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  • Le traître Darmanin doit démissionner !

     

    Le traître Darmanin doit démissionner !

     

    Malgré l’incroyable veulerie de tous ceux qui les ont précédés, les dirigeants de ce quinquennat, Macron en tête, qui est encore loin, hélas, d’être terminé, resteront dans notre histoire comme ceux qui se seront roulés le plus souvent, et avec le plus de complaisance, dans la fange de la repentance et de la haine de notre pays.

    Ainsi, après Macron osant qualifier honteusement l’œuvre française en Algérie de « crime contre l’humanité » ou demander lamentablement « pardon » à la veuve du communiste pro-FLN Audin, c’est le ministre de l’Intérieur Gérald Darmanin qui, en visite dimanche à Alger, a osé rendre un hommage scandaleux aux prétendus « martyrs du FLN » en déposant une gerbe aux couleurs françaises et en se recueillant devant le « Maqam E’chahid » !

    Tout un symbole…

    Un monument qui, contrairement à ce que laissent entendre aujourd’hui la plupart des grands médias français, n’est nullement dédié à la mémoire de « toutes les victimes de guerre d’Algérie » mais, comme son nom arabe l’indique, exclusivement à celle des « chahids ». C’est-à-dire de ces terroristes du FLN et autres groupes qui ont torturé, mutilé, égorgé, bref assassiné avec la pire des sauvageries soldats et civils français, pieds-noirs et harkis, hommes, femmes, et enfants ! Souvent même, malgré une idéologie se réclamant officiellement du marxisme, au nom du djihad contre les Français qualifiés d’infidèles et les harkis considérés comme des traîtres à l’islam. Bref, pour un ministre de l’Intérieur français dont la mission officielle était d’évoquer avec ses homologues algériens la lutte internationale contre le terrorisme, on ne pouvait guère faire mieux en matière de symbole…

    « Vous insultez nos morts ! »

    Un nouvel acte de repentance, et même de trahison, qui, tout de même, a suscité une importante vague d’indignation sur les réseaux sociaux français, mais guère de réactions, en revanche, de la part de notre classe politique, à l’exception bien sûr de la droite nationale. C’est ainsi que, après avoir dénoncé un geste de « déshonneur », le député RN du Gard Nicolas Meizonnet a pointé fort justement du doigt ce gouvernement « adepte de la repentance à tout prix », qui « n’aime pas la France et son histoire ». Une colère bien sûr partagée par le sénateur RN de Marseille Stéphane Ravier qui, après avoir rappelé que « ce monument n’est dédié qu’aux morts du FLN et des terroristes algériens, à ceux qui ont assassiné des civils, violé des femmes, supplicié des enfants, qui n’avaient qu’un seul tort : être Français », a accusé à fort juste titre Darmanin d’« insulter nos morts, qui sont, eux, les véritables martyrs de la barbarie FLN ». Enfin, on citera encore ce tweet de Morgann Vanacker, conseiller municipal du Rassemblement national à Brie-Comte-Robert, qui, disant avoir « une pensée pour tous les harkis et les pieds-noirs », a rappelé que « cet acte innommable est une honte pour la nation française ».

    Franck Delétraz

  • Le franc-maçon Macron interdit tout culte catholique pour des mois !

    Le règne de la censure et de la tricherie

     

    Le conseil d'état l’a confirmé dans un arrêt du 7 novembre : les cultes publics restent interdits en France. On parle bien sûr ici des cultes religieux et non du culte shoahtique et laïciste qui, lui ,reste plus que jamais en vigueur pendant le confinement.

    Depuis le 3 novembre et au moins jusqu’au 1er décembre, tous les cultes publics, et particulièrement le culte catholique, sont interdits.

