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  • GE (General Electric) revend le nucléaire français !

     

     

    General Electric cherche à revendre les activités nucléaires d'Alstom.

    Plus qu’une fatalité, une occasion pour l’État de recouvrer sa souveraineté sur l’approvisionnement énergétique de la France? Retour sur une proposition portée depuis le début de l’année par Frédéric Pierucci, ancien cadre d’Alstom, pour l’heure sans succès…

    «On est tout le temps surpris! C’est quand même incroyable! […] pour une fois, anticipons!», s’emportait Frédéric Pierucci à l’Assemblée nationale.

     

    Le logo d'Alstom
    © AP Photo / Jacques Brinon
     
    Convié à un colloque sur l’extraterritorialité du droit américain, organisé mi-juin par l’IVERIS et l’Académie de géopolitique de Paris (AGP), l’ancien cadre d’Alstom –qui ne reçut pas le soutien du Quai d’Orsay lorsqu’il était emprisonné dans les geôles américaines durant près de 25 mois– revenait sur son dernier combat: convaincre l’État de profiter des déboires financiers de GE afin de lui racheter les anciennes activités nucléaires d’Alstom, soit celles qui lui paraissaient «la plus stratégique»

     

    «Nous savons que General Electic est dans une situation catastrophique, nous savons que c’est à vendre, on a une golden share en plus dans cette joint-venture-là, qui permet d’avoir un droit de regard sur un futur repreneur, pour une fois, anticipons!», insistait Frédéric Pierucci.

    Pour lui, l’État doit jouer cartes sur table avec GE et lui demander de faire une proposition. «On rachète et au moins on ressort par le haut de l’affaire Alstom!» estime-t-il, regrettant que pour l’heure, il n’y ait «aucune stratégie industrielle» de l’exécutif depuis cinq ans afin «d’essayer de recouvrer notre souveraineté».

    «G.E est dans une situation catastrophique […] nous avons une technologie absolument unique, qui est l’une des meilleures technologies au monde, c’est 3.000 emplois en France. C’est la turbine Arabelle, qui fournit toutes nos centrales, qui est la plus aboutie technologiquement, c’est un business qui est profitable. Je ne comprends pas pourquoi on ne se saisit pas de ce type de projets au plus haut niveau de l’État»,

    développait l’auteur du livre Le piège américain (Éd. JC Lattès, janvier 2019) devant les participants au colloque. «On est toujours dans le réactif… je suis allé deux fois à Bercy proposer ce projet-là», regrettait-il, évoquant notamment les cas d’Ascoval, de Ford, de Belfort ou encore d’Air France-KLM, lorsque l’exécutif français fut pris au dépourvu en apprenant l’entrée «surprise» au capital du groupe de son homologue néerlandais.

     

    Trois mois après ces propos, nos confrères de L’Obs confirment cette remise en vente pressentie des activités d’entretien et de renouvellement des turboalternateurs des centrales françaises par General Electric. L’hebdomadaire révèle ainsi que l’entreprise française SNEF s’est déclarée intéressée et qu’EDF aurait déjà donné son accord, soulignant que l’État n’a pas encore faire connaître sa position, le tout à la veille d’une visite de Bruno Le Maire sur le site de Belfort, menacé par la suppression de 792 emplois dans l’activité turbines à gaz.

     

    Une visite au cours de laquelle le ministre de l’Économie a pressé le conglomérat américain d’«améliorer très significativement» sa copie et de respecter ses engagements, ce à quoi GE a répondu qu’il «[travaillait] sur les mesures possibles pour adapter le projet de réorganisation en cours, tout en permettant de recouvrer durablement la compétitivité de l’activité gaz du site de Belfort dans un marché très dégradé», comme le relate Le Monde. En somme, dans l’affaire Alstom, l’emploi semble toujours être la priorité du gouvernement. En effet, en 2014, afin de convaincre le gouvernement français de lui céder la branche énergie d’Alstom, General Electric avait promis la création de 1.000 emplois dans l’hexagone d’ici 2018. Un deal, scellant le sort d’Alstom Energy, qui échappe encore à Frédéric Pierucci.

