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Christianophobie - Page 63

  • un TGV "arc-en-ciel" !

     

     

    A l’occasion du 50e anniversaire de la révolte gay de Stonewall à New-York et du mois des immondes GayPride, le TGV se pare des couleurs arc-en-ciel. Les premier et dernier wagons ont été peints des couleurs symboles du mouvement Lgbt agrémenté du slogan :

    « Stonewall, 50 de fiertés Lgbt+ ».

    Derrière cette initiative il y a GARE, l’association des personnes Lgbt du groupe ferroviaire SNCF.

    L’idéologie gay court toujours plus vite et tous les moyens, même le train à grande vitesse, sont bons pour diffuser le credo lgbt+ ! Avec nos impôts, bien entendu…

    Francesca de Villasmundo

     

  • Chasse aux Eglises à Jérusalem .

     

    Nous avons déjà largement évoqué l’imposture sioniste qui, pour « légitimer » la supposée continuité historique d’une présence et d’une souveraineté juive, instrumentalise et déforme l’histoire de la vieille ville de Jérusalem qui, depuis au moins quinze siècles n’a plus rien de proprement juive…

    Au point que les fameux quartiers juifs (dont l’emblématique mea sharim) ont été construits à partir des années 1870 sur des terrains alors achetés « hors les murs » par des ashkénazes russes proches de Hertzl…

    Au point que, pour gommer les repères historiques, certains petits malins songent très sérieusement aujourd’hui à détruire la muraille d’enceinte de Soliman !

    https://infos-israel.news/est-il-temps-de-detruire-les-murs-de-la-vieille-ville-de-jerusalem-le-conseiller-municipal-arieh-king-a-fait-la-demande/

    Depuis l’envahissement consécutif à la guerre des 6 jours, la lâcheté internationale a permis à l’état d’Israël d’entamer, et aujourd’hui de poursuivre, en toute illégalité en regard du droit international, la colonisation de la Judée-Samarie et de la ville ancienne de Jérusalem qui n’appartiennent pas au pays…

    Dans la vieille ville, se poursuit le grignotage des antiques quartiers chrétiens et musulmans par les activistes sionistes et les promoteurs immobiliers (en Israël le pognon ne perd pas ses droits !).

    Les premiers quartiers visés sont évidemment les quartiers arméniens et orthodoxes (grecs) qui représentaient 70% de la superficie intramuros.

    Les cartes sont explicites !

    https://www.medias-presse.info/destruction-de-la-jerusalem-historique/103254/

    Depuis quelques années les autorités israéliennes se sont faites complices des spéculateurs qui cherchent à mettre la main sur les très importants patrimoines immobiliers des communautés religieuses…

    Cela, nous l’avons déjà souligné à propos d’une expulsion de moines coptes éthiopiens (guèzes) : la communauté chrétienne la moins importante et la moins médiatisée, donc la plus vulnérable.

    https://www.medias-presse.info/israel-rempart-de-la-chretiente-desormais-la-police-du-regime-chasse-les-religieux-chretiens-a-jerusalem/99885/

    Mais depuis déjà plus de dix ans une affaire judiciaire oppose le patriarcat grec (le plus gros propriétaire occupant de la vieille ville de Jérusalem) et le groupe activiste Ateret Cohanim qui, à travers des sociétés écran, cherche à récupérer les terrains du patriarcat et à s’opposer au renouvellement des baux emphytéotiques de 99 ans, souscrits au temps de la Palestine sous mandat britannique…

    https://fr.timesofisrael.com/baux-dans-la-vieille-ville-la-cour-supreme-statue-en-faveur-dateret-cohanim/

    Baux dans la Vieille Ville : la Cour suprême statue en faveur d’Ateret Cohanim

    Le jugement met fin à une bataille de 14 ans entre l’Eglise grecque-orthodoxe et un groupe pro-implantation, l’archevêque dénonce une décision “illégale et illégitime”