    Et tout laisse à penser que cette interdiction pourrait durer des mois puisque le Parlement a voté en lecture définitive, ce même 7 novembre, le projet de loi prolongeant l’état d’urgence sanitaire jusqu’au 16 février 2021, avec la possibilité d’adopter des mesures transitoires jusqu’au 1er avril. Autant dire que, sauf à assister à des messes clandestines comme sous la Révolution française (où à cette époque on risquait sa vie), les baptisés catholiques seront probablement privés de sacrements pendant de longs mois, et rien ne dit qu’une exception sera faite pour Noël.

    On voit là les méthodes et l’esprit de la maçonnerie, toujours aussi puissante et influente sous la République, qui, après avoir interdit tout office publique pour le Carême, la Semaine Sainte, Pâques et le temps pascal jusqu’à l’Ascension inclusivement, entend contraindre les croyants à renoncer à tout culte public pour le mois des défunts, pour l’Avent, pour les fêtes de la Nativité et probablement pour le temps après l’Epiphanie.

    On peut aller travailler au bureau, prendre les transports en commun où l’on est généralement serré comme des sardines (un chauffeur de bus nous disait que depuis le confinement dans son véhicule de 25 mètres carrés il y a toujours autant de monde : 60 personnes, mais là ce n’est pas gênant pour la circulation du virus !), faire la queue à la caisse au supermarché, en revanche il n’est pas possible de se rendre à l’église le dimanche, ni la semaine, où il est rare que les foules soient au rendez-vous et où il est tout à fait possible de conserver sans grande difficulté la sacro-sainte distanciation sociale. On voit donc bien qu’il y a là un deux poids deux mesures et une persécution anti-catholique qui ne dit pas son nom. 

    Qui eût imaginé il y a seulement quelques années qu’en 2020 la liberté de circulation, de réunion, de rassemblement et de culte serait à ce point entravée voire confisquée pendant une longue période en France, mais aussi dans beaucoup de pays en Europe et en Occident ? Qui eût imaginé que, pour conduire et aller rechercher nos enfants à l’école, faire nos courses, prendre l’air, promener un chien, il nous faudrait remplir une attestation dûment signée faute de quoi, en cas de contrôle par la police ou la maréchaussée, nous risquerions 135 euros d’amende, 1 500 en cas de récidive et 3 750 euros et six mois de prison ferme si cela se produisait trois fois en l’espace de trente jours ?

    Et le pire, c’est que la masse du peuple ne semble pas trouver cela anormal, excessif, disproportionné et illégitime !... La République nous parle sans cesse de liberté mais elle a su transformer les citoyens en hilotes, et ce spectacle est particulièrement pénible à vivre.

     

    Si les églises doivent fermer leurs portes, ainsi que les lieux de pèlerinage et d’apparition, comme la grotte de Lourdes, et en tout cas renoncer à tout culte public, les tribunaux de la République, eux, contrairement au premier confinement, continuent à fonctionner normalement. C’est ce qui a permis à la XVIIe chambre du tribunal correctionnel de Paris de condamner le 4 novembre Jerôme BOURBON à trois mois de prison avec sursis, 4 000 euros d’amende (dont 1 500 euros sous forme de 100 jours-amende à 15 euros, un dispositif qui conduit à la case prison si on ne s’acquitte pas de la rançon en temps voulu) et 11 000 euros de dommages et intérêts à verser à la LICRA, à Sos Racisme et à Avocats sans frontières de l’avocat franco-israélien Gilles-William Goldnadel, tant apprécié de tous ceux qui, à droite, ont les yeux de Chimène pour l’entité sioniste, et les yeux en pleurs à l’évocation de l’Indicible, c’est-à-dire, vous l’avez compris, de la Shoah, ou plutôt de la “schouina”. Nous reviendrons ultérieurement en détails sur ces condamnations ahurissantes qui en disent long sur l’état de la liberté d’expression en France, alors même qu’on n’a de cesse de vanter cette même liberté d’expression avec Charlie et l’affaire Paty. 

