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Ecologie - Page 11

  • NICOLAS Hulot a toujours été un charlatan .

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    La seule différence entre hier et aujourd'hui, c'est que le voilà au pied du mur. Il va falloir qu'il cesse d'enfumer le monde comme il a toujours fait. Devenu l'invraisemblable démiurge qui peut seul sortir le macronisme du guêpier dans lequel il s'est fourré, en parvenant à convaincre la majoritédes Français que sa nouvelle société les sauve­ra (biodiversité, transition écologique, énergies renouvelables, réduction des inégalités dans le monde, solidarité avec les réfugiés climatiques, agriculture responsable et biologique, relance globale par le développement durable, l'écono­mie "verte" et la fiscalité écologique, lutte contre le changement climatique, les pollutions, la dé­sertification, la raréfaction de l'eau, les famines etc.). 

     

    Par une mystification puissamment médiatisée, le jupitérien farceur a pu tromper 14 ou 15 % des Français, la partie la plus stupide ou la plus cor­ruptible d'entre eux. Puis convaincre les autres soit de voter contre ses adversaires, soit de rester chez eux par lassitude de la chose politique, per­suadés qu'ils n'avaient aucun moyen de mettre fin à ce canular. Mais il va bien falloir passer au concret.

     

    La duperie et la simulation se sont pas perpé­tuelles et Macron, ce phénix omniscient, ne sau­rait oublier le fameux plan dialectique d' Abra­ham Lincoln:

    « On peut tromper une partie du peuple tout le temps et tout le peuple une partie du temps. On ne peut pas tromper tout le peuple tout le temps ».

    S'il n'en a que faire, il en paiera le prix !

     

    Est-il plus écologiste que les simulateurs qui se verdissent bruyamment? Le colonel Placé, par exemple. Ou le perroquet monté au perchoir, ce de Rugy dont les ancêtres eurent tant de peine il y a 300 ans à se faire anoblir et qui se dissout dans la roture avec autant de volupté qu'en ressent un député de la France insoumise à ne pas porter cravate au Palais-Bourbon. Ou Cécile Duflot, banlieusarde qui n'a jamais mis les pieds à la campagne, n'a toujours fait que des petits bou­lots , ministre compris, diplômée de I 'ESSEC en économie urbaine. Ou, succédant à un archétype d' écologiste d' esbroufe, Mamère, ce nouvel élu béglais de la France lnsoumise, Loïc Prud'homme, qui, comme son patron, Mé­lenchon, passé du rouge de conviction au vert de circonstance, se dit « écologiste prônant l'émer­gence d'un modèle agricole alternatif et soute­nable » ... Alors qu'il est technicien à l'INRA, cette centrale idéologique qui depuis 1946 n'a cessé d'œuvrer pour la destruction de I'agricul­ture naturelle dans ce pays.

     

    Le président de la République d'ailleurs n'est pas plus écologiste que ceux qui se drapent de la capuche environnementaliste sans avoir la moindre idée de ce que cela représente.

    D'aus­si méticuleusement que l'on recherche, on ne parvient pas à déceler la moindre inclination de cet urbain organique pour la nature, la biologie du monde, la biosphère. Sauf à y voir un instru­ment de conquête du pouvoir et de conservation de celui-ci.

    A y soupçonner une simple opportu­nité de se concilier des millions d'électeurs qui regardent avec suspicion ce personnage carrié­riste et mégalomane, prêt à toutes les compro­missions pour arriver à ses fins. y compris lais­ser de larges prérogatives à un personnage aussi trouble que Hulot au risque d'être entraîné dans des conflits de grande ampleur.

    Ne serait­ ce que dans l'imbroglio qui tôt ou tard précipitera les pitres du Réchauffement Climatique dans l'inéluctable refroidissement auquel la planète n'échappera pas.

