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  • Quand les juifs dirigent la France .

     

    Toujours plus loin dans la folie et la tyrannie : voilà que l’Assemblée nationale criminalise l’antisionisme !

    Jusqu'où iront-ils ? IL y a près de trente ans, le lobby juif était parvenu à criminaliser la recherche en histoire avec l’adoption de la loi Rocard-Fabius-Gayssot du 13 juillet 1990 en profitant de la profanation très suspecte, deux mois plus tôt, du cimetière juif de Carpentras qui avait entraîné une immense mobilisation politico-médiatique « contre l’extrême droite et l’antisémitisme ». Et voici que, le 3 décembre 2019, quelques heures après la profanation de 107 tombes du cimetière juif de Westhoffen, près de Strasbourg, l’Assemblée nationale a adopté une résolution scélérate assimilant l’antisionisme à l’antisémitisme.

    *Et il s’est trouvé une majorité de députés, parmi ceux qui ont voté, pour avaliser cette infamie!

    Depuis 1990 on ne peut plus faire valoir devant les tribunaux et en public un point de vue sur l’histoire de la Seconde Guerre mondiale et sur les camps de concentration qui n’est pas conforme à la version officielle et obligatoire des événements.

    Ne pas réciter la vulgate sur ces questions est s’exposer à l’accusation d’antisémitisme qui est un délit. Les juridictions françaises et internationales ont validé ce point de vue : contester ou minorer le génocide juif, remettre en question l’existence des chambres à gaz homicides, ou simplement émettre un doute, formuler une interrogation, employer un conditionnel ou utiliser des guillemets est l’expression la plus caractérisée de l’antisémitisme. Ainsi le tour est joué : il est impossible de discuter ou de réfuter la thèse officielle, sauf à subir les plus lourdes condamnations et un opprobre de chaque instant. Tout débat est interdit, jugé en lui-même illégitime car déjà suspect d’antisémitisme, de haine raciale. 

    Eh bien il va en être de même désormais pour l’antisionisme ou toute critique de l’Etat d’Israël. Certes la résolution adoptée à l’Assemblée nationale par 154 voix pour (essentiellement des députés macroniens et de la droite parlementaire), 72 contre (des socialistes et des communistes pour l’essentiel) et 43 abstentions, la plupart des parlementaires n’ayant courageusement pas participé au vote, comme les élus du Rassemblement national, particulièrement couards (Emmanuelle Ménard, épouse du maire de Béziers, a toutefois voté la résolution, il faut le savoir et le faire savoir, c’est une honte absolue !) n’est juridiquement pas contraignante. Mais qui ne voit que toute critique quelque peu véhémente de l’entité sioniste, toute condamnation de ses crimes envers les Palestiniens, de son bellicisme à l’égard de tous ses voisins, de l’Irak au Liban en passant par la Syrie, de ses méthodes inhumaines, de ses mensonges permanents, de sa meurtrière politique de répression par air, par terre et par mer pourra être poursuivie et condamnée par les tribunaux comme une manifestation de l’antisémitisme ?

    C’est si vrai que votre serviteur est actuellement l’objet de plusieurs poursuites judiciaires pour avoir condamné la politique de l’Etat hébreu tant vis-à-vis des Palestiniens que des Etats voisins. Le directeur de RIVAROL est en effet actuellement poursuivi devant la XVIIe chambre du tribunal correctionnel de Paris pour provocation publique à la discrimination, à la haine et à la violence pour avoir écrit en mai 2018, au moment du soixante-dixième anniversaire de l’Eretz qui s’était accompagné d’un épouvantable massacre à Gaza : « La lutte contre l’antisémitisme est un moyen pervers et diabolique d’empêcher toute critique musclée de l’entité sioniste, d’annihiler et de diaboliser tout soutien à la cause palestinienne. Il faut refuser ce chantage immonde. » Autre écrit poursuivi avec le même chef d’accusation : « En toute impunité, avec une totale immunité, grâce au passe-droit de la religion de la shoah qui lui donne en permanence un permis de tuer, tous les jours la criminelle entité sioniste tue, massacre, affame, humilie, torture des civils désarmés. Voilà le vrai visage du sionisme ». A consulter certains sites communautaires, comme Balance ton antisémite, et beaucoup d’autres dans le même genre, manifester la moindre compassion à l’égard du martyre du peuple palestinien (et de plus en plus on nous traite en Europe comme en Palestine occupée, à en juger par exemple par la répression contre des gilets jaunes énuclées, mutilés, passés à tabac) est déjà une manifestation de la haine antisémite.