    Mais nous n’en sommes pas à une contradiction près : la LICRA qui n’a rien trouvé à redire au massacre de 59 Palestiniens par l’armée israélienne au moment du 70e anniversaire de l’entité sioniste, et qui n’a même pas manifesté la moindre compassion ou sympathie à l’égard des victimes, toutes civiles, et pour beaucoup mineures, sur lesquelles Tsahal a tiré sans sommation, a exigé la dissolution de Génération identitaire qui avait simplement procédé à l’arrestation pacifique, sans heurts et sans violences, de quelques migrants illégaux au col de l’Echelle dans les Alpes Maritimes. Ce cynisme est absolument insupportable. 

     

    Nous vivons vraiment l’époque de la censure et de la dictature.

    Lesquelles ne visent pas seulement quelques journalistes indépendants et anticonformistes comme nous autres puisque même le président actuel des Etats-Unis est censuré par les chaînes de télévision de son pays qui ont osé couper son intervention en direct depuis la Maison-Blanche quelques jours seulement après le scrutin présidentiel et Twitter ose masquer une grande partie de ses tweets, affirmant qu’ils sont mensongers ou controversés. Ce qui est inouï. Car le public est assez grand pour se faire une idée par lui-même et pour faire preuve de distance critique envers ce qu’il lit et ce qu’il entend, du moins faut-il l’espérer.

    Il est incroyable que des organes dits d’information, que des GAFA se permettent de dire arbitrairement ce qui est vrai et ce qui est faux, ce qui est bien et ce qui est mal, ce qui est beau et ce qui est laid.

    Cette attitude tyrannique de ces géants du web, qui s’ajoute à la dictature covidesque, est particulièrement inquiétante car elle semble ne plus connaître de freins. Twitter dit déjà que, dès son départ supposé de la Maison-Blanche le 20 janvier prochain, Donald Trump pourrait purement et simplement être banni de ce réseau social. La censure s’exerce donc jusqu’à un chef d’Etat en exercice, ou ayant été en fonctions, tout simplement parce qu’il n’est pas assez politiquement correct. C’est hallucinant !

    Cette attitude violemment hostile et injuste des grands media envers Trump rend d’autant plus crédibles les soupçons de fraude à grande échelle dans un pays où il est particulièrement facile de tricher dans les grandes largeurs avec le vote par correspondance et par procuration, sachant que dans maints Etats une carte nationale d’identité n’est pas exigée, et que pas ou peu de vérifications sont faites. Depuis des mois, grâce à une actualité covidentielle, les Démocrates ont eu largement le temps de pourrir cette élection, d’altérer gravement la sincérité du scrutin en faisant voter les morts, et plusieurs fois la même personne, en faisant le tour des maisons de retraite et des mouroirs pour obtenir des bulletins de vote et même en falsifiant la date du cachet de la Poste dans les Etats comme la Pennsylvanie où on peut recevoir, encore trois jours après la fermeture des bureaux de vote, des bulletins postaux, ce qui est inouï. La Pennsylvanie étant aux mains des Démocrates et les services postaux étant historiquement hostiles au Parti Républicain, il n’y a pas besoin de faire un dessin pour comprendre qu’il était facile d’antidater massivement des enveloppes et d’égarer par la même occasion moult bulletins républicains. Toute la difficulté est bien sûr de prouver ces trafics qui ont nécessité toute une chaîne de complicités et un professionnalisme certain. 

    Il était étonnant de voir Biden sûr de sa victoire quelques heures seulement après la fermeture des bureaux de vote à un moment où Trump était largement en tête dans la plupart des Etats clés. Comme s’il savait que cette élection avait été truquée et qu’il ne pouvait donc pas la perdre!

