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Christianophobie - Page 78

  • Pacte Mondial sur les migrations : l’Église conciliaire est ‘pour’ !

     

    Alors que de nombreux pays occidentaux ont signifié qu’ils refusent de signer, le 10 et 11 décembre prochains, l’actuel Pacte mondial sur les migrations préparé par l’ONU, l’Église officielle se dit favorable à l’accord.

    Somme toute rien d’étonnant pour cette Rome post-concile : en s’ouvrant largement au monde moderne et à ses modes depuis 50 ans, la hiérarchie conciliaire a fait sienne comme doctrine politique et sociale le messianisme progressiste, recette soi-disant miracle pour apporter le bonheur à une humanité matérialiste amplement déchristianisée. Melting-pot, multi-culturalisme, destruction des nations et des peuples, abandons des traditions, syncrétisme religieux, sont quelques unes des conséquences pratiques de ce progressisme idéologique qui aujourd’hui rime avec mondialisme. Le Pacte mondial sur les Migrations n’est qu’un palier pour atteindre ce monde global sans frontières, le « meilleur des mondes » prophétisé par Aldous Huxley.

    Ayant longuement collaboré à l’élaboration de ce texte en soumettant un document de 20 propositions concrètes, « fruit de ce que nous faisons, vivons et rêvons », le Saint-Siège met en branle sa communication afin de faire la propagande pour cet accord favorisant la nomadisation de l’être humain et empêchant à terme les nations de contrôler leurs frontières. Le père Michael Czerny, sous-secrétaire de la Section Migrants et Réfugiés du Dicastère pour le Service du Développement humain intégral, un « machin » inventé par le pape François, dans un récent entretien à l’Agence SIR, demande au nom du Vatican « une migration sûre, ordonnée et régulière surtout pour les plus vulnérables ».

    « Le Saint-Siège, explique-t-il, a travaillé beaucoup pour le développement de ce Pacte. Nous espérons pouvoir encourager les Églises de chaque pays à accompagner ce processus très important qui représente la volonté, le souhait et la politique de l’Église par rapport aux migrants, surtout les plus vulnérables. »

    « Nous sommes très contents, ajoute-t-il, de voir que le Pacte Mondial sur les migrations, est basé sur le désir de promouvoir le dialogue et la culture de la rencontre. Même si la peur a ses raisons, il ne faut pas laisser la peur décider. »

    Malgré l’échec patent du « vivre-ensemble » aux quatre coins de la planète, malgré un rejet toujours plus massif de l’invasion migratoire en de nombreux pays, l’Église conciliaire ne dévie pas d’un pouce de la pensée immigrationniste et immigrophile qui prévaut en son sein depuis des décennies. Au contraire, une nette amplification du discours de l’accueil s’est manifestée avec le pape François.

     

    Accrochées aux chimères d’un utopique retour à l’humanité originelle, à une fraternité humaine régénérée dans un nouveau monde d’où la Croix de Dieu est évincée, à une unité de la famille humaine fondée sur la solidarité mondiale, ces élites conciliaires, tout en encensant l’expression phare du “dialogue et de la culture de la rencontre” que sont les rencontres inter-religieuses d’Assise, sont séduites par l’antique rêve des constructeurs de la tour de Babel aux origines du monde. De ces hommes qui osaient défier Dieu dans ce monument d’impiété et de folie, en essayant d’atteindre le ciel par leurs propres efforts ; en désirant établir le paradis sur terre sans la Royauté du Christ, en établissant une unité entre tous les hommes en dehors du Père qui les a créés, du Fils qui les a rachetés…

    Immigrationnisme et apostasie font bon ménage dans la Rome néo-moderniste, agents collaborateurs du mondialisme…

    Francesca de Villasmundo

     

  • 79% des Français considèrent que le pays accueille «trop d'étrangers» .

    79% des Français considèrent que le pays accueille «trop d'étrangers» et qu'ils sont «suffisants», comme en témoignent les résultats d’un sondage de l'Ifop, réalisé pour le Journal du dimanche.