    Jusqu’où vont l’audace, l’arrogance, l’outrecuidance de ces gens ? Mais il est vrai que tout est déjà dans l’Evangile. En deux mille ans, ils n’ont pas changé.


    Jérôme BOURBON.

  • La révolution Lgbt toujours plus loin : deux femmes inverties partagent la grossesse ...

     

    Rien ne semble arrêter la révolution anthropologique et globale lgbtqi+ dans sa volonté de déconstruction sans limites de l’ordre de la nature, qu’elle peut mener à bien grâce à l’appui de médecins apprentis-sorciers et de gouvernements occidentaux acquis à la cause homosexualiste.

    Elles sont deux femmes lesbiennes vivant ensemble qui voulaient avoir un enfant et se sentir mères pareillement. Donna et Jasmine Francis-Smith, on ne sait pas de qui est le patronyme, “mariage” pour tous oblige, ont partagé la grossesse de Otis né le 30 septembre dernier à Colchester, en Angleterre. L’œuf appartient à Donna, « il a été fécondé et ensuite introduit dans mon corps pendant 18 heures », explique la jeune femme au The Telegraph. « Puis il a été introduit dans le corps de Jasmine et elle est tombée enceinte » continue-t-elle. « Avec beaucoup de couples de même sexe, c’est l’un des deux qui fait tout le travail. La femme tombe enceinte et donne naissance à un enfant. Grâce à cette technique, nous avons vécu et éprouvé de la même manière la grossesse. Cela nous a rapprochées encore plus ».

    Le docteur Kamal Ahuja, directeur du London Women’s Clinic et maître d’œuvre de cette grossesse a déclaré que c’était « la première naissance dans le monde après une grossesse partagée ».

    « Toute la procédure a été une expérience extraordinaire et nous avons eu tout ce que nous voulions de cela » a souligné de son côté Jasmine à la BBC. Les deux femmes se sentent ainsi « égales dans tout le processus » de la maternité a-t-elle ajouté.

    Cette affaire engendre quelques réflexions : plus que jamais le droit artificiel à l’enfant, couplé au choix individuel de l’avoir par toutes sortes de moyens sauf le plus naturel qui soit, supplante la plus minime des considérations éthiques et le droit naturel de l’enfant à avoir un père et une mère.

    Le ressenti individuel l’emporte dans les esprits mais aussi dans le droit sur la réalité naturelle, il devient la norme sur lequel se fonde la filiation des générations futures : ces deux femmes se croient mères biologiques à part égale, alors que dans la réalité seule l’une d’elle l’est biologiquement. Quant au père, même s’il est le grand absent de la vie de cet enfant, il existe bel et bien quelque part, comme le commande la nature.

    Mais cette affaire soulève cependant une autre question et montre par là les contradictions qui habitent la communauté lgbtqi+. Pour faire passer la GPA, on nous explique, à la remorque de Pierre Bergé, que les femmes ayant le droit de faire ce qu’elles veulent de leur corps elles peuvent donc louer leur ventre comme elles louent leur bras, et que louer son utérus n’affecte pas émotionnellement les femmes qui s’y adonnent. Mais quand on écoute Jasmine, parce qu’elle a porté Otis, elle se sent sa mère, elle estime même être sa mère, à égalité avec la mère biologique. Un lien affectif, et assez naturel d’ailleurs, s’est créé entre elle et l’enfant qu’on lui a implanté dans le ventre et qu’elle a porté pendant 9 mois.

    La révolution anthropologique mondiale qui est en marche sous la pression des lobbies homosexualistes ouvre la voie à un tsunami de troubles identitaires et de souffrances psychologiques, affectives, émotionnelles et morales chez la majorité des enfants issus de ces techniques artificielles et privés arbitrairement d’un parent biologique, mais aussi chez certains des adultes qui y auront eu recours pour contourner la réalité de la nature et de la Création.

    Les lendemains pour eux ne chanteront pas …

     

    Francesca de Villasmundo

     

  • La France va-t-elle continuer à faire tuer ses soldats pour défendre des pays dans lesquels ils sont insultés?

     

    Après le décès de 13 militaires français au Mali le 25 novembre dernier, bien de Français s’interrogent sur la pertinacité de l’opération militaire Barkhane menée au Sahel et au Sahara par l’armée française, et qui vise à lutter contre les groupes armés salafistes djihadistes dans toute la région du Sahel. Lancée le 1er août 2014, elle prend la suite des opérations Serval et Épervier. Elle mobilise plusieurs milliers de soldats contre quelques centaines de salafistes djihadistes.

