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Christianophobie - Page 88

  • Grand remplacement: Il est imposé aux français de financer leur remplacement au prix du renoncement à leur intérêt propre, comme à celui de leur progéniture !

    L’ONU VEUT 160 MILLIONS D’IMMIGRÉS EN EUROPE À
    L’HORIZON 2025 !

    Dès janvier 2000, la presse évoquait un rapport préliminaire de la Division de la population de l’ONU préconisant l’ implantation dans les nations européennes, à I’ horizon 2025, de 160 millions d’immigrés afin de parer aux effets du vieillissement de la population et de maintenir au niveau de 1995 l’équilibre entre actifs et inactifs.
    Pour maintenir simplement le niveau de population active, le besoin ne serait « que » de 25 millions. Joseph-Alfred Grinblat, l’un des auteurs du rapport, admettait,  afin d’atténuer le choc… que ces chiffres risquaient de provoquer sur une partie de la population assez lourdement anesthésiée, qu’ils « ne sont pas réalistes et qu’il faudra chercher la solution autre part : soit dans le relèvement de l’âge de la retraite à 75 ans, soit dans le panachage entre d’avantage d’immigrés et une vie active plus longue ». Ces propositions, notamment celle évoquant un relèvement à 75 ans de l’âge de la retraite, relèvent de la galéjade de mauvais goût si l’ on considère que l’ âge de l’ espérance de vie en bonne santé, c’est-à-dire sans incapacité, ni maladie chronique, s’établit en France à 64,1 ans pour les femmes et 62,7 pour les hommes, chiffres tout ce qu’il y a d’officiel publiés par l’INSEE et la Data Drees (Direction de la recherche, des études, de l’évaluation et des statistiques). A noter que si l’espérance de vie progresse encore très modestement, cette donnée de vie en bonne santé marque le pas depuis plus de dix ans malgré les dizaines et centaines de milliards de chiffre d’ affaires réalisés par les géants de la chimie médicamenteuse pour, officiellement, améliorer notre état de santé.
    La courbe de l’espérance de vie en bonne santé ne s’est hélas pas alignée sur celle de l’envolée de leurs profits et dividendes. De telles données limitent les solutions surannées consistant à rallonger indéfiniment la durée de cotisation, ce qui ne peut résoudre le problème lorsque l’on sait, de plus, que les entreprises n’embauchent quasiment pas de quadragénaires, ni de quinquagénaires et, évidemment, encore moins de sexagénaires. Dans quelle entreprise continuera à travailler et donc à cotiser le salarié perdant son emploi à 45, 50 ou 60 ans et auquel il manquera donc 5, 15 ou 20 ans de cotisa­tions ? Tout au plus pourra-t-il prétendre à l’ allocation de solidarité aux personnes âgées (ASPA) remplaçant depuis 2005 le minimum vieillesse. Soit 833 euros pour une personne seule et 1 293 pour un couple.  Toute personne dont les ressources se situent en dessous d’un certain niveau peut prétendre à ce revenu minimum à partir de 65 ans même en n’ ayant jamais cotisé une seule heure. Il lui faudra juste, au moment de sa demande, avoir résidé six mois en France.


    Voici l’un des rouages de la formidable pompe aspirante qui a ruiné la France en même temps qu’elle a accéléré sa sub­mersion migratoire. Le salarié au revenu modeste et à la carrière incomplète percevra une pension guère supérieure à l’ allogène fraîchement débarqué en France pour y couler une retraite, sinon heureuse, tout au moins libérée des tracas matériels, au frais de la princesse, c’est-à-dire des cotisants et contribuables autochtones.


    Ces données sont à mettre en perspective avec l’actualité de la réouverture prochaine des négociations sur les retraites dont les grignotages réguliers continuent de paupériser les pensionnés. Le dernier mauvais  coup en date consistait à augmenter à partir du 1er janvier 2018 la CSG de 1,7% sur l‘ensemble des revenus, retraites y compris !
    C’est maintenant aux pensions de reversion que compte s’attaquer tout prochainement le gouvernement, au nom de » l’équité » et la justice, bien sûr, tout en rajoutant sans doute encore quelques trimestres de cotisation que justifierait arithrnétiquement l’allongement de l’espérance de vie.


