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Christianophobie - Page 72

  • Les mensonges du franc-maçon BLANQUER.

    Depuis quelques temps, nous voyons poindre la grosse supercherie en ce qui concerne les évaluations dont se glose le ministre de l’Education .

    Ne nous laissons pas berner – une fois de plus – par le discours de Monsieur BLANQUER qui, en plus d’être un véritable désinformateur – tout comme ses prédécesseurs puisqu’ils s’abreuvent à la même source – continue néanmoins à être perçu – lui – comme le redresseur de torts, ce qui est un comble !

    JM. BLANQUER nous présente la question de l’évaluation comme si nous n’avions jamais évalué le travail des élèves et comme s’il se lançait dans une entreprise destinée à « consolider le grand service public de l’Education Nationale », c’est d’ailleurs ce qu’il prétend sans vergogne.

    En réalité, comme pour tout ce qu’il dit et pour tout ce qu’il fait, il faut aller chercher le « loup », et le « loup », on le trouve toujours !

    Suivons sa trace…

    Un renforcement des évaluations ?

    Le 24 octobre 2018, faisant une communication en conseil des ministres, Monsieur BLANQUER avait affirmé : « pour ‘consolider’ (sic) un grand service public de l’éducation au XXIème siècle, l’Education Nationale s’appuie sur plusieurs leviers de transformation

    «… Pour cela, l’Education Nationale développe une véritable culture de l’évaluation (…):

    « . A côté des évaluations internationales et des évaluations des acquis des élèves, le projet de loi pour l’Ecole de la confiance prévoit :

    « . La création d’une instance nationale d’évaluation des établissements scolaires dans une logique d’audit portant sur :

    • Les enjeux des ressources humaines, budgétaires et pédagogiques,

    • La sécurité,

    • Le climat et la qualité de la vie scolaire… ».

    Ce discours, qui donne l’impression d’un renforcement des évaluations, assène au contraire, la preuve du contraire à qui connaît les arcanes de la désinformation dispensée à jets intermittents mais réguliers par Monsieur Blanquer .

    Le « loup » planqué dans les déclarations de Blanquer

    Pour bien comprendre le discours de BLANQUER, il faut rappeler qu’en vertu de la loi de refondation de l’Ecole du 7 juillet 2013, deux systèmes éducatifs parallèles fonctionnent :

    . un pour les élèves issus de l’immigration – et de l’immigration la plus récente – au sein des réseaux d’éducation prioritaire (REP et REP+), basé sur la transmission du savoir et la recherche de l’excellence des résultats,

    . un pour les autres enfants basé sur des activités qui se substituent aux cours transmetteurs du savoir, sans obligation de résultat, autrement dit, système exactement inverse de celui qui caractérise une institution scolaire, mais conforme à un simple « lieu de vie ».

    Dans ces conditions, il est évident que pour chacun de ces publics, les évaluations ne peuvent pas être les mêmes.

    C’est bien ce que formule Blanquer quand il déclare : «… à côté des évaluations internationales et des évaluations des acquis des élèves … », il dit bien «… à côté… » et non pas, «… en plus… ».

    Autrement dit, il n’y a pas superposition d’évaluation pour un même public, mais deux types d’évaluation pour deux publics différents.

    Deux types d’évaluation pour deux publics différents

    D’une part, les évaluations internationales et l’évaluation des acquis des élèves, qui ne peuvent être destinés qu’à ceux issus de l’immigration au sein des réseaux d’éducation prioritaire (1200 sur le territoire national), puisqu’eux seuls bénéficient non seulement d’une véritable scolarité, mais d’une scolarité d’excellence,

    D’autre part, l’évaluation des établissements pour les autres, cette évaluation ne pouvant évidemment pas porter sur des résultats d’élèves puisqu’il n’y est plus question de faire cours, donc il ne peut pas davantage y être question d’obligation de résultat .

    Et sur quoi va porter l’évaluation des établissements ? Elle va porter sur « les enjeux des ressources humaines et pédagogiques » autrement dit sur le remplacement progressif du personnel qualifié par du personnel sans qualification (professeur remplacé par des « emplois-avenir-professeur » créés par V.Peillon désormais appelés « contractuels »), ce qui constitue la garantie la plus sûre pour que ces personnels n’aient pas la tentation d’enseigner mais seulement d’accompagner les élèves dans leurs activités au cours desquelles ils sont censés construire leur savoir eux-mêmes. Seront également évalués la « sécurité, le climat et la qualité de la vie scolaire » !

    Autrement dit, rien à voir avec des résultats scolaires, seulement une évaluation sur les moyens mis en œuvre dans un établissement-« lieu de vie ».

    Conclusion

    Que va-t-il en résulter ?

    Tout simplement que les évaluations internationales – type PISA – sur les acquis des élèves seront faites essentiellement sur les élèves issus de l’immigration des classes des réseaux d’éducation prioritaire (REP et REP+) à qui est dispensé un enseignement d’excellence avec des « méthodes pédagogiques efficaces » (sic) et pour tous les autres, c’est la disparition pure et simple de l’évaluation des acquis au « profit » de l’évaluation des établissements !