    « L’achat par Ateret Cohanim de baux emphytéotiques – renouvelables pour 99 années supplémentaires – via trois sociétés-écrans avait été contesté par l’Église, qui avait clamé que les accords avaient été ratifiés par un responsable qui s’était livré à des actes de corruption et qui n’avait pas été autorisé à conclure ces ventes. »

    [Soyons clairs : le signataire du patriarcat a été soudoyé !…

    L’archevêque Iranaios titulaire et responsable du patriarcat au début des années 2000 – destitué et rétrogradé depuis à cause de ce scandale – a souligné alors : « l’ancien directeur des finances, Nikolas Papadimos, avait utilisé une procuration qui lui avait été confiée dans d’autres dossiers pour finaliser les baux sans que lui-même en ait été averti. » L’intéressé, curieusement, a depuis disparu d’Israël…]

    /…

    « Dans un communiqué, l’archevêque grec-orthodoxe palestinien Atallah Hanna a qualifié la décision prise par la Cour suprême « d’illégale et illégitime ».

    « La saisie des propriétés historiques de la porte de Jaffa par des organisations extrémistes est une nouvelle catastrophe qui s’ajoute aux catastrophes et aux revers subis par la présence chrétienne dans cette Ville sainte », a-t-il déclaré, appelant à mener des actions pacifiques pour faire annuler cette acquisition.

    /…

    Ateret Cohanim tente de peupler la Vieille Ville et les quartiers de Jérusalem-Est de résidents juifs en achetant des biens immobiliers à leurs propriétaires non juifs, souvent par le biais de sociétés-écrans.

    Selon des documents du tribunal, trois sociétés-écrans – Berisford Investments Limited, Richards Marketing Corporation et la Gallow Global Limited – avaient signé des accords en 2004 avec l’Église concernant l’acquisition de trois baux de 99 ans : le premier pour l’hôtel Imperial, à hauteur de 1 million d’euros ; le deuxième pour l’hôtel Petra, d’un montant de 450 000 euros, et le troisième conclu pour un immeuble situé également dans la Vieille Ville, la Maison Muzamiya, au prix de 50 000 euros.

    Les deux hôtels – le New Imperial et le Petra – sont situés entre la porte de Jaffa et l’entrée du marché arabe. »

    « Ce jugement représente une victoire immense pour Ateret Cohanim.

    Toutefois, sa signification pratique reste peu claire, parce que les familles qui dirigent les deux hôtels – les familles Dajani au New Imperial et Kiresh au Petra — bénéficient d’un statut de locataire protégé, ancré dans une loi de l’ère ottomane, qui gère les locations de biens immobiliers pour éviter les évictions arbitraires. Le statut des personnes qui vivent dans l’immeuble résidentiel – privé – est indéterminé.

    Le statut de locataire protégé – qui se transmet sur trois générations en continuation de la lignée masculine – avait été aboli après la conquête israélienne de Jérusalem-Est, au cours de la guerre des Six Jours. Mais il s’applique encore techniquement si le statut a été octroyé avant 1968.

    Les locataires protégés peuvent être expulsés de leurs habitations après trois générations ou avant – si les tribunaux israéliens peuvent être convaincus que le statut a été perdu par des activités telles que la sous-location.

    Des organisations, dont Ateret Cohanim, ont tenté et continuent d’essayer de faire expulser un certain nombre de locataires protégés à Jérusalem-Est, et notamment dans la Vieille Ville.

    Dans son jugement, Yitzhak Amit, magistrat à la Cour suprême, a indiqué que malgré les affirmations de l’Église disant que l’accord ressemblait à « une sorte de film de Hollywood au centre duquel se trouvent intrigues, pots-de-vin et accords douteux », le patriarcat n’était pas parvenu à présenter des preuves suffisantes montrant que la transaction avait été entachée de fraude. »

    En un mot, c’est la plus grande offensive jamais menée avec succès par les Israéliens contre le patrimoine légal des différentes Eglises.