     A propos du vieillissement bien réel de la population, il est remarquable que jamais ne soient évoqués les effets dévastateurs de l’avortement sur la démographie et que, bien au contraire, d’année en année, politiques et législateurs aient œuvré à en faciliter l’accès en même temps que la répression s’abattait sur ses opposants. Parallèlement, aucune mesure ambitieuse d’une politique authentique ment familiale ne fut jamais adoptée, bien au contraire. Etrange, non?


    Avec le temps et le recul, il devient de plus en plus évident que nous assistons à un gi­gantesque transfert de richesses de la France française d’hier vers la France métissée de demain.

    Il est imposé aux autochtones de financer leur remplacement au prix du renoncement à leur intérêt propre, comme à celui de leur progéniture. La progressivité, l’étalement dans le temps et la technicité des mesures et dispositifs de prédation empêchent la plupart de nos concitoyens de percevoir le plan d’ensemble qui, une fois saisi, s’impose comme une évidence que l’on s’en veut d’avoir trop longtemps ignorée.


    II apparaît clairement aujourd’hui, mais un peu tard, aux yeux de quelques milliers ou dizaines de milliers de nos compatriotes, que ce qui se passe en France et en Europe est le fruit d’une volonté concertée,d’envergure mondiale, et d’un plan de substitution de civilisation et des peuples, parfaitement conceptualisé, organisé, planifié et pleinement assumé par des castes dominantes visibles et invisibles. Entendre aujoud’hui certains responsables de mouvement patriotiques nier ce processus de remplacement planifié de population ne laisse plus guère d’autre choix que de les classer dans le camp de la bêtise ou celui de la trahison.


    S’inscrivent dans ce processus de transfert contraint de richesses sur le principe des vases communicants, les centaines de mesures fiscale aboutissant à paupériser la population active. Chaque création et aug­mentation de taxe, suppression d’exonération, alourdissement des frais de succession, de transrnission de patrirnoine et d’entreprise, modification de seuil, suppression de prétendendue niche fiscale, cotisation sociale supplémentaire, rabotage des retraites, augmentation des impôt et contraventions des taxes sur les carburants, du tabac ... aggrave  le niveau global de prélèvement sur la population et sur le patrimoine au profit de I implantation des « migrants » . Une gigantesque pompe aspirante parachève la ruine de nos concitoyens et de leur descendance au profit de populations d’importation. Il est imposé aux Français de financer leur remplacement.


    L’ ONU PREPARE UN PACTE SUR LES MIGRATIONS
     
    Un remplacement que prévoit en toute discrétion l’ONU dans le projet de pacte sur les migrations qu’ elle concocte depuis plus d’un an et demi et escompte faire signer aux 193 États-membres dans un proche avenir.


    Il ne s’agit ni plus ni moins que de formaliser un cadre juridique mondial pour une immigration sans entraves en décrétant que toute personne de par le monde possède le droit inaliénable de migrer où bon lui semble et d’être accueilli dans les meilleures conditions par le pays de son choix.


     La répartition des immigrés s’imposera donc aux nations du monde entier tout en rendant caduques les no­tions de quotas, de frontières ainsi que les législations nationales et européenne en matière d’immigration. C’est la fin de tout débat sur le sujet en même temps que la ruine programmée de l’ensemble des pays économiquement développés en moins de deux décennies. Ces orientations mondiales contribuent à expliquer la déferlante de moyens envisagés s’ajoutant aux centaines de milliards déjà déversés dans les diverses politiques de la Ville.

