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Catholicisme - Page 11

  • Linceul de Turin : reconstruction en 3D de l’image imprimée .

     

    http://media.medias-presse.info/wp-content/uploads/2018/04/linceul-de-turin.jpg

     

    C’est certainement l’image parfaite du Christ ! Après deux années de travail, l’université et l’Agence hospitalière de Padoue, en Italie, ont réalisé ce qui est actuellement le modèle physique tridimensionnel le plus scientifiquement fidèle de l’image imprimée sur le linceul de Turin.

    Le professeur et coordinateur du projet, Giulio Fanti, du département d’Ingénierie industrielle de l’université de Padoue, dans une vidéo de présentation, expose les résultats de l’étude : la statue de 180 cm, réalisée en plâtre par le sculpteur Sergio Rodella, offre l’image d’un homme à l’aspect noble et majestueux, avec un physique long mais robuste.

    « La reconstruction tridimensionnelle, explique le professeur, a permis de reconstruire la position du cadavre. Ce dernier n’était pas couché sur le dos, mais à cause de la rigidité cadavérique, il maintenait le buste penché, la tête inclinée vers l’avant et les genoux pliés. La luxation des épaules, déjà étayée depuis longtemps, explique comment il a été possible de réunir, sans les lier, les bras du cadavre afin de couvrir le pubis. »

    Les recherches du professeur Giulio Fanti concluent aussi que l’homme du linceul fut durement torturé et que personne au Moyen-Age n’aurait été capable de reproduire une telle image : ce phénomène d’empreinte indélébile est due, souligne-t-il, à une irradiation liée aux champs électriques. Par ailleurs les évidentes distorsions de l’image du linceul ne sont cohérentes, explique-t-il, qu’avec l’enveloppement d’un corps humain, ce qui a été expérimenté avec la réalisation du corps tridimensionnel.

     

     Le professeur Fanti a aussi effectué des datations alternatives par rapport à la datation au carbone 14. Les résultats mécaniques et chimiques, de comparaison avec des fibres de tissus de lins anciens de différentes époques,

    « nous ont conduits à dater le Saint-Suaire dans un intervalle de temps de 250 années autour du Ier siècle. Il y aussi une datation numismatique très importante. Les premières frappes de certaines monnaies byzantines du VII siècle ap. J.C. rapportent des détails clairement inspirés de l’image du linceul, (qui à l’époque devait être plus visible), comme, par exemple, les cheveux du Christ plus longs à gauche et la tuméfaction de la joue droite. Les probabilité que ces coïncidences ainsi que d’autres dans l’effigie du Christ soient dues au hasard sont de 7 sur un milliard de milliards. Ces monnaies démontrent donc que le Linceul existait et était déjà vénéré dans les premiers siècles après le Christ. »

    La statue de l’image du linceul présentée par le professeur Fanti a été obtenue en utilisant de nouvelles techniques innovantes également par ordinateur, sur la base de mensurations scientifiquement relevées sur le Saint-Suaire, à plus de 90 %.

    Francesca de Villasmundo

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  • Amoris laetitia : trois évêques du Kazakhstan rappellent l’indissolubilité du mariage et l’impossibilité d’accéder aux sacrements pour « les divorcés-remariés » .

     

     

    L’exhortation bergoglienne sur la famille Amoris Laetitia, dévastatrice pour l’union familiale et la notion d’indissolubilité du mariage, n’en finit pas de susciter des oppositions dans l’Église officielle, parmi les membres de la curie et des conférences épiscopales !

    « Il ne nous est pas permis de nous taire »

    écrivent fermement trois évêques du Kazakhstan, Mgr Tomash Peta, Archevêque Métropolite de l´archidiocèse de Saint Marie en Astana, Mgr Jan Pawel Lenga, Archevêque-Évêque de Karaganda et Mgr Athanasius Schneider, Évêque Auxiliaire de l´archidiocèse de Saint Marie en Astana, dans un document dans lequel ils rappellent les normes traditionnelles du sacrement de mariage, l’indissolubilité du lien matrimonial et l’impossibilité pour les divorcés remariés civilement d’avoir accès aux sacrements s’ils ne vivent pas dans la chasteté.

