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Christianophobie - Page 82

  • Les milices antifas sont financées par la fausse droite et jamais inquiétées par les forces de l' ordre et la justice !

     

    Véritables sbires à la solde du pouvoir, attaquant les locaux de la dissidence dans une impunité totale (sauf quand ils s’en prennent à des israélites), les Antifas multiplient les actions violentes contre les locaux identitaires, que ce soit à Chambéry, à Clermont-Ferrand et cette fois à Angers.

    La cible était le bar identitaire Alvarium, victime comme ses frères d’autres cités françaises de campagnes de calomnie s distillées par la PQR de gauche (pléonasme). Le samedi 22 septembre, tout ce que Angers comptait de nostalgiques de la peste rouge (environ 200 personnes à l’appel du Réseau Angevin Antifaciste) a pu saccager le centre-ville d’Angers en toute impunité.

    Le bar L’Alvarium, cible de ces nervis, a publié ce communiqué sur Facebook :

    « Alors que depuis des mois notre association est la cible tant des antifascistes que des tracasseries administratives orchestrées par le maire d’Angers Christophe Béchu, la communauté de l’Alvarium souhaite réagir à l’actualité du festival antifasciste. Celui-ci s’est déroulé tout au long de la semaine à l’Etincelle, à qui nous découvrons que la mairie a alloué plus de 50 000 euros depuis 2015, en subventions ou en loyers gratuits…. Ce festival se clôturait par une manifestation antifasciste cet après-midi, réclamant entre autre la fermeture de l’Alvarium.. Comme il fallait s’y attendre cette manifestation a été ponctuée d’agressions, de dégradations et d’incendies…Comment Béchu ose-t-il subventionner l’antifascisme, violent par essence -et ce depuis ses origines- tout en l’ayant nié à de nombreuses reprises et en nous ostracisant pour “extrémisme” ? Comment ose-t-il désormais condamner les violences et dégradations dont il est le premier responsable ? Ces subventions doivent cesser, et Christophe Béchu doit démissionner ! De même pourquoi le préfet a-t-il autorisé cette manifestation non déclarée ? Quant aux antifascistes qui ont clamé tout l’après-midi “un flic une balle, un faf une rafale” nous les invitons à cesser de pousser à une violence gratuite qui a si mal réussi à leur camarade Clément Méric. De même leur anticapitalisme de papier consistant à abîmer des banques tout en arborant les marques les plus à la mode et en favorisant l’immigration massive, armée de réserve du Capital -qu’ils n’ont sans doute pas lu- a-t-il quelque chose de totalement dangereux et incohérent. La communauté de l’Alvarium apporte son soutien aux petits commerces abîmés et dénonce fermement le saccage du mobilier urbain que devra payer le contribuable angevin (qui paye déjà les subventions aux antifas ou leur loyer à l’Étincelle…). Elle renouvelle sa volonté de continuer son action, quitte à pratiquer l’autodéfense si les pouvoirs publics ne suffisaient pas. Elle ne laissera pas la municipalité et la préfecture se défausser de leurs responsabilités dans le financement de la violence antifasciste».

    De nombreux incidents ont éclatés à l’issu du défilé : des gauchistes et autres anars ont brisé plusieurs vitrines d’agences bancaires, incendié une agende de la BNP-Paribas et ont attaqué des policiers en leur jetant des projectiles, faute de pouvoir s’en prendre à leur cible.. « La Ville d’Angers condamne avec la plus grande fermeté les violences et dégradations inadmissibles commises cet après-midi dans le centre-ville », a réagi de son côté la municipalité sur son compte Twitter, affirmant vouloir porter plainte. Elle pourrait déjà  faire repentance pour son soutien à ceux qui ont été à l’origine du saccage du centre-ville. L’aspect positif de cette casse est que les antifas, toujours aussi trouillards, ont annulé leur petite fête par peur de représailles contre eux. Rappelons que Christophe Béchu, maire ex-LR d’Angers (il a quitté le parti en décembre 2017), a versé 50 000€ à L’Etincelle, une association d’”antifas”, aux méthodes violentes.

    Ce n’est pas la première fois que les dégénérés angevins veulent s’attaquer au bar. Déjà, les 16 et 17 avril 2018, ils s’en étaient pris courageusement et anonymement aux domiciles personnels des patriote et de leurs familles, mais aussi celle de l’animateur du Cercle Anjou Conférence Gaétan Dirand. Avec la lâcheté coutumière des héritiers des profanateurs de tombes de la guerre d’Espagne, c’est sur le cimetière de famille d’un des membres des patriotes angevins que les militants antifascistes ont cru bon d’écrire leurs menaces. N’oublions jamais que c’est ce genre d’idées que défendait un certain Clément Méric !