    Le président de la République décrète en effet une mobilisation générale en faveur des banlieues avec, notamment, l’ opération « Cœur de ville» de rénovation des quartiers, la création d’une agence nationale de cohésion des territoires qui permettra sans doute de recaser quelques copains et coquins malchanceux en politique, la création d’ une instance de recours pour les habitants comme pour les élus. Il est aussi question de mener un débat d’évaluation sur l’équité territoriale. Bref, cette fois, c’est l’artillerie lourde, une artillerie financée à crédit, annonciatrice d’une pression fiscale qui ne peut que s’aggraver encore et toujours.
    Pour conclure quand même sur une part de rêve, imaginons un instant que Ia moitié ou même un quart des sommes colossales - plusieurs centaines de milliards d’euros - affectées depuis trop longtemps, avec le succès que l’on sait, à l’intégration ou à l’assimilation, on ne sait plus trop, des immigrés aient été destinées à une authentique politique nataliste et familiale, à la formation, au logement, à la santé, à I’ insertion professionnelle des jeunes Français et au maintien d’un système de redistribution équitable, généreux mais contenu d’une part et à défendre l’intégrité de nos frontières et du territoire national d’autre part. Fin du rêve, tous les politiciens successifs et leurs électeurs (aveugles) ne l’ont pas voulu !

     

  • Le journal d’état Ouest-France appelle aux dons pour financer une nouvelle mosquée à Brest, déjà rongée par l’islamisme ! ...

     

     

    Le journal et torchon d’état "Ouest-France", où officie la clique maçonnique Hutin contre le peuple breton , a appelé la population à financer un énième lieu de prosélytisme islamique à Brest où sévissent déjà de nombreux islamistes.

    Ouest-France (source) :

    L’association islamique Alif a lancé une cagnotte pour l’ouverture d’une nouvelle salle de prière. Elle devrait se situer dans le quartier de Kergoat, à Brest, pour accueillir les étudiants musulmans.
    Dans le quartier de Kergoat, à Brest (Finistère), cela se sait depuis quelques semaines : la grande salle en location depuis près de deux ans près du Coccimarket accueillera un nouvel espace de prière pour pratiquants musulmans.
    « Cette salle était auparavant utilisée par des étudiants saoudiens », se souvient un riverain. Depuis un peu plus d’une semaine, une cagnotte circule sur internet pour la création de cette nouvelle salle de prière, rue du Duc d’Aumale.
    Sur le site de financement participatif Leetchi, l’association Alif cherche à récolter 40 000 € « pour l’ouverture d’une nouvelle mosquée à Brest ». Pour l’instant, un peu plus de 700 € ont été donnés.
    « On est vraiment au début du projet », confie l’un des membres de cette association, qui ne souhaite donc pas communiquer davantage. Juste pour préciser que la Masjid Al-Rahma (mosquée de la miséricorde) sera située « près d’une cité universitaire qui accueille de nombreux étudiants musulmans ».
    L’annonce parue sur Leetchi donne cependant un peu plus de détails. Sur 250 m², l’endroit comportera une salle de prière pour hommes de 120 m², une autre pour femme de 80 m², en plus des sanitaires et de la cuisine.
    L’association cherche à offrir aux croyants un lieu pour « pratiquer les cinq prières obligatoires, celle du vendredi, celles de l’Aid El-Kabir et l’Aid El-Saghir » mais aussi prodiguer « des cours religieux » et « un apprentissage de la langue arabe et du Coran. »

    En donnant le lien du site de collecte de dons pour cette nouvelle mosquée, le journal d’état Ouest-France appelle objectivement le plus grand nombre à soutenir l’islamisation de la ville, pourtant déjà avancée.

    Outre les ravages de l’immigration afro-maghrébine, la ville est le lieu où prospèrent diverses sectes islamiques. Notamment Rachid El Jay dit « Abou Houdeyfa », connu pour ses prêches radicaux légitimant le viol des femmes non-voilées ou l’interdiction de la musique.

    On pourra remarquer que l’article de propagande pro-musulmane est le fait d’un lampiste d’Ouest-France, un certain Romain Le Bris.

  • Viktor Orban : « Quand les musulmans seront 10%, la gauche s’alliera avec eux et l’avenir de l’Europe se décidera sans les Européens » !

