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  • Non à l’euthanasie pour les animaux, oui à l’euthanasie pour les hommes ! ...

     

    La société contemporaine, cette post-modernité où prédomine la culture du choix, connaît ses paradoxes, ou tout au moins qui sont des paradoxes pour les tenants du bon sens. Car il est vrai que pour les apprentis-sorciers de l’utopique société future, l’inversion des valeurs, l’inversion de ce qui fut le Bien pendant 20 siècles en Mal et vice-versa, les paradoxes et les contradictions les plus criantes sont inscrits dans l’idéologie arc-en-ciel qu’ils nous vendent.

    Pour corroborer cette totale inversion qui touche les domaines les plus variés de la vie humaine, l’histoire nous vient des Etats-Unis, cette Amérique pionnière du village global. Le gouverneur de Californie, le démocrate Gavin Newsom, a déclaré, au cours d’une conférence de presse, vouloir mettre fin à l’euthanasie pratiquée dans les refuges pour animaux. A mettre en parallèle avec l’autorisation dans son État de l’euthanasie des êtres humains : le suicide assisté y est légal depuis des années. La Californie doit devenir un Etat « No-Kill », en faveur des animaux… Un No-Kill qui ne vaut pas pour les bébés à naître et les vieillards malades !

    « Ironie du sort » écrit le National Review, « tandis que le gouverneur travaille à sauver les animaux de la mort, la Californie non seulement a légalisé le suicide assisté mais consent aussi à encourager le suicide des malades en phase terminale ».

    Le soin des animaux de ces animalistes ne correspond en aucune façon au respect de la vie et de la nature : c’est tout le paradoxe de la post-modernité où tout est affaire uniquement de choix culturel, sentimental et individuel, pour construire en dépit de la réalité et de la structure morale de la vie humaine son propre mode de vie, et ainsi, dans ce cas, choisir dans une contradiction apparente mais logique dans leur système, la vie des animaux et la mort des hommes

    Francesca de Villasmundo

     

  • Face aux syndicats, Macron fait preuve une fois de plus de son incompétence générale et de sa "trouille" alors qu' il aurait pu saisir l' occasion des grèves qui perdurent pour les réformer de fond en comble !

    La fin des syndicats à la française ou l’occasion manquée d’Emmanuel Macron

    Ces grèves auraient pu être l’occasion idéale. Non pas pour la réforme des retraites, qui n’en est pas une, mais pour celle de la réforme des syndicats français.

    Emmanuel Macron aurait pu profiter du blocage des transports, de la lassitude des Français et de l’urgence du changement pour casser le système syndical à la française ! ...

    Avec du courage et bien conseillé, il aurait pu jouer cartes sur table en facilitant la publication de leurs vrais comptes. En rappelant le fameux rapport Perruchot et en montrant aux Français comment ils sont réellement financés : par l’argent public, par les subventions directes et indirectes, par les taxes sur les salaires et sur les entreprises.

    Leur budget, c’est plus de 5 Mds d’euros dont plus de 4 proviennent de sources publiques, c’est-à-dire de l’argent des contribuables.

    Seulement 8 % de ceux qui travaillent dans le privé sont encore syndiqués, le gros des troupes étant fourni par des fonctionnaires et autres agents publics ou parapublics. Ceux qui sont protégés et privilégiés. Au total, on estime à 7 % le nombre de syndiqués en France alors que ce taux était de 50 % en 1949. Et la chute ne cesse de continuer.

    Les Français savent-ils tout cela ? Pourquoi ne pas leur rappeler que, depuis le 1er janvier 2015, une contribution patronale aux organisations syndicales a été mise en place au taux de 0.016 % ? Elle apparaît sur la fiche de paye et se rajoute à la vingtaine d’autres charges patronales. Tous les salariés, syndiqué ou non, sont contraints de verser un petit quelque chose aux syndicats ! Qui leur offrent à tous, en contrepartie, des services très efficaces : les grèves et les blocages des transports !

    Les Français savent-ils qu’en plus des aides publiques, selon une estimation de l’Inspection générale des Affaires sociales (IGAS), les syndicats bénéficient de 250 à 800 implantations fournies gracieusement par les collectivités locales ?

    On n’a aurait pas attendu de Macron qu’il fasse ce qu’a fait Thatcher. Entre 1980 et 1982, les conservateurs britanniques ont fait voter deux lois limitant le pouvoir de nuisance des syndicats lors des mouvements sociaux. D’abord en 1980, l’Employment Act interdit que le piquet de grève soit situé ailleurs que sur le lieu où la grève a éclaté. Puis en 1982, la loi du secrétaire d’État à l’Emploi, Norman Tebbit, supprime l’immunité syndicale en cas de grève illégale et introduit le vote à bulletins secrets avant le début d’un conflit social. Si l’on avait fait ne serait-ce que la moitié de ce que prévoyaient ces lois, le blocage du métro et des trains aurait été impossible.

    M. Macron aurait pu déconsidérer ces syndicats qui ne représentent pas les Français. Il aurait pu dire haut et fort qu’il s’agit d’organisations d’un autre âge, vestiges d’une époque complètement révolue, qui n’existent plus depuis belle lurette dans les autres pays riches et civilisés. Des syndicalistes, ceux qui s’opposent systématiquement à toute réforme et qui ne se battent que pour eux ? Non. Seulement les membres de corporations [quasi mafieuses] bien décidées à ne pas céder un seul de leurs privilèges. Les pires ennemis des employés français.

