuf. 

    Il n’est pas sûr cependant que la stratégie soit payante au final vu le degré d’exaspération d’un grand nombre de nos compatriotes. Et même ceux qui ont fait preuve de retenue jusque-là pourraient se montrer plus vindicatifs demain si le pouvoir s’obstine dans son arrogance et son mépris. La Manif pour tous qui était très propre sur elle et n’a commis aucune violence ni déprédations a échoué malgré les millions de Français qui ont défilé. Le « mariage pour tous » a été voté, promulgué et appliqué, y compris par les édiles qui avaient manifesté contre. Sans nullement se confondre avec les casseurs et les pilleurs professionnels, du type Black Blocs, des Français exaspérés et pensant n’avoir plus rien à perdre pourraient perdre patience et devenir eux aussi très turbulents en réponse à la violence qui leur est opposée par les pouvoirs publics depuis des décennies (impôts massifs, Grand Remplacement, destruction de la famille et de la civilisation, théorie du genre…) Il suffit parfois d’une allumette (l’augmentation de la taxe sur les carburants) pour qu’un incendie se déclare et dévaste tout sur son passage.