    Et que va nous annoncer Blanquer ?

    Que les résultats enregistrés au cours des évaluations internationales sont satisfaisants, que grâce à lui, grâce à sa politique éducative, de nets progrès sont déjà acquis et que…le niveau monte !!!

    Voilà le tour de passe-passe de ce mêêêr-veilleux Blanquer que vont encore sans doute ne pas manquer d’aduler tous les « cocus-contents ripoublicains » réfractaires à la réalité qui les dérange !

     

  • Macron et son gouvernement : provocation, mépris et dénigrement des français .

     

    ALORS que le mouvement des gilets jaunes dure depuis bientôt trois mois, le président de la République, loin d’écouter la colère, le désarroi et la détresse de ces Français qui n’en peuvent plus de conditions de vie de plus en plus détériorées, multiplie les provocations verbales et continue à se moquer du monde, preuve que ce monstre technocratique est sans cœur, sans principe et sans honneur. « Si être Gilet jaune, c’est vouloir moins de parlementaires et que le travail paie mieux, moi aussi je suis Gilet jaune », a ainsi déclaré Emmanuel Macron le 31 janvier devant des journalistes du Système lors d’un entretien au coin du feu. Pire, il s’en est pris ouvertement aux manifestants qui ne sont, selon lui, que « 40 à 50 000 militants ultras qui veulent la destruction des institutions ». D’ailleurs, selon Paris-Match, présent lors de ces confessions, Emmanuel Macron assure ne pas croire aux sondages relayant que plus de la moitié des Français (69 % selon le dernier sondage BVA) soutiendraient cette colère. Ce qui est une façon de nier la réalité et de mépriser la vox populi.

    L’homme qui nous tient lieu de chef de l’Etat s’est également fermement opposé au principe de « votations populaires » comme elles existent dans la Confédération helvétique après avoir déjà rejeté la mise en œuvre du Référendum d’initiative citoyenne, le fameux RIC. « On n’est pas du tout fait pour ça, a déclaré péremptoirement l’Elyséen.

    La France n’est pas la Suisse et la Suisse ne marche pas aussi bien qu’on le pense. Le modèle suisse est inadapté. La Suisse, c’est 6 millions de personnes. Et d’ailleurs les Suisses, comme disait je ne sais plus qui, ils commencent toujours avec des questions de gauche et ils finissent avec des réponses de droite. » On ne saurait exprimer avec plus de force et de morgue le mépris du peuple et le refus de lui donner réellement la parole, de répondre à ses craintes, à ses demandes, à ses aspirations. Si le peuple pense à droite, il ne faut surtout pas lui donner la parole. Pis, s’il pense mal, il faut le dissoudre, lui, et non l’Assemblée !

     

     Que ce soit Macron ou un autre, jamais le pouvoir oligarchique, pro-migrants et pro-LGBT, ne rendra la parole au peuple.

    Ni sur les sujets dits sociétaux et civilisationnels, ni sur les grandes questions qui déterminent l’avenir de notre nation, ni sur un programme de véritable justice sociale. Alors que les gilets jaunes demandent simplement à pouvoir vivre de leur travail, à se nourrir, à se chauffer, à se soigner, à élever leurs enfants dans des conditions décentes et qu’on cesse de leur pourrir la vie avec la multiplication incessante des taxes, des impôts, des radars, de dogmes écologiques, de législations liberticides bridant chaque jour davantage les libertés de circuler, de s’exprimer, de manifester, Macron envisage de coupler les élections européennes du dimanche 26 mai avec un référendum portant sur des questions aussi vitales que l’éventuelle diminution du nombre de parlementaires ou la limitation dans le temps du cumul des mandats ! Peut-on davantage mépriser le peuple ? Peut-on manifester de manière plus cinglante, plus radicale que l’on n’a cure de ce cri de détresse d’un peuple qui ne veut pas mourir ?  

    Après avoir promis de distribuer quelques misérables pièces jaunes le 10 décembre, ayant alors senti le vent du boulet, après avoir organisé un débat national complètement pipé avec des maires complaisants soigneusement sélectionnés, et où toutes les questions essentielles n’ont pas droit de cité (ni l’immigration, ni le rétablissement de la peine capitale, ni l’abrogation des lois anti-familiales et immorales, ni le rétablissement du franc et la sortie de l’Union européenne, ni le poids excessif et délétère des banques et de la finance internationale), Macron entend neutraliser la colère populaire en organisant un référendum totalement bidon où ne seront posées que des questions totalement subalternes et sans aucun rapport avec la souffrance réelle et profonde d’un peuple qu’on nie dans son existence, qu’on n’entendait jamais jusque-là à la télévision et à la radio où ne sont promues que des minorités (très) visibles voire ostentatoires et qu’on est en train d’assassiner et de remplacer. D’assassiner par le refus d’encourager une politique familiale et nataliste ambitieuse, par la promotion dès l’école de toutes les déviances, par la diffusion massive de la pornographie. De remplacer par une immigration de peuplement qui se substitue chaque jour davantage dans les villes, dans les quartiers, dans les maternités, dans les administrations, dans un nombre grandissant de corps de métiers aux Français de souche.

