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  • La « dhimmitude » de l’épiscopat français vis-à-vis de l’Etat ...

     

     

    « Dhimmitude ». Il est difficile de nommer autrement la nouvelle formulation adoptée par l’épiscopat dans la rédaction des registres de baptême pour prendre en compte les nouvelles “lois” autorisant le “mariage” pour tous !

    L’information a été donnée par l’abbé Michel Viot sur les ondes de Radio Courtoisie. Ce prêtre, ancien pasteur luthérien et ancien dignitaire franc-maçon, d’abord à la Grande Loge de France, puis à la Grande Loge nationale française, s’est converti au catholicisme en 2001, et a reçu le sacerdoce en 2003. Le 22 décembre dernier, il révélait comment l’épiscopat français recommande de modifier une formule des registres de baptême de manière tout à fait surprenante. 

    Un changement dans la crainte 

    Le changement envisagé consiste à supprimer la mention du père et de la mère pour la remplacer par la formule : « Noms et prénoms des parents ou des autres titulaires de l’autorité parentale »...  Une manière de procéder “non discriminatoire” et politiquement correcte. 

    La proposition émane du Conseil pour les questions canoniques présidée par Mgr Joseph de Metz-Noblat, évêque de Langres. Cette proposition a été faite il y a plus d’un an, par lettre datée du 13 décembre 2018. 

    Les raisons invoquées sont étranges : l’Eglise ne doit pas refuser les sacrements à ceux qui les lui demandent, et « les enfants ne sauraient être tenus pour responsables de la situation de leurs parents ». Cette explication ne présente pas de difficulté en elle-même, et est parfaitement classique. D’ailleurs, tout au long de l’histoire, l’Eglise a pris en compte les situations irrégulières : enfants illégitimes ou nés de parents inconnus, enfants adoptés, etc. Mais jamais ces circonstances n’ont affecté la mention du père et de la mère de l’enfant à baptiser ! 

    Les registres de catholicité 

    Pour bien comprendre de quoi il s’agit, il faut savoir que par “registres de catholicité”, il faut entendre des outils prouvant l’appartenance à cette société qu’est l’Eglise. Une société est en effet composée de membres. Pour devenir membre de l’Eglise, il faut recevoir le saint baptême, qui est le sacrement donné par Jésus-Christ pour notre salut, et la porte d’accès aux autres sacrements. Ce statut public de membre de l’Eglise nécessite un enregistrement, qui est consigné dans le registre de baptême. 

    Être inscrit sur un tel registre prouve d’une part que le membre a reçu le sacrement de baptême, ce qui est capital puisque le baptême ne peut pas être réitéré. Il manifeste d’autre part l’état de membre de cette société qu’est l’Eglise. Ce registre sera consulté dans plusieurs circonstances, notamment pour recevoir les sacrements de confirmation, de mariage ou d’ordre. 

    Le registre de baptême diffère donc profondément du registre d’état civil, même s’il peut, en raison de la nature des informations qui y sont consignées, s’y substituer. Tel était le cas pendant les siècles de chrétienté, et aujourd’hui encore il se rencontre dans certains pays. 

    Sur ce registre sont inscrits d’une part le nom du père et de la mère du baptisé – lorsqu’ils sont connus – et d’autre part celui du parrain et de la marraine, qui se substituent aux parents durant la cérémonie. La mention des parents biologiques est importante pour prévenir les mariages consanguins. 

    Dans certains cas une mention peut être ajoutée : « père inconnu », « adopté par », ou tout autre renseignement permettant de situer exactement l’enfant dans un arbre généalogique. Parfois, certains éléments contenant des informations très confidentielles peuvent être gardés secrets. 

    Les registres de catholicité n’ont donc pas vocation à être un décalque de la société dans laquelle l’Eglise est placée, car elle est elle-même une société, parfaite dans son ordre ! Ils n’ont pas non plus à se plier à un système légal qui contredit la nature créée par Dieu et restaurée par Jésus-Christ. 

    Les conditions du baptême 

    Un dernier argument, d’une singulière importance, milite contre la modification absurde des registres de baptême dont il est ici question. Il relève des conditions générales demandées par l’Eglise pour tout baptême.  

    Certes, le baptême ne doit pas être refusé à un enfant à cause du péché qui pourrait entourer sa conception. Mais avant de donner le baptême, il faut s’assurer d’une condition indispensable : qu’il soit pourvu à l’éducation chrétienne du futur baptisé, comme le précise le droit de l’Eglise. 

    En effet, comme il a été dit, le baptême fait entrer dans cette société qu’est l’Eglise, le Corps mystique de Jésus-Christ, qui conduit les âmes au Ciel par la grâce sanctifiante et la pratique d’une véritable vie chrétienne. Or la vie chrétienne est fondée sur la foi et s’épanouit dans la charité et les œuvres qui en découlent. Cette vie nécessite donc une préparation, une formation particulière qu’est le catéchisme. 