     

     

     Le Premier ministre hongrois Viktor Orban intervenait en Pays Sicule, territoire hongrois sous contrôle roumain, où il s’exprime chaque année en qualité de la Hongrie.

    Revenant longuement sur la situation européenne et internationale, Viktor Orban a une nouvelle fois rappelé les enjeux existentiels qu’affronte l’Europe, détruite de l’intérieur par des élites socialistes et internationalistes et menacée de l’extérieure par l’invasion afro-musulmane.

     

    Le chef du gouvernement hongrois a notamment souligné la destruction de la liberté d’expression en Europe de l’Ouest par la gauche afin d’imposer la colonisation de peuplement islamique :

    Nous pouvons justifier notre argumentation sur le déficit démocratique par le fait qu’en Europe occidentale la limitation de la liberté d’expression et la censure sont devenues générales. Les dirigeants des Etats et les géants de la technologie contrôlent conjointement les informations désagréables pour l’élite libérale. Ceux qui ne le croient pas n’ont qu’à consulter ces sites, ils n’ont qu’à aller sur les réseaux sociaux et voir avec quels trésors de ruse et d’ingéniosité ils effacent les accès aux informations négatives relatives aux migrants et aux questions qui leur sont liées, et comment ils empêchent les citoyens de l’Europe de connaître la réalité. La conception libérale de la liberté d’expression conduit les libéraux à considérer la diversité des opinions comme importante jusqu’au moment où ils constatent avec stupéfaction qu’il existe également d’autres opinions. La liberté de la presse « à la libérale » nous rappelle la vieille blague soviétique, qui disait que quelle que soit la manière dont on assemble le produit de l’usine de bicyclettes, il en sortira toujours une mitrailleuse. Cette liberté de la presse « à la socialiste », quelle que soit la manière dont on l’assemble, produira toujours de la censure et du politiquement correct.

    Viktor Orban a ensuite longuement expliqué que les élections européennes de 2019 seraient décisives dans la mesure où elles porteront, précisément, sur l’invasion de l’Europe planifiée par les élites socialistes ouest-européennes :

    Je rappelle aussi que les élites européennes se plaignaient régulièrement qu’il était bien dommage que chaque élection européenne porte en fait sur des affaires nationales et qu’il n’y ait pas de sujet constitutif d’une grande question européenne sur laquelle pourraient se prononcer ensemble les citoyens de l’Europe. Je vous signale que cette situation a pris fin. Il y a désormais une question sérieuse qui intéresse l’Europe tout entière, et sur laquelle – à l’exception de la Hongrie, où nous avons organisé un référendum sur le sujet – les gens n’ont nulle part été interrogés, et de laquelle il est grand temps qu’une élection européenne fasse son thème central : la migration, et l’avenir qu’elle nous réserve.
    C’est pourquoi je suggère que dans l’année qui s’ouvre nous concentrions toutes nos forces sur ces élections, qui seront déterminantes pour notre avenir. Si l’Europe décide en faveur de la migration, elle décide bien entendu aussi de ce que nous appelons l’élite européenne, et répond à la question de savoir si cette élite a bien géré le phénomène migratoire. L’élite européenne est visiblement nerveuse. Elle est nerveuse, parce qu’à la suite des élections européennes qui nous attendent, et sous l’effet d’un éventuel résultat favorable à notre bord, la vaste transformation de l’Europe, que nous appelons chez nous le « plan Soros », subirait un coup d’arrêt. Le grand objectif de transformation de l’Europe et de son passage à l’ère post-chrétienne, à l’ère post-nationale, ce processus est susceptible de se casser les dents sur les élections européennes, et notre intérêt fondamental, Mesdames et Messieurs, est que ce soit bien le cas.