    «Quand on vend une entreprise qui a été bâtie sur la commande publique pendant 50 ans, qui fait partie du patrimoine national et de la souveraineté industrielle, pour un plat de lentilles et pour une création de mille emplois, pour moi c’est de la haute trahison! Il faut mettre les mots sur les actes!»

    Présents au colloque, autour de l’ancien cadre d’Alstom, le député Les Républicains (LR) Olivier Marleix, qui présida la commission d’enquête chargée d’examiner les décisions de l’État en matière de politique industrielle (Alstom, Alcatel, STX, etc.) et son ancien confrère LR Jacques Myard, diplomate de carrière, qui dès 2014 réclamait l’ouverture d’une commission d’enquête sur la cession de la branche énergie d’Alstom à son concurrent américain. Également présent, l’ex-Secrétaire d’État de Nicolas Sarkozy, Pierre Lellouche, auteur d’un rapport sur l’extraterritorialité américaine. Ils constituent cette «poignée» d’élus qui ont cerné les dangers que l’extraterritorialité du droit américain fait peser sur les entreprises françaises et de manière plus générale, sur les intérêts de la France et de ses concitoyens.

     

    En effet, non seulement la perte de fleurons industriels, comme Alstom, représente-t-elle une perte sèche pour l’État en termes de maîtrise technologique, d’emplois et de revenus (impôts et taxes), mais les entreprises américaines qui les rachètent –et derrière elles leur administration– n’hésitent pas à recourir au chantage.

     

    Dans le cas de General Electric, le chantage n’a pas traîné: au lendemain même du rachat de la branche énergie d’Alstom et de son activité d’entretien des fameuses turbines Arabelle qui équipent les 58 réacteurs des centrales nucléaires françaises (ainsi que la flotte nucléaire française), l’entreprise américaine avait cessé la maintenance des dites turbines. Le couteau sous la gorge, EDF avait dû renégocier un contrat plus favorable à l’Américain !...

    Un épisode sur lequel est d’ailleurs revenu Frédéric Pierruci, dressant le parallèle avec la dernière guerre du Golfe. Les Américains avaient alors cessé de fournir des catapultes de lancement à la France, clouant au pot d’envol les avions du Charles de Gaulle. L’énergie française (à 75% produite par les centrales nucléaires, dont l’entretien des turbines est à présent entre les mains des Américains) est ainsi devenue un nouveau levier de pression pour la Maison-Blanche.

    «Si demain, on n’est pas d’accord avec la politique étrangère américaine, s’ils imposent à GE de ne plus fournir de pièces de rechange pour nos turbines, on nous met dans le noir! […] il n’y a pas de mot, on est complètement dans les mains des Américains.»

    Frédéric Pierruci évoque également le cas du géant chinois des télécommunications Huawei, privé de la technologie Android par Google sur demande des autorités américaines.

    Le cas de la remise en vente d’un actif stratégique français, peu après son rachat par un acteur privé étranger, n’est pas une première. Nokia, qui avait avalé Alcatel-Lucent, leader mondial de la production, pose et maintenance de câbles sous-marins –une activité stratégique à laquelle s’adonnent à présent les géants du numérique– via sa filiale Alcatel Submarine Networks (ASN), a rapidement remis en vente cette dernière, provoquant la colère des autorités françaises. Une vente d’un fleuron industriel français qui, tout comme celle d’Alstom, fut poussée par l’actuel locataire de l’Élysée

     

    Macron dégage !

     

     

     

  • La subversion sociétale de Macron en marche contre la famille !

    Jean-Louis Touraine (LREM) au sommet de la barbarie nihiliste !

    On croit être atteint d’hallucinations. Il faut s’y reprendre à deux fois pour bien lire ces mots que le député macronien Jean-Louis Touraine a osé écrire en son jargon : « Il n’y a pas de droit de l’enfant à avoir un père, à quelque moment que ce soit ! ».

    À ce jour, aucune barbarie, ancienne ou moderne, n’avait sécrété à ce niveau de responsabilité politique pareille monstrueuse élucubration. Ainsi, dans une société où à chaque instant on invoque, souvent à tort et à travers, les droits de l’homme, c’est le rapporteur de la loi relative à la bioéthique en cours de vote à la chambre des députés qui a pu émettre cette énormité.

    Le génial prophète Aldous Huxley dans « Le meilleur des mondes » eut pu la faire proférer à l’un de ses personnages !