     

    JUPPÉ ET BORLOO, SIAMOIS DE L'ÉCOLOGIE-BIDON

     

    Nicolas Sarkozy l'avait bien compris en 2007 lorsqu'il confia un super ministère de l'Ecolo­gie à Alain Juppé, puis un mois plus tard, après le cinglant échec de celui-ci aux législatives, à Jean-Louis Borloo. Ni l'un ni l'autre n'ayantpar le passé montré la moindre fibre environne­mentale !... Et ne s'y ralliant à l'évidence que par opportunisme. On ne sache pas, par exemple, que Juppé, maire de Bordeaux et président de la communauté Urbaine, ait affiché un grand intérêt pour le parc des Jalles qui, tout au long de ces années, fut au centre d'un interminable débat. Au lieu d'être, la vitrine écologique d'une grande metropole régionale dont la renommée et l’économie reposent justement sur I' agricul­ture.

     

    Il n'en alla pas différemment de Borloo, cita­din jusqu’au bout des ongles, avocat richissime spécialisé dans la finance et les fusions et acquisitions.Il n’aura jamais manifesté la moindre attention à l’ environnement jusqu a ce que la politique ne s'en mêle.

    Quoi de plus judicieux que de créer son propre parti avec quelques « éco­logistes » déjà bien implantés, Lalonde, Mamère, Haroun Tazieff? Et d'appeler ce machin « Géné­ration Ecologie »... Ce sera le début d'une carrière qui le mènera au sommet, succédant à Juppé au poste de N°2 du Gouvernement Fillon comme super-ministre de l'Ecologie, de l'Energie, duDéveloppement et de I' Aménagement Durables en charge des Transports et de la Mer.

    Respon­sable du Grenelle de l'Environnement, il ligotera la politique française dans la lutte contre l'effet de serre anthropogénique et contre le Réchauf­fement Climatique. Montrant de façon drama­tique que tout cela n'a rien à voir avec une dé­duction scientifique raisonnée mais relève d'une démarche ideologique liée à l'instauration d'un système de gouvernement bureaucratique mon­dialisé !

     

    Quant à Sarkozy, outre le fait d'être à la manœuvre dans un domaine qu'il avaitjusque là toujours méprisé - dans son autobiographie, Libre, parue en 2001 il n'y a pas un seule ligne sur l'écologie -, il se découvrit brusquement une âme d'adulateur de la nature.

    Comme Chirac avant lui et Hollande après, il tenta en vain de s'attirer les faveurs de Hulot pour ajouter quelques décimales à ses sondages. Se peignant sans vergogne en vert, allant jusqu'à convo­quer à l'Elysée une réunion semi-clandestine à laquelle participèrent Joseph Stiglitz, Jeffrey Sachs (économiste américain), Pachauri (pré­sident du GIEC, depuis mis en examen), Laurence Tubiana (maitresse des cérémonies de la future COP2l), Jemal Dervis, directeurdu Pro­gramme des .Nations Unies pour le Dévelop­pement, David Held, (Professeur à la London School of Economics), Ricardo Lagos (ancien président du Chili et envoyé spécial sur le Climat du secrétaire de l'ONU).

     

    Selon Laurence Tubiana il s'agissait « d'agir de façon importante sur la question de la fiscalité écologique et sur les marchés du carbone. C’est à dire d’abord exemplaire en France et en Europe, pour pouvoir entraîner les pays émergents ».

     

    Sarkozy suivra de près la Commission des Ex­perts sur le Changement Climatique qu'il avait confiée à Stiglitz et à Sir Nicholas Stern, appa­ratchik mondialisé à l'origine du GIEC. Mon­trant ainsi le même enthousiasme que partagent Macron et son factotum Hulot.

     

    Cela durera ce que durent les enthousiasmes et il y a fort à parier que face à l'irréalisme de l' entreprise et l'invraisemblance de la théorie chaque jour un peu plus infirmée par la réalité climatique, le nouveau président de la Répu­blique fera ce qu'a fait son prédécesseur. Face à des théories absurdes, à quoi sert-il de s'obstiner dans l'erreur, fût-elle partagée par tous ceux quipossèdent le moindre pouvoir sur les esprits ?