    Ce qui ne pourrait être qu’un début visant l’ensemble de leur patrimoine immobilier…

    Pour les sionistes, cela ne concernera dans un premier temps, ni les lieux de culte ni les bâtiments conventuels afin de « tranquilliser » les chrétiens sionistes et de s’assurer de leur indéfectible attachement…

    Quand ces idiots utiles comprendront, il sera trop tard : coupé de ses infrastructures locales, le christianisme originel, dans ses diverses obédiences historiques, sera balayé et interdit dans l’état juif au nom de « l’état-nation » que Netanyahu veut à toutes forces faire proclamer.

    A terme, le Saint Sépulcre et les autres Lieux Saints seront démolis, comme les mosquées de l’esplanade…

    Ce qui pourrait arriver beaucoup plus vite qu’on ne croit si personne, comme d’habitude, ne réagit de façon contraignante…

    Car il est bon de s’informer sur le personnage d’Yitzhak Amit, juge à la Cour Suprême depuis 2009.

    C’est un juif orthodoxe supposé « modéré » mais qui s’est déjà signalé par son intransigeance sioniste et son militantisme conquérant…

    C’est ainsi qu’il s’est clairement prononcé pour la destruction immédiate des villages palestiniens ou bédouins qualifiés d’illégaux, alors qu’il affecte la plus grande des complaisances vis-à-vis des colonies juives illégales de Judée et de Samarie qui sont normalement également vouées à la destruction…

    https://www.irishtimes.com/news/world/middle-east/bedouin-village-in-west-bank-to-be-razed-israeli-court-rules-1.3619435

    Aujourd’hui il appuie les activistes d’Ateret Cohanim !

    En 2024, il devrait – par le jeu de l’avancement consécutif aux mises à la retraite (70 ans) des juges – devenir le prochain « Juge en Chef » (président) de la Cour Suprême en remplacement d’Esther Hayot…

    Pour la chrétienté comme pour les Lieux Saints, cela promet !

    Claude Timmerman

  • LA PROMOTION DU SUICIDE EST UNE VOLONTÉ POLITIQUE ET MACONNIQUE .

    Vivre en thanatocratie

    Il en est fini de la fable du progrès naturel né d’un déterminisme social, il devrait en être fini, soyons honnête, de ce mythe progressiste qui pose la mort naturelle après agonie des principes transcendants. L’humanité, selon l’idéologie obligatoire de la tyrannie républicaine, assisterait en direct à l’extinction du sacré au profit de l’émancipation parallèle de l’humanité.

    C’est ce que les francs-maçons appellent humanisme. L’humanité décide de plus en plus, sur tout sujet, voudrait-on. De moins en moins de choses lui sont dictées. Elle décide du sexe, du genre, du beau, de la vie et de la mort selon ses fantaisies. Il ne doit plus y avoir de principes, il ne doit plus y avoir d’essences. Tout devient relatif, tout est éphémère, tout dépend du goût des uns et des autres, tout dépend du moment M, plus rien n’a d’importance sinon la planète déifiée et le confort de nos maîtres, seuls enjeux vitaux. Mais cela, soit l’inexorable progression de l’immanence humaniste, est une fable de tyrans. Il n’existe pas de sens de l’histoire, il existe simplement une volonté politique que les véritables dirigeants (qui ne sont pas plus élus que ne le sont les fils Rothschild) imposent, impriment dans la société par une propagande intégrale, si intégrale qu’elle n’est pas perçue comme telle par les populations convaincues de vivre en des contrées libres protégées du sceau de la république. Même les éléments de langage les plus absurdes s’imposent à force de répétitions, de “leçons”, de faux témoignages, de discours ministériels et d’experts en manipulation. Le véritable pouvoir n’étant pas soumis aux aléas du “vote”, des élections, il a le temps pour lui. Il a le temps pour marteler sa vision du monde ; il a le temps de préparer l’opinion, de monter en épingle des faits divers triés sur le volet qui serviront à introduire ses innovations sociétales qu’il fera passer pour des productions historiques, conformes aux lois naturelles de l’évolution sociologique. 