    Hristo XIEP

     

  • Quand les racailles s' assemblent ...

     

    Dans la com de Macron, il y a les jeunes et les ‘djeunes’.

    Qu’ils soient jeunes lycéens radical-chic ou ‘djeunes’ sortant de prison, Emmanuel Macron devant leurs insolences pose différemment. Pour le gamin qui s’essaye à l’effronterie, il joue au président sûr de sa fonction, face aux malabars aux gestes obscènes il s’écrase naturellement.

    Qui ne se souvient pas de cette vidéo dans laquelle on voyait un Macron donnant sentencieusement, à Suresnes, une leçon de respect à un gringalet boutonneux poussé par un élan de faible hardiesse à son égard en l’appelant Manu. « Tu te comportes comme il faut », lui rétorque alors Emmanuel Jupiter Macron. Et surtout « tu m’appelles monsieur le Président ou Monsieur ».

    Autre décor, autres mœurs : pas de leçon de respect pour les deux malabars avec qui il se fait prendre en photo lors de son voyage officiel dans l’île de Saint-Martin aux Antilles : l’un d’eux fait un doigt d’honneur et l’autre, braqueur sortant de prison, les cornes du diable. Jupiter a perdu de sa superbe… et ces ‘djeunes’ ont obtenu de l’impunité à perpétuité…

     

  • Macron, homme de paille au service du mondialisme .

    Duel à l’AG des Nations unies. Droits de l’homme ou loi du plus fort? Souverainisme ou gouvernement libéral mondial? D’un côté, Trump, sûr de sa force; de l’autre Macron, plein de fougue et de passion. Mais concrètement, pour quel résultat? Décryptage du discours de Jupiter face à Trump, un combat à distance sans vainqueur, mais avec un vaincu.

    L'ordre mondial libéral est en phase terminale. Les chefs d'État, par leurs plaidoyers ou leurs silences sur la plus grande scène diplomatique du monde, l'assemblée générale des Nations unies, l'ont confirmé.

     

    Pourtant, face à l'absence de la Chine, de l'Inde et de la Russie, face à la loi du plus fort prônée par les États-Unis, un homme s'est dressé. Il a exhorté toutes les nations à réinventer l'ordre mondial, en défendant les valeurs universelles des droits de l'homme et en militant pour un «nouvel humanisme contemporain». Plein de force et de passion, cet homme a déclamé une ode enflammée au concert des nations et au multilatéralisme. Il s'est opposé- avec finesse parce qu'il ne l'a jamais nommé- à l'homme le plus fort du monde, il a blâmé les lâches et les peureux et incité ses homologues à résoudre les crises que traverse l'humanité. C'est «le champion de la terre», Emmanuel Macron, Président de la République française.

     

    «La loi du plus fort, la tentation pour chacun de suivre sa propre loi: cette voie, celle de l'unilatéralisme, nous conduit directement au repli et au conflit, à la confrontation généralisée de tous contre tous, au détriment de chacun.»

    Critiqué et de plus en plus isolé en France et en Europe, Emmanuel Macron a choisi la scène internationale pour réaffirmer son leadership en s'opposant à son «ami» Donald Trump, moqué à la tribune de l'ONU à cause de son narcissisme...

    La «bromance» est terminée et le divorce semble consommé entre les deux chefs d'État. L'exemple le plus parlant semble être la gestion du cas iranien. Alors que Donald Trump appelle à isoler «la dictature corrompue», «le principal sponsor du terrorisme dans le monde», Emmanuel Macron a surfé sur l'annonce européenne de la création d'un système de troc, la veille de son discours, pour réaffirmer que seul le dialogue et le multilatéralisme, à l'instar de l'accord de Vienne de 2015, parviendraient à maintenir l'Iran dans le concert des nations.

    Bien que la réaction soit tardive, cet acte pourrait être le symbole de la diplomatie traditionnelle française: équilibre dans ses relations au Moyen-Orient, dialogue avec la Chine et la Russie, harmonie européenne. Mais seul l'avenir montrera si Macron incarnera finalement cette politique ou si elle restera au stade de la communication «gaullo-mitterrandienne».