    On notera que le Premier ministre israélien a immédiatement lâché Trump, en se félicitant de la victoire de Biden, ami d’Israël depuis 40 ans. Preuve que toutes les concessions faites à l’entité sioniste par Trump n’ont servi à rien. D’ailleurs BHL l’avait décrété : Trump est un faux ami pour les juifs. Il a beau être israélophile, il est contre l’accord de Paris sur le climat, contre la tyrannie covidesque, contre l’immigration de masse, il n’a pas fait carrière dans un parti du Système, il n’est donc pas suffisamment fiable, pas assez sûr...

    Avec Biden, en revanche, pas de souci. C’est le parfait soumis du NOM (Nouvel ordre mondial).

     

  • Comment Macron utilise le covid et le terrorisme pour mettre en place la gouvernance mondiale .

     

    L’infernale conjuration contre les peuples !

    Le glas pour ceux dont la confiance a été trahie par une classe politique déchue et se font égorger au coin de la rue ou en allant prier de bon matin. Trahis par des gens qui gouvernent par la manipulation et le mensonge… et qui le payent de leur vie sous le couteau de fanatiques téléguidés, ou qui se suicident parce que leur vie est ruinée par une mondialisation aggravée de crise sanitaire. Mondialisation qui nous a rendus d’une extrême vulnérabilité… parce qu’entre autres la division internationale de la production et du travail s’est traduite chez nous par l’instauration d’une économie de services, d’une désindustrialisation massive et une dépendance pernicieuse, voire funeste, à cette manne conjoncturelle et volatile qu’est le tourisme. Quelques attentats retentissants, une mauvaise grippe politiquement surexploitée et nos hôtels, nos musées, nos stations balnéaires se vident et descendent les rideaux des commerces en faillites. Exeunt les classes moyennes, forces vives de la Nation !

    Or pour ceux qui ne s’en seraient pas vraiment encore rendus compte, nous sommes aujourd’hui parvenus à un point de rupture… Ce qu’il convient d’appeler un changement de « paradigme civilisationnel » parce que le monde est littéralement, sous nos yeux, en train de changer de face. Non tant en raison des actes de terrorisme et de barbarie qui se multiplient sur notre territoire et en Europe de l’Ouest, ou encore d’arbitraires confinements à répétition des populations sous couvert de sauver des vies, celles par exemple de ces vieillards que l’on a sacrifiés sans états d’âme lors de la crise du mois de mars… Des péripéties odieuses, insupportables mais qui, toute raison gardée, en soi ne devraient pas être fondamentalement irréparables. Encore que ? Si le présent bouclage de la France devait se poursuivre en 2021 que resterait-il alors de notre économie ? Les classes moyennes auront été en partie laminées par la démocratie social-libérale ainsi que le prévoyait le Manifeste de 1848 de Friedrich Engels et de Karl Marx. 

     

    LA FIN DES CLASSES MOYENNES 

     

    Il est loisible, à ce sujet, de se demander si effectivement cette élimination des classes intermédiaires, autonomes, ne figure pas au rang des effets recherchés par le déclenchement et la prolongation d’une crise en grande partie artificielle. Ne perdons jamais de vue que la Suède n’a imposé à ce jour aucune des restrictions coercitives (que nous avons subies et qui nous sont à nouveau imposées) et qu’elle n’a pas pour autant été rayée de la carte. Mais chut, évitons d’évoquer ce contre-exemple et les « Gaulois réfractaires » continueront de filer doux. 

    De même que la crise aurait dû avoir l’avantage de vider les bas-de-laine des Français (5 367 milliards au 1er avril 2020) au profit de l’économie via la consommation en remettant en circulation d’importantes liquidités… Horreur, c’est le contraire qui est advenu ! Les sournoises espérances de notre administration sont mort-nées. La spoliation déguisée ne s’étant pas faite spontanément, nul n’exclut plus que l’État pourrait dans un futur proche recourir à des méthodes contraignantes pour ponctionner l’épargne du pays réel. Et de la rumeur à l’acte, il n’y a qu’un pas ! Reste que, quels qu’en soient les conséquences économiques et les dégâts sociaux induits par une gestion volontairement catastrophique de la crise sanitaire, au stade où nous en sommes, le mal pourrait n’être pas encore incurable de sorte que le pronostic vital du pays ne serait pas définitivement engagé, aussi profondément fût-il atteint dans ses œuvres vives, morales et économiques… 