    « L’éducation chrétienne comporte une partie positive, instruction et libre pratique religieuse, et une partie négative, l’absence d’influences nocives au point de vue de la foi et des mœurs », explique le Traité de droit canonique de l’abbé Raoul Naz. La question qui se pose alors est la suivante : peut-on baptiser un enfant dont on sait avec certitude qu’il sera soumis à des influences contraires à la foi et à la morale catholique ? Poser la question, c’est y répondre...

    Les propositions de Mgr de Metz-Noblat et de l’épiscopat français ne sont rien d’autre qu’une soumission servile, une « dhimmitude » vis-à-vis de dispositions légales contraires à la morale catholique.

    Elles réduisent à néant la notion même de registre de catholicité, et de toute façon elles ne sauraient s’appliquer dans le cadre d’un ministère vraiment soucieux du salut des âmes. 

    Malheureusement ce n’est pas cette optique qu’adoptent les dirigeants de l’épiscopat français. Dans une circulaire que Mgr de Metz-Noblat a adressée le 28 février 2019, il indique les motifs qui guident ses recommandations : faire en sorte que la formule du registre de catholicité ne soit pas susceptible d’être attaquée pour discrimination par les homosexuels ou l’Etat laïc. Triste époque ! ...

     

     

  • L' hystérie shoatique est devenue une arme de destruction massive ! ...

    Mémoire : la chape de plomb se renforce, l'hystérie se donne libre cours ...

     

    C’est l'hystérie. Le soixante-quinzième anniversaire de l’arrivée de l’Armée rouge à Auschwitz-Birkenau le 27 janvier 1945 est l’occasion depuis plusieurs jours, et de manière ininterrompue, de déverser un déluge de propagande absolument inouï.

    L’objectif est toujours le même : il s’agit de tétaniser, de sidérer les consciences, de violer les âmes, de détruire les défenses immunitaires pour empêcher toute réaction musclée contre les politiques que l’on nous impose dans tous les domaines.

    L’arme de la Mémoire, comme nous l’avons souvent écrit, agit comme un rouleau compresseur qui permet d’en finir avec les institutions et les croyances les plus fondamentales, les plus immémoriales et les plus légitimes. Au même titre que les Palestiniens dont les droits et la dignité sont chaque jour foulés au pied, dont les maisons sont détruites par les chars israéliens, dont les enfants sont abattus ou mutilés sans sommation et de manière barbare, nous sommes humiliés, dépossédés, désarmés, niés, tyrannisés en permanence. 

    Certes pour l’heure les violences en Palestine occupée sont plus redoutables, plus brutales, plus sanglantes. Mais le processus est exactement le même, l’ennemi aussi.

    Il s’agit de détruire notre héritage matériel et immatériel, de nier ce que nous sommes, nos racines, notre être, notre foi, d’imposer une loi, des mots d’ordre, des slogans, un univers dont nous ne voulons pas.

    Un monde sans frontières où il n’y aura plus ni hommes ni femmes, ni Blancs ni Noirs, un monde où rien n’est certain, si ce n’est le Dogme holocaustique sacralisé et protégé par des lois contre le blasphème, un monde où l’on peut changer de sexe, d’orientation sexuelle, d’identité de genre, un monde où il faut se métisser mais où l’on ne croit plus en rien, où l’on ne transmet plus rien, sinon la Mémoire imposée d’une certaine communauté, où l’on ne sait plus qui l’on est et d’où l’on vient, où l’on n’a plus le droit de penser, d’aimer, de croire, de dire, d’écrire et de professer ce qui est interdit par Big Brother, un monde où ce sont les algorithmes sur Internet qui vont censurer sous 24 heures, comme c’est demandé par la loi Avia, tout ce qui est jugé haineux par les puissants qui nous oppriment.

     

    Quelle formidable invention que cette “haine” dont la définition n’est ni claire ni précise, dont les contours sont infinis et qui permet de diaboliser et de persécuter tous ceux que les puissants n’aiment pas, tous ceux dont on réclame l’isolement, la marginalisation, l’incarcération voire l’élimination. Il ne faut pas croire que ce qui se passe actuellement ne concernera que les militants et sympathisants de ce que le média obèse appelle l’extrême droite.

    Ce sont tous les mouvements, toutes les structures, toutes les personnes qui défendent encore une vision traditionnelle de l’homme, de la famille, de la nation, de la civilisation qui sont dans le viseur.