    Enfin, M. Macron aurait pu dire aux Français que ces syndicats qui n’ont que le mot de solidarité à la bouche profitent sans vergogne de la capitalisation qu’ils prétendent honnir. Aucun n’a protesté lorsque le RAFP (Retraite additionnelle de la fonction publique), a été créé en 2005 ; c’est pourtant un système de capitalisation, mais... uniquement pour les fonctionnaires. Aujourd’hui, ils soutiennent que la réforme de Macron serait une astuce du président pour confier nos retraites aux fonds de pension. Non seulement c’est faux, mais la réforme éloigne encore plus nos retraites des fonds de pension.

    En disant la vérité, en dévoilant le vrai visage de nos syndicats, Emmanuel Macron aurait pu sauver la face. Malheureusement, on se dirige vers une double désillusion. La réforme des retraites, avec tous ses défauts, sera encore plus détricotée, et les privilèges des régimes spéciaux perdureront. Finalement, les syndicats auront gagné la bataille et la France sera la perdante. Une fois de plus.

     

  • Ignoble et scandaleux blasphème contre le Christ sur France Inter !

     

    Un ignoble blasphème public a été commis contre Notre-Seigneur Jésus-Christ et ne peut rester sans réaction.

    Le vendredi 10 janvier, sur les ondes de la radio France Inter, une « chanson » ordurière intitulée « Jésus est pédé » a été diffusée, entonnée par le soi-disant « humoriste » Frédéric Fromet.

    Pour que chacun mesure la gravité du blasphème, voici quelques extraits de ce qui a été diffusé par une radio du service public.

    « Jésus est pédé, membre de la LGBT… du haut de la croix pourquoi ne pas l’avoir encu** »
    « Jésus de Nazareth était en vérité, Jésus du quartier du Marais ».
    « Jésus est pédé, il n’y a pas que l’hostie qu’il faut sucer ».
    « Cette manif’ qu’on appelle la cène fut la première gay pride »
    « Jésus est pédé, chante Boutin et de Villiers »
    « Jésus est pédé, à tous les homophobes » – comprendre à “tous les chrétiens”.

    Ce « chanteur-humoriste » Frédéric Fromet n’en est pas à sa première provocation foncièrement antichrétienne. Il s’était déjà illustré sur cette même radio France Inter en chantant “elle a cramé la cathédrale” – aux paroles également ignobles – quelques jours seulement après l’incendie de la cathédrale Notre-Dame de Paris.

    Le blasphème public diffusé par France Inter vendredi dernier a entraîné l’hilarité des animateurs présents sur le plateau radio.

    Il est bien évident qu’il serait inconcevable que France Inter diffuse une chanson qui se moquerait de façon équivalente du judaïsme ou de l’islam. Sous couvert d’humour, c’est le christianisme qu’ils haïssent publiquement.

    CIVITAS appelle tous les catholiques à réagir massivement. Non pas par une pétition mais en protestant directement à France Inter. Nous devons exiger des excuses publiques et des sanctions à l’égard des responsables récidivistes d’actes antichrétiens.

    Par mail : presidence@radiofrance.com
    Par téléphone : 01.45.24.70.00 / 01.56.40.22.22
    Par courrier postal : Maison de la Radio – France Inter, 116 avenue du Président Kennedy, 75220 Paris Cedex 16

    Notre silence serait impardonnable. L’antichristianisme qui sévit en ce moment ne se résume ni à des paroles ni à des dessins immondes. Il se traduit aussi, en France, par de très nombreuses profanations de lieux de culte et même  des incendies de lieux de culte.

    Cela doit cesser !

     

    Mais voici que Laurence Bloch, la présidente de France-Inter, radio financée avec l’argent de tous, se pâme aujourd’hui de sa finaude trouvaille : elle a adressé des excuses à la gent LGBT et non aux chrétiens pour la profération sur la radio de l’ignominie « Jésus est pédé » par le misérable Fromet.

    Mais pour mieux se couvrir, elle a pitoyablement suivi l’argument de la donzelle Charline Vanhoenacker, chouchou du bobarland radiophonique se portant avec  des accents grotesques d’autohéroïsation au secours de son petit camarade Frédéric Fromet.

    Au nom de la défense du grand principe intouchable de la « liberté d’expression » et d’une sublime fidélité véritablement d’ordre religieux à la grandeur sacrée de « l’esprit Charlie ». L’indécence de pareille argumentation, au demeurant d’un pitoyable conformisme, est à faire « hennir des constellations », comme aurait dit le grand Léon Bloy.

    Comme si le prix du sang de leurs collègues assassinés par les islamistes frères Kouachi octroyait à leurs continuateurs et à ceux du même acabit dans leur dérision et l’abjection scatologique d’être dans un statut d’intouchables de la République.

    Nous, nous ne nous prosternons pas  à l’invocation du soi-disant « esprit Charlie ». Nous, défendons fermement la liberté d’expression et notamment celle de pouvoir dire que Charlie ne mérite aucun respect.

    Aucun respect quand on s’y efforce de défigurer le visage du Christ dans un sommet d’obscénités blasphématoires.

    Nous disons, nous, que Charlie, subventionné aussi, n’est qu’une misérable, longue et terne continuité d’expression scatologique, de maladive et dégoulinante obsession d’excrémentation.

     Rien à voir avec la géniale santé paillarde de notre bon François Rabelais. Ce dernier n’eut certainement pas trouvé des qualités torcheculatives à ce torchon défécatoire ! ...