    Les signataires insistent tout particulièrement sur la question de l’accès à la Sainte Communion :

    « Il n’est pas permis (non licet) de justifier, d’approuver ou de légitimer, ni directement, ni indirectement, le divorce et une relation sexuelle stable non conjugale en admettant les soi-disant « divorcés-remariés » à la Sainte-Communion, puisqu’il s’agit en ce cas d’une discipline étrangère à toute la Tradition de la foi catholique et apostolique. »

    Le texte, intitulé Profession des vérités immuables sur le mariage sacramentel, a un objectif clair : contrecarrer Amoris laetitia et son interprétation extensive.

    Le pape François avait peut-être cru mettre un terme à l’opposition et au débat en rendant officielle la possibilité de communier pour les soi-disant « divorcés-remariés » prise par les évêques de Buenos-Aires en publiant dans les Acta Apostolicae Sedes (AAS) la lettre dans laquelle il les félicitait de cette nouvelle discipline sacramentelle. Décision qui contraste avec le silence dont il fait preuve jusqu’à maintenant avec les quatre cardinaux des dubia.

    Les trois évêques du Kazakhstan ont relancé l’attaque contre l’exhortation en déclarant :

    « Les évêques, par leur office pastoral, doivent veiller fidèlement sur la foi catholique reçue des Apôtres (« cultores catholicæ et apostolicæ fidei » : cf. Missale Romanum, Canon Romanus). Nous sommes conscients de cette grave responsabilité et de notre devoir face aux fidèles qui attendent de nous une profession publique et sans équivoque de la vérité et de la discipline immuable de l’Église sur l’indissolubilité du mariage. Pour cette raison, il ne nous est pas permis de nous taire. »

    Parmi les points qui ressortent, il en est un majeur qui traite de « la plaie du divorce » :

    « Les normes pastorales évoquées contribuent de fait et dans le temps à la diffusion de « l’épidémie du divorce » (expression utilisée par le Concile Vatican II, cf. Gaudium et spes 47). Cette diffusion de « l’épidémie du divorce » intervient dans la vie même de l’Église, alors même que l’Église, par sa fidélité inconditionnelle à la doctrine du Christ, devrait être un rempart et un signe incomparable de contradiction contre la plaie du divorce toujours plus répandue dans la société civile. 

    De manière absolument univoque et sans admettre aucune exception, Notre Seigneur et Rédempteur Jésus Christ a solennellement reconfirmé la volonté de Dieu quant à l’interdiction absolue du divorce. Une approbation ou légitimation de la violation de la sacralité du lien matrimonial, même indirectement par la nouvelle discipline sacramentelle évoquée, contredit gravement la volonté expresse de Dieu et Son commandement. Une telle pratique altère donc substantiellement la discipline sacramentelle bimillénaire de l’Église, ce qui entraînera aussi avec le temps une altération de la doctrine correspondante. »

    Le problème principal que fait émerger ce document concerne cependant « la nouvelle discipline sacramentelle » qui découle d’Amoris Laetitia.

    « Après la publication de l’exhortation apostolique Amoris laetitia (2016), divers évêques ont émané, au niveau local, régional et national, des normes d’application sur la discipline sacramentelle des fidèles, dits « divorcés-remariés » qui, bien que le conjoint auquel ils sont unis par un lien valide du mariage sacramentel vive encore, ont toutefois entamé une cohabitation stable à la manière des époux avec une personne autre que leur conjoint légitime. 

    Ces normes prévoient entre autres que, dans des cas individuels, les personnes dites « divorcées-remariées » puissent recevoir le sacrement de Pénitence ainsi que la Sainte Communion bien qu’ils continuent de vivre habituellement et intentionnellement à la manière des époux avec une personne autre que leur conjoint légitime. De telles normes pastorales ont reçu l’approbation de plusieurs autorités hiérarchiques. Quelques-unes de ces normes ont même reçu l’approbation de l’autorité suprême de l’Église », écrivent pertinemment les trois évêques signataires.

    Amoris Laetitia, c’est la victoire de cette « théologie » de la « praxis » chère au pape François qui veut dépasser définitivement « le dogme » pour ouvrir totalement l’Église au monde contemporain ! Quoi de mieux pour « changer les mentalités » et « changer le visage de l’Église » ainsi qu’il le souhaite que de favoriser, dans les faits, le primat de la pratique sur la doctrine. Immanquablement, avec le temps, l’enseignement concernant le  mariage et l’accès aux sacrements changera par le biais de cette pastorale innovante, – en germe dans les ambiguïtés de cette Exhortation faussement familiale – , qui s’adapte aux us et coutumes de cette « a-civilisation » post-moderne ! C’est contre cette dénaturation prévisible de la doctrine sacramentelle et matrimoniale que s’insurgent, à juste titre, ces Mgr Tomash Peta, Mgr Jan Pawel Lenga et Mgr Athanasius Schneider.