    Nous voici donc très explicitement menés avec cet idéologue du Grand Orient de France, conseiller chéri de la macronnerie à l’ère des enfants sans pères, à l’ère des enfants qui ne sauraient revendiquer le droit d’avoir un père.

    Est désormais venu le temps des « bébés éprouvettes » ! Et demain, évidemment, son extension pour la fabrication de la continuité du « genre humain ». On n’avait entendu cela que dans les sectes socialistes les plus déjantés.

    Dans la logique de ce concept sociétal, le père étant désormais superflu, il serait logique que M. Touraine, s’il a des enfants, et ses idéologiquement semblables, donnent l’exemple en abandonnant leurs droits de paternité, ce qui est d’ailleurs légalement possible dans les cas extrêmes de dissolution familiale.

    Comment ne pas voir que la subversion sociétale de la macronnerie en arrive aux pires pratiques des totalitarismes où l’enfant ne peut être que la propriété de l’État.

    On est là dans le règne du pire racisme, le racisme antihumain!

     

  • Ce ne sont pas les immigrés qui paieront votre retraite ! ...

    Lorsque les gouvernements parlent de réformes, il faut toujours s’attendre au pire. Contrairement à ce que l’on croit souvent, ce n’est pas de réformes que la France manque. C’est au contraire les réformes et révolutions permanentes qui la détruisent, la détricotent, l’avilissent, la rendent méconnaissable depuis quelques décennies.

    La révolution du droit de la famille avec la contraception, l’avortement et aujourd’hui la tyrannie du lobby LGBT qui s’en prend à la filiation, bouleverse les repères moraux et civilisationnels les plus séculaires, promeut et institutionnalise tout ce qui est contre-nature avec la théorie du genre, le “mariage” inverti, le transhumanisme, la PMA et la GPA.

    La destruction de la nation avec la submersion migratoire, le regroupement familial, la suppression des frontières physiques et morales, la caducité de toute distinction entre un national et un étranger. La révolution de l’école et de l’enseignement avec les pédagogies modernes, la généralisation de la mixité, le poids de l’immigration, le nivellement par le bas, les mensonges permanents sur notre histoire et notre civilisation. 

    Et voici qu’aujourd’hui, à l’instar de nombre de leurs prédécesseurs depuis le gouvernement de Michel Rocard à la fin des années 1980, Macron et Philippe nous parlent de la réforme des retraites.

    En réalité, on veut nous vendre sous le doux mot de réformes une régression sociale de grande ampleur. Si pour l’heure on prétend ne pas vouloir reculer l’âge légal du départ à la retraite fixé à 62 ans, il s’agit d’une formidable hypocrisie puisque, pour bénéficier d’une pension à taux plein, il faut avoir cotisé pendant quarante-trois ans pour les personnes nées à partir du 1er janvier 1973. Et les pouvoirs publics entendent augmenter encore le nombre des annuités. Sachant que la plupart des Français entrent dans la vie active aujourd’hui beaucoup plus tard que ce fut le cas naguère, du fait de l’allongement de la durée des études, cela signifie que beaucoup de nos compatriotes devront travailler jusqu’à 70 ans et plus pour bénéficier d’une retraite à taux plein. A condition qu’il existe encore à long terme un système de retraites, ce qui est tout sauf certain quand on connaît le montant abyssal des déficits et de la dette, que l’on ajoute à cela le chômage de masse et le non-renouvellement des générations du fait d’une dénatalité qui est de plus en plus forte. 

     

    Le propre d’un gouvernement soucieux du bien commun, c’est de penser au futur, de conjurer le danger et d’assurer le développement spirituel, moral et matériel du peuple, la prospérité du pays, la perpétuation de l’espèce. D’où l’importance de promouvoir des politiques familiales et natalistes. Or c’est tout le contraire qui a été fait ces dernières décennies. On promeut dès le collège toutes les formes de contraception, en assimilant quasiment la grossesse à une maladie, à un drame, on exhorte à l’avortement de masse considéré comme un droit fondamental, une marque d’émancipation féminine, on fait venir dans les écoles des associations homosexualistes pour désorienter nos petites têtes blondes et crépues et parallèlement on favorise une immigration de peuplement qui tend progressivement à se substituer à la population française.