     

    UN NARRATIF DÉPLORABLE 

     

    Au demeurant, plus le temps passe et plus il apparaît que rien ne tient vraiment debout dans le narratif officiel ! Même s’il n’est pas toujours facile de démêler les tenants et les aboutissants, quoique de plus en plus nombreux sont ceux qui commencent à douter de la véracité de la présentation officielle des événements et de la dangerosité d’une épidémie qui — chiffres à l’appui — ne détermine aucune surmortalité significative à l’échelle européenne par rapport aux flambées virales de ces quarante dernières années… Pour Laurent Mucchielli, sociologue, directeur de recherche au CNRS, dans un texte cosigné par trois cent-cinquante personnalités scientifiques de premier plan, publié le 28 octobre [theworldnews.net], tout cela est cousu de fil blanc.

    En effet, nul n’ignore plus en substance que le reconfinement était envisagé depuis l’été dernier. La stratégie de communication du ministère de la Santé s’est déployée pendant deux mois en s’appuyant exclusivement sur les indicateurs les plus alarmants et en les changeant chaque fois que nécessaire afin de toujours envoyer le message le plus anxiogène possible. Le 27 octobre, la manipulation aura atteint un niveau inouï. La totalité des media a titré sur les prétendus 523 morts, « du jamais vu depuis le confinement ». Or ce chiffre était mensonger. Selon Santé Publique France, il y a eu 292 morts à l’hôpital, contre 257 la veille. Mais comme l’on ajoute les morts en EHPAD qu’une fois tous les quatre jours, compter les morts quotidiens le même jour revient à gonfler artificiellement les chiffres… à la veille de l’allocution du président de la République qui a évidemment repris à son compte ce chiffre trafiqué. 

    Malheureusement la connaissance de ces trucages statistiques éhontés, multidimensionnels autant que permanents, n’est accessible qu’à une minorité de spécialistes aptes à les décortiquer et… évidemment n’atteint pas la masse, bernée et lanternée par des médiacrates dont l’ignorance volontaire (leur paresse intellectuelle n’expliquant pas tout) est calamiteuse. Grâce au Ciel, cela commence à se savoir et, même si des questions de préséance institutionnelle ont été avancées, le Sénat vient de retoquer la loi d’urgence sanitaire et le confinement (ce qui annule toutes les pénalités infligées jusqu’à ce qu’un nouveau vote de la chambre haute vienne invalider le premier) : au lendemain de l’annonce par le président Macron du reconfinement, le Sénat rejetait par 178 voix contre, 130 voix pour, 27 abstentions, la prorogation de l’état d’urgence sanitaire et ses mesures d’accompagnement présentées par le Premier ministre [publicsenat.fr29oct20]. D’ailleurs — même pour les non-initiés aux arcanes de l’architectonie mondialiste —, tous ces événements paraissent tellement absurdes, incohérents et incongrus qu’un nombre toujours croissant de sceptiques pense que cette pseudo-crise serait finalement “organisée” de toutes pièces. La pensée et les analyses complotistes gagnent indéniablement du terrain !

    Car nous avons bien affaire à une imposture, celle-ci consistant à prendre prétexte d’une maladie dont le taux de létalité oscille selon les études entre 0,1 % et 0,6 %, pour justifier des mesures qui ruinent le pays tout entier!