    Matraquer, matraquer, encore et encore, c’est cela l’histoire des idées depuis que l’on a brûlé ce qu’il va de soi, et que l’on écrase incessamment l’herbe verte qui repousse inlassablement sur le lit de cendre. C’est une volonté qui brûle, qui jardine à sa convenance la société. On sème à la volée les mauvaises graines, on arrache les bonnes pousses, on repique ronces et chardons. Cela ne se fait pas tout seul.

    Regardez donc la subversion orchestrée avec la thématique LGBT et plus encore ! La propagande ne s’arrête jamais. On trouve toujours une vedette pour étaler son homosexualité sur Internet ou sur papier glacé, on trouve toujours un politicien pour faire son coming out, on trouve toujours une opportunité pour faire de l’arc-en-ciel un pont vers le vice. La société est aussi pour le pouvoir un immense magasin où il va faire ses petites courses pour promouvoir à travers tel ou tel fait divers le problème de la condition des invertis, la condition des femmes en proie aux mâles brutaux et dominateurs, ou l’euthanasie qui serait vraiment nécessaire des handicapés qui occupent les lits peu hospitaliers des fins de vie. Il faut que ça tourne, à flux tendu, tonnerre ! 

    LA PROMOTION DU SUICIDE EST UNE VOLONTÉ POLITIQUE

    Si la volonté de liquider les plus faibles et les innocents transparaît dans tous les discours des officiels se prononçant sur la souffrance et sur ce qu’ils appellent l’acharnement thérapeutique, si le mot dignité a servi ces dernières années à légitimer le meurtre des malades et des suicidaires, l’application industrielle de la dignité euthanasiaque n’avait pas débuté.

    La mort, jusqu’à présent, n’était pas formellement prescrite en tant que telle. Avec Vincent Lambert, le Système a trouvé son sujet qui lui a permis de disserter jusqu’à demander enfin, comme en conclusion, la tête du martyr. Tout a été fait pour faire du parcours de Vincent Lambert un objet de disputatio contrôlée par le pouvoir. A la fin, c’est la Grande Faucheuse qui gagne pour que la dignité triomphe. Il fallait au moins quelques années de polémiques, quelques milliers d’heures d’émissions télévisuelles et radiophoniques, quelques millions de lignes de texte papier et numérique pour banaliser cette équation de la dignité assassine. Pourtant, la dignité, ce n’est pas très compliqué sous cette république. C’est même l’évidence, c’est la base du savoir-vivre à la Nadine de Rothschild. Selon Léonetti (oui Jean Léonetti, le faux modéré, vrai fanatique maçon du parti radical qui en ce moment est le patron par intérim de LR, image plus conforme à la réalité du parti), il faut dignement faire la part entre soins élémentaires et traitements thérapeuthiques qui pourraient constituer dans certaines conditions des formes d’acharnement. Aussi dans un cas d’acharnement thérapeutique démontré par des experts terriblement objectifs, le juge interdira à quiconque d’alimenter et d’hydrater (la nourriture et l’eau étant considérées comme des traitements) le patient soupçonné d’être l’objet d’acharnement. En revanche, et Nadine de Rothschild en conviendra, la dignité les mains sur la table exige une propreté à toute épreuve dans la mort. Pour mourir dignement, il faut sécher proprement.

    La république offre par conséquent la petite toilette au condamné. La mort, ça se vend, parbleu ! Vincent Lambert devait être lyophilisé sereinement avec toilette, séchage et morphine pour un visage rayonnant, lumineux dans la mort et dans sa B.B crème. On lui interdisait l’eau, qu’il sait avaler, mais on le nettoyait comme il faut.