    Un récent communiqué du spécialiste de l’Afrique mondialement reconnu, le professeur Bernard Lugan, donne des éléments de réponse.

    La France va-t-elle continuer à faire tuer ses soldats pour défendre des pays dans lesquels ils sont insultés?

    Au Sahel, alors que des soldats français tombent pour la défense de pays menacés par le jihadisme, des manifestations désormais quasi quotidiennes accusent la France de « néocolonialisme » et exigent le départ de l’armée française 

    Une telle indécence a conduit le président Macron à « convier » les chefs des cinq Etats du G5 Sahel à une réunion d’ « éclaircissement » qui se tiendra 16 décembre à Pau, base du 5e Régiment d’Hélicoptères de Combat, unité qui vient de subir de lourdes pertes au Mali.

    Lors de ce sommet de la dernière chance, trois points devront  être abordés :

    1) Les accusations de « néocolonialisme » portées contre la France doivent cesser car :

    – L’armée française ne combat pas au Sahel pour des intérêts économiques puisque la région totalise moins de 0,25% du commerce extérieur de la France. Elle ne combat pas davantage pour son uranium. Sur les 63.000 tonnes extraites de par le monde, le Sahel n’en produit en effet que 2900… Quant à l’or du Burkina Faso et du Mali, il est extrait par des sociétés canadiennes, australiennes et turques. Au point de vue économique, le Sahel est donc inexistant pour la France.

    – La France consacre 0,43% de son PIB à l’APD (Aide publique au développement), soit un peu plus de 12 milliards d’euros en 2018 (7,8 mds de dons et 4,3 de prêts dont tout le monde sait qu’ils ne seront jamais remboursés…).

    Les trois-quarts le sont à destination du Sahel, soit 9 milliards d’euros directement pris dans la poche des contribuables français. Soit le prix de trois porte-avions. Employée en France, cette somme colossale aurait permis de régler définitivement la question du financement des hôpitaux et de la Justice, tout en effaçant la dette de la SNCF…

    Cependant, paraissant davantage préoccupé par le sort des habitants du Zambèze que par celui de ses compatriotes de la Corrèze, le gouvernement vient de décider, par oukase, de porter cette APD à 0,55% du PIB de la France d’ici 2022… Les « restos du cœur » n’auront donc qu’à s’adresser à la générosité publique…cependant que les « porteurs de valises » continueront à parler de « néocolonialisme » !!!

    2) L’armée française n’a pas pour vocation de combattre à la place des Africains. C’est ainsi que des dizaines de milliers de Maliens en âge de porter les armes vivent en France, notamment à Montreuil, « deuxième ville du Mali ». Touchant des subventions et percevant des allocations généreusement versées par le « néocolonialisme » français, ils laissent nos soldats se faire tuer pour eux… et à leur place.  Le comble est qu’au sein de cette diaspora, des blogs très suivis déversent quotidiennement des tombereaux  de haine sur la France et son armée.

    S’il veut être crédible, le président Macron devra donc annoncer que les animateurs de ces blogs, ainsi que leurs contributeurs les plus virulents seront expulsés de France et remis à l’armée malienne pour incorporation éventuelle.

    3) Trois questions devront ensuite être posées aux chefs des Etats du G5 Sahel, plus particulièrement à ceux du Mali et du Burkina Faso, le cas du Tchad étant différent car l’armée tchadienne a loyalement et efficacement combattu aux côtés de nos forces :

    – Combattons-nous le même ennemi ? Si oui, vous devez en fournir rapidement la preuve.

    – Désirez-vous le maintien d’une présence militaire qui coûte à la France plus d’un million d’euros par jour ? Si oui, il n’est plus question de tolérer les indécentes manifestations anti-françaises qui se déroulent à Bamako et à Ouagadougou.

    – Quels sont vos buts de guerre ? S’il s’agit du retour à l’état antérieur, quand, adossés à l’ethno-mathématique électorale, vous exploitiez vos minorités ethniques (Touareg et Peul), ce qui a provoqué la guerre actuelle, alors, votre combat n’est pas le nôtre.

    Les guerres du Sahel ont en effet des causes historiques, politiques et anthropologiques (voir à ce sujet mon livre Les Guerres du Sahel des origines à nos jours). Quant à l’actuel islamisme, il est d’abord la surinfection de plaies ethno-raciales que les responsables politiques des pays du Sahel refusent de fermer. Barkhane  ne peut évidemment le faire à leur place, sa présence n’ayant qu’un but : éviter la désintégration régionale

    Bernard Lugan