    Apparemment dans le but inavoué (parce qu’inavouable) de mettre la France à genoux cela afin de conduire des politiques de déconstruction de l’État et de la Nation, lesquelles feraient horreur aux Français s’ils en comprenaient conscience et en percevaient la portée réelle. En d’autres termes, « la crise du Covid-19 » n’est qu’un vaste complot, une machination à visées antinationales fomentée par les plus hautes autorités de l’État, en particulier par le président de la République ce qui conduit à dire que nous ne pourrons sortir de cette crise qu’en “dégageant” les pseudo-élites dévoyées et compradores qui nous mènent en bateau [droiteligne30oct20].

    Un bateau ivre qui se dirige droit vers les hauts fonds de la guerre civile sur le cap des tempêtes des confrontations internationales… Ayons à l’esprit le sanglant conflit turco-arménien (cinq mille morts en quelques semaines) et le Proche-Orient, poudrière instable comparable à celle qui souffla le port de Beyrouth et une partie de la ville. Destitution manu militari et jugement pour haute trahison, tel devrait être par voie de conséquence le traitement applicable à nos bons dirigeants pour les temps à venir…

     

    LES DEUX MÂCHOIRES DE LA PEUR AU QUOTIDIEN

     

    Dans cet ordre d’idées, comprenons que le terrorisme à la petite semaine et la pandémie — tous deux bien réels — sont pareillement et merveilleusement mis en scène. Que tous deux ne sont que la partie émergée d’une machination autrement redoutable et surtout, ne doivent pas être regardés en soi, séparément, indépendamment l’un de l’autre ou du contexte général… mais comme des éléments saillants participant d’un plan de bataille aux finalités hélas invisibles aux yeux de la multitude.

    Covid et terrorisme sont à ce titre des outils, les deux mâchoires d’une seule et même stratégie du choc — un traumatisme collectif — destinée à nous conduire en marche forcée, la peur au ventre et la baïonnette dans les reins, à accepter voire à désirer une gouvernance supranationale passant par la soumission intégrale des peuples aux oukases de la dictature sanitaire, elle-même faux-nez de l’asservissement collectif aux cryptarchies régnantes déguisées en gouvernance mondiale : passeport vaccinal par puçage, traçage et contrôle social grâce à des permis de citoyenneté à points, etc. 

    Aujourd’hui la peur possède deux visages, la maladie sournoise et le couteau du boucher, le second poussant, incitant à se réfugier frileusement dans les jupes de la République… sachant que tout est fait, en particulier dans notre pays, pour faciliter la prolifération des candidats au martyre via l’assassinat sordide. Notons qu’après le carnage de Nice à la basilique Notre-Dame-de-l’Assomption, le ministère de l’Intérieur a fait montre de sollicitude en peuplant les parvis de nos églises de policiers fortement armés.

    L’État est présent et prétend nous protèger pour mieux nous faire oublier que ce même État maintient nos frontières ouvertes et qu’il encourage au blasphème de la catholicité et de l’islam, c’est-à-dire érige en droit la libre expression du mépris d’autrui… à travers la faculté d’insulter les croyances les plus sacrées de populations d’importation auxquelles nous avons grand ouvert les portes de la Cité pour mieux casser notre matrice ethnoculturelle, autrement dit helléno-catholique, laquelle s’incarne dès l’origine dans et par Athènes et Jérusalem. 

     

    Ils nous veulent à genoux !

    Jusqu'où iront-ils dans la déraison, dans la folie et dans le crime ? Alors même que les chiffres de l’INSEE, pourtant organisme des plus officiels, indiquent que le nombre de décès en France pour les huit premiers mois de l’année, est resté quasiment identique entre 2019 et 2020, que la moyenne d’âge des personnes mourant du Covid 19 est de 84 ans, ce qui correspond à l’actuelle espérance de vie des Français, le chef de l’Etat a pourtant décidé de reconfiner totalement le pays. Depuis le jeudi 28 octobre à minuit jusqu’au 1er décembre a minima. Mais on nous laisse entendre que ce confinement pourrait durer beaucoup plus longtemps, et qu’il pourrait même se durcir, au risque de détruire ce qui ne l’avait pas encore été il y a six mois. Comme si cela ne suffisait pas, après la première vague du printemps 2020 et la seconde de cet automne, voici que le président du sacro-saint Conseil scientifique nous annonce une troisième vague pour… le printemps 2021. Nous n’avons décidément pas le temps de respirer. Au propre comme au figuré puisque l’on impose désormais le port de masque à tout un chacun, y compris à des enfants de six ans, ce qui est une pure folie et une brimade insupportable. 