    Ce serait une erreur cependant de croire que ces « envies de nouveautés » et ce désir de transformation datent de Jorge Maria Bergoglio. La volonté de générer une Nouvelle Pentecôte pour l’Église en l’ouvrant à la modernité, en la centrant sur l’homme et en faisant des choix en accord avec la mentalité progressiste de Notre Temps ont pris racine dans le cœur de la romanité depuis le dernier Concile. Le pontife argentin porte la logique de cette « auto-démolition » dogmatique, liturgique, sacramentelle et morale débutée il y a plus de 50 ans maintenant vers son terme ultime : l’annihilation de toute catholicité dans l’Église conciliaire néo-protestante…

    Raison supplémentaire s’il en faut pour rester éloigné de cette « secte conciliaire » !

    Francesca de Villasmundo

  • Quand des musulmans convertis demandent au pape François de dénoncer les méfaits de l' Islam et de convoquer rapidement un synode sur les dangers de l’islam....

     

     

    Le 25 décembre 2017, fête de la nativité du Sauveur, des anciens musulmans convertis au catholicisme ont publié une lettre ouverte au pape François au sujet de son attitude vis-à-vis de l’islam et de l’accueil de migrants musulmans.

    Elle se termine par une pétition que tout un chacun peut signer. C’est une lettre courageuse qui déplore l’angélisme du pape argentin envers l’islam dont ces ex-musulmans connaissent la dangerosité et qu’il considèrent un « Antichrist ».

    « Voici ci-après le texte d’une Lettre ouverte au Pape François que vous pouvez signer. Nous la lui présenterons dès qu’elle aura atteint un nombre significatif de signataires. Merci de la faire connaître. A toute fin utile, nous rappelons que : « Selon le savoir, la compétence et le prestige dont jouissent les fidèles, ils ont le droit et même parfois le devoir de donner aux Pasteurs sacrés leur opinion sur ce qui touche le bien de l’Église et de la faire connaître aux autres fidèles, restant sauves l’intégrité de la foi et des mœurs et la révérence due aux pasteurs, et en tenant compte de l’utilité commune et de la dignité des personnes. (Canon 212 § 3) » :

    Des ex-musulmans devenus catholiques, et leurs amis,
    à Sa Sainteté le pape François,
    au sujet de son attitude vis-à-vis de l’islam.

     

     

    Très Saint Père,

    Plusieurs d’entre nous, à maintes reprises, et depuis plusieurs années, avons cherché à vous contacter, et nous n’avons jamais reçu le moindre accusé de réception de nos lettres ou demandes de rencontre. Vous n’aimez pas les mondanités, et nous non plus, aussi permettez-nous de vous dire très franchement que nous ne comprenons pas votre enseignement au sujet de l’islam, tel que nous le lisons par exemple dans les paragraphes 252 et 253 de Evangelii gaudium, parce qu’il ne rend pas compte du fait que l’islam venant APRÈS le Christ, est, et ne peut être qu’un Antichrist (Cf. 1 Jn 2.22), et l’un des plus dangereux qui soient du fait qu’il se présente comme l’accomplissement de la Révélation (dont Jésus n’aurait été qu’un prophète). Si l’islam est en lui-même une bonne religion, comme vous semblez l’enseigner, pourquoi sommes-nous devenus catholiques ? Vos propos ne remettent-ils pas en cause le bienfondé du choix que nous avons fait… au péril de notre vie ? L’islam prescrit le meurtre des apostats (Coran 4.89 ; 8.7-11), l’ignorez-vous ? Comment est-il possible de comparer la violence islamique et la prétendue violence chrétienne ?! « Quel rapport entre le Christ et Satan ? Quelle union entre la lumière et les ténèbres ? Quelle association entre le fidèle et l’infidèle ? (2 Co 6.14-17) » Conformément à Son enseignement (Lc 14.26), nous L’avons préféré, Lui, le Christ, à notre propre vie. Ne sommes-nous pas bien placés pour vous parler de l’islam ?