     

    II reste cependant que depuis un demi-siècle l'écologie a été investie par des milliers d'in­cultes et d'ignorants, dénués du moindre bon sens s'ils sont couverts de bonnets d'ânes qu'ils appellent diplôme.

    Il existe dans le monde d'innombrables centres de dressage dans lesquels sont formées ces "élites" scientifiques et bureaucratiques qui ont mis l'écologie" sociale" au service de la révolution d'extrême gauche.

    Ce sont ces idéologies et ces idéologues qui par leur ignorance et leurs élucubrations ont provoqué la méfiance des peuples pour des théories dont ils ont bien compris qu'elles n'apporteraient rien à la survie des sociétés traditionnelles balayées par le déferlement migratoire porteur de métissage et d 'uniformisation génocidaire.

     

    René BLANC.

     

  • GIEC et affidés du réchauffement climatique .

     

    DANS le cadre de la conférence sur le Réchauffement Climatique qui s'est tenue à Lima au Pérou - Lima Cop20/CMP 1 0 -, préparant au grand raoût qui fera en décembre 2015 de François Hollande Ie Monsieur Loyal de I 'Empire mondial, toute la machination mondialiste qui s'agglutine depuis des années derrière la mystification du Réchauffement Clima­tique, s'est subitement découverte. Jetant le voile. Et se présentant à tous pour ce qu'elle est: une opération d'envergure planétaire concoctée dans l'immeuble de verre des Nations Unies et qui a pour unique fonction d'accélérer le mouvement vers une unifica­tion globale sous la houlette d'un système totalitaire déjà bien avancé dans ses struc­tures politiques, idéologiques, adrninis­tratives, militaires, policières, judiciaires, culturelles, alimentaires et, pourrait-on dire même, éducatives, sportives et religieuses.

    Au signal de l'Organisation Météorolo­gique Mondiale, qui est un appendice onu­sien, dans des dizaines de pays les présen­tateurs de la météo les plus populaires des principales chaînes, ceux qui ont été dressés par les Services de Météorologie nationale, ont reçu instruction de présenter un bulle­tin prévision, en tout point identique à ce qu'ils font chaque jour, mais daté de 2050. Bien entendu décrivant une situation alar­mante, voire même terrifiante, la superche­rie n'étant éventée qu'à la fin: il s'agit bien d'un bulletin virtuel fabriqué à partir des analyses et des projections du GIECC dont il a été démontré à de nombreuses reprises qu'elles étaient soit fantaisistes, soit mani­pulées, soit falsifiées selon des modèles in­formatiques et mathématiques très éloignés de la réalité. Le seul fait de recourir à un artifice aussi grossièrement forgé laissant à penser que ledit GIECC serait à court d'ar­guments.

    « Madame, Monsieur, bonsoir ... », com­mence Evelyne Dhéliat. A côté d'elle la carte habituelle. A ceci près qu'elle est, la Bretagne mise à part, uniformément d'un rouge foncé. Toutes les températures égalent ou dépassent le 40. « Encore de fortes chaleurs, poursuit-elle, en ce 17 août 2050 avec un soleil de plomb à peine voilé. La presque bonne nouvelle est que cette ca­nicule touche à sa fin ... ».

    Mme Dhéliat, - qui n'a toujours pas pris une ride en dépit de ses ... 100 ans - pré­cise que ces températures, s'échelonnant de 43° à Nîmes à 38° à Lille, atteindront au cours de la nuit 26° à Paris ou Nice et entre 23 et 25° ailleurs.

    Elle met brusquement fin au canular : « Alors, me direz-vous, tout ceci n 'est que fiction pour 2050. Eh bien ne croyez pas que ce soit sorti de mon imagination . Cela  été formulé avec beaucoup de sérieux par Météo-France. Daillleurs, souvenez-vous, ces empératures, c 'est du déjà vu. La cani­cule de 2003 que nous avons eue en France. Voici quelques relevés à I 'époque ... ». Ap­paraît une nouvelle carte portant: Dinard et Reims, 39°, Le Mans et Macon, 40°, Gour­don et Carpentras 42°. Et pour enfoncer son clou elle ajoutera : « et même 44° dans le Gard et ça c 'était un record absolu ».