    S'il se targue de saisir les grands changements mondiaux, pour rester au Proche-Orient, le Président semble ne pas comprendre la réalité du conflit israélo-palestinien. Après la déclaration de «Jérusalem capitale d'Israël», Washington a arrêté d'allouer des fonds aux réfugiés palestiniens et a bloqué ses investissements à Gaza et en Cisjordanie. Quant à Tel-Aviv, Netanyahou continue son blocus de la bande de Gaza, a fait adopter la loi sur «l'État-nation» et ne cesse d'implanter de nouvelles colonies, rendant absolument caduque la solution à deux États. Et pourtant Macron a répété LA solution:

    «Qu'est-ce qui permettra de régler la crise entre Israël et la Palestine? À coup sûr, pas des initiatives unilatérales, ni le fait d'ignorer les droits légitimes des Palestiniens pour obtenir une paix durable, ni de sous-estimer le droit légitime des Israéliens à leur sécurité. Il n'y a pas d'alternative crédible à la solution de deux États vivant côte à côte en paix et en sécurité, avec Jérusalem pour capitale.»

    Quant à la Syrie, il appelle à davantage d'échanges entre les puissances impliquées et celles du Conseil de sécurité pour résoudre la crise et construire une solution politique, oubliant que seuls les pays du groupe d'Astana avaient réellement la main dans ce dossier, où la France est hors-jeu depuis le début de la guerre par sa politique incohérente, comme ce fut notamment le cas en bombardant la Syrie en avril dernier.


    Et pourtant, cinq mois après, le chef de l'État parvient à déclarer ceci:

    «Nous sommes en train aujourd'hui, se voir se déliter ce droit international, toutes les formes de coopération comme si de rien n'était, par peur, par complicité, parce que cela fait bien! Non, moi je ne m'y résous pas!»

    La France a-t-elle respecté le droit international ou a-t-elle agi par complicité avec les puissances anglo-saxonnes, parce que «cela fait du bien»? Non, elle l'a fait «pour l'honneur de la communauté internationale, dans un cadre légitime et multilatéral», selon le Président. Le mot est lâché. Jupiter défendra sans cesse le multilatéralisme que l'on pourrait résumer ainsi: seul ou à deux, c'est nul, à trois ou plus, c'est bien. Et il devrait en être ainsi pour les échanges économiques:

    «Qu'est-ce qui réglera le problème des déséquilibres commerciaux? Des règles communes permettant d'assurer des conditions de concurrence loyales, égales, et en aucun cas un traitement bilatéral de tous nos différends commerciaux ou un nouveau protectionnisme.»

    Emmanuel Macron a donc aussi défendu le multilatéralisme pour le commerce et a dénoncé le protectionnisme et les relations bilatérales mises en place par Donald Trump pour rééquilibrer la balance commerciale de son pays. En effet, le Président américain a appelé son partenaire et concurrent chinois à des échanges plus «justes et équilibrés» puis s'est fendu d'une nouvelle salve contre le système du commerce mondial en fustigeant «l'idéologie du mondialisme». Pour un adapte des traités de libre-échange…

    De plus, le nouveau «champion de la terre», plein de pragmatisme, a exhorté ses homologues à conditionner tout accord commercial au respect de l'accord de Paris, donc à isoler les États-Unis d'Amérique, première puissance mondiale, qui a osé sortir (avec raison)du Traité universel sur le climat ... :

    «Ne signons plus d'accords commerciaux avec les puissances qui ne respectent pas l'accord de Paris.»

    Enfin, faisant encore référence à son nouvel «opposant mondial», Emmanuel Macron a rejoué un numéro d'équilibriste sur le thème de l'immigration pour critiquer une nouvelle fois la position de ses opposants lors des prochaines élections européennes:

    «Face au grand défi migratoire, je ne crois pas aux discours d'ouverture inconditionnelle. Ils ne font que provoquer l'inquiétude et accroître l'intolérance. Je ne crois pas davantage aux discours mensongers de ceux qui prétendent, par exemple en Europe, comme ailleurs, qu'ils seront plus forts abrités derrière une fermeture des frontières, ce n'est pas vrai.»

    Ainsi, sur le fond, si son intervention peut être perçue comme équilibrée… ou branlante, question de point de vue, elle semble dénuée de solution concrète, le Président appelant à des réformes en reprenant le même modèle. Quant à la forme du discours, elle est sans appel: Jupiter, plein d'emphase, a dénoncé une société du spectacle… puis s'est fait applaudir… par une salle quasi vide. Menaçant, parfois exalté, il a tapé du poing sur la «table» à de nombreuses reprises… et une nouvelle fois sur la France:

    «Nous sommes un pays qui a fait beaucoup d'erreurs, de mauvaises choses.»

    Qu'il prenne garde toutefois à ce que certaines de ses formules-chocs ne se retournent pas rapidement contre lui…