    On nous exhorte même vivement à garder le masque chez soi en famille, en permanence, y compris les enfants...

    Nous sommes enrégimentés, infantilisés, esclavagisés, tyrannisés d’une manière absolument effrayante, sidérante, stupéfiante. Sans que jusque-là cela ne suscite beaucoup de réactions. Car, contrairement aux Italiens qui se sont soulevés dans de nombreuses villes, de Naples à Milan, refusant de nouvelles mesures draconiennes tuant le commerce et détruisant les libertés fondamentales de circulation et de réunion, les Français pour l’heure, semblent résignés, apathiques, tels des moutons que l’on mène à l’abattoir. Sans doute faut-il qu’ils digèrent l’épisode des gilets jaunes qui a duré et dont la répression a été féroce avant qu’ils ne se révoltent peut-être à nouveau . Mais il est vrai que tout est fait pour qu’ils aient peur et l’on sait que quelqu’un qui est saisi par la crainte voire la panique peut être très facilement manipulé, dominé, opprimé. La multiplication sur notre sol des attentats spectaculaires, des égorgements et des décapitations dont les Charlie par leurs odieuses provocations sont les premiers responsables ont évidemment un effet de sidération sur le grand public. 

     

    On a le sentiment d’être les spectateurs impuissants d’une mise en scène exécutée sous nos yeux et qui a pour but de mettre au pas l’humanité tout entière, et d’abord l’Occident anciennement chrétien. Dès cet été, on parlait ici et là d’un reconfinement en octobre en France. C’est finalement bel et bien ce qui s’est passé.

    Dès le mois de mars, Jacques Attali avertissait que plus rien ne serait comme avant, qu’il fallait désormais s’habituer à vivre autrement! ...

    Des propos incompréhensibles s’il s’agit seulement de combattre un simple virus dont la durée de vie est forcément limitée dans le temps et qui ne saurait à soi seul justifier un changement de paradigme civilisationnel.

    C’est donc bien qu’il y a une volonté planétaire de procéder à une grande réinitialisation, de domestiquer les peuples, de leur imposer les vaccins, les vices et immondices de l’hyper-classe mondiale pour mieux les broyer et les tenir captifs, de limiter drastiquement leurs libertés. Est-il ainsi acceptable que les lieux de culte et de pèlerinage (la grotte de Lourdes n’est ainsi plus accessible au public depuis le 3 novembre, ce qui est une infamie) soient fermés, qu’il soit impossible de remplir le précepte dominical à l’église alors même que tous les commerces alimentaires restent ouverts, ainsi que les écoles, de la maternelle aux lycées, et qu’il est permis d’aller au bureau ou à l’usine pour travailler ? La nourriture terrestre est assurée, mais quid de la nourriture céleste ?

    On veut imposer à tous la devise “métro-boulot-dodo” et empêcher toute vie spirituelle et tout contact chaleureux, convivial avec de la famille et des amis, si nécessaires pourtant à l’épanouissement personnel, à l’équilibre psychique, et qui fait partie de la joie de vivre. C’est que, pour les nihilistes qui nous gouvernent, la religion non seulement n’est pas essentielle, mais elle est à combattre car elle s’oppose à la vision du monde maçonnique et arc-en-ciel pro-LGBT, favorable au droit au blasphème, à la destruction de la famille traditionnelle et de la morale naturelle. Dans leur volonté de tout codifier, de tout régenter, les pouvoirs publics autorisent les mariages à condition qu’il n’y ait pas plus de six personnes à la cérémonie et les enterrements si l’assemblée n’excède pas trente personnes. Pourquoi des mesures aussi anti-sociales, aussi inhumaines et que rien ne justifie quand on se penche sur le nombre réel de décès dû au coronavirus ?