    Et voici qu’on a aujourd’hui le cynisme de dire que ce sont les immigrés qui vont payer nos retraites puisqu’on fait tout pour que les Français ne mettent plus au monde des enfants, sauf s’il s’agit de duos d’invertis ayant recours aux manipulations génétiques.  L’ONU depuis le début des années 2000 dans des rapports tout à fait officiels professe que l’Europe doit accueillir des immigrés du Tiers monde par dizaines de millions pour assurer la continuité et l’équilibre du système de retraites. Quels arguments n’utiliserait-on pas pour encourager par tous les moyens à l’invasion et à la submersion de notre pays, de notre continent, à la destruction de notre civilisation (ou de ce qu’il en reste) ?

    Comment croire en effet que les immigrés qui arrivent aujourd’hui en France et qui sont pour 95 % d’entre eux des ayants-droits sociaux percevant moult soins et allocations et ne cotisant rien vont demain payer le plus tranquillement du monde les retraites des seniors de souche ? On se moque du monde !

     

    Depuis de longues décennies les gouvernements successifs ont systématiquement fait l’inverse de ce qu’ils devaient accomplir. En matière de gestion des flux migratoires et de révolution du droit de la famille, on l’a dit. Mais également en mettant en œuvre au tout début des années 1980 sous François Mitterrand la démagogique retraite à soixante ans lors d’une période marquée par les chocs pétroliers, la montée continue du chômage, la baisse de la natalité, et alors même qu’à cette époque l’espérance de vie, tant des hommes que des femmes, ne cessait de croître. Cette réforme du pouvoir socialo-communiste fut une catastrophe que nous ne cessons de payer au prix fort depuis bientôt quarante ans. Ce fut un contre-sens historique. La gauche en a l’habitude. La fausse droite aussi.  

    Aujourd’hui les caisses sont vides,la dette est abyssale et d’autant plus que l’on promeut depuis près d’un demi-siècle une immigration extrêmement coûteuse, et il faut donc s’attendre dans les années à venir à des réformes de plus en plus brutales, de plus en plus régressives.

    De même que les prélèvements obligatoires ne cessent de s’accroître jusqu’à devenir confiscatoires, les pensions vont baisser de plus en plus. Et ce à un moment où l’espérance de vie commence à stagner voire à reculer après avoir longtemps augmenté. Une tendance logique et qui devrait se confirmer du fait de l’explosion des cancers qui touchent aujourd’hui un Français sur trois, de la toxicité de la nourriture industrielle que nous ingérons et de la pollution de l’air que nous respirons. Comment les jeunes gens gavés de Mac Do et de coca-cola depuis leur plus tendre enfance peuvent-ils sérieusement espérer devenir centenaires ou même profiter tranquillement de leur retraite à 70 ou 75 ans ?

     

    C'est dans ce contexte qu’il faut replacer toute la propagande actuelle en faveur de l’euthanasie. Le prétendu droit à mourir dans la dignité répond certainement à des motivations idéologiques, maçonniques et anti-chrétiennes, mais s’explique aussi plus prosaïquement par des motifs économiques et mercantiles. Comme il est difficile dans le cadre d’un régime reposant sur l’élection et le suffrage universel d’augmenter trop massivement les cotisations et de réduire très fortement les pensions, surtout que les plus de soixante ans constitue chaque jour davantage une part plus significative de l’électorat et que les personnes âgées sont généralement beaucoup moins abstentionnistes que les jeunes générations, il existe une solution plus simple, plus radicale, vantée depuis quarante ans par le cynique Jacques Attali (qu' on devrait euthanasier sur le champ vu son âge: 76 ans ...), la réduction du nombre des retraités par l’euthanasie de masse. Et c’est ce vers quoi on s’oriente avec la réforme (encore une !) des lois de bioéthique. Pour que le génocide par persuasion des Français puisse se poursuivre, s’amplifier et aller à son terme. Ce qui assurera la solution finale au problème du financement des pensions.  Car, comme l’aurait dit Monsieur de La Palice,  s’il n’y a plus de retraités, il n’y a plus besoin de retraites. Dans leur régime ce n’est pas la retraite ou la mort. C’est le retrait (de la vie) par injection létale, la mort par persuasion globale.  Telle est la nouvelle valeur de leur République.