    Le chef du gouvernement hongrois a rappelé un phénomène politique central : le caractère irréversible qu’engendre l’africanisation raciale et l’islamisation culturelle d’une société. Si les alternances entre la droite et la gauche était habituelle, avec la modification du substrat ethno-racial des pays européens amènera la fin de cette alternance, les musulmans ne votant jamais pour des partis de droite ou nationalistes :

    Nos adversaires sont à deux doigts du succès. Nous ne nous en rendons même pas compte. Et nous ne nous rendons pas compte non plus de la signification de ce risque. Sans vouloir être trop long, je voudrais en donner une brève illustration. Si vous vous remettez en mémoire les dernières cent et quelques années de la démocratie européenne, vous pourrez découvrir la structure qui a été déterminée par la compétition entre les communautés demeurées pour l’essentiel fidèles aux traditions chrétiennes, disons les partis chrétiens-démocrates d’une part, et les formations qui contestaient cette tradition et s’en éloignaient, disons les partis de gauche ou les partis libéraux d’autre part. L’Europe progressait au rythme de la concurrence que se livraient ces deux forces, dont tantôt l’une, tantôt l’autre avait le dessus. Cette compétition était salutaire, dans la mesure où elle libérait les énergies et les forces spirituelles. Au fond, c’est cette alternance qui a assuré le développement de l’Europe. C’était une concurrence à la fois politique et spirituelle. Voilà comment fonctionnait l’Europe jusqu’à maintenant. C’était cela, la politique européenne, c’est ainsi que se décidaient les rapports de force au sein de l’Europe.
    Mais si maintenant, mes chers amis, l’on en arrive à une situation où tel ou tel pays se retrouve avec une population musulmane de dix pour cent ou plus, dont nous savons qu’elle ne votera jamais pour un parti chrétien, et si nous l’ajoutons à la population des Européens de souche qui n’ont pas d’attachement pour les traditions chrétiennes, il est clair que l’on ne pourra plus jamais gagner d’élections en Europe sur une base chrétienne. Les groupements fidèles aux traditions chrétiennes seront définitivement exclus des sphères du pouvoir et l’avenir de l’Europe se décidera sans eux. Voilà la situation, voilà le but recherché, et nous en sommes très proches, Mesdames et Messieurs !

    Viktor Orban a enfin fait le bilan des élites occidentales, démontrant qu’elles étaient en train de détruire l’Europe par fanatisme idéologique :

    Dans l’Europe chrétienne, le travail était respecté, l’homme avait sa dignité, l’homme et la femme étaient égaux, la famille était la base de la nation, la nation était la base de l’Europe, et les Etats étaient garants de la sécurité. Dans l’Europe de la société ouverte d’aujourd’hui, il n’y a plus de frontières, les Européens sont interchangeables avec les immigrés, la famille est devenue un cadre de cohabitation variable selon les goûts, la nation, la conscience nationale, le sentiment d’appartenance à une nation sont considérés sous clef négative et comme devant être dépassés, et l’Etat ne garantit plus la sécurité en Europe.
    Etre Européen dans l’Europe libérale ne signifie en réalité rien, cette Europe ne donne aucune orientation, elle n’est qu’une forme sans contenu. Et de plus, Mesdames et Messieurs, la démocratie libérale s’est transmuée – je fais maintenant droit à la provocation de M. le Pasteur Tőkés, comme quoi je dois dire quelque chose de l’illibéralisme – la démocratie libérale s’est donc transmuée pour devenir une « non-démocratie libérale ». Cela veut dire qu’en Occident il y a le libéralisme, mais pas la démocratie.

    Cette dénonciation du nihilisme occidental est absolument fondamental et c’est la première fois qu’un chef de gouvernement européen articule parfaitement la situation historique et idéologique dans laquelle se trouve l’Europe contemporaine, c’est-à-dire au bord de l’anéantissement.

    Face à la mystique de l’utopie égalitariste et sans-frontiériste qui pave la voie de l’islamisation du continent et de sa tiers-mondisation, Orban appelle l’Europe Centrale à se dresser et à repousser la menace incarnée, essentiellement, par la France et son régime républicain pré-islamique.

    Source : Visegrad Post