Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

- Page 3

  • Qasem Soleimani n’était pas un terroriste, était un patriote et il respectait les chrétiens d' Orient .

     

    Coller l’étiquette de terroriste à tout ennemi du Nouvel Ordre Mondial américano-sioniste en devenir au Moyen-orient est devenu l’arme de destruction massive de la bien-pensance mondialiste, bagatelle linguistique pour se dédouaner de bien des massacres véridiques et museler critiques et opposants.

    Le général d’armée iranien Qasem Soleimani, assassiné sur ordre des Etats-Unis le 3 janvier dernier, était le Chef de la Force Qods des Gardiens de la révolution, chargée des opérations extérieures de la République islamique, et un personnage charismatique qui a notamment exercé une influence majeure dans les tractations politiques depuis 2018 en vue de former un gouvernement en Irak. Il a joué pareillement un rôle important dans le combat contre les forces djihadistes, et a renforcé le poids diplomatique de Téhéran, notamment en Irak et en Syrie, deux pays où les États-Unis sont engagés militairement. 

    Général puissant, patriote en son pays, en quelques heures il est devenu un terroriste : c’est la légende noire véhiculée par la doxa américaine et israélienne, en nos temps post-moderne où la patrie est devenue un mot vide de sens pour nombre de contemporains, et pour quelques puissants une entité à abattre afin de laisser place à un vague et flou idéal de fraternité humaine dans une planète sans frontières.

    Le quotidien italien Il Secolo d’Italia rappelle quelques vérités sur ce vaillant chef d’armée, car quelque soit les ennemis d’hier ou les amis de demain, un général courageux, mort pour sa patrie, a droit au respect. Mais ce respect aussi envers les soldats vaincus, notre monde d’invertis, depuis un certain jugement d’un certain tribunal de vainqueurs, ne peut plus le comprendre :

    « Non. Le général Qasem Soleimani n’était pas un terroriste. Tout comme aucun haut gradé militaire d’aucune nation dans le monde ne l’est. Ce que les Américains appellent un terroriste, imprudemment imité par quelques Pierino italiens, celui qui a été assassiné à Bagdad avec le chef des chiites irakiens n’était pas seulement un brave militaire, un stratège, mais même un véritable héros pour la grande majorité des Iraniens. Ce n’était pas un criminel qui se cachait et frappait des Soleimani sans défense, mais un commandant militaire au service de sa nation.

    Un homme préparé et déterminé à vaincre ces sanglants bandits de l’Etat islamique nés avec les dollars américains de la psychotique Hillary Clinton et du prix Nobel de la paix Barak Obama. Celui qui a libéré et restitué au monde entier, avec un contingent de volontaires russes, le magnifique site de Palmyre que ces bêtes immondes voulaient détruire. Celui qui, musulman chiite, a rendu au culte de milliers de catholiques irakiens et syriens les églises que les égorgeurs d’al Bagdadi avaient fermées et dévastées. Vraiment, quel étrange exemple de “terroriste”, ce Qasem Soleimani.

    Comme tous les Iraniens. Qui sont des indo-européens, non des arabes. Nos frères à tous égards. Par les racines millénaires. Respectueux du christianisme et de notre identité. Mais depuis un certain temps, considérés comme des ennemis par pur calcul politique et à cause de certains intérêts économiques. Comme sonne étrange cette accusation de terrorisme envers le général iranien quand parallèlement on rend hommage et on trafique avec l’hideux grassouillet saoudien nommé Bin Salman qui, après avoir littéralement découpé en morceaux le journaliste Khashoggi à l’ambassade d’Istanbul, s’achète une impunité et le silence du monde avec les pétrodollars d’Aramco. Tôt ou tard, partout, même à Washington, ils devront se rendre à la vérité.