    En réalité, du moment que l’islam veut que nous soyons son ennemi, nous le sommes, et toutes nos protestations d’amitié n’y pourront rien changer. En bon Antichrist, l’islam n’existe qu’en étant l’ennemi de tous : « Entre nous et vous, c’est l’inimitié et la haine à jamais jusqu’à ce que vous croyez en Allah, seul ! (Coran 60.4) ». Pour le Coran, les chrétiens « ne sont qu’impureté (Coran 9.28) », « les pires de la Création (Coran 98.6) », tous condamnés à l’Enfer (Coran 4.48), aussi Allah doit-il les exterminer (Coran 9.30). Il ne faut pas se laisser abuser par les versets coraniques réputés tolérants, car ils ont tous été abrogés par le verset du Sabre (Coran 9.5). Alors que l’Évangile annonce la bonne nouvelle de Jésus mort et ressuscité pour le salut de tous, accomplissement de l’Alliance initiée dans le peuple hébreu, Allah n’a rien d’autre à proposer que la guerre et le meurtre des « infidèles » en échange de son paradis : « Ils combattent dans le chemin d’Allah, ils tuent et se font tuer. (Coran 9.111) ». Nous ne faisons pas d’amalgame entre islam et musulmans, mais si pour vous le « dialogue » est la voie de la paix, pour l’islam il est une autre façon de faire la guerre. Aussi, comme il l’a été face au nazisme et au communisme, l’angélisme face à l’islam est suicidaire et très dangereux. Comment parler de paix et cautionner l’islam, ainsi que vous semblez le faire : « Arracher de nos cœurs la maladie qui empoisonne nos vies (…) Que ceux qui sont chrétiens le fassent avec la Bible et que ceux qui sont musulmans le fassent avec le Coran. (Rome, 20 janvier 2014) » ? Que le Pape semble proposer le Coran comme voie de salut, n’est-ce pas inquiétant ? Devrions-nous retourner à l’islam ?

    Nous vous supplions de ne pas chercher en l’islam un allié dans le combat que vous menez contre les puissances qui veulent dominer et asservir le monde, car ils sont tous en réalité dans une même logique totalitaire, fondée sur le rejet de la royauté du Christ (Lc 4.7). Nous savons que la Bête de l’Apocalypse cherchant à dévorer la Femme et son Enfant, a plusieurs têtes… Allah défend d’ailleurs de telles alliances (Coran 5.51) ! Et surtout, les prophètes ont toujours reproché à Israël sa volonté d’alliance avec les puissances étrangères, au détriment de la confiance absolue qu’il faut avoir en Dieu. Certes, la tentation est forte de penser que tenir un discours islamophile épargnera un surcroît de souffrances aux chrétiens en pays devenus musulmans, mais outre que Jésus ne nous a jamais indiqué d’autre chemin que celui de la Croix, en sorte que nous devons y trouver notre joie, et non la fuir avec tous les damnés, nous ne doutons pas que seule la proclamation de la Vérité apporte avec le salut, la liberté (Jn 8.32). Notre devoir est de rendre témoignage à la vérité « à temps et à contretemps (2 Tm 4.2) », et notre gloire est de pouvoir dire avec saint Paul : « Je n’ai rien voulu savoir parmi vous, sinon Jésus Christ, et Jésus Christ crucifié. (1 Co 2.2) ».

    Corrélativement au discours de Votre Sainteté sur l’islam, et alors même que le Président Erdogan, entre autres, demande à ses compatriotes de ne pas s’intégrer dans leurs pays hôtes, que l’Arabie Saoudite et toutes les pétromonarchies n’accueillent aucun réfugié, expressions parmi d’autres du projet de conquête et d’islamisation de l’Europe, officiellement proclamé par l’OCI et d’autres organisations islamiques depuis des décennies, Très saint Père, vous prêchez l’accueil des migrants sans tenir compte du fait qu’ils sont musulmans, alors que le commandement apostolique l’interdit : « Si quelqu’un vient à vous en refusant l’Évangile, ne le recevez pas chez vous. Quiconque le salue participe à ses œuvres mauvaises. (2 Jn 10-11) » ; « Si quelqu’un vous annonce un évangile différent, qu’il soit maudit ! (Ga 1.8-9) ».