    Arrêtons-nous un instant sur cet autre bo­bard. Le véritable record absolu en France revient à Sartène, en Corse, le 23 juillet 2009 avec 43,4°. Sur le continent il aurait été battu à Chusclan aux confins du Vau­cluse et du Gard avec 43,1 0. En réalité des températures supérieures ont été relevées : un 44° à Toulouse le 8 août 1923 et un 44,1° à St-Christol-les-Alès et Conqueyrac le 12 août 2003. Or ces températures ne fi­gurent pas comme records. Pourquoi? Ne serait-ce pas parce que reconnaître que l'été 1923 puisse figurer parm i les plus torrides ne correspond pas à l'évangile du GIECC. Autant supprimer le 44° de Toulouse et tant qu'à faire les records de St-Christol et de Conqueyrac. Il reste suffisamment de tem­pératures élevées en 2003 pour conforter la théorie du réchauffement climatique. Certes, à ceci près que si le 4 août 2003, on relève 43,9° à St-Géry, dans le Lot, il en alla de même vingt ans plus tôt à Entrecasteaux, dans le Var. Si le 4 août 2003 on observe 43,7° à St-Andiol dans les Bouches-du Rhône, c'est ce qui est atteint en 1947 au Blanc, dans l'Indre. Si le 4 août 2003 Ca­zals dans le Lot enregistre 43°, c'est éga­lement ce qui est observé le 30 juin 1968 à Léon dans les Landes. Il suffira d'oublier l'été 1947 avec son 40,4° dans la région pa­risienne, son 40° à Lyon et plus encore dans le sud. Ou encore la canicule de 1911 qui atteignit des températures moindres mais fut caractérisée par une sécheresse exception­nelle et plus de deux mois sans discontinuer de températures supérieures à 35°. Et qui fit, estime-t-on, 40 000 morts.

    Météo-France et Mme Dhéliat n'en sont pas à ça près.

    LA BANQUISE ARCTIQUE À TOUTES LES SAUCES

    Celle-ci en 2007 publia un ouvrage, C'est bon pour la planète, dans lequel elle se faisait propagandiste du Réchauffement Climatique au nom de I' Adème (Agence de I' Environnement et de la Maîtrise de l'Energie). Bien rodée à cette dialectique, elle va donc débiter sans respirer sa leçon de climatologie apprise par cœur. En 2050 la terre connaîtra une canicule type 2003 tous les quatre ans, de plus grande inten­sité encore. On voudrait lui rappeler que depuis 2003 l'Europe a subi à la suite onze étés dits "pourris" par les vacanciers. En 2014 « les mois d'avril, mai, juin, août et septembre, poursuit-elle, ont été les plus chauds jamais enregistrés sur la planète ». Pure affabulation. D'autant qu'elle précise bien que cette chaleur s'est étendue éga­Iement aux mers. « Souvenez-vous, fin septembre la température de la Méditerra­née était de 24°, 2 degrés au-dessus des normales de saison ». Ceci aurait entraîné des remontées d'air chaud en provenance d' Afrique avec « formation d'orages ex­trêmement violents,.. notamment sur le Languedoc ». Rien d'extraordinaire en cela. De tout temps Ie sud de I 'Europe a périodiquement subi les effets du sirocco. Et il n'y a aucune raison d'en imputer la cause au Réchauffement Climatique. Fin juillet d'ailleurs - le 27/07/14 - un bul­letin Previmer signalait que la Méditerra­née était « plus fraîche que la normale ». Au demeurant la température estivale de cette mer fermée varie de 21 à 30° selon les années (Wikipedia), de 25 à 28° se­lon l'encyclopédie Imago Mundi. Quelle que soit la source, toutes s'accordent à dire que les importantes températures qu' elle connaît en été sont la cause d'une forte évaporation, génératrice de violents orages, notamment sur les Cévennes, le Gard et le Var. Maints auteurs de I' Anti­quité l'avaient déjà noté.