     

    NOTRE PEUPLE, on ne le dira jamais assez, subit à la fois aujourd’hui le Grand Remplacement, le Grand Déclassement et le Grand Effacement.

    Le Grand Remplacement, on l’a dit, par une immigration de masse qui modifie chaque jour davantage la substance du pays et jusqu’à la composition de nos rues et de nos paysages.

    Le Grand Déclassement par la paupérisation des classes moyennes et des catégories populaires qui ont de plus en plus de mal à finir leur fin de mois.

    Et enfin le Grand Effacement car ce peuple n’est nullement représenté dans les institutions et palais de leur République, non plus que sur le petit écran où l’on ne voit que des militants LGBT, des allogènes et des membres d’une communauté étoilée.

    Alors que la France est le pays d’Europe qui a à la fois sur son territoire la communauté juive et la communauté mahométane la plus nombreuse, les Français de souche, les Gaulois tendent chaque jour davantage à disparaître.

    Si les radars automatiques les traquent sur les routes et les autoroutes, ils ont en revanche totalement disparu des radars du gouvernement tellement ils sont absents des préoccupations d’un pouvoir oligarchique qui n’a au contraire de cesse de les domestiquer, de les martyriser, de les culpabiliser et de les remplacer. 

    Sait-on suffisamment qu’il existe une délégation ministérielle spécialement chargée de traquer tous les Français lucides et traités comme des délinquants de la pensée ? Il s’agit de la DILCRAH (c’est presque pareil que la LICRA tant au niveau des principes que de la sonorité !), la Délégation interministérielle à la lutte contre le Racisme, l’Antisémitisme et… la Haine anti-LGBT !

    Non, vous ne rêvez pas, les pouvoirs publics mènent une guerre de chaque instant contre leur peuple : si celui-ci refuse l’immigration de masse, il est accusé de racisme, s’il en a plus qu’assez des culpabilisations incessantes et de l’obsession autour de la dernière guerre, il est suspecté d’antisémitisme, le crime des crimes, et s’il trouve que le lobby LGBT en fait quand même trop et que cela devient insupportable, il est accusé d’homophobie, autant de délits passibles de fortes amendes,  de peines de prison ferme et d’une relégation sociologique et professionnelle bien réelle.

    Ce n’est donc pas seulement Macron qu’il faut destituer, c’est cette République criminelle, ce régime abject et contre-nature qu’il faut balayer. Il en va de la survie de notre peuple, de notre nation, de notre civilisation.

     

  • Nouvelle offensive de propagande LGBT dans les écoles !

     

    Le ministre de l’éducation nationale Jean-Michel Blanquer, soutenu par la secrétaire d’Etat Marlène Schiappa, s’est réjoui de pouvoir annoncer une nouvelle campagne de propagande dans les écoles : « Collèges et lycées engagés contre l’homophobie et la transphobie : tous égaux, tous alliés ».

     

     

    Le site internet du ministère de l’éducation nationale décrit les objectifs de cette campagne « Tous égaux, tous alliés »...

    Affirmer l’opposition de l’institution scolaire à toute forme de discrimination et de violence LGBTphobes ;
    Mobiliser l’ensemble de la communauté éducative en engageant chacun et chacune à soutenir les jeunes LGBT face aux difficultés qu’ils sont susceptibles de rencontrer dans le cadre scolaire (ndlr : à quand l’instauration d’une mesure officielle de discrimination positive en faveur des élèves qui se déclareront LGBT ?)  ;
    Lutter contre l’invisibilisation des jeunes LGBT, terreau à la fois de l’homophobie et de la transphobie et du mal-être de certains adolescents (ndlr : avec de la propagande LGBT matin et après-midi pour que chacun soit bien encouragé à se sentir plus valorisé s’il se déclare LGBT ?) ;
    Engager une dynamique positive en matière de climat scolaire en portant l’idée que chaque établissement doit veiller à créer un climat sécurisant pour tous et toutes ;
    Développer des solidarités, notamment entre élèves, et des initiatives contre les discriminations ;
    Promouvoir le « zéro tolérance » à l’égard des injures sexistes et LGBTphobes ;
    Rappeler l’existence du service d’aide à distance ecoute.contrelhomophobie.org, accessible à toutes et tous par téléphone, courriel et chat.
    Tout en dénonçant les violences homophobes et transphobes, la campagne « tous égaux, tous alliés » véhicule un message positif qui valorise la diversité (ndlr : ici, il y a bien aveu d’une propagande LGBT) et invite à s’engager en faveur d’un climat scolaire plus inclusif et plus propice au bien-être et à la réussite de chacun. Le ministère souhaite ainsi provoquer un changement d’état d’esprit, afin que s’exprime dans les établissements scolaires davantage de bienveillance à l’égard des jeunes LGBT et que le discours homophobe et transphobe s’y trouve marginalisé.

    L’école a pour mission de transmettre des savoirs (qu' elle ne transmet plus depuis des lustres ...), pas d’inculquer une propagande LGBT ! Parents, réveillez-vous !