    Selon un sondage de l'Ifop, réalisé en partenariat avec la Fondation Jean-Jaurès et l'American Jewish Committee pour le Journal du dimanche, huit Français sur dix considèrent que la France ne doit plus accueillir de migrants.

     Selon le sondage, 52% des français estiment que le pays accueille «trop d'étrangers» et un peu plus du quart des répondants (27%) estiment qu'ils sont «suffisants». Comme le conclut le JDD, «cela signifie que 79% des répondants ne veulent plus accueillir ces personnes (migrants — ndlr.)».

     Comme le note le journal, les Français expliquent cette attitude par la crainte qu'une telle «politique hospitalière» ne conduise à une augmentation des flux de migrants — c'est ce que 77% des sondés ont répondu.

    En outre, 71% craignent que l'utilisation de migrants comme main d' oeuvre ne permette pas une «augmentation de salaire» et 60% estiment que la différence de «valeurs» entre les Français et les étrangers empêche toute coexistence pacifique.

    De manière générale, cette attitude négative à l'égard de la politique migratoire du pays est confirmée par le fait que 53% des Français estiment que cette situation augmente le risque d' attentats et que 7 personnes sur 10 estiment que le pays ne dispose plus des ressources nécessaires pour continuer à accueillir les migrants !

     
  • Tandis que Castaner accuse les Gilets Jaunes d’alimenter le terrorisme, Macron visite le quartier islamiste belge d’où vient Salah Abdeslam ! ...

     

    BREIZATAO – POLITIKEREZH (20/11/2018) Alors que le ministre de l’Intérieur français, Christophe Castaner, accuse le mouvement des Gilets Jaunes de « favoriser le terrorisme », le président français était en déplacement… à Molenbeek, une enclave musulmane de Bruxelles connue pour avoir protéger Salah Abdeslam, djihadiste des attentats du Bataclan.

    Marianne (source) :

    Haro sur les gilets jaunes. Invité ce mardi 20 novembre de la matinale de France 2, le ministre de l’Intérieur Christophe Castaner a dénoncé la « dérive totale d’une manifestation qui pour l’essentiel était bon enfant samedi »Et de marteler : « On voit qu’on a une radicalisation, avec des revendications qui ne sont plus cohérentes, qui vont dans tous les sens ». La veille déjà, le fidèle parmi les fidèles d’Emmanuel Macron n’avait pas hésité à pointer la responsabilité des gilets jaunes, qui monopolisent des effectifs de police, en cas… d’éventuelle attaque terroriste.
    Alors « que notre pays doit faire face à des risques sécuritaires majeurs, dont le risque terroriste qui est toujours présent, a-t-il ainsi lancé lors d’une conférence de presse lundi soir, il faut avoir en tête que la mobilisation massive de nos forces de sécurité a aussi un effet sur notre capacité à intervenir sur d’autres sites du territoire »… En clair, le risque d’attentat est décuplé par les manifestations des gilets jaunes.

    Emmanuel Macron, qui a quitté la France samedi au début du mouvement, n’a pas daigné répondre aux centaines de milliers de personnes mobilisées.

    Il était aujourd’hui à Bruxelles où il a longuement vanté l’enclave musulmane de Molenbeek, connue pour sa radicalisation islamique.


    Une réalité notoire, toujours d’actualité.

    C’est de cette ville que venait le commando djihadiste qui a tué près d’une centaine de personnes au Bataclan et également c’est là que s’est replié pendant 4 mois le djihadiste Salah Abdeslam, protégé par la population musulmane locale.

     

    Il semble donc que le mouvement populaire des Gilets Jaunes, opposé au racket fiscal gouvernemental piloté depuis Paris, représente un « danger terroriste » plus grand que les islamistes voulant passer à l’action armée dont le nombre est évalué à près de 20,500 en France (lire ici).

    C’est une augmentation de 2,000 activistes liés à la mouvance terroriste islamique en une seule année (source).