     

    Ils n’ont eu de cesse de réduire les lits des hôpitaux, ils n’ont pas commandé en nombre suffisant des respirateurs et ce sont les Français dans leur ensemble, et singulièrement les classes moyennes, les indépendants, le monde entrepreneurial qui doivent être immolés sur l’autel de l’incompétence, de l’inconséquence, ou plutôt du cynisme de ceux qui nous dirigent et qui n’ont d’autre but que de nous détruire, de nous mettre à genoux. Après avoir détruit la paysannerie française avec la Politique agricole commune, après avoir démantelé l’industrie française avec les délocalisations, le libre-échange et l’excès de charges, d’impôts et de tracasseries administratives, voici que l’on tue froidement le secteur tertiaire, celui des services : la restauration, l’hôtellerie, les fleuristes, les libraires, les bars et les cafés, et tant d’autres artisans et commerçants. Qui ne voit qu’il ne s’agit pas là du hasard ou de la faute à pas de chance mais d’une volonté implacable de détruire l’économie, et donc des vies ? La Suède qui n’a pas confiné sa population n’a pas été plus touchée par le virus que notre pays, bien au contraire.

    Ce que l’on nous présente donc comme obligatoire, incontournable, indispensable, inexorable (le confinement) ne l’est nullement. Sauf bien sûr s’il s’agit de détruire ce qui ne l’est pas encore et de conduire notre pays à l’abîme.

     

    On ne peut aucunement faire confiance aux “élites” politiques, médiatiques et enseignantes qui nous ont conduits là où nous en sommes. Elles dénoncent tout à coup l’islamisme (mais nullement l’immigration de masse, notez-le) alors qu’elles n’ont eu de cesse de désarmer notre pays contre toute forme d’invasion et de submersion, qu’elles ont dénoncé et fait condamner en justice les nationaux et nationalistes qui s’opposaient à cette colonisation à rebours.

    Et dans le formatage des esprits à l’antiracisme unilatéral, l’Education nationale a joué, et continue de jouer, un rôle de premier plan. Nous avons donc plus de compassion pour les trois victimes sauvagement égorgées à la basilique de Nice que pour tous les Charlie du monde qui n’ont que l’insulte et le blasphème à la bouche. Qu’ils ne croient en rien est une chose, cela les regarde, mais qu’ils insultent bassement la foi et les croyances des autres, qu’ils blasphèment en permanence en est une autre. Par leurs odieuses provocations parfaitement préméditées et exécutées, et alors qu’il y a des millions de mahométans en France qu’ils ont fait venir, ils mettent en danger tous les Français. Ceux qui résident à l’étranger dans des pays mahométans mais aussi bien sûr tous ceux qui vivent en France. Ils n’ont d’autre but que de conduire au chaos et à la guerre civile. 

    Face à ces manœuvres mortifères, il nous faut garder lucidité et sang-froid et éviter de sombrer dans les pièges où l’on veut nous faire tomber. Nous n’avons pas à être ou à devenir Charlie. Aujourd’hui, on veut nous pousser à adopter la “religion” Charlie, à faire nôtres la laïcité et les valeurs de la République qui nous ont conduits au chaos, il en est hors de question.

    C’est cette République, ignoble depuis l’origine, qui a conduit à la fragmentation et à la dissolution du pays.

    Ce n’est pas avec ce régime politique contre-nature et diabolique que l’on sauvera quoi que ce soit. Son élimination est le préalable indispensable à tout changement de cap et à toute renaissance nationale. En espérant qu’il n’est pas déjà trop tard.