    Tôt ou tard, Donald Trump ou quiconque qui lui succédera devra bien l’admettre cette vérité élémentaire. S’ils ne le font pas, l’histoire les y forcera.
    Ils devront admettre que ce n’était pas l’Iran, la Perse berceau de la civilisation, le problème. Que ce ne sont pas les Indo-Européens de Téhéran qui veulent le mal du monde et attaquent cet Occident aussi arrogant que lâche. Pas un seul Perse n’a jamais été impliqué, ni ne le sera jamais, dans des attentats contre des populations non armées. Ce sont tous des Arabes et tous des Sunnites qui ont frappé et vont frapper. Depuis les tours jumelles. Arabes incités, éduqués et nourris par les Saoudiens et les émirats. Qasem Soleimani n’était pas un terroriste. Il aimait et servait sa patrie.

     

  • Nouvel an, record de voitures brûlées et violences urbaines, la triste réalité de la France multi-culturelle !

     

    En France, Nouvel an rime, dans les zones de non-droit de plus en plus étendues, avec voitures brûlées et violences urbaines en direction notamment des pompiers et des policiers. Du nord au sud, de Strasbourg à Lyon en passant par Paris, et même par Limoges la bouseuse, la France de l’idyllique « vivre-ensemble » se montre telle qu’elle est : en flammes. C’est la technique de la terre brûlée des anciens sarrasins revisitée par leur descendance post-moderne et post-immigration.

    Selon les médias au collier que sont RTL et le Figaro, il y aurait eu plus de voitures brûlées en cette nuit de la Saint-Sylvestre 2019 qu’en 2018. Si c’est eux qui le disent, nous voulons bien les croire puisqu’ils ont plutôt tendance, pour ne pas tomber dans l’amalgame incorrect, à relativiser les exploits de ces nouveaux banlieusards.

    « Vu de la Pologne, la France paraît de plus en plus exotique » commente ironique un journaliste polonais sur le plateau de Pujadas ! ...

  • Les attaques islamistes se multiplient en France … dans l' indifférence de Macron et de son gouvernement !

     

    Après l’attaque au couteau perpétré à Villejuif au cri d’Allah Akbar vendredi dernier, même scénario à Metz et à la gare d’Austerlitz dimanche.

    A Metz, c’est un homme de 30 ans, fiché S, qui a été neutralisé par des policiers hier dimanche midi dans le quartier Borny. Il était armé d’un couteau, criait  Allah Akbaret menaçait une patrouille de police. La police a tiré à quatre reprises après sommation, l’homme a été blessé à la jambe et conduit à l’hôpital. L’individu était notamment connu par les services de la DGSI pour sa proximité avec la mouvance salafiste.

    A la gare d’Austerlitz, c’est une femme de 37 ans, avec un Coran dans une sacoche ouverte, vêtue d’un niqab, et armée d’un couteau d’une lame de 15 centimètres qui a été interpellée par la police. C’est son comportement en gare qui a intrigué un jeune homme en attente dans la salle voyageurs. Selon ce témoin, elle était en gare, mais elle n’avait pas l’intention de prendre le train, délaissant notamment les panneaux d’affichage, elle semblait n’attendre personne non plus. Après l’avoir observée durant une quarantaine de minutes et remarquant qu’elle parlait à haute voix, l’index en l’air, il s’est rendu au poste de police de la station. Aux policiers venus l’appréhender, elle a affirmé habiter en Seine-Saint-Denis et était sans pièce d’identité. Elle n’a pas justifié la présence de l’arme au moment de son interpellation, bien qu’elle ait précisé ne pas vouloir faire de « mal ni à [elle]-même ni à autrui ». À partir de son identité déclarée, les forces de l’ordre ont pu vérifier que cette femme est fichée au FPR et recherchée par la police judiciaire au titre de «  personne disparue ».  Elle a été placée en garde à vue.

    Deux attaques au couteau et une  troisième déjouée dont les auteurs ont visiblement toutes les caractéristiques d’être des adeptes du Coran.

    Mais, singulièrement, leur profil islamiste ne saute pas aux yeux des journalistes du système qui, tant à la radio que sur les chaînes télé, préfèrent évoquer naïvement, en chœur, “la fragilité mentale” comme “fil conducteur des suspects” ou leurs “troubles psychologiques”.

    Un angélisme fort à propos qui permet d’occulter, de nier volontairement, la réalité islamo-djihadiste de ces personnes dangereuses, toutes trois musulmanes ! ...

    *