    Partez tranquille avec la République en marche, on va vous faire aimer la mort précoce. Nous ne plaisantons pas, nous sommes sûrs que demain il existera des agences de voyage vers la mort comme il existe aujourd’hui des petites boîtes spécialisées dans le tourisme exotique. Demain, on vous proposera un pack pour mourir avec un week-end à Marrakech, restaurant gastronomique, puis projection sur écran géant du film de votre vie. Un cocktail sera inclus dans la formule « trop belle la mort », un massage thaï dans celle « Voir la mort en rose ». L’accent sera mis sur la propreté. Un parfum lila, vanille flottera dans les couloirs, les aides-mourantes ensoleillées gagneront bien leur vie, d’autant plus qu’elles jouiront des derniers pourboires de clients misant tout sur leur dernier voyage. Ah, la formule Vincent Lambert ne sera plus qu’un mauvais souvenir. Mais cette nouvelle révolution industrielle ne se fera pas toute seule. Malgré force propagande, ça coince. Lilith la rousse n’y arrive pas, les juges patinent, Jean-Luc Roméro et son association de mort ADMD postillonnent, ce n’est pas contagieux, les journalistes ne cachent plus leur exaspération, mais non l’histoire ne passe pas, ça coince. Alors on ressort la guillotine. Quand ça coince, la république affûte ses lames, on ne badine pas avec le sens de l’histoire.

    C’est bien le très noir Macron qui a en effet demandé au gouvernement de saisir la cour de cassation après la décision de la cour d’appel de Paris le 20 mai au soir d’ordonner la reprise de l’alimentation et de l’hydratation de Vincent Lambert. Avec le souhait que la Cour « tranche définitivement ». L’histoire, ça se brusque un peu, quand même. La Cour devrait prendre sa décision en plein milieu de l’été, à un moment où la France dort ; c’est évidemment un mauvais signe, il faut le reconnaître. Néanmoins, si le nœud gordien n’est pas tranché sous le soleil d’Auguste, les efforts accomplis par la Gueuse ne seront pas perdus. Elle n’aura plus qu’à semer ses mauvaises graines sur ses labours. 

    LE CHOIX RÉPUBLICAIN : SOUFFRANCE OU NÉANT ?

    Les Français ont bien reçu le message et sont prêts désormais à répondre à la question fatidique : voulez-vous mourir dignement ou non ? Si l’on vous retrouve patraque, indigne, préférez-vous souffrir atrocement, inutilement, salement, indignement, inconfortablement, mal soigné, mal torché, ou bien, ouf, partir avec des papillons violets dans les yeux dans un lit douillet pourvu de draps frais dans une chambre décorée par Starck et compagnie ? Attention, répondez bien car on vous prépare un petit enfer sur terre, vous allez voir, aux petits oignons ! Fais ton choix, bonhomme ! En Corse, un responsable de l’ADMD (l’association pour disparaître dans la dignité), un certain Robert Cohen, se démène pour que les plus jeunes déclarent leurs vœux. L’individu se permet de s’appuyer sur l’affaire Lambert pour promouvoir la culture de mort. Malheureusement, Monsieur Cohen ne connaît pas le dossier et prétend que Vincent eut son accident à l’âge de 25 ans (il en avait en réalité 32) pour laisser entendre qu’il n’est jamais trop tôt pour faire ses vœux. Certaines personnes prennent décidément à la légère la vie sur terre, alors même qu’ils ne croient pas à la vie après la mort…

    Gageons que ces fous feront signer à des tas d’adolescents complexés un contrat de mort les préservant d’un coma un peu trop long, d’une énurésie honteuse, d’un spleen qui n’est plus à la mode comme le dit la chanson. En revanche, il est probable que dans le cas où l’on dessoude tous les accidentés comateux, on tue dans le lot beaucoup de jeunes gens qui n’ont plus l’envie profonde de disparaître alors qu’ils se trouveront dans l’incapacité de le déclarer. Ils auront au moins la satisfaction de rester socialement dignes en étant ainsi ensevelis vivants.

    François-Xavier ROCHETTE.