    Il y a quelques semaines une école hors contrat dont nous tairons le nom et qui est tenue par des religieuses en France a été inspectée par l’académie. Alors qu’il s’agit d’une école catholique traditionaliste, d’une école confessionnelle, on a demandé aux religieuses de respecter et d’enseigner la laïcité dans les cours, ce qui est inouï. On a interrogé les enfants du primaire et du secondaire, ce qui ne s’était jamais fait jusque-là. Le temps n’est pas loin où, comme sous Mao, on demandera aux enfants de témoigner contre leurs parents. 

    Alors qu’il était question de la pratique du sport et que les sœurs indiquant que les garçons jouaient au football, les inspectrices ont insisté sur la nécessité de dispenser une éducation non genrée, les filles devant elles aussi faire du football, et avec les garçons. Car la mixité, une des valeurs principales de la République, doit s’appliquer à l’ensemble des établissements scolaires, au nom du « socle commun ». Ce fameux socle permet d’en finir avec la spécificité des écoles hors contrat et d’imposer chaque jour davantage à des écoles qui sont totalement financées par les parents d’élèves, l’Etat et les collectivités locales ne leur donnant pas un centime, ce qui a cours dans les écoles publiques et les établissements privés sous contrat. Enfin les inspectrices ont insisté sur l’importance de l’éducation sexuelle à l’école. Les religieuses répondant que c’était là l’affaire des parents à la maison, les fonctionnaires de l’Education nationale ont affirmé que les religieuses devaient elles-mêmes assurer cet enseignement à l’école, soit directement, soit par le biais d’une infirmière. Voilà où nous en sommes !

    Pour tous ceux qui voudront rester intégralement fidèles à la morale chrétienne, comme c’est nécessaire, le temps de la persécution se rapproche dangereusement. Bientôt il n’y aura plus d’autres choix que d’être héroïques ou apostats, martyrs ou traîtres à sa foi et à ses convictions les plus ancrées et les plus légitimes.

     

    Mais me direz-vous quel rapport tout cela a-t-il avec la Mémoire et le Forum international sur l’Holocauste à Jérusalem ? Il est pourtant évident. Car il suffit de se rendre sur les différents sites communautaires, ceux de la LICRA et de l’UEJF en passant par ceux du CRIF et d’autres organismes du même acabit, pour se rendre compte que pour eux le racisme, l’antisémitisme, l’homophobie, c’est la même chose, la même haine qu’il faut combattre sans merci.

    Défendre aujourd’hui la famille et la morale traditionnelles, s’opposer à la théorie du genre, au transhumanisme, à l’homosexualisme, aux revendications exorbitantes du lobby LGBT, c’est être un haineux homophobe qu’il faut condamner en justice et dont il faut interdire la libre parole sur les réseaux sociaux!

    De la même manière, s’opposer à l’invasion migratoire, au Grand Remplacement, au génocide de notre peuple, de notre race, de notre continent, de notre civilisation, refuser le métissage obligatoire, c’est être un haineux xénophobe et raciste qu’il faut poursuivre et faire taire!

    Dénoncer l’utilisation par l’entité sioniste du Dogme holocaustique pour justifier ses menées bellicistes contre tous ses Etats voisins, hier l’Irak et le Liban, aujourd’hui la Syrie et surtout l’Iran, pour nier tout droit aux Palestiniens et occuper indûment leur territoire, confisquer ce qui leur appartient légitimement, se scandaliser de la toute-puissance et de la nocivité du CRIF en France, se scandaliser que l’on ne puisse pas s’adonner à de libres recherches historiques sur la Seconde Guerre mondiale et sur les camps de concentration (« En Occident, on n’a pas le droit de s’approcher de la boîte noire de l’Holocauste pour voir ce qu’il y a à l’intérieur » constatait naguère avec esprit l’ancien président iranien Mahmoud Ahmadinejad), c’est être un haineux antisémite qu’il faut pourchasser et éliminer!

    Emmanuel Debono, historien écrivant sur le blog du Monde et ayant composé des ouvrages à la gloire des législations dites antiracistes, a rédigé sur le site du quotidien vespéral le 23 janvier, jour même du Forum international sur l’Holocauste, un long article appelant à une répression impitoyable contre RIVAROL et son directeur (voir l’article dans ce numéro de l’ami François-Xavier Rochette). Bien que notre hebdomadaire n’ait que quelques milliers de lecteurs et soit une publication ancienne mais modeste, les vérités qu’elle défend sont insupportables aux censeurs d’aujourd’hui qui ne souffrent plus la moindre voix dissidente ou dissonante dans leur conformisme idéologique glacial et glaçant.

     

     

  • Un document secret-défense liste 150 quartiers français «tenus» par les islamistes !

     

     

    Un document secret-défense liste 150 quartiers français «tenus» par les islamistes :