    De même que « J’ai eu faim et vous ne M’avez pas donné à manger. (Mt 25.42) » ne peut pas signifier que Jésus aurait aimé avoir été un parasite, de même « J’étais un étranger et vous M’avez accueilli. » ne peut pas signifier « J’étais un envahisseur et vous M’avez accueilli. », mais « J’ai eu besoin de votre hospitalité, pour un temps, et vous Me l’avez accordée ». Le mot ξένος (Xénos) dans le Nouveau Testament ne renvoie pas seulement au sens d’étranger mais à celui d’hôte (Rm 16.23 ; 1 Co 16.5-6 ; Col 4.10 ; 3 Jn 1.5). Et lorsque YHWH dans l’Ancien Testament commande de bien traiter les étrangers parce que les Hébreux ont eux-mêmes été étrangers en Égypte, c’est à la condition que l’étranger s’assimile si bien au peuple élu qu’il en prenne la religion et en pratique le culte… Jamais il n’est question d’accueillir un étranger qui garderait sa religion et ses coutumes ! Aussi, nous ne comprenons pas que vous plaidiez pour que les musulmans pratiquent leur culte en Europe. Le sens de l’Écriture ne doit pas être donné par les tenants du mondialisme, mais dans la fidélité à la Tradition. Le Bon Berger chasse le loup, il ne le fait pas entrer dans la bergerie.

    Le discours pro-islam de Votre Sainteté nous conduit à déplorer que les musulmans ne soient pas invités à quitter l’islam, que nombre d’ex-musulmans, tel Magdi Allam, quittent l’Église, écœurés par sa lâcheté, blessés par des gestes équivoques, confondus du manque d’évangélisation, scandalisés par l’éloge fait à l’islam… Ainsi les âmes ignorantes sont-elles égarées, et les chrétiens ne se préparent pas à la confrontation avec l’islam, à laquelle les a appelés saint Jean Paul II (Ecclesia in Europa, n°57). N’avez-vous jamais entendu votre confrère Mgr Emile Nona, archevêque catholique chaldéen, exilé, de Mossoul, nous crier : « Nos souffrances actuelles sont le prélude de celles que vous, Européens et chrétiens occidentaux, allez souffrir dans un proche avenir. J’ai perdu mon diocèse. Le siège de mon archevêché et de mon apostolat a été occupé par des islamistes radicaux qui veulent que nous nous convertissions ou que nous mourrions. (…) Vous accueillez dans votre pays un nombre toujours croissant de musulmans. Vous êtes aussi en danger. Vous devez prendre des décisions fortes et courageuses (…). Vous pensez que tous les hommes sont égaux, mais l’Islam ne dit pas que tous les hommes sont égaux. (…) Si vous ne comprenez pas ceci très vite, vous allez devenir les victimes de l’ennemi que vous avez accueilli chez vous. (9 août 2014) ». C’est une question de vie ou de mort, et toute complaisance face à l’islam est une trahison. Nous ne voulons pas que l’Occident continue à s’islamiser, ni que votre action y contribue. Où irions-nous à nouveau chercher refuge ?

    Permettez-nous de demander à Votre Sainteté de convoquer rapidement un synode sur les dangers de l’islam. Que reste-t-il en effet de l’Église là où l’islam s’est installé ? Si elle y a encore droit de cité, c’est en dhimmitude, à condition qu’elle n’évangélise pas, qu’elle doive donc se renier elle-même… Dans un souci de justice et de vérité, l’Église doit montrer au grand jour pourquoi les arguments avancés par l’islam pour blasphémer la foi chrétienne sont faux. Si l’Église a le courage de faire cela, nous ne doutons pas que par millions, des musulmans, et d’autres hommes et femmes cherchant le vrai Dieu, se convertiront. Comme vous l’avez rappelé : « Celui qui ne prie pas le Christ, prie le Diable. (14.03.13) ». Si les gens savaient qu’ils vont en Enfer, ils donneraient leur vie au Christ (Cf. Coran 3.55).

    Avec le plus profond amour pour le Christ qui, par vous, conduit Son Église, nous, chrétiens venus de l’islam, soutenus par nombre de nos frères dans la foi, notamment les chrétiens d’Orient, et par nos amis, nous demandons à Votre Sainteté de confirmer notre conversion à Jésus-Christ, vrai Dieu et vrai homme, seul Sauveur, par un discours franc et droit sur l’islam, et, Vous assurant de nos prières dans le cœur de l’Immaculée, nous sollicitons votre bénédiction apostolique.

    Liste des noms des signataires et de leur courriel (Certainement que tous les ex-musulmans ne signeront pas cette lettre par crainte de représailles possibles…). »