    Si on prend les températures moyennes du Nord Ouest de la Méditerranée aux 15 juillet, 15 août, 15 septembre, de 2006 à 2014, on observe peu de variations et elles oscillent entre 22 et 25°. A partir du 15 août elles commencent à chuter. Sauf en 2014 où en effet elles se maintiennent entre 22° et 26°. Au 1er juillet elles étaient de 2° à 3° inférieures à celles des huit an­nées précédentes. Redevenues au 1 er dé­cembre 2014 sensiblement identiques à celles du 1 er décembre 2006. Quant à l' At­lantique on n' observe aucune variation entre 2006 et 2014.

    Afin de donner plus de force à sa dé­monstration Mme Dhéliat montre une vidéo spectaculaire des environs de Montpellier inondés qu'elle impute au réchauffement climatique. Soulignant que le GIECC pré­voit l'intensification de ces phénomènes ces prochaines années. Dans la réalité les principales causes en sont le déferlement de populations sur les bordures côtières, la bétonisation à outrance des zones urbaines et péri-urbaines, le calibrage des rivières et fleuves, la dégradation des régions si­tuées en amont de ces immenses étendues construites. Le tassement des terres agri­coles. On occulte la quasi-conurbanisation qui s'étend de San Remo à Toulouse avec remontée par la vallée du Rhône vers Lyon, le Dauphiné et les Savoies.

    Puis elle ressort la vieille scie « de la fonte progressive de la banquise de mer de l'Arc­tique et du Groenland ». Avec graphique censé montrer I' écart entre 1996 et 2014, alors que depuis trois ans cette glace de mer n'a cessé de se reconstituer et n'est pas loin d'avoir totalement comblé son déficit. Elle ne nous épargne pas les courbes parallèles entre « le changement climatique et I 'acti­vité humaine» responsables du CO anthro­pique et de la hausse de la tempéraiure glo­bale. Bien entendu elle y voit, de conserve avec le Giecc, une concordance parfaite, se gardant bien de rapporter que le grand débat entre climato-sceptiques et chauffagistes se situe justement sur ce point. Les premiers contestant vigoureusement qu'il y ait eu de­puis 18 ans le moindre réchauffement signi­ficatif, le GIECC lui-même ayant d'ailleurs dû concéder que l'on se trouvait sur un pa­lier alors que l'on n'a jamais émis autant de gaz à effet de serre.

    La conclusion s'impose: « Et devant ces faits, les membres du Giecc rappellent I 'ur­gence de parvenir à un accord sur le climat...

     

     

     

  • Le coût de l'abandon de l'écotaxe ...

     

    Le vrai coût de l'abandon de l'écotaxe -

     

    Suite à la suspension "sine die" de l'écotaxe poids lourds, l'Etat devra payer des pénalités, c'est entendu. Mais il ne s'agit de l'arbre qui cache la forêt !

    Reportée "sine die" comme l'a dit Ségolène Royal, ministre de l'Ecologie, ne rime pas avec enterrée quand il s'agit de l' écotaxe. Madame la candidate aux présidentielles de 2007 a tenu a re-préciser sa pensée, depuis : "Je le répète, il y a beaucoup de confusion sur ce sujet : ce n'est pas la suspension de l'écotaxe, qui est inscrite dans la loi, c'est la suspension des modalités de l'application de cette écotaxe sous la forme du contrat Ecomouv' qui n'était pas opérant et d'ailleurs qui n'a pas commencé, même dans son aspect expérimentation" a t-elle fait savoir.

    En attendant que les poids lourds paient pour chaque kilomètre parcouru, l'heure des comptes de la gabegie est déjà venue :

    Pénalité envers Ecomouv' : 830 millions d'euros
    173 portiques fixes installés : de 600 000€ à 1M€ l'unité
    130 douaniers déployés à Metz : 23M€
    Ajournements et reports depuis 2013 : 250M€ etc ...